Archive pour le Tag 'craignent'

Gaza- 65 % des Français craignent l’importation du conflit

Gaza- 65 % des Français craignent l’importation du conflit

D’après un sondage Figaro, 65% des sondés craignent que «des actes comme ceux commis par le Hamas le 7 octobre», qui ont coûté la vie à près de 1400 Israéliens, «pourraient un jour se produire en France».

L’ampleur de la guerre à Gaza et la haine réciproque des deux communautés qui s’affrontent fait craindre aux français la possibilité d’une importation en France du conflit.

Un risque sans doute aussi alimentés par des attentats contre les juifs ou des Français non marqués par une religion.

Il est clair que le délitement de l’autorité de l’État pourrait favoriser de telles affrontements. Un état déjà incapable de rétablir l’ordre dans les quartiers bien identifiés géographiquement et sociologiquement. Comment l’État pourrait-il être efficace sur l’ensemble du territoire alors d’ailleurs qu’aucun plan n’est même prévu pour assurer la sécurité de ce point de vue.

Rien d’étonnant à cela puisque le gouvernement et certaines élites sont en plein déni de réalité et considèrent les attaques des terroristes comme des faits divers et non comme des faits de société même lorsqu’ils se produisent à l’école.

Pourtant les Français qui vivent qui observent de près le délitement de l’autorité de l’État mesurent bien le fossé qui sépare la culture française traditionnelle et ses valeurs de celle de populations aux mœurs et aux comportements en retard de 1000 ans par rapport aux pays développés.

Ce déni de réalité constitue une faiblesse et même une lâcheté car il retarde l’objectif central qui peut permettre de faire nation à savoir l’assimilation. Il s’agit bien en effet d’assimiler les populations nouvelles et non de faire les coexister dans un état multiculturel favorisant les conflits sociétaux ou culturel.
De ce point de vue,71% des Français voient dans l’antisémitisme une «menace sérieuse pour les Français de confession juive mais également pour la société dans son ensemble», à un moment où les actes antisémites explosent.

TPE-PME : 50 % craignent la faillite

TPE-PME : 50 % craignent la faillite

On pourrait assister à une véritable hécatombe des petites entreprises qui certes ont pu bénéficier de prêts aidés mais qui ne pourront renouveler l’opération comme le fait l’État d’autant que les banques auront plus que des réticences à porter à bout de bras des entreprises financièrement condamnées. 47% des petites et moyennes entreprises se sentent menacées, selon une enquête de la CPME. Plus du tiers estiment même qu’elles auront des difficultés à rembourser leur PGE une fois arrivées à l’échéance. Dans le secteur de l’hôtellerie-restauration particulièrement éprouvé par la crise, près de la moitié prévoit même de diminuer ses effectifs, et ce malgré l’approche des fêtes de Noël.

 

Les prévisions des dirigeants de TPE-PME pour la fin de cette année doivent « nous alerter », prévient la CPME. C’est la mise en garde de l’organisation patronale qui a cherché à mesurer l’impact de la crise économique provoquée par la pandémie de coronavirus ainsi que la confiance des entreprises dans l’avenir, dans une enquête réalisée auprès de 1950 d’entre elles, entre le 9 au 21 septembre 2020. Les résultats sont catastrophiques depuis la crise sanitaire et les prévisions d’activité ne sont guère réjouissantes.

Sondage fin de notre civilisation: 60% la craignent

Sondage fin de notre civilisation: 60% la craignent

 

Environ six Français sur dix redoutent en effet un effondrement de notre civilisation selon un sondage YouGov pour le « Huffington Post et seuls 27% estiment que la COP25 est une solution efficace pour lutter contre le réchauffement climatique.

 

Sur les causes possibles d’un effondrement, le réchauffement climatique arrive en tête (36%), devant la surpopulation (17%) et la montée des inégalités (14%). Seuls 29% des 55 ans et plus ont peur d’un effondrement lié au réchauffement climatique.

 

* L’enquête a été réalisée sur 1 004 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus.

Le Crédit Agricole et les banques classiques craignent Orange Bank

Le Crédit Agricole et les banques classiques craignent Orange Bank

 

 

  • Le crédit agricole –comme les autres banques classiques– redoute à juste titre la future concurrence d’Orange Bank. Orange qui se lance dans l’activité bancaire entend devenir l’une des principales banques françaises sinon la première. Il est clair qu’Orange avec son portefeuille clients en télécoms disposent d’un potentiel assez considérable. En outre le paiement par téléphone portable, internet ou Smartphone notamment pourrait constituer un atout supplémentaire. Il reste cependant du chemin à parcourir pour qu’Orange dépasse par exemple la BNP. Orange vise en effet 2 millions de clients avant 10 ans. Cela étant on peut faire la confusion entre le nombre de clients et le nombre de comptes. Pour les ménages en effet le nombre de comptes tourne autour de 130 millions. Orange  veut compter parmi les leaders. Ses ambitions sont spectaculaires: selon les syndicats, Orange vise 400.000 clients dès la première année, et 2 millions d’ici à 2024. C’est par exemple deux fois plus que les leaders historiques comme ING Direct ou Boursorama, la filiale de la Société Générale qui vient tout juste de franchir le cap des 900 000 clients. Pour Orange le chemin est encore long à parcourir si l’on s’en tient à la situation des banques en France que fait culture banque :

 

BNP Paribas affiche un produit net bancaire en augmentation de 9,6% pour atteindre 42,9 milliards d’euros en 2015 contre 39,2 milliards d’euros l’an dernier. BNP Paribas valide encore sa première place au palmarès des banques françaises en termes d’activité. Le coût du risque est stable, mais la banque aux 4 étoiles n’est plus pénalisée comme l’an passé par une amende de 6 milliards d’euros des Autorités des Etats-Unis, ainsi le résultat net part du groupe retrouve un niveau très élevé à 6,7 milliards d’euros.

Groupe Crédit Agricole : La banque verte (les caisses régionales, la holding et ses filiales dont LCL) présente un PNB de 31,8 milliards d’euros pour s’offrir une nouvelle fois la seconde place de notre classement 2016, une performance bien aidée par la dynamique de la gestion de l’épargne et l’assurance du groupe. Le RNPG ressort lui aussi en hausse à 6 milliards d’euros.

Société Générale : La banque de La Défense poursuit sa croissance en 2015 avec un PNB en hausse à 25,6 milliards d’euros. La banque précise qu’il s’agit d’une bonne performance commerciale de l’ensemble des métiers, notamment en banque de détail avec 305 000 ouvertures nettes de comptes à vue et une bonne dynamique du crédit. Le RNPG de la Société Générale termine en belle hausse à 4 milliards d’euros, il bénéficie aussi de la baisse du coût du risque.

Groupe BPCE : Le groupe Banque Populaire et Caisse d’Epargne (Natixis et ses filiales) présente un PNB de 23,8 milliards d’euros, une hausse notamment portée par les métiers spécialisés de Natixis. Le groupe BPCE est désormais en 4ème position de notre classement des banques. Le résultat net part du groupe est en hausse à 3,2 milliards d’euros.

Groupe CM11-CIC : Ce groupe est composé de 11 fédérations Crédit Mutuel, du Crédit Industriel et Commercial (CIC) et ses filiales. Le groupe mutualiste réalise un Produit Net Bancaire en hausse à 12,8 milliards d’euros, avec développement notable des activités extra-bancaire : assurances, téléphonie, télésurveillance et ventes immobilières… Le résultat net part du groupe affiche un niveau record pour ce groupe à 2,3 milliards d’euros.

La Banque Postale : La banque du groupe La Poste présente une légère hausse de son PNB 5,7 milliards d’euros (stable avec les arrondis…). Tout comme sa rentabilité qui atteint 707 millions d’euros. Son activité de crédit immobilier progresse de +43% profitant du contexte de renégociation des prêts immobiliers. La Banque Postale mise également sur la clientèle de professionnels et d’entreprises pour l’année 2016.

Crédit Mutuel Arkéa : Composé de 3 caisses régionales Crédit Mutuel Arkéa, la banque en ligne Fortuneo, et de nombreuses des filiales (bail, affacturage, assurance…). Ce groupe breton se fait remarquer par sa volonté d’indépendance vis-à-vis du groupe national Crédit Mutuel-CIC. Les irréductibles bretons communiquent un PNB de à 1,8 milliards d’euros et une rentabilité de 296 millions d’euros.

 

Mais il est indéniable que l’offre bancaire d’Orange accessible aussi sur Internet et par l’application mobile va constituer un atout considérable qui pourrait accélérer le développement de rangements. L’offre sera d’abord distribuée dans 140 boutiques, qui ont déjà été sélectionnées sur les 850 que compte le réseau. « Ce sont les plus grosses, celles dans lesquelles il est possible d’aménager un espace de confidentialité ». Dès le deuxième semestre 2017, l’offre sera également distribuée par les réseaux Groupama et Gan. Ce qui représente 3.000 points de vente supplémentaires. « Nous n’allons pas transformer nos agences en banques ou nos commerciaux en conseillers bancaires » explique-t-on au sein du groupe. « Ils seront en quelque sorte des apporteurs d’affaires » ajoute un responsable syndical qui décrit le futur scénario : l’idée, c’est qu’à chaque fois qu’un client entre dans la boutique pour souscrire un forfait, le conseiller lui propose l’ouverture d’un compte, avec à la clé des réductions ».

 

Sondage : 59% craignent la précarité

Sondage : 59% craignent la précarité

L’Observatoire BFM Business publie, ce lundi 25 février, son baromètre du pouvoir d’achat, réalisé par Ipsos et CGI Consulting. Après les prévisions moroses de la Commission européenne, vendredi dernier, les résultats de l’enquête ne sont guère plus réjouissants. Seuls 12% des Français estiment, en effet, que leur pouvoir d’achat va augmenter. « La population française ne se démarque donc pas des prévisions les plus pessimistes émises notamment par le FMI« , explique Rodolphe Bonnasse, directeur général de CA Com.   Plus de la moitié des Français pense en revanche que leur pouvoir d’achat va encore diminuer en 2013, et 59% sont inquiets à l’idée de basculer un jour dans la précarité. Même chez les cadres supérieurs, 43% sont pessimistes concernant une précarité possible. En cas de baisse du pouvoir d’achat en 2013, les Français réduiront leurs dépenses en priorité dans les loisirs, les nouvelles technologies et l’habillement. En cas de hausse, ce sont les postes essentiels comme l’alimentation et le logement qui seront augmentés en priorité.  Deux Français sur dix affirment ne pas arriver à terminer le mois, et 14% disent ne boucler leur budget que grâce à leurs économies. Enfin, 8% sont obligés de faire appel à un crédit ou à une aide extérieure. Et moins d’un tiers des personnes interrogées arrive à mettre de l’argent de côté. Actuellement, plus d’un Français sur deux a le sentiment de « devoir se contenter de l’essentiel« , et 8% des personnes interrogées déclarent même devoir renoncer à des dépenses essentielles, en rognant sur la santé, l’alimentation et le logement. Cette impression touche particulièrement les employés et les ouvriers des zone rurale, et dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 2 000 euros.

 

 

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