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Raffarin critique Sarkozy

Raffarin critique Sarkozy

Jean-Pierre Raffarin se livre dans l’Etat de l’opinion, une revue éditée par TNS Sofres en collaboration avec Le Seuil, à une véritable charge sur l’ancien président et la façon dont il a mené sa campagne de 2012. L’ancien Premier ministre identifie cinq raisons pour analyser l’échec, et ajoute, selon un blog du Monde, que « si une seule de ces cinq occasions avait été saisie, la victoire eut été possible ». Jean-Pierre Raffarin reproche notamment à Nicolas Sarkozy sa stratégie de droitisation et sa pratique trop personnelle du pouvoir, qui l’a coupée des réalités. Le sénateur de la Vienne estime aussi que l’ancien chef de l’Etat aurait dû changer de Premier ministre à l’automne 2010 et qu’il a fait cadeau du Sénat à la gauche.

 

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Santé: la Cour des comptes critique la restructuration des hôpitaux

Santé: la Cour des comptes critique la restructuration des hôpitaux

 

Cette fois, la Cour a analysé trois cas: la rénovation du centre hospitalier de Perpignan, le regroupement de l’offre hospitalière de la vallée de la Tarentaise et l’implantation d’un plateau technique unique dans le nord-Deux-Sèvres.  Elle a noté la « longue gestation » (entre 10 et 20 ans) de ces projets et les « atermoiements », « compte tenu des intérêts politiques sous-jacents ».   »Les hésitations et les retards pris dans la conduite des projets ont conduit à des surcoûts et à des difficultés de financement qui risquent de peser longtemps sur l’équilibre budgétaire des établissements sans que l’offre de soins ait été améliorée », estiment les sages de la rue Cambon.  La Cour fait un bilan très sévère de ces trois projets.  Reconstruit sur son ancien site, sans possibilité d’extension (sauf à racheter de nouveaux terrains), le centre hospitalier de Perpignan manque d’un étage dédié aux circuits logistiques.  Cette lacune est un « véritable contresens au regard des normes modernes d’hospitalisation et de lutte contre les infections nosocomiales », selon le rapport.  Dans la Tarentaise, la fusion des hôpitaux d’Albertville et de Moutiers a fait l’objet de plusieurs plans de financements, le dernier étant suspendu depuis octobre 2012 dans l’attente de nouvelles études sur l’offre de soins sur le territoire concerné.  Le centre hospitalier Nord-Deux-Sèvres, redimensionné par l’Agence régionale de santé (ARS), et soutenu par le Conseil régional de Poitou-Charentes, attend lui approbation ministérielle.  La Cour « estime qu’il est encore temps de reconsidérer ces deux derniers projets, toujours en gestation, pour en dégager tous les gains d’efficience possibles » et replacer leur activité « dans le cadre d’une approche cohérente et globale de l’offre de soins locale ».  Plus généralement, l’institution prône une « démarche rigoureuse et cohérente » pour les restructurations hospitalières, et l’adoption d’une « stratégie nationale ».  Dans sa réponse, le ministère du Budget a approuvé cette recommandation, mais celui de la Santé a nuancé, soulignant que les besoins sont trop divers selon les territoires pour qu’il soit « envisageable de fixer un objectif national de recomposition de l’offre de soins ».

 

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Santé : la cour des comptes citrique le système du médecin traitant

Santé : la cour des comptes citrique le système du médecin traitant

 

La cour des comptes dénonce le système du médecin traitant qui a surtout bénéficié aux spécialistes Depuis la loi du 13 août 2004, tout assuré social de plus de 16 ans peut désigner un médecin traitant, généraliste ou spécialiste, à consulter avant de recourir à un autre médecin.  La part des consultations effectuées dans le cadre de ce « parcours de soins coordonnés » est passée de 87,2% en 2008 à 91% en 2011, note la Cour des comptes.  Différents mécanismes tarifaires ont été mis en place à la suite de cette réforme mais ces derniers sont « contraignants et complexes », juge-t-elle.  Pour les médecins, le système a « produit de curieux paradoxes »: les spécialistes en ont « davantage bénéficié financièrement que les généralistes, alors que ces derniers étaient censés être la clé de voûte de la nouvelle organisation ».  Les généralistes ont bénéficié d’un forfait sur les patients suivis en affection de longue durée (ALD) tandis que les spécialistes reçoivent « des rémunérations complémentaires non négligeables ».  Alors que 95% des médecins traitants sont des généralistes, l’effort financier annuel de l’assurance maladie se répartit à 54,5% pour les spécialistes (324 millions d’euros) et à 45,5% pour les généralistes (271 millions d’euros).  En outre, la réforme a permis d’introduire de nouveaux modes de rémunération (objectifs, performance, etc.) mais « ces évolutions, certes structurantes, entraînent des surcoûts certains qui se superposent ».  Quant à l’assuré, s’il ne choisit pas de médecin traitant, ou consulte un praticien sans une prescription de la part de son médecin traitant, il est moins bien remboursé.   »Cette pénalité s’est révélée dissuasive en laissant à la charge de l’assuré un surcroît de dépenses significatif » (206 millions d’économies en 2011 pour l’assurance maladie).  Le système a dès lors « contribué à la hausse non négligeable du reste à charge des assurés », passé de 8,8% à 9,6% du coût des soins entre 2004 et 2011.  La Cour dénonce surtout « un parcours tarifaire d’une considérable complexité » pour le patient.  Au final, cette réforme est « toujours inaboutie » et les expérimentations visant à une prise en charge coordonnée des patients ne font « que peu appel au médecin traitant ».  La Cour demande aux pouvoirs publics de remettre le patient « au cœur du dispositif » et alors que le gouvernement plaide pour le développement du parcours de soins, elle recommande de « réaffirmer clairement le médecin traitant comme le coordonnateur des soins ».

Parisot critique la loi sur l’Accord-emploi

Parisot critique la loi sur l’Accord-emploi

 

Mme Parisot a fait part jeudi soir de ses réserves sur le texte tel qu’il est rédigé, et qui doit être transmis au Conseil d’Etat lundi, selon lefigaro.fr, citant son entourage. D’après lesechos.fr, la patronne des patrons conteste cinq points en particulier.  Elle s’oppose notamment à la réintroduction par le ministère du Travail de « la clause de désignation » dans l’article visant à généraliser les complémentaire santé. Cette rédaction contraindrait les entreprises à retenir le prestataire recommandé par la branche.  Autre point: la mise en place de droits rechargeables pour les chômeurs, qui serait rendue « obligatoire », alors qu’elle est conditionnée dans l’accord à la réalisation d’études d’impact préalables.  Mme Parisot est aussi réservée sur l’homologation administrative des plans de sauvegarde de l’emploi qui n’auraient pas été validés préalablement par les syndicats. Pour le ministère, il ne s’agit que d’une « difficulté pratique de mise en oeuvre », indique lefigaro.fr.  Enfin, la présidente du Medef s’oppose aux mesures concernant la cession des sites rentables et la représentation des élus dans les conseils d’administration des grandes entreprises.

 

Croissance molle: Moscovici critique l’Allemagne

Croissance molle: Moscovici critique l’Allemagne

Moscovici, en termes diplomatiques, critique l’Allemagne et son manque d’engagement pour relancer la croissance en Europe. En même temps, il critique de fait la politique européenne qui refuse de s’engager dans la guerre des monnaies. Du coup au moins à court et moyen terme l’Europe risque de cumuler récession et euro fort ; il est clair cependant que l’Allemagne ne bougera pas tant qu’elle ne sera pas significativement affectée surtout dans la perspective des prochaines échéances électorales. Le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, a appelé samedi l’Allemagne à adopter une politique de croissance, estimant qu’elle n’avait « rien à gagner » d’une récession dans la zone euro. « L’Allemagne, avec ses excédents, (…) n’a rien à gagner de la récession en zone euro et (…) peut utiliser ses marges de manœuvre pour soutenir la demande intérieure », a déclaré M. Moscovici dans un discours prononcé à Montbéliard (Doubs) et transmis à l’AFP.  Faisant de la relance « le grand sujet » du premier semestre 2013, le ministre français a souligné qu’il fallait « nourrir le désir d’Europe chez les citoyens avec des résultats économiques ».  Selon lui, il faudra donc que la France et l’Allemagne discutent avec un « juste équilibre à trouver entre la poursuite des efforts structurels à moyen terme et le soutien de la croissance à court terme ».   »Je ne veux pas d’une croissance molle pour la zone euro à la sortie de la crise, alors que les Etats-Unis ou le Japon rebondissent plus vigoureusement. Et c’est cela, je crois, qui doit mobiliser tous les efforts, toutes les énergies de la relation franco-allemande », a-t-il ajouté.  Ce discours a été prononcé à l’occasion du 50e anniversaire du Traité de l’Elysée entre la France et l’Allemagne. L’homologue allemand de M. Moscovici, Wolfgang Schaüble, devait initialement y assister mais il avait annulé sa venue en raison d’une grippe ( diplomatique ?).

 

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Schröder : critique sévère contre la France

Schröder : critique sévère contre  la France

Nouvelle attaque du social démocrate Schroeder contre la France. Lancien chancelier qui a engagé les réformes de structures en Allemagne constate que la France continue dans la voie d’une politiqua qui ignore les réalités économiques. Qui pourrait lui donner tort ? L’ex-chancelier allemand Gerhard Schröder a renouvelé ses critiques à l’encontre du gouvernement français, qui n’entreprend pas selon lui les réformes économiques nécessaires, dans un entretien paru aujourd’hui. Ce pays a visiblement « des problèmes structurels de compétitivité », a déclaré le social-démocrate, chancelier allemand de 1998 à 2005, dans une interview rapportée partiellement au style indirect par le quotidien régional allemand Neue Osnabrücker Zeitung. « A mon avis, la France va finir par se convaincre qu’on ne peut pas toujours faire de la politique en faisant fi des nécessités économiques », a ajouté M. Schröder, père de « l’Agenda 2010″ -ensemble de mesures destinées à flexibiliser le marché du travail allemand- mises en oeuvre entre 2003 et 2005. A l’automne dernier, M. Schröder avait déjà critiqué la France, ce qui lui avait valu une réplique cinglante du premier ministre français Jean-Marc Ayrault quelques jours plus tard. »Gerhard Schröder je le connais, (…) il a été courageux lorsqu’il a redressé son industrie, mais en même temps il a porté atteinte à ce qui faisait partie du modèle social allemand et qui n’est pas toujours populaire (…). Vous savez que la pauvreté a énormément augmenté en Allemagne », avait dit le socialiste français sur la chaîne française TF1. Et il avait ajouté: « Je constate que Gerhard Schröder a été chancelier d’Allemagne pendant deux mandats: pendant son premier mandat, il a attendu. Il a commencé au bout de quatre ans à engager un certain nombre de réformes (…). Moi, c’est au bout de six mois que j’annonce le pacte national pour la compétitivité, la croissance et l’emploi ».

 

Le FMI critique la Hongrie ….et l’Europe.

Le FMI critique la Hongrie ….et l’Europe.

 

Pour le FMI l’austérité, oui mais en cohérence avec des mesures structurelle et la relance de la croissance. Une critique adressée à la Hongrie mais aussi en fait à l’ensemble de l’Europe. Le FMI est en effet de plus en plus inquiet sur les effets néfastes de la rigueur sur la croissance en zone euro ; le FMI craint une contamination à l’échelle mondiale. Le Fonds monétaire international (FMI) a critiqué samedi le plan de rigueur annoncé la semaine dernière par la Hongrie et a précisé qu’aucune date n’était fixée pour reprendre les négociations entamées en juillet, en vue d’un nouveau prêt. « Aucune date n’est encore fixée pour le retour de la mission de négociation à Budapest », a déclaré à Reuters Iryna Ivaschenko, représentante du FMI en Hongrie.Le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban, à la tête du pays le plus endetté d’Europe de l’Est, affirme depuis le début du mois que Budapest est proche d’un accord avec ses créanciers internationaux pour une ligne de crédit qui pourrait atteindre 12 à 15 milliards d’euros.La représentante du FMI a confirmé le désaccord de l’institution avec un plan de rigueur, annoncé il y a dix jours par Budapest, qui comprend des augmentations d’impôts de 367 milliards de forints (1,3 milliard d’euros) pour 2013. « L’ajustement budgétaire doit se concentrer sur une consolidation plus équilibrée (…) Il doit aider à réduire le déficit budgétaire de façon soutenable et, de concert avec des réformes structurelles, engendrer une hausse de la croissance », a expliqué Iryna Ivaschenko. « Plusieurs mesures annoncées la semaine dernière ne correspondent pas à ces objectifs », a-t-elle affirmé. Le FMI et l’Union européenne (UE) ont déjà versé un renflouement de 20 milliards d’euros à la Hongrie en 2008. Le gouvernement hongrois a, par ailleurs, annoncé samedi qu’il prendrait en charge les dettes de 1.956 municipalités, d’une valeur totale de 612,1 milliards de forints (2,17 milliards d’euros).

 

 

L’Europe très critiquée par le G 20 pour son immobilisme

L’Europe très critiquée par le G 20 pour son immobilisme

Selon le projet de communiqué final lu à Reuters par une source du G20, les pays de la zone euro sont invités à s’engager à « prendre toutes les mesures politiques nécessaires pour préserver l’intégrité et la stabilité de la zone euro, y compris en matière de fonctionnement des marchés financiers et en brisant la boucle qui lie les Etats souverains et les banques ». Selon plusieurs sources, le projet d’union bancaire figure dans le communiqué. « La déclaration finale mentionne les travaux qui sont faits vers l’union bancaire », a déclaré une source française. Les dirigeants européens, qui doivent rencontrer à sa demande lundi soir le président américain Barack Obama, ont nié être responsables de la baisse de croissance dans le monde et repoussé toute idée de remède miracle pour la zone euro. « Franchement, nous ne sommes pas venus ici pour recevoir des leçons en termes de démocratie ou sur la façon de conduire nos économies », a déclaré à la presse José Manuel Barroso. Pour le président de la Commission européenne, « si nos partenaires veulent aider la croissance au niveau global, ce serait important qu’ils montrent leur appui et même leur admiration pour les efforts de la zone euro, pour les pas que nous avons faits et pour ceux que nous allons faire très vite ».  

 

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