Archive pour le Tag 'crise'

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EDF : résultats affectés par la crise

EDF : résultats affectés par la crise

 

 EDF a prévenu mardi que son résultat brut L’électricien, détenu à 84,4% par l’Etat, avait indiqué à l’été 2011 qu’il visait pour cette période une croissance annuelle moyenne de son Ebitda comprise entre 4% et 6%, à périmètre et change constants, et de 5% à 10% pour son résultat net courant. « Compte tenu de la dégradation de la conjoncture, le groupe EDF travaille actuellement sur une hypothèse de stabilité de l’Ebitda en 2013 suivie d’un retour à la croissance à partir de 2014 avec un objectif de dividende au moins stable », a-t-il précisé dans un communiqué. EDF a cependant indiqué que ses objectifs 2011-2015 restaient valables pour 2012 et que son dividende au titre de l’année en cours serait au moins stable par rapport à celui versé au titre de 2011. Selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S, les analystes attendaient jusqu’ici en moyenne un Ebitda de 16 milliards d’euros en 2012 et de 16,6 milliards en 2013 contre 14,8 milliards en 2011. EDF a également annoncé des ventes de 52 milliards d’euros au titre des neuf premiers mois de 2012, en hausse de 10,2% (+6,6% en organique). La croissance organique atteint 23,7% en Italie, 4,5% en France et 4,1% au Royaume-Uni.  La société a cependant dû revoir à la baisse pour la deuxième fois son objectif de production nucléaire en France pour 2012 à environ 410 térawatts/heure, contre 415 TWh visés précédemment. La baisse de la production nucléaire, de 19,6 TWh à fin septembre, est essentiellement due à des prolongations d’arrêts programmés plus importantes qu’en 2011, du fait d’aléas techniques et de contrôles et travaux complémentaires réalisés lors de ces arrêts, a-t-il expliqué.  

 

Merkel : « la crise va durer 5 ans, il faut tenir »

Merkel : « la crise va durer 5 ans, il faut tenir »

 

Encore cinq ans de crise pour Merkel lucide sur la situation de l’Europe. Autant dire que toutes les prévisions économiques et financières des pays en difficultés y compris la France vont voler en éclat. D’après elle, personne hors Europe ne croit dans la capacité de l’Europe à tenir ses promesses de rééquilibrage budgétaire. En Europe non plus, le retour aux 3% de Maastricht pour le déficit budgétaire et encore davantage la règle d’or ne sont là que pour affichage afin de tenter de rassurer les marchés financiers. En outre on oublie l’essentiel, à savoir la récession qui s’installe durablement entrainant une baisse des rentrées fiscales, de nouveaux déséquilibres financiers et surtout le chômage. La chancelière allemande Angela Merkel a estimé samedi qu’il fallait tenir « pendant cinq ans ou plus » pour surmonter la crise de l’euro, lors d’une réunion de son parti à Sternberg (est). « Nous devons retenir notre souffle pendant cinq ans ou plus », a déclaré la chancelière lors du congrès régional de son parti, l’Union démocrate-chrétienne (CDU), dans le Land (Etat-région) du Mecklembourg-Poméranie antérieure, selon l’agence allemande DPA. « Beaucoup d’investisseurs ne croient pas que nous puissions tenir nos promesses en Europe », a-t-elle souligné, avant d’ajouter: « Nous devons faire preuve de rigueur pour convaincre le monde qu’il est rentable d’investir en Europe ». Avant un sommet européen de nouveau crucial les 24 et 25 novembre, Angela Merkel va enchaîner les rencontres avec les dirigeants européens. Mercredi prochain, elle doit prononcer un discours-programme devant le Parlement européen, avant de rencontrer le Premier ministre britannique David Cameron dans la soirée. Le 12 novembre, elle se rend au Portugal puis doit recevoir le 15 le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault.

 

Crise: le gotha économique mondial est paumé

Crise: le gotha économique mondial est paumé

Résumons la réunion du gotha de l’économie, du bla-bla de café du commerce. «  La croissance sur une pente fragile et tiède….il faut des actions fermes à un rythme approprié », bref le genre de propos du G20, bien vain. La réalité ils sont complètement perdus ; ils ne comprennent pas le caractère systémique de la crise et refuse la régulation économique et financière. Conséquence, la régulation aura lieu mais par les marchés seuls. La chancelière allemande Angela Merkel et les grandes organisations économiques mondiales ont donc appelé mardi à Berlin à poursuivre les réformes pour sortir d’une situation économique toujours morose. « Les risques pesant sur l’économie mondiale sont évidents (…) et les perspectives de croissance ne sont pas aussi bonnes que nous le souhaiterions », a constaté Angela Merkel, à l’issue d’une réunion avec le secrétaire général de l’OCDE Angel Gurria, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde, le nouveau président de la Banque mondiale Jim Young Kim, le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy, ainsi que le nouveau patron de l’Organisation internationale du Travail (OIT) Guy Ryder.  Interrogée lors d’une conférence de presse, la chancelière allemande a affirmé ne pas avoir parlé avec Christine Lagarde de la situation de la Grèce, alors que le Premier ministre Antonis Samaras a affirmé mardi être parvenu à un accord avec ses créanciers de la troïka (BCE, UE, FMI).   »Nous avons parlé dans l’ensemble des questions de la croissance et la réduction de la dette », a répondu Angela Merkel.  La directrice du FMI a décrit l’économie mondiale comme étant dans « une situation de reprise laborieuse » et actuellement au stade d’une « certaine stabilisation et d’une croissance tiède ».  De son côté, Angel Gurria a estimé que l’économie mondiale commençait à manquer de marges de manoeuvre en termes de politiques monétaire et fiscale, avec notamment des taux d’intérêt proches de zéro aux Etats-Unis et en Europe.  Dans un communiqué commun, les six dirigeants mondiaux ont estimé que « le redressement de l’économie mondiale était sur une pente fragile, avec des perspectives encore incertaines ».   »Pour restaurer la confiance et améliorer les perspectives de croissance et d’emploi, des actions fermes doivent être prises pour assurer une consolidation fiscale à un rythme approprié en combinaison avec des réformes structurelles », toujours selon le communiqué.  Pour ce faire, la directrice générale du FMI a jugé nécessaire « un partenariat » entre les autorités monétaires et les gouvernements.

 

 

Sondage-BVA : Crise , la douche, les français ne se lavent plus

Sondage-BVA : Crise , la douche, les français ne se lavent plus

 

C’est vraiment la crise, les français se lavent moins. 20% des Français ne se douchent pas tous les jours selon un sondage BVA. On économise désormais sur tout. D’autant que la fiscalité touche presque tous les liquides, la bière, les boissons sucrés, les boissons caféinés et sans donc bientôt l’eau du robinet. Prévoyant les français économisent l’eau.  Selon ce sondage publié lundi à l’occasion de la journée mondiale du lavage des mains, plus d’un Français sur 5 ne se lave pas non plus systématiquement les mains avant de manger. Cette tendance est plus forte chez les jeunes de 18 à 34 ans, qui sont 43% à ne pas se rincer les doigts avant de passer à table. Le bain est en perte de vitesse avec seulement 18% de Français qui en prennent un une fois pas semaine et 61% qui affirment ne pas prendre de bain fréquemment. Pour ce qui est de la douche, 11,5% des Français prennent plusieurs douches par jour et 67,7% au moins une fois par jour, mais 20% ne se douchent qu’une fois tous les deux jours ou moins, et 3,5% une fois par semaine.

 

 

Crise : même les produits de luxe touchés comme LVMH

Crise :  même les produits de luxe touchés comme LVMH

 

LVMH a vu sa croissance organique nettement marquer le pas au troisième trimestre, plombée par un fort ralentissement dans la mode-maroquinerie (Louis Vuitton, Fendi, Céline) et dans les montres et la joaillerie (Bulgari, Tag Heuer, Chaumet). Dans un marché du luxe dont le ralentissement était largement anticipé, avec le tassement de l’économie chinoise et la crise de la dette en Europe, certains analystes estiment que Louis Vuitton, la marque phare du groupe, pourrait souffrir plus que d’autres. Les ventes du numéro un mondial du luxe, également propriétaire du champagne Moët & Chandon, du cognac Hennessy ou des parfums Christian Dior, ont progressé de 15% à 6,90 milliards d’euros en données publiées (dopées par des effets de change favorables), un chiffre en ligne avec le consensus de 6,875 milliards des analystes interrogés par Reuters. Mais à taux de change constant, sa croissance est ressortie à 6%, au lieu des 7% attendus par les analystes, accusant une nette décélération par rapport aux 12% du deuxième trimestre et aux 14% du premier. Particulièrement surveillé, le pôle mode-maroquinerie, dans lequel Louis Vuitton pèse pour 75% des ventes, accuse un très fort ralentissement. Selon les calculs des analystes, sa croissance à taux constants a reculé à 4% au troisième trimestre (ils anticipaient +5%), après 8% au deuxième trimestre et 12% au premier. Celle de Louis Vuitton devrait même avoir été inférieure à 4%, selon HSBC, pour qui la marque, trop visible en Chine, voit ses parts de marché s’éroder à mesure que la clientèle chinoise se sophistique et préfère des griffes plus pointues. Le maroquinier, qui pèse pour plus de la moitié du résultat opérationnel du groupe, avait déjà déçu avec une croissance organique inférieure à celle de ses pairs au deuxième trimestre et une baisse de sa marge semestrielle.  

 

 

La zone euro : rachat de titres en attendant mieux ? Ou de l’a spirine pour soigner une crise historique

La zone euro : rachat de titres en attendant mieux ? Ou de l’a spirine pour soigner une crise historique

Faute d’accord sur à peu près tout, sauf à la St Glin-glin, on pourrait se limiter à des actions à court terme en rachetant des titres ; Et encore ce n’est pas certain car Merkel s’y oppose. Bref pour soigner la crise financière et économique, l’Europe s’apprête à utiliser de l’aspirine. Le chef du gouvernement italien Mario Monti a indiqué au cours du G20 que la zone euro « réfléchissait » à puiser dans les fonds de secours européens pour racheter des titres de dette de pays fragiles, ont rapporté les médias italiens.  Objectif : lutter contre la flambée des taux d’emprunt qui touche de plein fouet l’Espagne et l’Italie sur le marché de la dette.  L’idée est de « renforcer la stabilité de la zone euro à travers des mécanismes qui permettent de donner une prime aux pays vertueux en faisant en sorte que ceux qui sont en règle sur le plan des finances (publiques) comme l’Italie » puissent bénéficier « de niveaux de +spread+ (écart entre les taux d’un pays et ceux de l’Allemagne) moins anormaux », a souligné M. Monti.   »Il n’y a pas de projet concret dont j’ai connaissance, mais il y a la possibilité d’acheter les obligations d’Etat sur le marché secondaire » où s’échangent les titres de dette déjà en circulation, a réagi la chancelière allemande Angela Merkel.  Plus tôt, la Commission européenne s’était montrée sceptique, estimant que cette hypothèse aurait au mieux l’effet d’un « paracétamol financier », qui soulage, mais ne guérit pas. Aucune demande officielle n’a en outre été formulée, a indiqué Amadeu Altafaj, un porte-parole de la Commission.   »Nous sommes seulement en train de réfléchir aux instruments qui pourraient se révéler utiles pour apaiser la tension sur les marchés », a-t-il toutefois précisé.  Si le FESF était activé pour acheter des obligations, ce serait la première fois qu’il interviendrait de la sorte. Il se substituerait alors à la Banque centrale européenne qui peut le faire, mais s’en abstient depuis mi-mars, répétant que c’est aux Etats de s’aider eux-mêmes.  Cette question devrait dans tous les cas être abordée à un mini-sommet réunissant vendredi à Rome les dirigeants allemand, français, italien et espagnol.  Alors que la Grèce s’apprête à annoncer la liste des membres d’un gouvernement dirigé par le conservateur Antonis Samaras, les Européens se préparent à un marathon de réunions qui doit culminer avec le sommet des 28 et 29 juin à Bruxelles. Jeudi, les ministres des Finances de la zone euro se retrouveront à Luxembourg.  Ils vont à cette occasion peaufiner les détails du plan d’aide au secteur bancaire espagnol, et Madrid devrait en profiter pour demander officiellement l’aide de ses partenaires, selon plusieurs diplomates européens.

 

L’Europe paralysée par la crainte de la contamination grecque et espagnole va dans le mur

L’Europe paralysée par la crainte de la contamination grecque et espagnole

 

Alors que la situation grecque est complètement imprévisible tant sur le plan financier que politique, l’Europe ne bouge pas ; finalement rien n’est réglé puisqu’on envisage aussi bien le maintien dans la zone euro que son départ. On doit maintenant se préoccuper d’un problème d’une autre importance, celui de l’Espagne. L’Espagne qui en dépit de toutes ses promesses ne teindra pas ses objectifs d’assainissement des comptes publics (comme l’Italie, comme d’autres) et qui en plus doit maintenant faire face à une énorme recapitalisation des banques ; On en connait même pas les chiffres exacts de cette recapitalisation, 50 milliards, Plus ? Pas plus qu’on ne connait les conséquences sur les autres banques européennes. Il fut un temps où l’Europe ne cessait de réunir ses instances pour tenter de trouver des solutions à la crise à grand renfort de com. C’était le temps de «  Merkosy » ; désormais c’est la paralysie ; la commission ne pèse plus rien, ; la BCE se tait, l’autorité bancaire européenne fait semblant d’ignorer les besoins des nouvelles recapitalisations et le pacte de croissance n’est pas pour demain même si Hollande a fait avancer l’idée ; En clair la zone euro n’a jamais été autant menacée ; cela d’autant pus que la l’activité économique sera au mieux légèrement dans le rouge remettant ainsi à plus tard tous les engagements sur la maîtrise budgétaire des Etats. L’Europe est surtout paralysée par l’Allemagne qui espère s’en sortir. Il faudra donc attendre les mauvais indicateurs de l’Allemagne, ce qui ne saurait tarder si on tient compte de l’évolution du climat des affaires pour qu’enfin on prenne la mesure du danger à savoir l’indigence des mesures de pare-feu européen. La crise pourrait bien s’accentuer au cours de l’été car à ce moment on ne pourra plus dissimuler que l’Europe va droit dans le mur.

Vacances d’été : moins loin, moins cher pour les européens, en cause la crise

Vacances d’été : moins loin, moins cher pour les européens, en cause la crise

Seuls 58% des populations étudiées (Français, Allemands, Britanniques, Italiens, Espagnols, Belges et Autrichiens) projettent des vacances entre début juin et fin septembre. Cette chute de huit points en un an est inédite dans ce baromètre réalisé depuis 2005 par Ipsos pour Europ Assistance.   »On constate une vraie rupture. Les intentions de départs d’été étaient jusque-là toujours comprises entre 60% et 66%, mais cette année le chiffre est tiré vers le bas par les Italiens, les Espagnols et les Anglais, qui ressentent fortement les effets de la crise », a déclaré à l’AFP le directeur général d’Europ Assistance, Martin Vial.  Le repli est fort « dans les pays où la situation économique et sociale est plus incertaine », Europe du Sud en tête. Le panel n’inclut pas les Grecs.  Environ la moitié des Européens projetant des vacances ont néanmoins prévu des économies sur le budget, redevenu le facteur numéro un dans le choix de la destination.  Les multi-départs se raréfient, et ce, de manière spectaculaire pour les Italiens et les Espagnols. Les séjours seront souvent moins longs, avec une tendance au tourisme dans son propre pays.  Et quatre Européens sur cinq resteront en Europe, la France redevenant la première destination devant l’Italie et l’Espagne, selon l’étude, qui note que « les derniers événements au Maghreb et au Moyen-Orient » dissuadent surtout les Allemands et les Autrichiens d’aller dans ces régions.  Dans le panel étudié, le plus fort recul des intentions de départs concerne les Italiens, pourtant les plus enclins historiquement à boucler leurs valises l’été: seuls 63% prévoient des vacances, 15 points de moins qu’en 2011.   »Il n’y a aucun précédent d’une telle chute dans un pays », relève M. Vial.   »Les gens sont très prudents »  Interrogé par l’AFP, Roberto Corbella, président de l’association des tour-opérateurs italiens Astoi, souligne la lenteur du flux de réservations, en baisse de 10% sur un an à fin mai.  En raison de « l’incertitude générale, de la crise, de l’augmentation des impôts en Italie (…), les gens sont très prudents », et « si la crise ne s’atténue pas, nous enregistrerons une diminution » pouvant atteindre 5 à 10% sur l’ensemble de la saison estivale, prédit-il.  Les intentions de départs des Espagnols (-14 points à 51%) et des Britanniques (-10% à 51%) chutent aussi massivement.  L’an dernier déjà, les Espagnols ont moins voyagé, souligne Alvaro Pacheco, du groupe espagnol voyagiste et hôtelier Barcelo. « Nous observons un grand retard dans les réservations (pour l’été) », dit-il à l’AFP.  Au final, seuls les Français sont plus nombreux que l’an dernier à projeter des vacances d’été (70%, +2 points).   »Les Français sont ceux qui font le plus de tourisme national, plus facile financièrement. Ils préservent aussi davantage leur budget vacances que d’autres Européens », commente M. Vial.  Le budget moyen des vacanciers européens recule de 20 euros à 2.125 euros. Mais il masque de fortes disparités: en hausse de 10% en Allemagne mais amputé d’un quart en Italie… Un tiers des Espagnols et des Italiens comptent dépenser moins qu’en 2011.  Xavier Rousselou, porte-parole de Homelidays, qui met en ligne 80.000 offres de locations de particuliers dont l’essentiel en Europe, note que « la demande des Portugais baisse de 10% ».  A l’inverse, l’offre croît: « les propriétaires portugais, tout comme les grecs, sont de plus en plus nombreux à mettre un bien en location, ils cherchent des rentrées financières », dit-il à l’AFP. Il constate aussi « un recentrage sur le domestique, en France, en Italie, en Espagne, au Portugal ».

 

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