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Valls au bord de la crise de nerfs

Valls au bord de la crise de nerfs

C’est vrai que Valls paraît au bord de la crise de nerfs et il y a des raisons. D’abord il y a chez Valls les dérapages sémantiques ( « apartheid » dans les banlieues, , l « angoisse » pour 2017, la « guerre » pour le terrorisme, la « ghettoïsation » pour les banlieues autant d’expressions  qui ne sont pas totalement fausses mais quand même approximatives voire inappropriées. Au-delà des mots il y a la tonalité : cris, vociférations, colère. Aussi la posture d’un agité qui ne se contrôle plus, qui hurle, qui tremble, qui postillonne ( à l’assemblée). Il a besoin de se calmer le Clemenceau d’opérette. Sa recherche  effrénée de posture d’homme de l’autorité, de défenseur de la république tourne au ridicule. En creux, il tente évidemment de sa tailler uen image totalement opposée à Hollande  le mollasson et ainsi de se positionner pour 2022 voire pour 2017 si Hollande était toujours aussi impopulaire.    Évidemment ses fidèles  le défendent servilement.  Anxieux Manuel Valls? La question fait sourire le député Carlos da Silva, fidèle du Premier ministre. « S’il y a bien une chose qui ne caractérise pas Manuel Valls, c’est l’angoisse et l’anxiété », balaye l’élu de l’Essonne. « Je me permets de rassurer celles et ceux qui pensent qu’il est énervé. Manuel Valls, que je connais depuis 15 ans, est égal de chez égal à lui-même : il est serein, zen, déterminé, capable de faire des blagues… », énumère-t-il. Un ministre abonde : « Il a son caractère, c’est sûr. Mais il n’est pas énervé. » En choisissant d’employer le terme de « peur » pour parler du FN, Manuel Valls a utilisé un registre qu’on ne lui connaissait pas. Mais son vocabulaire est choisi et cette sortie n’est en rien d’impulsive. « Il utilise ce mot pour réveiller les consciences. Quatre jours après, on en parle encore donc c’est parfait », commente Carlos da Silva. Le Premier ministre s’est montré parfois à cran ces derniers temps, notamment lors de son déplacement à Marseille, le 9 février dernier. Il était venu annoncer de bon chiffres en matière de sécurité sauf que le matin-même, des policiers avaient été la cible de tirs à la kalachnikov dans une cité. « Ça l’a agacé et le mot est faible », considère Carlos Da Silva. Qui tempère : « C’est un être humain comme les autres. » Comme les autres ou presque. Le Premier ministre a un rythme effréné. Après avoir enchaîné les courtes nuits au moment des attentats de Paris début janvier, Manuel Valls n’a pas pris de pause. En Chine, fin janvier, il était apparu les traits tirés. Depuis plusieurs jours, il sillonne la France pour la campagne des départementales.

La crise en Ukraine planifiée par Poutine

La crise en Ukraine planifiée par Poutine

D’après un de rares journaux russes d’opposition, la crise en Ukraine aurait été planifiée par Poutine y compris dans ses derniers développement. En clair t il ‘s’agit d’un volonté expansionniste de Poutine. Si ces révélations sont exactes autant dire que les régions de l’est de l’Ukraine, comme le Crimée, sont en voie d’annexion, d’autant que pour préserver la paix en Europe  l’union européenne est sans doute prête à faire toutes les concessions. De ce point de vue l’accord de Minsk n’impose réellement qu’un cessez le feu ( par ailleurs peu respecté).  Reste que cet expansionnisme pourrait ensuite atteindre d’autres régions comme par exemples les pays baltes. Le journal russe Novaya Gazeta publie ce mercredi un document confidentiel du Kremlin daté de février 2014 : le scénario en sept points de la crise ukrainienne. Selon ce document, Moscou a tout planifié depuis le début.   Le document publié date de février 2014. Nous sommes en plein Maïdan, Viktor Ianoukovitch  est encore au pouvoir. Mais plus pour longtemps. Cette feuille de route de Moscou révélée par le quotidien d’opposition Novaya Gazeta prouve l’ingérence russe dans les affaires ukrainiennes. Ianoukovitch peut maintenant être éjecté à tout moment peut-on lire en guise d’introduction. Pour le reste tout y est : fuite du président ukrainien, annexion de la Crimée, référendum, soulèvement du Donbass… Rien ne semble avoir été laissé au hasard avec ce scénario de la désintégration de l’Ukraine en sept points. Ni même la crise économique qui frappe actuellement la Russie. Selon ce document, ce projet russe qualifié « d’intégrationniste » devait « affecter la stabilité économique de la Russie ». Oui mais « l’intégration de la Crimée et de l’est-ukrainien apporteront de nouvelles ressources démographiques, un important potentiel industriel et un renouveau de l’armée russe ». Conclusion du texte : « La Russie va enfin jouer un rôle majeur ».

 

Les dividendes ne connaissent pas la crise

Les dividendes   ne connaissent  pas la crise

 

ça baigne pour les dividendes, on peut même dire que les résultats sont inversement proportionnels aux mauvais résultats de l’économie ; Pourtant partout la croissance ralentit même en Chine ; Le chômage parallèlement mais là c’est un facteur de croissance de la bourse ! 1200 milliards distribués en 2014 et 56 milliards en France. Ce ne sont donc pas le résultats économiques qui dopent les dividendes mais la masse extraordinaireté liquidités qui permet aux  banques non pas de relancer l’économie mais de reprendre de plus  belle leur spéculation sur tous les fronts. L’ennui c’est que la richesse  concentre et que la sphère financière  impose ses diktats à la sphère économique .On recherche donc la rentabilité à court terme en menaçant le lus long terme et notamment les investissements. L’ennui c’est que les inégalités progressent  que le pouvoir d’achat stagne ou régresse Ainsi  1 % de la population possède 50% de la richesse mondiale. De ce faiat le modèle économique  pourrait se détraquer un jour ou l’autre et la dictature de la sphère financière pourrait gripper voire détruire la sphère économique.  Certes il est normal que le capital soit rémunéré mais de manière proportionnelle à l’augmentation des richesses. En effet le  montant des dividendes mondiaux a bondi de 10,5% à 1.167 milliards de dollars (1.027 milliards d’euros).. Cette hausse est due en particulier aux montants des dividendes extraordinaires, comme celui effectué au premier trimestre par l’opérateur télécoms britannique Vodafone pour 26 milliards de dollars (23 milliards d’euros). Ce dernier a été de ce fait le groupe ayant versé le plus de dividendes en 2014, devant le pétrolier anglo-néerlandais Royal Dutch Shell, le chinois China Construction Bank, le pétrolier américain Exxon Mobil et le géant américain des technologies Apple. La première société française est Total, à la 17e place. Les États-Unis ont été « le moteur principal de la croissance des dividendes », selon l’étude, avec une hausse de 17% à 355,3 milliards de dollars (312 milliards d’euros), soit près du tiers du montant à l’échelle mondiale. L’Europe, hors Royaume-Uni, a également connu une bonne année, avec une progression de 12,3% à 229,4 milliards (201 milliards d’euros), grâce notamment aux performances de l’Espagne et de la Suisse. La France a quant à elle affiché une hausse de 7,3% à 55,9 millions de dollars (49 millions d’euros).

 

CAC 40 : 50 milliards aux actionnaires ; vive la crise !

CAC 40 : 50 milliards aux actionnaires ; vive la crise !

 

 

Le paradoxe n’est qu’apparent, plus le chômage monte et plus les profits boursiers augmentent. C’est même  la caractéristique d’une crise économique, de plus en plus de pauvres et de plus en plus de riches. Ce n’est pas une spécificité  française mais mondiale. C’est grâce à ce processus qu’environ 1% des de la, population possède la moitié de la richesse mondiale. Evidemment on objectera que le capitalisme  pour fonctionner a besoin de capitaux, que les entreprises, pour se développer ont besoin d’emprunter, que l’épargne placée dans les entreprisse, c’est plus utile que dans des chaussettes ou que le  capital mort que représente la pierrre. Autant d’arguments qui ne sont pas complètement faux. Pour autant il y a disproportion entre la croissance de la richesse produite et la rémunération des actionnaires, inégalités surtout entre ceux qui doivent en être les bénéficiaires : les investissements, les salariés, les clients, les actionnaires. A cet égard la gestion actuelle à coutre vue qui privilégie le rendement financier est largement responsable de la crise des investissements et au delà de la croissance. Le rendement actuel d’une certaine manière est fictif car il hypothèque le futur. Mais la sphère financière a imposé sa logique à la sphère économique ; Par ailleurs c’est plus sexy pour nombre de dirigeants de grosse boites  de jouer avec les performances financières (  au passage de se gaver aussi) que de s’illustrer avec les seules performances économiques et techniques. A plus long terme il y aura des perdants même chez les rentiers car faute de vraie richesse produite, l’euro (comme d’autres monnaie) deviendra uen monnaie de singe. En hausse de 30%. Les sommes versées par les entreprises du CAC 40 à leurs actionnaires, sous forme de dividendes et de rachats d’actions, ont atteint 56 milliards d’euros en 2014, selon une étude publiée lundi 9 février par la lettre spécialisée Vernimmen.net. Ce total égale presque le record atteint en 2007 par les grands groupes français cotés en Bourse, avant la crise financière qui avait éclaté l’année suivante, selon les données de l’étude. Dans le détail, les rachats d’actions ont bondi de 55% à plus de 10 milliards d’euros, et les dividendes de 25% à 46 milliards. Ce total a cependant été gonflé par deux énormes opérations au caractère exceptionnel : la sortie partielle de Nestlé du capital de L’Oréal, qui a vu le groupe français racheter pour environ 6 milliards d’euros de ses propres actions à son actionnaire suisse, et une distribution d’actions Hermès par LVMH à ses actionnaires, pour un montant total de 6,5 milliards d’euros. En dehors de ces opérations, les rachats d’actions de l’an dernier sont en légère diminution par rapport à 2013, tandis que les dividendes ressortiraient en hausse de 5,5%. « Comme les années précédentes, le trio de tête des versements de dividendes (hors LVMH) représente de l’ordre du tiers des dividendes versés. Il est, à l’identique de l’an dernier, composé de Total, Sanofi et GDF Suez. Si on ajoute EDF, Orange et BNP Paribas, on atteint avec 6 groupes presque 50% des dividendes », précise Vernimmen.net. Ces chiffres pourraient relancer la polémique sur la propension des grands groupes français à récompenser leurs actionnaires plutôt qu’à embaucher et à investir, alors que le gouvernement a pris des mesures importantes en leur faveur avec le CICE puis le pacte de responsabilité.

 

Terrorisme, crise économique : deux raisons pour l’union nationale

Terrorisme, crise économique : deux raisons pour l’union nationale

 

La cohésion est doublement menacée par la crise économique d’abord qui fragilise de plus en plus la cohésion sociale, d’autre part maintenant par le développement d’acte terrorisme qui risque de renforcer les risques d’éclatement de la société. Plusieurs responsables face à la situation économique ont déjà appelé à cette union nationale afin de concentrer  tous les efforts sur le redressement de la croissance et l’amélioration du chômage. La France ne peut en effet sans doute plus se permettre le luxe de divergences obsolètes et de discours irresponsables et démagogiques. Une exigence qui vient d’être renforcée par les attentats qui constituent  une véritable déclaration de  guerre de la part   de la mouvance islamique radicale. Toute exploitation politique des attentats donneraient raisons à ceux qui en sont les auteurs ou les instigateurs. Aux risques d’explosion sociale viendraient alors s’ajouter les risques d’éclatements de la société. Sans doute en l’état des rapports entre les forces républicaines, ce rassemblement peut paraître aujourd’hui utopique d’autant que les candidats potentiels pour 2017 sont pour la plupart prisonniers de logiques d’appareil. Pour autant le sursaut national devrait s’imposer face au double défi  évoqué. Les responsables politiques se grandiraient s’ils parvenaient à prendre une position à la hauteur des enjeux évoqués. On ne gagne pas une guerre économique et maintenant une guerre contre le terrorisme avec des troupes non seulement dispersées et opposées.

La crise grecque fait baisser les taux français

La crise grecque fait baisser les taux français

Dans l’immédiat les événements politiques en Grèce provoquent des conséquences positives pour la France et l’Allemagne. En effet l’instabilité politique grecque fait craindre une éventuelle modification des  conditions d’aide financière à la Grèce. En clair comme cela  est déjà arrivé dans le passé certains créanciers craignent de devoir renégocier à leurs dépens cette dette. D’où  le repli des investisseurs sur les dettes des pays plus surs comme l’Allemagne évidemment mais aussi comme  la France. Certes un pays certes très endettés mais on ne doute pas des capacités de remboursement. Du coup les taux d’emprunt  à 10 ans de l’Allemagne et de la France ont de nouveau atteint des plus bas historiques lundi, les investisseurs plébiscitant ces valeurs sûres après l’échec du candidat du gouvernement à la présidentielle en Grèce.  Peu avant 14H30, le taux d’emprunt allemand à dix ans est descendu à 0,554% sur le marché secondaire où s’échange la dette déjà émise, contre 0,589% à sa dernière clôture. Celui de la France est tombé à 0,841% (contre 0,857%).J’accepte de recevoir la newsletter quotidienne du Figaro.fr

Rouble : fin de la crise ?

Rouble : fin de la crise ?

 

Pour Poutine, c’est la fin de la crise du rouble qui n’en finit pas de s’écrouler. En fait si le rouble redresse légèrement, il n’en demeure pas moins que les fondamentaux sont mauvais. D’abord la croissance atone en 2014 et qui sera négative en 2015. Ensuite toujours les craintes quant aux retombée économiques du conflit Ukrainien (sanctions de l’occident), enfin la baisse des prix du pétrole qui fournit à peu près 50% des ressources russes. L’ensemble de cette situation favorise auusi la fuite des capitaux détenus notamment par les oligarques. Le rouble est peut-être provisoirement stabilisé mais le remède de choc de la banque centrale qui a relevé ses taux à 17% est de nature à tuer n’importe quelle économie. D’autant que l’inflation risque de dépasser 10 %.( du fait en particulier du renchérissement des importations).  Le ministre des Finances russe a cependant déclaré jeudi que la crise du rouble était finie, même si le niveau des réserves de changes du pays est à un creux depuis 2009 et que l’inflation annuelle a dépassé la barre des 10%. La devise russe est tombée la semaine dernière à des plus bas records face au dollar et à l’euro, sous le double coup de la chute des cours du pétrole et des sanctions occidentales imposées à Moscou pour son rôle dans la crise ukrainienne. Après avoir déjà dépensé plus de 80 milliards de dollars (65,6 milliards d’euros) pour défendre le rouble, la banque centrale russe a vu, à la date du 19 décembre, ses avoirs en or et en devises étrangères passer sous la barre des 400 milliards pour la première fois depuis août 2009. L’agence de notation Standard & Poor’s a annoncé mardi placer la note souveraine de la Russie sous surveillance avec implication négative. Cette décision fait suite, selon S&P, à une rapide détérioration de la flexibilité monétaire du pays et à l’affaiblissement de son économie. Selon les projections du gouvernement, l’économie russe devrait se contracter de 0,8% en 2015, ce qui serait la première récession de la Russie depuis 2009. La dépréciation du rouble constitue un test politique majeur pour le chef de l’Etat Vladimir Poutine, dont la popularité dépend en partie de sa réputation de garant de la prospérité et de la stabilité économiques. Selon un conseiller économique du président russe, l’inflation devrait atteindre 11% sur un an d’ici la fin du mois, passant ainsi le cap psychologique des 10% pour la première fois depuis la crise financière de 2007-2009.

Crise en Russie : la faute aux occidentaux( Poutine)

Crise en Russie : la faute aux occidentaux( Poutine)

Poutine a reconnu les conséquences des sanctions de l’occident, il aus si admis l’influence de la baisse des prix du pétrole (50% des ressources russes). De faiat la Russie set en récession. Poutine n’a pas exclu une nouvelle baisse du rouble. Mais Il a estimé que le pays renouera avec la croissance, dans le pire des cas, dans deux ans. Une sortie de crise est « inévitable », en premier lieu parce que l’économie mondiale continue de croître, a expliqué le président en ouvrant sa conférence de presse annuelle devant plus d’un millier de journalistes. Il a jugé « adéquates » les mesures prises par le gouvernement et la banque centrale face à la crise. Selon lui, l’économie russe va s’adapter à cette nouvelle situation si les difficultés se poursuivent, et le niveau actuel des taux d’intérêt ne sera pas maintenu pendant toute la durée de la crise. « Nous allons utiliser les mesures que nous avons employées avec succès en 2008″, a-t-il expliqué, se montrant cependant flou sur sa vision de l’évolution de la situation, jugeant possible aussi bien un rebond durable du rouble qu’un nouveau recul et soulignant les « nombreux facteurs d’incertitude ».  Dans la même tonalité, le président, plus populaire que jamais, a assuré que les programmes sociaux (hausses des retraites et des salaires des fonctionnaires) étaient maintenus, mais que le gouvernement serait peut-être contraint de réduire certaines dépenses sociales en fonction de l’évolution de la situation.  Mais le président russe a cependant reconnu que la gestion économique du pays n’avait pas été optimale. Il a admis que « les choses auraient pu être faites plus efficacement pour soutenir la stabilité du marché » et que des mesures auraient pu être prises « plus rapidement ». A deux reprises, Vladimir Poutine a insisté sur l’importance d’une diversification de l’économie russe, pour arrêter d’être dépendant du pétrole. Il a également souligné les bons résultats économiques du pays, où le taux de chômage est de 5,5%, et où la production industrielle est en hausse. D’ailleurs « les sanctions économiques ne sont responsables que de 20 à 25% de la crise, a-t-il estimé, avant d’ajouter: « Est ce que nous voulons utiliser cette situation pour devenir économiquement indépendant, ou pour nous retrouver dos au mur? ». Sur l’Ukraine, le président russe maintient sa position, et dénonce une « opération punitive » de l’Ukraine contre les rebelles de l’Est. L’annexion de la Crimée ne serait pour rien dans la crise actuelle, selon le président.  Il a par ailleurs accusé les Occidentaux de créer un nouveau « mur » en Europe et de se comporter en « empire » qui veut « faire marcher au pas ses vassaux », lors de sa conférence de presse annuelle.   »Il s’agit d’un mur virtuel, mais il commence déjà à être construit », a déclaré le chef de l’Etat russe interrogé sur le climat de confrontation entre Russes et Occidentaux. 

 

Zone euro : retour à la crise

 

Zone euro : retour à la crise

 

Croissance pratiquement à l’arrêt, chute des bourses, manifestations contre l’austérité autant d’éléments qui pourraient favoriser une nouvelle crise en Europe. Une crise économique, financière mais auusi politique. Crise économiues d’abord avec la production manufacturière en recul et une croissance proche de zéro pour cette fin d’année. Crise financière avec la chute des bourses(. – 6,4 % pour la bourse de Paris en une semaine, à Francfort c’est – 4,5%, et Madrid accuse – 6,6%. Le pic est atteint à Athènes où la chute est de – 19,4%.). Athènes à nouveau confrontée à se capacités à rembourser sa dette À la veille du premier tour des élections présidentielles, le leader du parti Syriza effraie l’Europe. Le porte-parole de l’extrême gauche anti-austérité a prévenu que s’il arrivait au pouvoir, la Grèce ne rembourserait pas sa dette. Pour tenter de le contrer, Pierre Moscovici s’est rendu à Athènes à la rescousse du camp pro-Europe. Crise sociale aussi avec des manifestations contre l’austérité qui se développent  en Europe.  La colère de l’anti-austérité ne gronde pas qu’en Grèce. En Italie, des manifestations ont eu lieu au début du mois. En Belgique, une grève générale a été organisée. Enfin crise politique car les institutions européennes sont paralysées. Le BCE d’abord bâillonnée par l’Allemagne qui ne veut pas de politique monétaire plus accommandante en particulier qui ne veut pas entendre parler de rachat d’obligations souveraines. La commission européenne également- elle aussi sou tutelle de l’Allemagne- qui n’a pu sortir qu’un mini plan de relance des investissement et n’a pas l’autorité nécessaire pour imposer ses exigences notamment dans le domaine budgétaire à la France ou à l’Italie.

Crise immobilière : des prix qui ont trop flambé depuis 15 ans

Crise immobilière : des prix qui ont trop flambé depuis 15 ans

 

 

Inutile de chercher ailleurs la crise de l’immobilier, elle  tient à la hausse des prix au cours de ces 15 dernières années, des prix qui ont flambé. Du coup se pose un problème général de solvabilité pour les accédants et en particulier pour les jeunes primo accédants. Dans le même temps les banques ont resserré les conditions du crédit pour éviter d’accumuler des actifs douteux. Pour un  prix moyen de 230 000 euros , il faut une garantie de rémunération mensuelle « assurée »  de l’ordre de 4500 euros, garantie que bien peu peuvent présenter Le prix de l’achat moyen (mais il y a beaucoup de dispersion autour cette moyenne) est en effet passé à 230 000 euros . Dans la capitale, avec un budget constant corrigé de l’inflation de 230.000 euros, un acheteur peut aujourd’hui s’offrir un 27 m2, contre 57 m2 quinze ans plus tôt. À Nice, on est passé avec la même somme de 111 m2 en 1999 à 59 m2 cette année. Même glissade spectaculaire à Lyon, où ceux qui se payaient un 137 m2 en 1999 doivent se contenter maintenant d’un 70 m2.  Au cours des quinze dernières années, le smic n’a progressé que de 53 % quand, selon la Fnaim, les tarifs de la pierre se sont envolés à Paris (+ 165 %), à Lyon (+ 151 %) et à Nice (+ 142 %). Comment expliquer un tel phénomène?  « Ce phénomène de France immobilière à deux vitesses existe aussi entre les centres-villes et la périphérie» Jean-François Buet, président de la Fnaim. «Cette hausse des prix a été rendue supportable à cause de deux particularités: les taux des crédits immobiliers ont fortement reculé depuis quinze ans, passant dans la période de 6,40 % à 2,85 % aujourd’hui. Et la durée des crédits immobiliers a été allongée pour s’établir aujourd’hui à 17,5 ans», explique Jean-François Buet, président de la Fnaim. Reste que l’envolée des prix de la pierre ne concerne pas toute la France mais seulement les très grandes agglomérations. Pour l’immobilier comme pour les autres domaines, les écarts se creusent entre les grandes agglomérations et le reste du pays. Sans parler des territoires ruraux (où la les prix s’écroulent).  la comparaison avec les villes moyennes est édifiante. Avec 230.000 euros, à Mulhouse, l’acheteur peut quasiment se payer la même surface aujourd’hui (152 m2) qu’il y a quinze ans (157 m2). À Nevers, la surface achetable a un peu plus régressé. Mais la chute n’est pas sensible (206 m2 en 2014, contre 223 m2 en 1999). En fait, entre les grandes agglomérations et les villes moyennes, l’écart s’est creusé depuis la crise économique déclenchée fin 2008. À Paris comme à Nice et à Lyon, la surface achetable avec 230.000 euros a continué à reculer depuis, même s’il ne s’agit plus d’une chute spectaculaire. Autrement dit, le prix de la pierre a encore légèrement progressé. En revanche, dans les villes moyennes, la surface achetable pour ce budget corrigé de l’inflation s’est remise à progresser depuis cinq ans. À Nevers, elle est passée de 159 m2 à 206 m2. À Mulhouse de 128 m2 à 152 m2.

 

Sondage PS : en crise durable pour 68% des Français

Sondage PS : en crise durable pour 68% des Français

Une crise forcément durable puisque les sympathisants souhaitent un virage à gauche mais préfère quand même  Valls; une contradiction difficile à surmonter. pour un PS en plein désarroi idéologique.  Une majorité de sympathisants socialistes estiment que le PS, divisé sur la politique à conduire pour sortir la France du marasme, doit donner un coup de barre à gauche mais Manuel Valls reste quand même leur dirigeant favori, selon deux sondages. Il devance notamment de très loin l’actuel chef de l’Etat, François Hollande, pour représenter le PS à la présidentielle de 2017, selon une enquête effectuée pour iTÉLÉ et Le Parisien par l’institut Odoxa. Ce qui fait dire au président d’Odoxa, Gaël Sliman, que si la situation économique et sa cote de popularité ne s’améliorent pas, il sera « très difficile » au vainqueur de 2012 de se représenter en 2017. Sur 1.002 personnes interrogées jeudi et vendredi par OpinionWay pour Le Figaro, 40% disent souhaiter que le PS fasse des propositions plus à gauche qu’actuellement. Cette proportion passe à 53% parmi les sympathisants du Parti socialiste. Par ailleurs 87% des Français interrogés (94% des sympathisants du PS) disent ne pas souhaiter que ce parti change de nom, alors que Manuel Valls s’y est montré favorable. Pour 23% des Français interrogés (40% des sympathisants socialistes), c’est pourtant le Premier ministre qui incarne le mieux l’avenir du PS, loin devant l’ex-ministre de l’Economie Arnaud Montebourg (9% et 11%) ou la ministre de l’Education, Najat Vallaud-Belkacem (8% et 17%).  Pour 68% des Français interrogés (48% des sympathisants socialistes), le PS vit aujourd’hui une crise durable. L’enquête effectuée par Odoxa jeudi et vendredi auprès de 999 personnes parvient à des conclusions similaires. Ainsi, pour 54% des sympathisants socialistes interrogés, le PS n’est pas assez à gauche et 52% estiment que le rôle du principal parti de la majorité actuelle est avant tout de rappeler à François Hollande, les engagements qu’il a pris pendant la campagne présidentielle de 2012. Pourtant, Manuel Valls, qui incarne l’aile droite du PS est le préféré des sympathisants socialistes pour représenter le PS à la présidentielle de 2017, avec 37% d’avis favorables contre 31% pour la maire de Lille Martine Aubry, 14% pour la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal, 10% pour Arnaud Montebourg et seulement 7% pour François Hollande. Le jugement des Français toutes tendances confondues est encore plus tranché : 43% des sondés disent préférer le Premier ministre pour représenter le PS en 2017, loin devant Martine Aubry (24%), Arnaud Montebourg (14%), Ségolène Royal (11%) et François Hollande (5%). Ce n’est qu’auprès des sympathisants de gauche dans leur ensemble, extrême-gauche et Verts compris, que Manuel Valls est devancé par Martine Aubry (32% contre 38%). Ce qui ne change rien pour François Hollande, là encore crédité de seulement 5% d’avis favorables.

 

Vive la crise : croissance au plus bas, mais bourse au plus haut

Vive la crise : croissance au plus bas, mais bourse au plus haut

 

C’est le paradoxe le plus étonnant du contexte actuel, la croissance est atone, le chômage au sommet mais la bourse tutoie le ciel. Finalement tout va bien et les médias même économiques ont fait l’impasse sur les indicateurs  très inquiétants concernant la croissance de novembre. Pourquoi simplement par les valeurs boursières se portent au mieux, que les dividendes versée aux actionnaires vont atteindre des sommets en 2014. Par contre les investissements sont en panne et les charrettes de licenciements succèdent aux charrettes. Pourtant nous sommes peut -être à la veille d’un nouveau choc mondial en tout cas d’une  dépression forte de la croissance. En cause évidemment la confusion ente la santé de la sphère financière et celle de l’économie réelle. Il a suffi pour rassurer les marchés que la Chine annonce des baisses d’intérêt et que Draghi permettent encore davantage de liquidités pour la cote se redresse en France mais aussi ailleurs. Pourquoi parce simplement ces politiques plus accommandantes permettent de davantage spéculer ; elles ne servent pas l’investissement, la consommation, elles encouragent les cotations à optimisme. Cela jusqu’au moment où un krach interviendra (bulle immobilière, bulle obligataire ou remontée brutale de taux d’intérêt pas exemple). Puisque la bourse va bien, vive la crise. D’ailleurs les charrettes de licenciements sont généralement très appréciées. Certes c’est souvent de la productivité en plus, donc de la compétitivité et des profits supplémentaires. Donc des marges et des dividendes.  Les actionnaires du monde entier devraient recevoir 133 milliards de dollars de plus en 2014 qu’en 2013. C’est ce qui ressort de l’étude trimestrielle publiée par Henderson Global Investors. 2014 sera donc une année record avec 1.190 milliards de dollars de bénéfices redistribués par 1.200 entreprises cotées. Cela représente une progression de 9,6 %, soit la meilleure année depuis 2011  Pourtant la conjoncture de l’économie réelle est mauvaise. La croissance se tasse aux Etats Unis.,  en Chine, l’indice PMI HSBC/Markit du secteur manufacturier a enregistré une croissance nulle en novembre à 50,0 contre 50,4 en octobre, selon une enquête menée auprès des directeurs d’achat. En zone euro, les indices « flash » des directeurs d’achat de Markit montrent que la croissance de l’activité en novembre a baissé à 51,4 contre 52,1 en octobre, soit un recul encore plus marqué que les prévisions les plus pessimistes.  Mais tout va bien, vive la crise !

La crise du petit commerce

la crise du petit commerce

 

Conséquence de l’austérité, les consommateurs réduisent leur achats dans les petits commerces mais ne progressent pas pour autant dans la grande distribution qui se livrent une guerre des prix ; Du coup les effectifs diminuent.  Paradoxe par exemple  alors que les ventes d’automobiles reculent l’entretien des véhicules anciens également. Alors qu’ils se déclaraient à 64 % satisfaits de leur niveau d’activité en février, ils ne sont plus que 58 % à le faire six mois plus tard, selon cette étude réalisée auprès de 800 commerçants de proximité. « Ce taux est le plus bas constaté depuis l’entrée dans la crise économique et financière à l’automne 2008″, soulignent Michel Clerc, directeur général de Médicis, et Frédéric Micheau, directeur adjoint du département opinion et stratégies d’entreprise de l’IFOP. « On entre véritablement dans le cœur de la crise. Les petits commerçants, encore combatifs depuis trois ans, sont à leur tour atteints par l’inquiétude », ajoute M. Clerc. A 65 %, les petits commerçants utilisent des termes négatifs pour qualifier l’exercice de leur métier, comme « découragement », « inquiétude », « galère ». Par ailleurs, depuis janvier, 49 % des commerçants constatent que les clients fréquentent moins leur magasin, un chiffre en hausse de 6 points par rapport à février et qui, là encore, n’a jamais été aussi élevé depuis l’automne 2008. 43 % déclarent que leur chiffre d’affaires a baissé depuis le début de l’année. « Pour la première fois, ce chiffre dépasse légèrement ceux qui estimaient que leurs ventes étaient stables (42 %) », indique M. Clerc. Dernier signe d’inquiétude : 16 % des commerçants interrogés déclarent envisager de réduire leurs effectifs, une proportion qui bien que minoritaire, grimpe tout de même de sept points en moins d’un an, souligne l’étude. « L’ensemble de ces indicateurs témoigne d’une très grande morosité générale des petits commerçants », conclut M. Micheau.  En 2013, les ventes TTC du commerce de détail et de l’artisanat commercial (boulangeries, pâtisseries, charcuteries) ont reculé, comme en 2012. L’année dernière, les ventes ont baissé de 0,7% pour s’élever à 489 milliards d’euros TTC. Autre constante : les ventes sont plus dynamiques dans le secteur non alimentaire (+0,2 %) que dans l’alimentaire (-1,5 %). Précisément, les ventes des magasins d’alimentation spécialisée et d’artisanat commercial ont diminué de 1,8%, à un rythme un peu moins important qu’en 2012. Quant au commerce et à la réparation automobile, la tendance est identique : les ventes ont reculé de 3,3%, après une année 2012 particulièrement difficile (-6,6%). Toutes activités confondues, le chiffre d’affaires des petites entreprises régresse de 0,4% en 2013, tandis que le résultat moyen enregistre un recul de 1,1%. Sur les 11 secteurs d’activité analysés par la FCGA, seulement deux affichent un volume d’activité en progression : le transport (+1,8%) et le commerce de détail alimentaire (+1,1%). L’équipement de la personne (-3,5%), l’équipement de la maison (-2,7%) et le secteur culture et loisirs (-2,2%) sont particulièrement affaiblis par la baisse des dépenses de consommation des ménages. Selon l’Insee, les détaillants en autres équipements du foyer (meubles, électroménager…) «  souffrent d’une conjoncture immobilière morose. Le faible dynamisme du pouvoir d’achat est également peu propice à l’acquisition de biens durables « . Moins atteints, mais tout de même dans le rouge : les services (-1,2%), l’hôtellerie-restauration (-0,7%), la beauté-esthétique (-0,2%) et l’artisanat du bâtiment (-0,2%) sont néanmoins aussi dans le rouge. Assez logiquement, les résultats courants nets des petites entreprises, Après déduction des charges sociales de l’entreprise et avant impôt sont fortement impactés par la dégradation de l’activité. Les trois plus fortes baisses de bénéfices concernent : l’équipement de la personne (-7,4%), l’équipement de la maison (-4,2%), l’hôtellerie-restauration (-3%), la beauté-esthétique (-2,3%), la culture et les loisirs (-2%), les services (-1,2%). « Deux secteurs seulement engrangent des bénéfices supplémentaires : la santé (+2,2%) et les transports (+1%) », observe la FCGA. Cette enquête précise également le niveau de revenus des professionnels. Qui affiche les résultats les plus élevés ? Les pharmaciens d’officine avec 146.500 euros de revenus annuels, suivis par les opticiens (66.800 euros), les ambulanciers et les taxis-ambulances (55.585 euros), les prothésistes-dentaires (47.300 euros), les débitants de tabacs-jeux-journaux (44.800 euros), les cafetiers et débitants de tabacs-jeux (43.500 euros), les bouchers (39.000 euros). En bas de tableau, les trois professions qui ont les revenus les plus modestes sont les coiffeurs à domicile (10.500 euros), les toiletteurs animaliers (12.200 euros) et les exploitants de mercerie (14.100 euros).

 

Industrie française : pas de sortie de crise

Industrie française : pas de sortie de  crise

Selon une étude de la Direction générale du Trésor dévoilée en 2010, la contribution de l’industrie à la richesse nationale est passée de 24 % à 14 % entre 1980 et 2007. L’industrie française a perdu sur cette période 1.913.500 emplois, tombant à 3.414.000, soit une baisse de 36 % de ses effectifs. L’étude précise également deux choses : la très grande majorité de ces pertes d’emplois, 96% exactement, a eu lieu dans l’industrie manufacturière. La crise de 2009 n’a rien arrangé puisqu’en 2014, on va encore se situer au dessous du niveau de 2010.  En août, le niveau de la production industrielle est inférieur de 1,6% à celui observé en 2010. La production manufacturière se situe 1,4% en-dessous de celle enregistrée cette année-là. Certains secteurs ont particulièrement souffert depuis 2010. C’est en particulier le cas de l’industrie agroalimentaire (-3,7%), de l’énergie (-3,9%), de la pharmacie (-5,8%) du textile (-6,2%), des industries extractives (-6,9%), de l’équipement électrique (-9,6%) et du raffinage (-17,9%). Malheureusement, la surperformance bien louable de certains secteurs, parmi lesquels les biens d’équipement (+2%), le matériel de transport (+5,8%), la chimie (+11,7%) et les autres matériels de transport (+15,6%) n’a pas permis d’effacer les dégâts sociaux. Dans  » L’Economie française en 2015 « , l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) estime à 400.000 le nombre d’emplois industriels détruits depuis 2008. Au cours de la seule année 2013, ce sont 35.000 emplois en équivalent temps plein qui ont été supprimés. Selon une étude menée par Xerfi sur les créateurs nets d’emplois publiée en juin, les 17 plus gros groupes industriels ont créé 25.000 emplois sur la période 2008-2013.  » L’intensité n’est pas ou plus le marqueur clé du potentiel de développement. Celui-ci résulte aussi de la combinaison de proposition de nouveaux usages à destination des ménages et des entreprises, d’augmentation des compétences, de renouvellement des modèles d’affaire en lien avec Internet. L’ensemble de ces constats suggère que la structure du soutien de l’État aux entreprises devient obsolète. Il souligne les limites d’un abord trop cloisonné de l’innovation « , explique Olivier Passet, le directeur des synthèses économiques chez Xerfi.

 

La crise Ukrainienne menace la croissance allemande

La crise Ukrainienne menace la croissance allemande

 

 

L’économie allemande avait déjà tendance à se tasser du fait de l’atonie de l’activité en Europe, elle est maintenant affectée par la crise Ukrainienne. L’OCDE, qui chaque mois établit un « indicateur composite avancé » censé signaler avec six mois d’avance les retournements de conjoncture, a noté qu’en Allemagne, cet indicateur ne cessait de décliner depuis plusieurs mois.  « Inflexion négative » de la croissance. Voilà à quoi l’Allemagne fait désormais face, a estimé l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dans un contexte économique peu dynamique en zone euro. Le ministre allemand de l’Economie, Sigmar Gabriel, a prévenu ce dimanche que l’objectif de 1,8% de croissance risque de ne pas être atteint cette année.   »Nous pourrions avoir une croissance cette année inférieure à notre objectif de 1,8%« , a prévenu Sigmar Gabriel. Le ministre allemand de l’Economie, interviewé ce dimanche sur la chaîne de radio Deutschlandfunk a pointé du doigt les effets de la crise en Ukraine qui a porté atteinte au climat des affaires dans le pays. Outre les entreprises travaillant avec la Russie, ce sont plus généralement les milieux d’affaires qui auraient perdu confiance. Toutefois « nous avons encore une très forte dynamique de croissance et le marché de l’emploi se porte bien« , a-t-il tempéré. Des instituts de recherche et analystes ont déjà revu en baisse leurs prévisions de croissance pour l’année en cours. L’économie allemande a bien progressé en début d’année grâce à un hiver exceptionnellement doux qui a favorisé l’activité dans le secteur de la construction. Mais elle s’est ensuite contractée de 0,2% au cours du deuxième trimestre.

 

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