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Le Japon critique les 35 heures de la France

Le Japon critique les 35 heures de la France

 

 

« Entre les 35 heures, les salaires et les prélèvement sociaux particulièrement élevés, l’environnement de travail n’est pas favorable à l’investissement alors que la main d’œuvre  représente une part significative de nos coûts », a critiqué Mitsuo Okamato dans le quotidien Le Parisien.  Le groupe est installé depuis près de 40 ans (1965) en France mais « à dire vrai, aujourd’hui, s’il s’agissait d’investir pour la première fois en France, nous y réfléchirons à deux fois », a-t-il ajouté.  Ces remarques ont été publiées alors que le groupe devait annoncer un investissement de 40 millions d’euros sur ses trois sites de production en France, qui devrait déboucher sur la création de « plusieurs dizaines » d’emploi.  Et ce, en présence du ministre français du Redressement économique Arnaud Montebourg et de son homologue du Commerce extérieur Nicole Bricq à l’occasion de l’inauguration du siège européen du groupe à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis).  M. Okamato a du reste tempéré ses propos à cette occasion, en regrettant que « dans un quotidien du matin, (ils) aient été mal compris ».   »Si nous investissons en France, depuis plus de 20 ans, c’est que nous sommes convaincus de l’excellence industrielle de votre pays », a-t-il déclaré. « Ici en France, les technologies, le personnel et le marché existant en sont les atouts majeurs. (?). La position géographique de la France et la qualité des infrastructures font parties des atouts de votre pays », a-t-il dit.  L’investissement projeté vise à augmenter de 50% la production des trois usines françaises: Château-du-Loir (Sarthe), spécialisé dans les presses plieuses et les cisailles, Charleville-Mézières (Ardennes), qui fabrique des poinçonneuses, et Auffay (Seine-Maritime), qui produit des outils destinés à équiper des poinçonneuses.  Ces investissements vont permettre de créer 20% d’emplois supplémentaires sur ces sites, soit « plusieurs dizaines d’emplois », assure Amada dans un communiqué.  Actuellement, environ 340 salariés travaillent sur les trois sites, dont l’activité ne cesse de croître.  Sept millions d’euros ont déjà été engagés dans un centre d’usinage, le foncier et la rénovation d’usinage. Le reste le sera entre fin 2013 et 2014, a précisé le fabricant des machines et solutions de production pour le travail de la tôle fine (découpe laser, poinçonnage, pliage et soudure).  En juillet, le groupe avait indiqué qu’il songeait à accueillir de nouvelles activités logistiques, un centre de maintenance de fibres laser à Charleville-Mézières notamment.  En 2012, cette usine a réalisé un chiffre d’affaires combiné de 77 millions d’euros, tandis que l’usine normande d’Auffay a enregistré 6,5 millions d’euros.  En plus des sites industriels, Amada France dispose d’agences commerciales à Toulouse, Lyon et Nantes, en sus de son siège social, jusqu’ici seulement français, à Tremblay-en-France.  Au total, la filiale française compte environ 540 personnes pour un chiffre d’affaires de 160,5 millions d’euros en 2012, en hausse de près de 11% sur un an.   »

 

Fillon critique la France devant Poutine

Fillon critique la France devant Poutine

On connu Fillon plus élégant car critiquer la politique militaire française en Russie, devant Poutine en plus, paraît pour le moins inopportun pour ne pas dire davantage. Certes sur le  fond Fillon a  raison de refuser le positon va-t-en guerre aventureuse de Hollande  mais il était inutile d’apporter encore de l’eau au moulin d’un Poutine pas très regardant sur la démocratie, la sienne ou celle des autres. L’ex-Premier ministre a fait jeudi soir un discours à l’occasion du club de discussion international organisé à Valdai, en compagnie de Vladimir Poutine. saluant le président russe d’un « cher Vladimir », le député UMP a critiqué la position de son pays à propos de la Syrie.  « Nous avons, vous et nous, Russes et Européens, une influence déterminante sur les deux camps qui s’opposent » en Syrie, a-t-il affirmé.  »Je souhaite à cet égard que la France retrouve cette indépendance et cette liberté de jugement et d’action qui, seules, lui confèrent une autorité dans cette crise », a-t-il ajouté. Une phrase qu’il a également tweetée. L’ancien chef de gouvernement reproche ainsi à François Hollande son alignement supposé sur la position du président américain, Barack Obama. François Fillon a toujours fait part de sa réticence à l’idée d’intervenir militairement en Syrie. Il conditionnait son éventuel vote au Parlement à un « soutien des Nations unies ».Les déclarations du responsable UMP ont provoqué une vague de réaction à gauche.  »Grave sur le fond », a twitté le co-président des députés écologistes, François de Rugy.  »L’habit de Républicain de François Fillon part en lambeaux. En ce jour, le bien coiffé devient laquais de la Volga », a également écrit Arnaud Leroy, député socialiste. Le porte-parole du PS, David Assouline a quant à lui synthétisé les récentes prises de position de l’ex-Premier ministre : Jeudi soir à Valdaï, Vladimir Poutine, lui, ne s’est pas privé de critiquer l’intervention en Libye en 2011, menée par la France alors gouvernée par Nicolas Sarkozy… et François Fillon. « Ceux qui ont lancé l’opération militaire en Libye avaient sans doute des motifs nobles. Mais quel en est le résultat? On a lutté pour la démocratie, et où en est-elle? », a notamment déclaré le président russe.

 

EDF : la Cour des comptes critique le temps de travail des agents

EDF : la Cour des comptes critique le temps de travail des agents

La Cour des Comptes critique le manque de productivité des quelque 105.000 salariés du groupe. En 2011, les agents de EDF ont effectué 1.548 heures dans l’année, ceux de RTE 1.500 heures alors que le temps de référence dans les industries électriques et gazières s’élève à 1.570, et que celui inscrit dans le droit du travail est de 1.607 heures. C’est notamment l’une des conséquences de « la mosaïque complexe d’accord locaux » conclus sur l’aménagement du temps de travail, conduisant à la création de cycles horaires très différents, avec des compensations de natures variées, le tout sans unité au sein des entités ni même des métiers, commente la Cour. Aujourd’hui, « les principes fondateurs de ces accords,  ne sont plus complètement adaptés aux enjeux industriels des entreprise », juge-t-elle. D’autant que ce système conduit à une aberration : le paiement d’un nombre d’heures supplémentaires « exorbitant ». En 2010, un agent EDF effectuait 72 heures supplémentaires, un agent ERDF 53 heures et enfin un agent RTE 27 heures. Car leur décompte ne se base pas sur le durée du travail hebdomadaire ou même celui d’un cycle, ce « qui serait du droit commun » explique la Cour, mais au-delà de l’horaire programmé pour la journée. De plus, les agents bénéficient d’un système avantageux de majoration en cas d’heures effectuées à certaines périodes de la semaine ou encore la nuit. Les Sages estiment donc qu’une réflexion doit être menée sur le calcul, l’origine et le montant des heures supplémentaires ainsi qu’un meilleur encadrement des activités d’astreintes. Enfin, la Cour des comptes fait la promotion du bon vieux système de pointage. Elle s’étonne qu’aucun outil de décompte du temps de travail ne soit en place  » alors que les accords internes prévoient que le temps de travail est décompté et payé à l’heure ». Une tâche de contrôle qui est pour l’heure dévolue au chef d’équipe.

 

Taux d’intérêt : La Deutsche Bank critique la BCE

Taux d’intérêt : La Deutsche Bank critique la BCE

L’Allemagne critique la politique de taux faible qui inonde les marchés de liquidités en particuliers ceux de la bourse (liquidités qui ne vont pas davantage en direction des entreprises car les banques ont repris leur activité de spéculation). Le patron de la Deutsche Bank, Jürgen Fitschen, a estimé que la politique de taux d’intérêt très faibles menée par la Banque centrale européenne (BCE) n’était pas saine, dans un entretien au journal dominical Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung.   »Les liquidités à bas prix de la BCE ne sont pas saines (…). Nous devons revenir le plus vite possible à des taux d’intérêts réels positifs », a déclaré M. Fitschen au journal.  L’institution monétaire de Francfort dispose de trois principaux taux d’intérêt, dont le taux directeur – qu’elle a abaissé jeudi de 0,75% à 0,50%, soit son plus bas niveau historique -, qui détermine le coût du refinancement auprès de la BCE sur les principales opérations de crédit.  Il y a également le taux de dépôt au jour le jour, auquel les banques privées peuvent placer de l’argent pour 24 heures auprès de la BCE; le taux de prêt marginal au jour le jour, auquel les banques peuvent emprunter auprès d’elle pour la même durée.  Jeudi, la BCE a également décidé d’abaisser d’un demi point son taux de prêt marginal, passé à 1% contre 1,50% auparavant. Elle a en revanche laissé inchangé le taux de dépôt au jour le jour, à 0%.  La baisse des taux d’intérêt, qui rend notamment l’épargne moins attractive car moins rémunératrice, pourrait toutefois inciter les Allemands à consommer davantage, ce qui pourrait soutenir la croissance.   »Nous avons toujours appelé de nos voeux un peu plus de consommation », a rappelé le dirigeant de Deutsche Bank, ajoutant qu’il n’aurait « absolument rien contre ça ».

 

Scandale viande Cheval: Le Foll critique les Pays-Bas

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Scandale viande Cheval: Le Foll critique les Pays-Bas

 

La France n’a toujours pas de nouvelles de l’enquête menée aux Pays-Bas sur le courtier mis en cause dans le scandale de la viande de cheval et la nouvelle affaire du mouton prohibé, a déclaré aujourd’hui le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll. « On va harceler les Pays-Bas pour comprendre pourquoi on n’a toujours rien de leur part. Avec les Britanniques, on travaille dans la transparence depuis le début de cette affaire. Mais par rapport aux Pays-Bas et au rôle de Jan Fasen (patron de Draap Trading, ndlr), il y a un vrai souci », a-t-il expliqué. Et le ministre de dénoncer le « système commercial » d’un trader « peu scrupuleux » qui « achète partout où il peut de la viande pas chère » en dépit des règles.  Après le scandale de la viande de cheval, une affaire de fraude touchant à la consommation, mais aussi cette fois à la santé publique, a vu le jour hier avec la découverte, dans la même entreprise française Spanghero, de 57 tonnes de viande de mouton prohibée car découpée mécaniquement selon une technique interdite dans l’Union européenne, provenant de Grande-Bretagne. Et c’est le même courtier, Draap Trading, basé à Chypre, propriété du néerlandais Jan Fasen, qui a facturé à l’entreprise française la marchandise censée servir à la fabrication de merguez ou de charcuterie. Depuis la vache folle, l’UE interdit par précaution de séparer mécaniquement la viande sur certains ruminants, car des éclats d’os et de moelle porteurs éventuellement d’infections peuvent se retrouver dans la viande.

Le FMI critique la BCE

Le FMI critique la BCE

 

La Banque centrale européenne (BCE) devrait encore baisser ses taux et les économies en bonne santé comme l’Allemagne devrait augmenter les salaires et favoriser une légère poussée de l’inflation, a déclaré vendredi Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). « La politique monétaire devrait rester accommodante et nous sommes pensons que la BCE dispose encore d’une marge de manoeuvre limitée pour baisser ses taux », a-t-elle dit lors d’un discours à Dublin. La BCE a maintenu ses taux inchangés à 0,75% jeudi à l’issue de sa réunion de politique monétaire, et Mario Draghi, son président, a laissé entendre que l’institution n’était pas pressée de prendre la moindre initiative. « Le retour à un certain équilibre suppose un ralentissement de l’inflation et des hausses de salaires dans le sud (de la zone euro), mais cela pourrait également nécessiter de permettre une légère poussée de l’inflation et des augmentations de salaires dans des pays comme l’Allemagne », a en outre dit Christine Lagarde. La directrice générale du FMI a estimé que les dirigeants européens devaient prendre garde à ne pas faire passer les objectifs de réduction de leurs déficits budgétaires avant la reprise de la croissance, face à des populations marquées par la récession. « L’amélioration du sentiment économique ne provoque pas automatiquement une hausse de l’emploi ou des salaires », a-t-elle jugé. « Elle aide peut-être les marchés, mais elle n’aide pas encore les gens. »

 

Déficits : Monti critique la France

Déficits : Monti critique la France

 

Laminé aux élections, sans doute aigri mais toujours sûr de son fait, Monti critique la France. Limage même de la technocratie européenne qui ne sait pas où elle va mais qui ne veut pas changer de cap. Pathétique. Le chef du gouvernement italien Mario Monti a critiqué aujourd’hui à Bruxelles les gouvernements européens qui cherchent à gagner du temps en reportant leurs objectifs de réduction des déficits publics, estimant que cela nuit aux pays qui respectent leurs engagements. « Nous n’avons pas cédé à la tendance récente consistant à demander le report d’un an de certains objectifs, comme la réduction des déficits », a déclaré Mario Monti qui participait à un forum sur la concurrence organisé par la Commission européenne. « Lorsque j’ai pris mes fonctions, je n’ai pas envisagé de demander un arrangement pour reporter à 2014″ les objectifs de réduction du déficit public italien, « malgré des conditions très, très difficiles », a-t-il souligné. « Je ne blâme personne, ni au niveau de l’Union européenne ni parmi les Etats membres, mais il est évident que la crédibilité de la politique menée dans un pays peut souffrir si d’autres demandent des reports et les obtiennent », a-t-il conclu, dans une critique voilée adressée à l’Espagne, le Portugal, la France ou encore les Pays-Bas.

 

Raffarin critique Sarkozy

Raffarin critique Sarkozy

Jean-Pierre Raffarin se livre dans l’Etat de l’opinion, une revue éditée par TNS Sofres en collaboration avec Le Seuil, à une véritable charge sur l’ancien président et la façon dont il a mené sa campagne de 2012. L’ancien Premier ministre identifie cinq raisons pour analyser l’échec, et ajoute, selon un blog du Monde, que « si une seule de ces cinq occasions avait été saisie, la victoire eut été possible ». Jean-Pierre Raffarin reproche notamment à Nicolas Sarkozy sa stratégie de droitisation et sa pratique trop personnelle du pouvoir, qui l’a coupée des réalités. Le sénateur de la Vienne estime aussi que l’ancien chef de l’Etat aurait dû changer de Premier ministre à l’automne 2010 et qu’il a fait cadeau du Sénat à la gauche.

 

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Santé: la Cour des comptes critique la restructuration des hôpitaux

Santé: la Cour des comptes critique la restructuration des hôpitaux

 

Cette fois, la Cour a analysé trois cas: la rénovation du centre hospitalier de Perpignan, le regroupement de l’offre hospitalière de la vallée de la Tarentaise et l’implantation d’un plateau technique unique dans le nord-Deux-Sèvres.  Elle a noté la « longue gestation » (entre 10 et 20 ans) de ces projets et les « atermoiements », « compte tenu des intérêts politiques sous-jacents ».   »Les hésitations et les retards pris dans la conduite des projets ont conduit à des surcoûts et à des difficultés de financement qui risquent de peser longtemps sur l’équilibre budgétaire des établissements sans que l’offre de soins ait été améliorée », estiment les sages de la rue Cambon.  La Cour fait un bilan très sévère de ces trois projets.  Reconstruit sur son ancien site, sans possibilité d’extension (sauf à racheter de nouveaux terrains), le centre hospitalier de Perpignan manque d’un étage dédié aux circuits logistiques.  Cette lacune est un « véritable contresens au regard des normes modernes d’hospitalisation et de lutte contre les infections nosocomiales », selon le rapport.  Dans la Tarentaise, la fusion des hôpitaux d’Albertville et de Moutiers a fait l’objet de plusieurs plans de financements, le dernier étant suspendu depuis octobre 2012 dans l’attente de nouvelles études sur l’offre de soins sur le territoire concerné.  Le centre hospitalier Nord-Deux-Sèvres, redimensionné par l’Agence régionale de santé (ARS), et soutenu par le Conseil régional de Poitou-Charentes, attend lui approbation ministérielle.  La Cour « estime qu’il est encore temps de reconsidérer ces deux derniers projets, toujours en gestation, pour en dégager tous les gains d’efficience possibles » et replacer leur activité « dans le cadre d’une approche cohérente et globale de l’offre de soins locale ».  Plus généralement, l’institution prône une « démarche rigoureuse et cohérente » pour les restructurations hospitalières, et l’adoption d’une « stratégie nationale ».  Dans sa réponse, le ministère du Budget a approuvé cette recommandation, mais celui de la Santé a nuancé, soulignant que les besoins sont trop divers selon les territoires pour qu’il soit « envisageable de fixer un objectif national de recomposition de l’offre de soins ».

 

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Santé : la cour des comptes citrique le système du médecin traitant

Santé : la cour des comptes citrique le système du médecin traitant

 

La cour des comptes dénonce le système du médecin traitant qui a surtout bénéficié aux spécialistes Depuis la loi du 13 août 2004, tout assuré social de plus de 16 ans peut désigner un médecin traitant, généraliste ou spécialiste, à consulter avant de recourir à un autre médecin.  La part des consultations effectuées dans le cadre de ce « parcours de soins coordonnés » est passée de 87,2% en 2008 à 91% en 2011, note la Cour des comptes.  Différents mécanismes tarifaires ont été mis en place à la suite de cette réforme mais ces derniers sont « contraignants et complexes », juge-t-elle.  Pour les médecins, le système a « produit de curieux paradoxes »: les spécialistes en ont « davantage bénéficié financièrement que les généralistes, alors que ces derniers étaient censés être la clé de voûte de la nouvelle organisation ».  Les généralistes ont bénéficié d’un forfait sur les patients suivis en affection de longue durée (ALD) tandis que les spécialistes reçoivent « des rémunérations complémentaires non négligeables ».  Alors que 95% des médecins traitants sont des généralistes, l’effort financier annuel de l’assurance maladie se répartit à 54,5% pour les spécialistes (324 millions d’euros) et à 45,5% pour les généralistes (271 millions d’euros).  En outre, la réforme a permis d’introduire de nouveaux modes de rémunération (objectifs, performance, etc.) mais « ces évolutions, certes structurantes, entraînent des surcoûts certains qui se superposent ».  Quant à l’assuré, s’il ne choisit pas de médecin traitant, ou consulte un praticien sans une prescription de la part de son médecin traitant, il est moins bien remboursé.   »Cette pénalité s’est révélée dissuasive en laissant à la charge de l’assuré un surcroît de dépenses significatif » (206 millions d’économies en 2011 pour l’assurance maladie).  Le système a dès lors « contribué à la hausse non négligeable du reste à charge des assurés », passé de 8,8% à 9,6% du coût des soins entre 2004 et 2011.  La Cour dénonce surtout « un parcours tarifaire d’une considérable complexité » pour le patient.  Au final, cette réforme est « toujours inaboutie » et les expérimentations visant à une prise en charge coordonnée des patients ne font « que peu appel au médecin traitant ».  La Cour demande aux pouvoirs publics de remettre le patient « au cœur du dispositif » et alors que le gouvernement plaide pour le développement du parcours de soins, elle recommande de « réaffirmer clairement le médecin traitant comme le coordonnateur des soins ».

Parisot critique la loi sur l’Accord-emploi

Parisot critique la loi sur l’Accord-emploi

 

Mme Parisot a fait part jeudi soir de ses réserves sur le texte tel qu’il est rédigé, et qui doit être transmis au Conseil d’Etat lundi, selon lefigaro.fr, citant son entourage. D’après lesechos.fr, la patronne des patrons conteste cinq points en particulier.  Elle s’oppose notamment à la réintroduction par le ministère du Travail de « la clause de désignation » dans l’article visant à généraliser les complémentaire santé. Cette rédaction contraindrait les entreprises à retenir le prestataire recommandé par la branche.  Autre point: la mise en place de droits rechargeables pour les chômeurs, qui serait rendue « obligatoire », alors qu’elle est conditionnée dans l’accord à la réalisation d’études d’impact préalables.  Mme Parisot est aussi réservée sur l’homologation administrative des plans de sauvegarde de l’emploi qui n’auraient pas été validés préalablement par les syndicats. Pour le ministère, il ne s’agit que d’une « difficulté pratique de mise en oeuvre », indique lefigaro.fr.  Enfin, la présidente du Medef s’oppose aux mesures concernant la cession des sites rentables et la représentation des élus dans les conseils d’administration des grandes entreprises.

 

Croissance molle: Moscovici critique l’Allemagne

Croissance molle: Moscovici critique l’Allemagne

Moscovici, en termes diplomatiques, critique l’Allemagne et son manque d’engagement pour relancer la croissance en Europe. En même temps, il critique de fait la politique européenne qui refuse de s’engager dans la guerre des monnaies. Du coup au moins à court et moyen terme l’Europe risque de cumuler récession et euro fort ; il est clair cependant que l’Allemagne ne bougera pas tant qu’elle ne sera pas significativement affectée surtout dans la perspective des prochaines échéances électorales. Le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, a appelé samedi l’Allemagne à adopter une politique de croissance, estimant qu’elle n’avait « rien à gagner » d’une récession dans la zone euro. « L’Allemagne, avec ses excédents, (…) n’a rien à gagner de la récession en zone euro et (…) peut utiliser ses marges de manœuvre pour soutenir la demande intérieure », a déclaré M. Moscovici dans un discours prononcé à Montbéliard (Doubs) et transmis à l’AFP.  Faisant de la relance « le grand sujet » du premier semestre 2013, le ministre français a souligné qu’il fallait « nourrir le désir d’Europe chez les citoyens avec des résultats économiques ».  Selon lui, il faudra donc que la France et l’Allemagne discutent avec un « juste équilibre à trouver entre la poursuite des efforts structurels à moyen terme et le soutien de la croissance à court terme ».   »Je ne veux pas d’une croissance molle pour la zone euro à la sortie de la crise, alors que les Etats-Unis ou le Japon rebondissent plus vigoureusement. Et c’est cela, je crois, qui doit mobiliser tous les efforts, toutes les énergies de la relation franco-allemande », a-t-il ajouté.  Ce discours a été prononcé à l’occasion du 50e anniversaire du Traité de l’Elysée entre la France et l’Allemagne. L’homologue allemand de M. Moscovici, Wolfgang Schaüble, devait initialement y assister mais il avait annulé sa venue en raison d’une grippe ( diplomatique ?).

 

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Schröder : critique sévère contre la France

Schröder : critique sévère contre  la France

Nouvelle attaque du social démocrate Schroeder contre la France. Lancien chancelier qui a engagé les réformes de structures en Allemagne constate que la France continue dans la voie d’une politiqua qui ignore les réalités économiques. Qui pourrait lui donner tort ? L’ex-chancelier allemand Gerhard Schröder a renouvelé ses critiques à l’encontre du gouvernement français, qui n’entreprend pas selon lui les réformes économiques nécessaires, dans un entretien paru aujourd’hui. Ce pays a visiblement « des problèmes structurels de compétitivité », a déclaré le social-démocrate, chancelier allemand de 1998 à 2005, dans une interview rapportée partiellement au style indirect par le quotidien régional allemand Neue Osnabrücker Zeitung. « A mon avis, la France va finir par se convaincre qu’on ne peut pas toujours faire de la politique en faisant fi des nécessités économiques », a ajouté M. Schröder, père de « l’Agenda 2010″ -ensemble de mesures destinées à flexibiliser le marché du travail allemand- mises en oeuvre entre 2003 et 2005. A l’automne dernier, M. Schröder avait déjà critiqué la France, ce qui lui avait valu une réplique cinglante du premier ministre français Jean-Marc Ayrault quelques jours plus tard. »Gerhard Schröder je le connais, (…) il a été courageux lorsqu’il a redressé son industrie, mais en même temps il a porté atteinte à ce qui faisait partie du modèle social allemand et qui n’est pas toujours populaire (…). Vous savez que la pauvreté a énormément augmenté en Allemagne », avait dit le socialiste français sur la chaîne française TF1. Et il avait ajouté: « Je constate que Gerhard Schröder a été chancelier d’Allemagne pendant deux mandats: pendant son premier mandat, il a attendu. Il a commencé au bout de quatre ans à engager un certain nombre de réformes (…). Moi, c’est au bout de six mois que j’annonce le pacte national pour la compétitivité, la croissance et l’emploi ».

 

Le FMI critique la Hongrie ….et l’Europe.

Le FMI critique la Hongrie ….et l’Europe.

 

Pour le FMI l’austérité, oui mais en cohérence avec des mesures structurelle et la relance de la croissance. Une critique adressée à la Hongrie mais aussi en fait à l’ensemble de l’Europe. Le FMI est en effet de plus en plus inquiet sur les effets néfastes de la rigueur sur la croissance en zone euro ; le FMI craint une contamination à l’échelle mondiale. Le Fonds monétaire international (FMI) a critiqué samedi le plan de rigueur annoncé la semaine dernière par la Hongrie et a précisé qu’aucune date n’était fixée pour reprendre les négociations entamées en juillet, en vue d’un nouveau prêt. « Aucune date n’est encore fixée pour le retour de la mission de négociation à Budapest », a déclaré à Reuters Iryna Ivaschenko, représentante du FMI en Hongrie.Le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban, à la tête du pays le plus endetté d’Europe de l’Est, affirme depuis le début du mois que Budapest est proche d’un accord avec ses créanciers internationaux pour une ligne de crédit qui pourrait atteindre 12 à 15 milliards d’euros.La représentante du FMI a confirmé le désaccord de l’institution avec un plan de rigueur, annoncé il y a dix jours par Budapest, qui comprend des augmentations d’impôts de 367 milliards de forints (1,3 milliard d’euros) pour 2013. « L’ajustement budgétaire doit se concentrer sur une consolidation plus équilibrée (…) Il doit aider à réduire le déficit budgétaire de façon soutenable et, de concert avec des réformes structurelles, engendrer une hausse de la croissance », a expliqué Iryna Ivaschenko. « Plusieurs mesures annoncées la semaine dernière ne correspondent pas à ces objectifs », a-t-elle affirmé. Le FMI et l’Union européenne (UE) ont déjà versé un renflouement de 20 milliards d’euros à la Hongrie en 2008. Le gouvernement hongrois a, par ailleurs, annoncé samedi qu’il prendrait en charge les dettes de 1.956 municipalités, d’une valeur totale de 612,1 milliards de forints (2,17 milliards d’euros).

 

 

L’Europe très critiquée par le G 20 pour son immobilisme

L’Europe très critiquée par le G 20 pour son immobilisme

Selon le projet de communiqué final lu à Reuters par une source du G20, les pays de la zone euro sont invités à s’engager à « prendre toutes les mesures politiques nécessaires pour préserver l’intégrité et la stabilité de la zone euro, y compris en matière de fonctionnement des marchés financiers et en brisant la boucle qui lie les Etats souverains et les banques ». Selon plusieurs sources, le projet d’union bancaire figure dans le communiqué. « La déclaration finale mentionne les travaux qui sont faits vers l’union bancaire », a déclaré une source française. Les dirigeants européens, qui doivent rencontrer à sa demande lundi soir le président américain Barack Obama, ont nié être responsables de la baisse de croissance dans le monde et repoussé toute idée de remède miracle pour la zone euro. « Franchement, nous ne sommes pas venus ici pour recevoir des leçons en termes de démocratie ou sur la façon de conduire nos économies », a déclaré à la presse José Manuel Barroso. Pour le président de la Commission européenne, « si nos partenaires veulent aider la croissance au niveau global, ce serait important qu’ils montrent leur appui et même leur admiration pour les efforts de la zone euro, pour les pas que nous avons faits et pour ceux que nous allons faire très vite ».  

 

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