Archive pour le Tag 'Crash'

Page 2 sur 2

Crash du AH5017 : l’hypothèse de l’accident météo privilégiée

Crash du AH5017 : l’hypothèse de l’accident météo privilégiée

 

C’est la piste qui prime vendredi, après l’annonce du crash de l’avion dans le nord du Mali. Le dernier contact avec l’avion a en effet été rompu après 50 minutes de vol, jeudi matin. Quelques instants auparavant, les pilotes de l’appareil avaient demandé « de se dérouter à cause d’une mauvaise visibilité et pour éviter un risque de collision avec un autre avion assurant la liaison Alger-Bamako », a déclaré jeudi une source au sein d’Air Algérie, sous le couvert de l’anonymat. Une information confirmée par le ministre des Transports du Burkina Fasso. Comme le montre le tweet ci-dessous, les conditions météorologiques étaient en effet difficiles jeudi matin, avec d’importants « orages » et des « nuages à près de 40.000 pieds », soit 12.000 mètres d’altitude. Ces difficultés auraient entrainé un crash de nature accidentelle. Quelques jours après le probable tir de missile sur le MH17 de la Malaysia Airlines en Ukraine, la piste terroriste reste d’actualité, mais elle a été reléguée au second plan. Selon l’Islamologue Mathieu Guidère, la fin du ramadan aurait pu être propice aux attentats dans cette zone sensible, comme il l’a précisé jeudi au micro d’Europe 1. La « Nuit du Destin », aussi appelée Laylat al-Qadr, qui se situe à la fin du jeune musulman serait propice à « des actions très meurtrières » de la part des djihadistes. Le dernier contact avec l’appareil inquiète aussi le spécialiste. En effet, il est intervenu dans le nord du Mali, où « la situation, malgré l’intervention française, n’est toujours pas sous contrôle. » « On ne peut pas exclure que ce qui s’est passé en Ukraine ait inspiré ce type de groupes au nord du Mali », conclut Mathieu Guidère. Selon Maliactu, qui cite une source militaire, l’avion aurait pu être abattu « par erreur », par le Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA), qui contrôle cette zone. Le spécialiste en aéronautique Gérard Feldzer n’est pas de cet avis et expliquait jeudi au micro de BFMTV qu’une explosion en vol était plus probable qu’un tir venant du sol, thèse que la plupart des observateur rejettent vendredi. Selon lui, le fait que le pilote n’ait pas pu envoyer de signal de détresse pourrait confirmer l’hypothèse d’une « explosion soudaine ». Depuis l’annonce du crash dans une zone inhabitée au nord du Mali, la piste du détournement n’est quasiment plus d’actualité.

Crash avion : changer de ton vis-à-vis de Poutine (Cameron)

Crash avion : changer de ton vis-à-vis de Poutine (Cameron)  

 

 

Le moins qu’on puisse dire c’est que la diplomatie européenne fait preuve dune grande mollesse vis-à-vis de Poutine. Le changement des responsables européens actuellement en ours n’explique pas tout. Notamment le fait que Merkel par exemple se montre toujours mesurée compte tenu des intérêts allemands en Russie. Le Premier ministre britannique David Cameron, lui,  a plaidé ce samedi pour plus de fermeté vis-à-vis de la Russie après l’accident de l’avion malaisien, appelant l’Occident à « changer son approche à l’égard de Moscou ». « La Russie peut profiter de cette opportunité pour sortir de cette crise dangereuse qui s’envenime. J’espère qu’elle le fera. Mais si cela ne se fait pas, alors nous devons réagir fermement », écrit David Cameron dans un article publié dans le Sunday Times. Selon lui, s’il est confirmé que l’avion a été abattu par un missile sol-air tiré depuis une zone contrôlée par les séparatistes prorusses en Ukraine, Moscou doit être tenue pour responsable. « Si c’est le cas, alors nous devons être clair sur ce que cela signifie : c’est la conséquence directe de la déstabilisation par la Russie d’un État souverain, de la violation de son intégrité territoriale, du soutien de milices brutales, et de leur entraînement et de leur armement », avance Cameron. « Nous devons réagir à cet affront par l’action. L’action de trouver ceux qui ont commis ce crime et de les traduire en justice. Mais cela va bien plus loin que la justice », écrit-il encore. Avant d’ajouter : « Si le président Poutine ne change pas son approche sur l’Ukraine, alors l’Europe et l’Occident doivent fondamentalement changer leur approche à l’égard de la Russie. Il ne s’agit pas d’action militaire, de toute évidence. Mais il est temps que notre pouvoir, notre influence et nos ressources comptent. » Ces commentaires du Premier ministre britannique se font l’écho de son entretien plus tôt dans la journée de samedi avec ses homologues australien, Tony Abbott, et néerlandais, Mark Rutte.  « Les trois chefs de gouvernement sont d’accord que le président Poutine doit s’engager activement avec la communauté internationale et utiliser son influence sur les séparatistes (ukrainiens pro-russes) pour s’assurer qu’ils permettent un accès au site de l’accident » de l’avion de la Malaysia Airlines, ce jeudi dans l’est de l’Ukraine, a rapporté une porte-parole de Downing Street, les services du Premier ministre. « Nous recevons un soutien insuffisant de la part des Russes, nous ne voyons pas la Russie user assez efficacement de son influence pour obtenir des séparatistes, qui contrôlent la zone, l’accès dont nous avons besoin », a quant à lui déclaré à des journalistes le ministre britannique des Affaires étrangères, Philip Hammond. « Tous les regards sont tournés vers la Russie pour s’assurer qu’elle remplit ses obligations dans les prochaines heures », a-t-il ajouté. Il a également précisé que l’ambassadeur de Russie à Londres serait convoqué au ministère britannique des Affaires étrangères qui lui fera part de la position du gouvernement britannique. « Notre objectif maintenant est de sécuriser le site pour qu’il y ait une enquête internationale afin d’identifier les causes et les auteurs, de les traduire en justice, et de s’assurer que les victimes sont traitées avec la dignité et le respect adéquats », a-t-il assuré. « Nous ne pouvons pas encore être catégoriques sur la cause de ce terrible accident mais il y a un faisceau de preuves qui suggèrent clairement qu’un missile a été tiré par les séparatistes à partir de l’est de l’Ukraine », a-t-il également affirmé. La chute ce jeudi de l’avion de la Malaysia Airlines (vol MH-17) assurant la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur a fait 298 morts. Parmi ces victimes, dix étaient britanniques, a répété samedi Philip Hammond.

 

Après le crash, de lourdes sanctions à prévoir contre la Russie

Après le crash,  de lourdes sanctions à prévoir contre la Russie

 

Il faut prévoir une guerre d’information (et d’intox) entre les pro-russes et les autres Ukrainiens concernant la responsabilité du crash ; ce qui est  certain c’est que c’est un missile de fabrication russe qui a abattu l’avion de ligne. Or Moscou fournit de pus en plus d’armes lourdes et sophistiquées aux pro-russes d’Ukraine ; D’où l’obligation dans laquelle va se trouver Obama de frapper encore fort sur les plan des sanctions économiques. Selon un responsable américain, les analystes du renseignement américain « croient fortement » qu’un missile sol-air a abattu le vol MH17 de la Malaysia Airlines. Ils sont en train d’examiner les données afin de déterminer si le missile a été tiré par les séparatistes pro-russes de l’est de l’Ukraine, les soldats russes de l’autre côté de la frontière ou les forces gouvernementales ukrainiennes, a-t-il ajouté. Le vice-président américain, Joe Biden, a en même temps expliqué que cette hypothèse était la plus vraisemblable, bien que les Etats-Unis n’en soient pas encore absolument certains. De son côté, Vladimir Poutine a affirmé dans la soirée que l’Ukraine « porte la responsabilité de cette terrible tragédie ».  »Cette tragédie n’aurait pas eu lieu si la paix régnait dans ce pays, si les opérations militaires n’avaient pas repris dans le sud-est de l’Ukraine », a poursuivi le président russe, cité par l’agence RIA Novosti. Les forces russes et ukrainiennes possèdent toutes deux des variantes du système de missiles sol-air de moyenne portée Buk, dont les SA-11 et SA-17, capables d’atteindre des cibles à une altitude de 25 kilomètres. Le vol MH17 de la Malaysia volait à environ 10 km d’altitude, trop haut pour les systèmes portables. Les missiles sol-air Buk sont très répandus. Avant le début du conflit ukrainien, Kiev en possédait six à huit batteries, selon Edward Hunt, analyste de défense chez IHS Jane. La Russie en possède beaucoup plus, ainsi que des systèmes sol-air plus sophistiqués, notamment le S-300 et le S-400, mais on ignore si ces systèmes sont déployés dans la région. L’usage de Buk requiert plus d’expertise que les systèmes portables, ce qui semble écarter l’hypothèse d’une utilisation par les séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine, selon Edward Hunt.  »En général, les forces rebelles ou séparatistes n’en ont pas, pour la bonne raison que leur utilisation requiert beaucoup d’hommes, beaucoup d’entraînement et beaucoup de pièces détachées », a-t-il précisé. L’avion MH17 de Malaysia Airlines, un Boeing 777 parti d’Amsterdam pour Kuala Lumpur avec 298 personnes à son bord, a disparu des radars à 10.000 mètres d’altitude et s’est écrasé près de la ville de Chakhtarsk, non loin de la frontière russe, dans une zone contrôlée par les séparatistes prorusses.

 

Crash Rio-Paris : « Un rapport bidonné »

Crash Rio-Paris : « Un  rapport bidonné »

 

Avec le rapport de contre-expertise sur le crash du vol Rio-Paris en 2009, ébruité mardi, revient la douleur des familles de victimes. Et la colère aussi. Joint par Europe 1, Laurent Lamy, le frère d’une des 228 victimes de ce crash d’un vol Air France, a refusé d’accabler les pilotes, bien que le rapport souligne la « réaction inappropriée de l’équipage » au moment du décrochage de l’avion. Un rapport « bidonné ». « Pour moi, ce rapport est complètement bidonné et ces conclusions ne correspondent pas du tout à la réalité », lance-t-il. « Les pilotes ne sont pas la cause mais les conséquences. Ce sont tous ces instruments qui ont indiqué de mauvaises informations aux pilotes qui ont fait que cet avion s’est crashé », a-t-il expliqué. « Trop d’informations étaient fausses ». On aurait pu mettre n’importe quel équipage aux commandes, on serait arrivé au même résultat dans la mesure où trop d’informations étaient fausse : l’altitude, la vitesse, l’alarme de décrochage qui fonctionnait à l’envers. Aucun être humain n’aurait pu comprendre cette situation », a-t-il conclu.

 

Crash Rio-Paris : « la faute à l’équipage »(experts) …ben voyons !

Crash Rio-Paris : « la faute à l’équipage »(experts) …ben voyons !  

Comme d’habitude pas question de trop mettre en cause l’industrie Airbus, du coup on tape sur léquipage.une habitude lors des crashs. L’accident du vol Rio-Paris d’Air France « aurait pu être évité« , selon les conclusions d’un rapport de contre-expertise dont l’AFP a pris connaissance ce mardi. La catastrophe, qui a coûté la vie à 228 personnes, est due à « une réaction inappropriée de l’équipage après la perte momentanée des indications de vitesse». Les experts affirment que les simulations « ont clairement établi la prédominance des facteurs humains dans les causes de l’accident et dans les facteurs contributifs« , poursuivant, « nous avons aussi déterminé que l’accident aurait pu être évité, et ceci par quelques actions appropriées de l’équipage« . Me Yassine Bouzrou, un des avocats des proches des victimes juge ce rapport « plein de contradictions et d’imprécisions« . « Les experts se contentent de blâmer les pilotes tout en éludant la question centrale des défaillances techniques« . Dans cette contre-expertise, ordonnée par la justice en 2013, les auteurs font une liste de 14 facteurs par ordre d’importance. « L’absence d’analyse structurée de la panne présente« , tout d’abord, « la non compréhension de la situation » et « la répartition des tâches dans le cockpit qui n’a pas été appliquée de manière rigoureuse ».  Les experts mettent également en cause Air France. Il y a eu, selon eux, une « absence de directives claires de la part d’Air France malgré plusieurs cas analogues faisant suite à des givrages des sondes Pitot et donc un retour d’expérience insuffisant ». Ils estiment également que les pilotes n’étaient pas suffisamment formés « dans l’application de la procédure IAS douteuses« , requise lors du givrage des sondes et sur le comportement de l’avion lors de la perte des indications de vitesse.

 

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol