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Défense – Le lâche renoncement sous couvert de pacifisme du monde politique et de l’opinion

Défense – Le lâche  renoncement sous couvert de pacifisme du monde politique et de l’opinion

Curieusement émergent à nouveau les vieux clivages concernant la problématique de la défense du pays. Comme lors de la dernière grande guerre, de l’extrême droite à l’extrême gauche en passant par la droite et la gauche classique, on  se réfugie derrière le drapeau du pacifisme pour n’avoir pas à prendre parti vis-à-vis des guerres existantes et potentielles .

Pour une fois, Macron,  avec retard,  fait preuve de pertinence en soulignant le danger de l’impérialisme russe et la nécessité le moment venu de s’y opposer. Il a même évoqué forcément la possibilité d’envoi de troupes au sol. Inutile de tourner autour du pot, cette position est largement minoritaire pour l’instant dans le pays. Minoritaire dans l’opinion publique mais plus inquiétant dans la plupart des partis. À l’extrême gauche comme à l’extrême droite qui se rejoignent finalement pour des motifs différents qui aboutissent au même résultat mais cela traverse aussi les partis de gouvernement comme les Républicains ou  le parti socialiste.

Évidemment cette position nouvelle de Macron ne le dédouane pas de ses contradictions, de ses atermoiements et de l’indigence de la politique  défense.

Il est clair en effet que la France qui dispose d’une armée très complète mais minuscule ne pourrait tenir longtemps seule face à la Russie. La perspective ne vaut donc que si elle prend une dimension européenne qui disposent  des moyens économiques et financiers. Reste la volonté de pays qui préfèrent se mettre à l’abri sous l’aile américaine dans le cadre de l’OTAN. Le problème, c’est que les Américains eux-mêmes souhaitent financièrement se désengager de l’OTAN à propos des dépenses militaires concernant l’Europe.

Or le danger Poutine est bien là et sa politique expansionniste lui permet de rester au pouvoir en alimentant en permanence le nationalisme russe. Le « salopard dément » comme l’appelle Biden va continuer de déstabiliser non seulement l’Europe mais le monde entier en se faisant le leader de ce moment sulfureux du » sud  globa »l. L’objectif étantde détruire le concept même de démocratie pour lui substituer  des systèmes illibéraux voire dictatoriaux.

La constitution d’un système de défense européen va sans doute devenir un objectif prioritaire par rapport aux autres aspects des politiques communes. Ce qui est en jeu comme déjà indiqué , c’est la démocratie et la liberté. Comme lors de la dernière guerre mondiale. Au départ il n’était pas nombreux les partisans de la résistance au fascisme. Beaucoup ont succombé aux supposées vertus du pacifisme face à Hitler. Faut-il rappeler que le Parlement a même voté des pouvoirs au gouvernement Pétain, allié objectif de l’Allemagne.

Depuis des progrès considérables au plan économique et social  ont été réalisés mais les Français comme l’ensemble des Européens se sont réfugiés dans le confort de l’individualisme au détriment des enjeux collectifs de sociétés. Par lâcheté politique, on a même supprimé le service militaire pourtant si nécessaire à une politique de défense cohérente et si utile pour le brassage sociologique et les valeurs républicaines. Cela avec la complicité de nombre de hauts dignitaires militaires qui ne veulent pas partager le budget de défense avec des appelés. Pourtant depuis deux jours, certains anciens responsables conviennent que l’envoi de troupes au sol nécessitera beaucoup d’effectifs passant notamment par le service militaire obligatoire. On voit bien dans les conflits récents que les technologies seules sont insuffisantes sur le terrain des opérations et que les troupes au sol sont nécessaires.

Voir par exemple évidemment le conflit d’Ukraine mais aussi des conflits en Afrique et le conflit en Palestine. Globalement l’Europe dispose de moins de 1 million d’hommes tandis que la Russie peut déjà compter sur 2 millions. Quant à la France ses effectifs atteignent atteignent seulement 200 000 personnes. Une armée très complète mais miniature, témoins par exemple la France jetée en dehors de l’Afrique par la Russie.

Les experts vont objecter que l’Europe a pris conscience de ses insuffisances en matière de défense pour monter les budgets à hauteur de 2 % du PIB. Il faut d’abord noter que ces engagements ont rarement été tenus notamment en France et qu’il faudrait sans doute encore en doubler l’ampleur pour faire face aux enjeux.
Le monde politique actuel et la plupart de ses dirigeants ne se grandissent  pas en confortant les Français dans leur posture confortable du pseudo pacifisme. Une situation qui n’est pas nouvelle quand  la démagogie et le manque de courage caractérisent la plupart des projets politiques.

 

 

 

Politique de défense – Le renoncement sous couvert de pacifisme du monde politique et de l’opinion

Politique de défense – Le  renoncement sous couvert de pacifisme du monde politique et de l’opinion

Curieusement émergent à nouveau les vieux clivages concernant la problématique de la défense du pays. Comme lors de la dernière grande guerre, de l’extrême droite à l’extrême gauche en passant par la droite et la gauche classique, on  se réfugie derrière le drapeau du pacifisme pour n’avoir pas à prendre parti vis-à-vis des guerres existantes et potentielles .

Pour une fois, Macron,  avec retard,  fait preuve de pertinence en soulignant le danger de l’impérialisme russe et la nécessité le moment venu de s’y opposer. Il a même évoqué forcément la possibilité d’envoi de troupes au sol. Inutile de tourner autour du pot, cette position est largement minoritaire pour l’instant dans le pays. Minoritaire dans l’opinion publique mais plus inquiétant dans la plupart des partis. À l’extrême gauche comme à l’extrême droite qui se rejoignent finalement pour des motifs différents qui aboutissent au même résultat mais cela traverse aussi les partis de gouvernement comme les Républicains ou  le parti socialiste.

Évidemment cette position nouvelle de Macron ne le dédouane pas de ses contradictions, de ses atermoiements et de l’indigence de la politique  défense.

Il est clair en effet que la France qui dispose d’une armée très complète mais minuscule ne pourrait tenir longtemps seule face à la Russie. La perspective ne vaut donc que si elle prend une dimension européenne qui disposent  des moyens économiques et financiers. Reste la volonté de pays qui préfèrent se mettre à l’abri sous l’aile américaine dans le cadre de l’OTAN. Le problème, c’est que les Américains eux-mêmes souhaitent financièrement se désengager de l’OTAN à propos des dépenses militaires concernant l’Europe.

Or le danger Poutine est bien là et sa politique expansionniste lui permet de rester au pouvoir en alimentant en permanence le nationalisme russe. Le « salopard dément » comme l’appelle Biden va continuer de déstabiliser non seulement l’Europe mais le monde entier en se faisant le leader de ce moment sulfureux du » sud  globa »l. L’objectif étantde détruire le concept même de démocratie pour lui substituer  des systèmes illibéraux voire dictatoriaux.

La constitution d’un système de défense européen va sans doute devenir un objectif prioritaire par rapport aux autres aspects des politiques communes. Ce qui est en jeu comme déjà indiqué , c’est la démocratie et la liberté. Comme lors de la dernière guerre mondiale. Au départ il n’était pas nombreux les partisans de la résistance au fascisme. Beaucoup ont succombé aux supposées vertus du pacifisme face à Hitler. Faut-il rappeler que le Parlement a même voté des pouvoirs au gouvernement Pétain, allié objectif de l’Allemagne.

Depuis des progrès considérables au plan économique et social  ont été réalisés mais les Français comme l’ensemble des Européens se sont réfugiés dans le confort de l’individualisme au détriment des enjeux collectifs de sociétés. Par lâcheté politique, on a même supprimé le service militaire pourtant si nécessaire à une politique de défense cohérente et si utile pour le brassage sociologique et les valeurs républicaines. Cela avec la complicité de nombre de hauts dignitaires militaires qui ne veulent pas partager le budget de défense avec des appelés. Pourtant depuis deux jours, certains anciens responsables conviennent que l’envoi de troupes au sol nécessitera beaucoup d’effectifs passant notamment par le service militaire obligatoire. On voit bien dans les conflits récents que les technologies seules sont insuffisantes sur le terrain des opérations et que les troupes au sol sont nécessaires.

Voir par exemple évidemment le conflit d’Ukraine mais aussi des conflits en Afrique et le conflit en Palestine. Globalement l’Europe dispose de moins de 1 million d’hommes tandis que la Russie peut déjà compter sur 2 millions. Quant à la France ses effectifs atteignent atteignent seulement 200 000 personnes. Une armée très complète mais miniature, témoins par exemple la France jetée en dehors de l’Afrique par la Russie.

Les experts vont objecter que l’Europe a pris conscience de ses insuffisances en matière de défense pour monter les budgets à hauteur de 2 % du PIB. Il faut d’abord noter que ces engagements ont rarement été tenus notamment en France et qu’il faudrait sans doute encore en doubler l’ampleur pour faire face aux enjeux.
Le monde politique actuel et la plupart de ses dirigeants ne se grandissent  pas en confortant les Français dans leur posture confortable du pseudo pacifisme. Une situation qui n’est pas nouvelle quand  la démagogie et le manque de courage caractérisent la plupart des projets politiques.

 

 

 

Politique- Les vieux démons du renoncement sous couvert de pacifisme

Politique- Les vieux démons du renoncement sous couvert de pacifisme

Curieusement émergent à nouveau les vieux clivages concernant la problématique de la défense du pays. Comme lors de la dernière grande guerre, de l’extrême droite à l’extrême gauche en passant par la droite et la gauche classique, on  se réfugie derrière le drapeau du pacifisme pour n’avoir pas à prendre parti vis-à-vis des guerres existantes et potentielles .

Pour une fois, le président de la république fait preuve de pertinence en soulignant le danger de l’impérialisme russe et la nécessité le moment venu de s’y opposer. Il a même évoqué forcément la possibilité d’envoi de troupes au sol. Inutile de tourner autour du pot, cette position est largement minoritaire pour l’instant dans le pays. Minoritaire dans l’opinion publique mais plus inquiétant dans la plupart des partis. À l’extrême gauche comme à l’extrême droite qui se rejoignent finalement pour des motifs différents qui aboutissent au même résultat mais cela traverse aussi les partis de gouvernement comme les Républicains ou  le parti socialiste.

Évidemment cette position nouvelle de Macron ne le dédouane pas de ses contradictions, de ses atermoiements et de l’indigence de la politique  défense.

Il est clair en effet que la France qui dispose d’une armée très complète mais minuscule ne pourrait tenir longtemps seule face à la Russie. La perspective ne vaut donc que si elle prend une dimension européenne qui disposent  des moyens économiques et financiers. Reste la volonté de pays qui préfèrent se mettre à l’abri sous l’aile américaine dans le cadre de l’OTAN. Le problème, c’est que les Américains eux-mêmes souhaitent financièrement se désengager de l’OTAN à propos des dépenses militaires concernant l’Europe.

Or le danger Poutine est bien là et sa politique expansionniste lui permet de rester au pouvoir en alimentant en permanence le nationalisme russe. Le « salopard dément » comme l’appelle Biden va continuer de déstabiliser non seulement l’Europe mais le monde entier en se faisant le leader de ce moment sulfureux du » sud  globa »l. L’objectif étantde détruire le concept même de démocratie pour lui substituer  des systèmes illibéraux voire dictatoriaux.

La constitution d’un système de défense européen va sans doute devenir un objectif prioritaire par rapport aux autres aspects des politiques communes. Ce qui est en jeu comme déjà indiqué , c’est la démocratie et la liberté. Comme lors de la dernière guerre mondiale. Au départ il n’était pas nombreux les partisans de la résistance au fascisme. Beaucoup ont succombé aux supposées vertus du pacifisme face à Hitler. Faut-il rappeler que le Parlement a même voté des pouvoirs au gouvernement Pétain, allié objectif de l’Allemagne.

Depuis des progrès considérables au plan économique et social  ont été réalisés mais les Français comme l’ensemble des Européens se sont réfugiés dans le confort de l’individualisme au détriment des enjeux collectifs de sociétés. Par lâcheté politique, on a même supprimé le service militaire pourtant si nécessaire à une politique de défense cohérente et si utile pour le brassage sociologique et les valeurs républicaines. Cela avec la complicité de nombre de hauts dignitaires militaires qui ne veulent pas partager le budget de défense avec des appelés. Pourtant depuis deux jours, certains anciens responsables conviennent que l’envoi de troupes au sol nécessitera beaucoup d’effectifs passant notamment par le service militaire obligatoire. On voit bien dans les conflits récents que les technologies seules sont insuffisantes sur le terrain des opérations et que les troupes au sol sont nécessaires.

Voir par exemple évidemment le conflit d’Ukraine mais aussi des conflits en Afrique et le conflit en Palestine. Globalement l’Europe dispose de moins de 1 million d’hommes tandis que la Russie peut déjà compter sur 2 millions. Quant à la France ses effectifs atteignent atteignent seulement 200 000 personnes. Une armée très complète mais miniature, témoins par exemple la France jetée en dehors de l’Afrique par la Russie.

Les experts vont objecter que l’Europe a pris conscience de ses insuffisances en matière de défense pour monter les budgets à hauteur de 2 % du PIB. Il faut d’abord noter que ces engagements ont rarement été tenus notamment en France et qu’il faudrait sans doute encore en doubler l’ampleur pour faire face aux enjeux.
Le monde politique actuel et la plupart de ses dirigeants ne se grandissent  pas en confortant les Français dans leur posture confortable du pseudo pacifisme. Une situation qui n’est pas nouvelle quand  la démagogie et le manque de courage caractérisent la plupart des projets politiques.

 

 

 

Les vieux démons du renoncement sous couvert de pacifisme

Les vieux démons du renoncement sous couvert de pacifisme

Curieusement émergent à nouveau les vieux clivages concernant la problématique de la défense du pays. Comme lors de la dernière grande guerre, de l’extrême droite à l’extrême gauche en passant par la droite et la gauche classique, on  se réfugie derrière le drapeau du pacifisme pour n’avoir pas à prendre parti vis-à-vis des guerres existantes et potentielles .

Pour une fois, le président de la république fait preuve de pertinence en soulignant le danger de l’impérialisme russe et la nécessité le moment venu de s’y opposer. Il a même évoqué forcément la possibilité d’envoi de troupes au sol. Inutile de tourner autour du pot, cette position est largement minoritaire pour l’instant dans le pays. Minoritaire dans l’opinion publique mais plus inquiétant dans la plupart des partis. À l’extrême gauche comme à l’extrême droite qui se rejoignent finalement pour des motifs différents qui aboutissent au même résultat mais cela traverse aussi les partis de gouvernement comme les Républicains ou  le parti socialiste.

Évidemment cette position nouvelle de Macron ne le dédouane pas de ses contradictions, de ses atermoiements et de l’indigence de la politique  défense.

Il est clair en effet que la France qui dispose d’une armée très complète mais minuscule ne pourrait tenir longtemps seule face à la Russie. La perspective ne vaut donc que si elle prend une dimension européenne qui disposent  des moyens économiques et financiers. Reste la volonté de pays qui préfèrent se mettre à l’abri sous l’aile américaine dans le cadre de l’OTAN. Le problème, c’est que les Américains eux-mêmes souhaitent financièrement se désengager de l’OTAN à propos des dépenses militaires concernant l’Europe.

Or le danger Poutine est bien là et sa politique expansionniste lui permet de rester au pouvoir en alimentant en permanence le nationalisme russe. Le « salopard dément » comme l’appelle Biden va continuer de déstabiliser non seulement l’Europe mais le monde entier en se faisant le leader de ce moment sulfureux du » sud  globa »l. L’objectif étantde détruire le concept même de démocratie pour lui substituer  des systèmes illibéraux voire dictatoriaux.

La constitution d’un système de défense européen va sans doute devenir un objectif prioritaire par rapport aux autres aspects des politiques communes. Ce qui est en jeu comme déjà indiqué , c’est la démocratie et la liberté. Comme lors de la dernière guerre mondiale. Au départ il n’était pas nombreux les partisans de la résistance au fascisme. Beaucoup ont succombé aux supposées vertus du pacifisme face à Hitler. Faut-il rappeler que le Parlement a même voté des pouvoirs au gouvernement Pétain, allié objectif de l’Allemagne.

Depuis des progrès considérables au plan économique et social  ont été réalisés mais les Français comme l’ensemble des Européens se sont réfugiés dans le confort de l’individualisme au détriment des enjeux collectifs de sociétés. Par lâcheté politique, on a même supprimé le service militaire pourtant si nécessaire à une politique de défense cohérente et si utile pour le brassage sociologique et les valeurs républicaines. Cela avec la complicité de nombre de hauts dignitaires militaires qui ne veulent pas partager le budget de défense avec des appelés. Pourtant depuis deux jours, certains anciens responsables conviennent que l’envoi de troupes au sol nécessitera beaucoup d’effectifs passant notamment par le service militaire obligatoire. On voit bien dans les conflits récents que les technologies seules sont insuffisantes sur le terrain des opérations et que les troupes au sol sont nécessaires.

Voir par exemple évidemment le conflit d’Ukraine mais aussi des conflits en Afrique et le conflit en Palestine. Globalement l’Europe dispose de moins de 1 million d’hommes tandis que la Russie peut déjà compter sur 2 millions. Quant à la France ses effectifs atteignent atteignent seulement 200 000 personnes. Une armée très complète mais miniature, témoins par exemple la France jetée en dehors de l’Afrique par la Russie.

Les experts vont objecter que l’Europe a pris conscience de ses insuffisances en matière de défense pour monter les budgets à hauteur de 2 % du PIB. Il faut d’abord noter que ces engagements ont rarement été tenus notamment en France et qu’il faudrait sans doute encore en doubler l’ampleur pour faire face aux enjeux.
Le monde politique actuel et la plupart de ses dirigeants ne se grandissent  pas en confortant les Français dans leur posture confortable du pseudo pacifisme. Une situation qui n’est pas nouvelle quand  la démagogie et le manque de courage caractérisent la plupart des projets politiques.

 

 

 

Covid variant Mu: le haut risque non couvert par les vaccins

Covid  variant Mu: le haut risque non couvert par les vaccins

 

Ce variant identifié pour la première fois en Colombie en janvier, est «potentiellement préoccupant», mais il n’y a pas encore de données suggérant qu’il puisse dépasser le variant Delta en tant que souche dominante, a déclaré jeudi le régulateur européen. Le variant – B.1.621 d’après la nomenclature scientifique – a été classé comme «variant à suivre» par l’OMS au début du mois de septembre.

L’Agence européenne des médicaments (EMA) se concentre principalement le variant Delta, mais «surveille également d’autres variants qui pourraient se répandre, comme le Lambda (identifié au Pérou) et plus récemment le Mu», a déclaré Marco Cavaleri, responsable de la stratégie sur les vaccins. Le variant «Mu pourrait être potentiellement plus préoccupant car il pourrait montrer un risque potentiel d’échappement immunitaire (résistance aux vaccins)», a-t-il précisé lors d’une conférence de presse.

Covid-Le nouveau variant « Mu », non couvert par les vaccins ?

Covid-Le nouveau variant « Mu », non couvert par les vaccins ?

Un nouveau variant du coronavirus, baptisé « Mu » qui résisterait aux vaccins a été identifié en Colombie et inquiète particulièrement l’OMS ;  l’OMS considère que quatre variants sont préoccupants, dont les variants Alpha, présent dans 193 pays, et Delta, présent dans 170 pays, tandis que cinq autres variants sont à suivre (y compris Mu).

L’OMS précise que le variant présente des mutations qui pourraient indiquer un risque d’ »échappement immunitaire » (résistance aux vaccins), et souligne que des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ses caractéristiques.

Covid: Le nouveau variant « Mu », non couvert par les vaccins ?

Covid: Le nouveau variant « Mu », non couvert par les vaccins ?

Un nouveau variant du coronavirus, baptisé « Mu » qui résisterait aux vaccins a été identifié en Colombie et inquiète particulièrement l’OMS ;  l’OMS considère que quatre variants sont préoccupants, dont les variants Alpha, présent dans 193 pays, et Delta, présent dans 170 pays, tandis que cinq autres variants sont à suivre (y compris Mu).

L’OMS précise que le variant présente des mutations qui pourraient indiquer un risque d’ »échappement immunitaire » (résistance aux vaccins), et souligne que des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ses caractéristiques.

Le nouveau variant « Mu », non couvert par les vaccins ?

Le nouveau variant « Mu », non couvert par les vaccins ?

Un nouveau variant du coronavirus, baptisé « Mu » qui résisterait aux vaccins a été identifié en Colombie et inquiète particulièrement l’OMS ;  l’OMS considère que quatre variants sont préoccupants, dont les variants Alpha, présent dans 193 pays, et Delta, présent dans 170 pays, tandis que cinq autres variants sont à suivre (y compris Mu).

L’OMS précise que le variant présente des mutations qui pourraient indiquer un risque d’ »échappement immunitaire » (résistance aux vaccins), et souligne que des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ses caractéristiques.

Nouvelle-Calédonie: sous le couvert d’indépendance le business des futurs dirigeants

Nouvelle-Calédonie: sous le couvert d’indépendance le business des futurs dirigeants

 

 

Comme souvent les discours violemment anti coloniaux dissimulent difficilement les intérêts financiers des futurs dirigeants. En Nouvelle-Calédonie qui risque de voter pour l’indépendance , une indépendance approuvée par une majorité de Français, l’enjeu de l’indépendance tourne en fait autour de l’exploitation du nickel. Une manne que risque de se partager les nouveaux dirigeants.

Un phénomène bien connu ailleurs avec un détournement des objectifs de liberté et de démocratie. Pourtant une partie de la filière nickel a été concédée au indépendantiste et c’est un véritable échec. La filière filière nickel de la province Nord de Nouvelle-Calédonie, gérée par les indépendantistes, est en effet dans une situation de faillite. Bras armé dans ce secteur de la province du Nord indépendantiste, la Société minière du Sud Pacifique (SMSP) a été placée, le 18 mai, sous procédure de sauvegarde par le tribunal de commerce de Nouméa. Fin avril, la Cour territoriale des comptes alertait déjà sur l’impasse de la gestion indépendantiste de la filière nickel qui fait travailler un Calédonien sur cinq.

Évidemment, certains pays agissent là comme ailleurs en sous-main déstabiliser la présence française. Mais les lendemains risquent d’être difficiles en Nouvelle-Calédonie comme ailleurs. De toute manière la population hexagonale française ce désintéresse de ce sujet et approuve même l’indépendance sans doute pour sortir enfin de ce bourbier politique.

30 % du territoire mal couvert en téléphone mobile de qualité?

30 % du territoire mal couvert en téléphone mobile de qualité?

Officiellement le territoire couvert à 99 % par la téléphonie mobile. En fait, la qualité est très différente selon qu’on est couvert par la 2G, la 3G ou la 4 G. Ce concept de couverture est très approximatif car dans nombre de régions, il peut varier en qualité jusqu’à devenir inexistant selon notamment les conditions météorologiques. En réalité, 30 % du territoire est mal couvert. Cette couverture est à distinguer du taux de possession des smartphones et autres téléphones mobiles qui atteint 95 %. « On observe néanmoins un léger ralentissement de la croissance du taux de pénétration du smartphone depuis 2016″, note une étude, ce qui laisserait entendre que « cet équipement entre dans sa phase de maturité, caractérisée par une évolution plus lente dans les prochaines années ».

Cette stabilisation s’explique notamment par le fait que les personnes âgées de 70 ans et plus détentrices d’un autre type de téléphone « ne voient pas forcément l’utilité d’un smartphone par rapport à un téléphone mobile ‘classique’ », ce qui limite l’accès à de nouveaux consommateurs. Un peu moins de la moitié (44%) de cette tranche d’âge est équipée.

Le Baromètre numérique souligne que la taille de l’agglomération de résidence joue sur le taux d’équipement en smartphone et que les disparités entre les communes plus petites et les grandes pourraient « potentiellement s’expliquer par des différences dans la qualité du réseau Internet mobile ». Il est clair qu’on ne voit pas l’intérêt d’un Smartphone dans les zones où on a déjà de la peine à recevoir de simples communications téléphoniques. Le développement de la 5G devrait encore accroître les inégalités dans la mesure où le nombre d’antennes devra être multiplié par trois par rapport à la situation présente. Un investissement qui sera forcément privilégié dans les zones denses.

Kerviel : Sarkozy a couvert tout ça ( Mélenchon)

Kerviel : Sarkozy a couvert tout ça ( Mélenchon)

 

 

Mélenchon a raison le scandale D4Etta que constitue l’affaire de la société générale n’a pas pu exister sans l’aval du pouvoir en place, relayé ensuite pas le pouvoir actuel ( Sapin a traité Kerviel d’escroc !).  Il est clair qu’il fallait préserver les intérêts de la banque ( comme ceux des autres banques) , faire plonger un lampiste ( au demeurant qui n’a pas pris la précaution de sortir de sciences, de l’ENA ou de polytechnique). En fait un étranger à l’oligarchie qui ne pouvait remettre en cause la logique des banques. Une logique de spéculation avec les dépôts et les prêts de la BCE . car ce sont sur ces activités spéculatives que les banques réalisent de prodigieux profits, que les grands patrons s’en mettent plein les poches ( plus de 300 millionnaires parmi les dirigeants des banques françaises) et arrosent les actionnaires. En 2009 on avait promis de mettre fin à ces activités spéculatives des banques de dépôt. Mais Hollande, qui l’avait aussi promis a refusé ( avec Moscovici) de séparer activités de marchés ( spéculatives) et activités de dépôt. Conclusion on continue comme avant et c’est en spéculant sur les actions, les taux de change, les matières premières ( y compris alimentaires quitte à affamer les pays pauvres) que les banques se remplissent les poches. Avec parfois des prises de risques considérables  qui dépassent leurs fonds propres. Du coup il fallait ne pas briser cette belle logique qui rapporte tant et enfoncer ce pauvre type de Kerviel. Pire on attribué 1.7 milliards à la société générale ( l’argent du contribuable), distribués ensuite aux dirigeants et aux actionnaires en compensation du préjudice ! C’est évidemment le un scandale et le pouvoir en place à l’époque , Sarkozy en tête  a étouffé l’affaire société générale. « C’était le président de la république Nicolas Sarkozy qui a couvert tout ça », affirme l’ancien candidat du Parti de gauche à RTL.  »On ne peut pas décider d’attribuer 1,7 milliard d’euros à une banque sans que la décision vienne du plus haut sommet de l’État« , explique-t-il. Dans la foulée, il en appelle à Nicolas Sarkozy afin de donner des explications.  « Rien n’a été contrôlé, par conséquent il va falloir que monsieur Sarkozy rembobine le film et nous explique pourquoi il a pris cette décision. Il y a eu une grande manœuvre« , insiste Jean-Luc Mélenchon. 

 

 

Réforme pénale : on remet le couvert avec une reforme sociétale pour cacher le chômage,

Réforme pénale : on remet le couvert avec une reforme sociétale pour cacher le chômage,

 De grandes idées à nouveau sur la prison de part de Taubira  légitimées par  le suivi des condamnés alors que la justice ne possède strictement aucun moyen pour ce suivi et pour la réinsertion. (Quand on a été visiteur de prison comme moi, on sait de quoi on parle). Un moyen auusi pour Hollande de cacher la misère du chômage avec cette nouvelle réforme de société déconnectée des réalités. La suppression des peines planchers. C’est un principe fondateur de l’esprit du projet de loi : l’individualisation de la peine. C’est pour cette raison que Christiane Taubira s’oppose aux peines planchers, mesure prise en 2007 par Nicolas Sarkozy, puisqu’elles sont par définitions automatiques. Le projet de loi prévoit que l’examen de mesures d’aménagement des peines soit obligatoire pour les peines de moins de un an de prison (contre deux actuellement) et en cas de récidive de six mois (contre un an actuellement). La mise en place d’une contrainte pénale. Christiane Taubira ne considère pas la prison comme la seule et unique solution et part du constat suivant : « La prison porte sa part dans la récidive. » Il s’agit de proposer une nouvelle peine, qui ne se substitue pas aux autres peines déjà existantes mais s’ajoute à la « palette » de peines offerte au juge. « Évidemment, et contrairement à ce qui est dit, ce projet de loi ne vise pas à supprimer ni à remplacer la prison. L’échelle des peines est là. Il s’agit d’enrichir l’arsenal répressif qui est mis à la disposition des juges. Concrètement, la contrainte pénale est une peine en milieu ouvert, restrictive de liberté. Elle peut, par exemple, prendre la forme d’un travail d’intérêt général (TIG), d’une obligation de soins ou d’autres obligations imposées par le juge de l’application des peines (JAP). Le projet de loi prévoit qu’elle puisse être prononcée pour tous les délits passibles d’un maximum de cinq ans de prison. Mais le rapporteur PS du texte Domnique Raimbourg a obtenu le feu vert pour élargir la contrainte pénale à tous les auteurs de délits. Pour lutter contre la récidive, Christiane Taubira entend mettre fin aux sorties de prison sans aucun suivi, dite « sorties sèches ».   »Les récidivistes plus que les autres doivent sortir avec un contrôle et des contraintes », expliquait-elle en août dernier, à La Rochelle. Depuis le début, la Garde des Sceaux plaide pour « un retour progressif à la liberté » qui pourrait passer par plusieurs obligations pour le condamné, comme c’est le cas par exemple au Canada, attaché à l’accompagnement des condamnés. « La sortie sèche » de prison est le terreau de l’aggravation des récidives », a également déclaré la ministre en rappelant que la nouvelle loi entendait instaurer un rendez-vous judiciaire une fois les deux-tiers de la peine exécutée pour permettre au juge d’application des peines de travailler sur l’avenir du détenu et se prononcer sur une éventuelle libération conditionnelle ou un maintien en prison.

 




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