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Crise économique chinoise : une critique en creux du fonds monétaire international

Crise économique chinoise : une critique en creux du fonds monétaire international
Selon la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, afin de booster son économie, la Chine doit axer davantage ses politiques vers le consommateur, Et tenir ainsi mieux compte du marché notamment intérieur. Il s’agit d’une critique en creux de l’étatisation en cours du système économique chinois. Sous l’impulsion du président chinois qui dispose de plus en plus de pouvoir, nombre de responsables économiques ont été écartés ont quitté la Chine par peur de représailles. Ainsi l’économie chinoise est de plus en plus sous la tutelle du parti communiste mais a perdu en compétitivité et en innovation au profit de nombreux autres pays d’Asie. La Chine ne parvient pas à sortir de la crise financière du logement et des collectivités locales. Une crise qui contamine l’ensemble de l’économie. Le problème est que les pouvoirs sont de plus en plus concentré dans les mains du président, lui aussi pratiquement élu à vie, davantage préoccupé par des considérations idéologiques qu’économiques.

« La Chine est face à un carrefour : s’appuyer sur les politiques qui ont fonctionné dans le passé ou se réinventer pour une nouvelle ère de croissance de haute qualité », a déclaré à Pékin dimanche la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva, au Forum chinois du développement.
Crise du logement, faible demande intérieure, chômage élevé des jeunes… pour stimuler son économie atone, la Chine doit adopter « un ensemble complet de réformes favorables au marché », a considéré dimanche le Fonds monétaire international (FMI).

 

Pékin devrait prendre des « mesures énergiques » pour réduire la quantité de logements inachevés et donner plus de place aux « corrections basées sur le marché » dans un secteur immobilier lourdement endetté, a-t-elle indiqué. Les autorités devraient également booster « le pouvoir d’achat » en renforçant le système de retraite chinois et en prenant d’autres mesures pour perfectionner le vaste système de sécurité sociale, a-t-elle ajouté. La directrice du FMI pousse en outre la Chine à favoriser « un terrain équitable entre entreprises privées et publiques », comme cela est demandé depuis longtemps par les investisseurs étrangers.

 

Macron avoue en creux qu’il est inefficace

Macron avoue en creux qu’il est inefficace

Le président atellement insisté que 2024 seraiet l’année des résultats qu’il a sans doute oublié que cette insistance constituait un aveu d’inefficacité jusque-là. Les deux seules grandes réformes qui auront été menées conduisent en effet contre un mur.

Il y a d’abord la réforme des retraites déjà obsolète et qu’il faudra reprendre sitôt le prochain quinquennat compte tenu en particulier des déséquilibres démographiques ( la France est de moins en moins d’enfants et n’a pas de politique de natalité.). Quant à la loi immigration elle sera d’une part désossée par le conseil constitutionnel et de toute manière inappliquée car la France est incapable d’une part d’arrêter les flux ( on va les répartir au plan européen), d’autre part d’assurer le retour dans leur pays des immigrés auteurs de crimes et délits.

Quant aux autres réformes, c’est assez anecdotique hormis les quelques intentions de transformation soutenue justement par Attal. Le président a oublié les questions qui fâchent comme l’inflation, la sécurité, la drogue est encore davantage le manque de compétitivité du pays. Macron a parlé de tout mais mal et de façon allusive.
Exemple pour les otages du Hamas.
« Nous ne les oublions pas », a déclaré le chef de l’État. « 41 Français ont été assassinés, et je pense ce soir à leurs familles comme je pense aux familles de nos compatriotes encore retenus en otage », a-t-il ajouté.

Sur le plan de la politique étrangère des propos très flous. ( Notons qu’il n’y a pas un mot sur l’Afrique !): le conflit au Proche-Orient, la guerre en Ukraine et les élections européennes. « Nous aurons à faire le choix d’une Europe plus forte et plus souveraine à la lumière de l’héritage de Jacques Delors », a-t-il dit, et choisir entre « affirmer la force de nos démocraties libérales ou céder aux mensonges qui sèment le chaos ». Des propos complètement fumeux.

Des réformes « impopulaires » assumées. Emmanuel Macron a dit « assumer » les réformes « impopulaires » comme la réforme des retraites. Il « remercie la Première ministre et son gouvernement », alors qu’une rumeur de remaniement circule pour le mois de janvier.

Le président a aussi promis « réarmement civique » aux contours encore flous après « le réarmement économique » et « le réarmement de l’Etat et de nos services publics ».

Le concept de réarmement n’est pas forcément très s’adapté d’un point de vue sémantique d’une part parce que le président n’a pas jugé bon de s’engager et de faire son service militaire, pas davantage que de s’engager dans une organisation de base avant d’accéder directement à la magistrature suprême. Un président qui manque sérieusement d’expérience en matière d’armement militant.

Macron à la télé : Un discours creux et confus

Macron à la télé : Un discours creux et confus

Macon, conspué en Alsace hier, vérifie sans doute que son discours à la télévision n’a guère convaincu, bien au contraire. Un discours particulièrement vide et ambigu. Sur la forme, il faut d’abord observer que Macon ne paraissait pas porté par une grande conviction. Finalement , il a livré une intervention sans vraiment d’intérêt et assez intemporelle , se contentant de rappeler les grands objectifs mais oubliant au passage la question centrale du pouvoir d’achat pour les Français. Bien entendu pas d’empathie et au contraire une nouvelle justification de la réforme des retraites.

Pour résumer son intervention a été découpé en trois parties la première consacrée à la justification de la réforme des retraites même s’il a reconnu la colère des Français.

Ensuite, il a rappelé le cap général de la politique qui vise l’indépendance de la France et de l’Europe. Il a défini trois chantiers prioritaires d’abord ce qui concerne le travail, ensuite la justice et l’ordre, enfin le » progrès ».

Finalement un inventaire déjà largement connu assez confus et surtout qui manque de concret. Ainsi sur le travail, il a rappelé par exemple le problème des seniors et envisagé d’éventuels accords sociaux nouveaux. Il en a profité pour glisser très subrepticement la question de la planification écologique dans cette première priorité. Deuxièmement, il a évoqué le chantier de la justice et de l’ordre républicain. L’occasion de rappeler la question de l’immigration. Troisièmement, il a évoqué l’objectif des progrès à réaliser dans divers domaines l’école, la santé, la présence médicale.

Concernant la stratégie, le président a cité l’exemple de la reconstruction de Notre-Dame de Paris comme si on pouvait comparer la gestion d’un bâtiment historique détérioré à la gestion d’un pays.
On aura noté le manque de ferveur du président et le caractère assez brouillon de son intervention voir même parfois hésitant. En fait, une litanie déjà entendue des dizaines de fois sans rien de vraiment précis et qui a pris grand soin d’éviter la question centrale du pouvoir d’achat. Le plus curieux c’est de fixer une échéance au 14 juillet c’est-à-dire une centaine de jours pour mettre en œuvre des objectifs dans certains demandes des années, d’autres complètement illusoires et d’autres enfin qui sont déjà en cours. Bref, vraiment rien de nouveau dans ce discours et surtout l’absence remarquée de la question majeure du pouvoir d’achat.

Politique Macron à la télé: Discours confus et creux qui évite surtout la question du pouvoir d’achat

Politique Macron à la télé: Discours confus et creux qui évite surtout la question du pouvoir d’achat

Avec le recul il n’y a pas beaucoup d’experts considérés que Macron a brillé lors de sa dernière prestation télévisée. Ce qui caractérise d’abord ce discours, c’est une grande confusion avec un mélange de caps, d’orientations dont certaines sont à caractère immédiat, d’autres plus lointains d’autres enfin promis aux calendes grecques. L’échéance paraît illusoire dans beaucoup de domaines. Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran s’est d’ailleurs empressé hier d’indiquer que les 100 jours étaient indicatifs qu’il s’agissait d’engager et non de réaliser. Bref ce qu’on appelle la planification glissante qui pourra demander des années voire des dizaines d’années. Notons aussi que le Medef s’est empressé d’indiquer que ce calendrier était illusoire. On aura surtout observé que le président a bien pris soin d’éviter la question centrale du pouvoir d’achat.

Ce n’est évidemment pas le meilleur discours du chef de l’État dont la prestation a été particulièrement vague et vide hier soir. Surtout on aura observer que le président n’a pas évoqué sinon de manière très allusive la question centrale du pouvoir d’achat. Or c’est la préoccupation première des Français bien loin d’ailleurs devant le problème des retraites qui a servi de catalyseur à la colère.

On voit bien la que le chef de l’État est plus proche des intérêts financiers que de ceux des Français. En effet en deux ans, l’inflation aura augmenté de près de 13 % et l’augmentation du pouvoir d’achat n’a pas dépassé 4 % en 2022. En clair il manque autour de 10 % pour réaligner les salaires sur le niveau de l’inflation. D’autant que cette inflation pèse considérablement sur le budget des plus modestes où le coût de l’alimentaire a progressé de 15 à 20 %. Sans parler du coût du combustible qui reste un niveau élevé .

Pourtant c’est la revendication qui va émerger sitôt que seront reprises des négociations. Pour le moins, le président aurait dû proposer la tenue de conférences entre le patronat et les syndicats avec la présence de l’État si nécessaire comme sur le SMIC.

Cette absence du sujet central que constitue l’augmentation des salaires révèle l’idéologie de Macron qui protège toujours les intérêts financiers des plus riches( voir à cet égard la folle envolée des dividendes et des actions).

Le fait de minimiser le problème central des salaires témoigne à l’évidence de la posture hors-sol de Macon tout autant que sa conception de la justice sociale.

Macron: Un discours creux et confus

Macron: Un discours creux et confus

Sur la forme, il faut d’abord observer que Macon ne paraissait pas porté par une grande conviction. Finalement , il a livré une intervention sans vraiment d’intérêt et assez intemporelle , se contentant de rappeler les grands objectifs mais oubliant au passage la question centrale du pouvoir d’achat pour les Français. Bien entendu pas d’empathie et au contraire une nouvelle justification de la réforme des retraites.

Pour résumer son intervention a été découpé en trois parties la première consacrée à la justification de la réforme des retraites même s’il a reconnu la colère des Français.

Ensuite, il a rappelé le cap général de la politique qui vise l’indépendance de la France et de l’Europe. Il a défini trois chantiers prioritaires d’abord ce qui concerne le travail, ensuite la justice et l’ordre, enfin le » progrès ».

Finalement un inventaire déjà largement connu assez confus et surtout qui manque de concret. Ainsi sur le travail, il a rappelé par exemple le problème des seniors et envisagé d’éventuels accords sociaux nouveaux. Il en a profité pour glisser très subrepticement la question de la planification écologique dans cette première priorité. Deuxièmement, il a évoqué le chantier de la justice et de l’ordre républicain. L’occasion de rappeler la question de l’immigration. Troisièmement, il a évoqué l’objectif des progrès à réaliser dans divers domaines l’école, la santé, la présence médicale.

Concernant la stratégie, le président a cité l’exemple de la reconstruction de Notre-Dame de Paris comme si on pouvait comparer la gestion d’un bâtiment historique détérioré à la gestion d’un pays.
On aura noté le manque de ferveur du président et le caractère assez brouillon de son intervention voir même parfois hésitant. En fait, une litanie déjà entendue des dizaines de fois sans rien de vraiment précis et qui a pris grand soin d’éviter la question centrale du pouvoir d’achat. Le plus curieux c’est de fixer une échéance au 14 juillet c’est-à-dire une centaine de jours pour mettre en œuvre des objectifs dans certains demandes des années, d’autres complètement illusoires et d’autres enfin qui sont déjà en cours. Bref, vraiment rien de nouveau dans ce discours et surtout l’absence remarquée de la question majeure du pouvoir d’achat.

Vœux Macron: tristes et creux

Vœux Macron: tristes et creux

 

Il faut relire les vœux prononcés par Macron l’an passé pour mesurer à quel point le propos  de cette année est creux et ressemble à celui d’un curé de campagne. Des généralités, des banalités, des satisfécits, une volonté réaffirmée de réformer et en même temps un appel à un dialogue sur lequel le gouvernement s’assoit. Bref, toujours le même discours de nature un peu évangélique qui mélange des bribes d’orientation politique avec quelques considérations philosophiques de bistrot, la citation de quelques concepts modernes et les vieilles recettes des contradictions et de la démagogie. La vérité, c’est que Macron n’a rien à dire mais il le dit tellement bien, c’est tellement enveloppé, tellement masqué aussi tellement tordu en même temps que séduisant sur la forme qu’on a parfois du mal à résister. Personne n’écoute vraiment le fond, il y a cette musique envoûtante du sermon évangéliste qui fait oublier les paroles et le fond. Macron n’a pas fait du théâtre pour rien.

Sur le dossier précis de la réforme des retraites, il ne dit forcément rien. Il se tait d’ailleurs depuis des semaines et des semaines sur le sujet laissant son premier ministre patauger dans le marais social .Il fauta que cela se termine rapidement a-t-il seulement indiqué renvoyant la patate chaude à Edouard Philippe qu’il pourra toujours évincer si l’affaire tourne mal.  Chacun sait bien qu’il  ne pourra pas le contredire même s’il fait une petite ouverture car l’obsession de Macron c’est surtout de plaire aux républicains qu’il est en train de vider de leur  sang tout simplement pour en prendre la tête. Macron issu de la gauche, élu grâce à elle, est en fait le candidat de droite des républicains. Pour preuve, le Premier  ministre appartient toujours à ce parti pour faire le lien. Un parti dont les leaders sont complètement marginalisés voire discrédités.

Pour Macron, la réforme des retraites a peu d’importance, l’essentiel est de montrer sa volonté de réforme, d’afficher sa détermination de pseudo progressisme y compris en reprenant maintenant des thèmes de l’extrême droite comme sur l’immigration. L’acte de contrition à propos de la colonisation constitue pourtant un appel tant au vote des populations d’origine étrangère. C’est le fameux en même temps qui prévaut dans le domaine économique, social et plus globalement sociétal. Macron ne voudra pas trancher ni même donner de vraies orientations concernant le sujet sur lequel il est attendu. Du coup, il va renforcer le caractère évangélique de son sermon dont on retiendra peut-être qu’il appelle à l’apaisement en souhaitant que les Français s’aiment  mieux les uns les autres. Bref un discours de curé de campagne !  




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