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Coût d’un sénateur coûte plus d’un demi-million, plus le reste !

Coût d’un sénateur coûte plus d’un demi-million, plus le reste !

 

500 000 millions environ pour chacun  348 sénateurs français (quand les Etats-Unis n’en compte que 100 !)° ; C’est le cout direct déjà exorbitant compte tenu du peu   d’intérêt du sénat, vieille institution inutile pour recaser les politiques fatigués ou menacés. Il agit du coût direct mais il faudrait prendre en compte les coûts indirects liés à la bureaucratie que le parlement génère et qui tue l’initiative de acteurs et plombe la compétitivité. Là il s’agit de milliards ; On voit mal comment les politiques pourraient réaliser des réformes structurelles quand déjà eux-mêmes se gavent.  Bénéficiant de nettement moins de pouvoir de décision que l’Assemblée Nationale, les résidents du Palais du Luxembourg sont souvent critiqués pour le coût bien réel qu’ils représentent pour le contribuable. Le budget du Sénat est d’ailleurs gelé depuis 2008.  Mais sans même compter les frais d’entretien des bâtiments ou de la chaîne LCP, les 348 sénateurs français, dont la moitié va être renouvelé, ce dimanche 28 septembre, coûtent chacun 523.846 euros par an à l’Etat français.  La dépense la plus évidente reste le salaire. Au 1er avril, l’indemnité parlementaire s’élève à 7.100,15 euros brut en comptant les indemnités de base et de fonction, soit 5.388 euros nets. A noter: le très convoité poste de président du Sénat est doté d’une prime de 7.057,55 euros. Selon la loi de prévision des finances 2014, ce poste de dépense représente 31 millions d’euros cette année, plus 11 millions d’euros pour la Sécurité sociale et les pensions.  Les sénateurs reçoivent chaque mois 6.037 euros nets pour leurs frais de fonction. A cette somme vient s’ajouter une carte permettant l’accès à l’intégralité du réseau SNCF, un remboursement de leurs frais de communications et de leurs déplacements en taxi à Paris, ainsi que de leurs frais d’hôtels dans la capitale. En 2014, le Sénat prévoit 107 millions d’euros d’indemnité de fonction, soit plus de 25.000 euros par mois et par sénateur.  Bercy a publié le détail de cette réserve, qui permet aux sénateurs de financer des projets dans leur circonscription, ce samedi 18 septembre. Chaque sénateur a le droit à un maximum de cinq collaborateurs. Pour les rémunérer, les élus reçoivent une enveloppe de 7.548,10 euros par mois. Dans les comptes du Sénat, cette dépense n’est pas distinguée des rémunérations de tout le personnel qui n’est pas sénateur. Ces trois dépenses représentent donc plus de 180 millions d’euros, soit un peu moins de trois euros par an et par Français. En prenant en compte les autres salaires des employés du Sénat et les frais d’administration, ainsi que les frais du jardin du Luxembourg et les revenus du musée, l’Etat a versé 323 millions d’euros en 2014.

 

Coût du travail : le plus élevé d’Europe en France

Cout du travail : le plus élevé d’Europe en France

On le savait déjà mais c’est encore confirmé le travail est matraqué par la fiscalité en France, pas étonnant que la compétitivité soit entamée et que le chômage atteigne des records. Il s’agit là de la cause structurelle majeure de la faiblesse de l’économie française. . «La France possède le taux de prélèvement sur le travail le plus élevé d’Europe, non pas en raison du niveau d’impôt sur le revenu qui pèse sur les ménages, mais à cause des cotisations employeurs qui sont bien supérieures à celles de nos voisins», insiste Christine Costard du Cabinet BDO. Ces cotisations patronales, pour un couple avec deux enfants disposant d’un salaire brut de 50.000 euros, représentent en effet 42 % du salaire brut en France, contre 29 % en Italie, 26 % en Espagne, 19 % en Allemagne et 11 % au Royaume-Uni. Ce constat est vérifié quel que soit le niveau de rémunération y compris pour les très hauts salaires, comme ceux de plus de 1 million d’euros. Très souvent pointé du doigt par les 19 millions de ménages qui le payent encore, l’impôt sur le revenu est en revanche le plus faible d’Europe. Ce sont les cotisations salariales qui dégradent la situation. «La France détient aussi le record pour les cotisations sociales salariés, là encore, quel que soit le salaire annuel brut», précise Christine Costard. Elles atteignent en effet 21 % en France, mais 10 % seulement au Royaume-Uni, 9 % en Italie ou 5 % en Espagne. Au final, précise l’associée de BDO, «pour un couple avec deux enfants et des revenus annuels bruts de 50.000 euros, le total des prélèvements (impôt sur le revenu, cotisations sociales salariales et cotisations patronales salariales, NDLR) s’élève à 30.079 euros en France. C’est 16 % de plus qu’en Allemagne, 17 % de plus qu’en Italie, 27 % de plus qu’en Espagne, 68 % de plus qu’en Suisse ou encore 77 % de plus qu’en Grande-Bretagne».

 

Grève SNCF : un coût de 3 milliards pour un mouvement pathétique

Grève SNCF : un cout de 3 milliards pour un mouvement pathétique

 

La grève SNCF finira cette semaine faute de combattants et de manière pathétique. La faute évidemment aux syndicats corpos réacs qui ont géré le mouvement comme des irresponsables. En La faute surtout aux gauchistes corpos de sud que la CGT a suivi pour ne pas perdre le contact avec les plus radicaux. Bilan :  sans doute l’un des derieirs mouvements à la SNCF dont limage a été grandement affectée dans l’opinion publique. A prévoir auusi une raclée aux élections professionnelles pour Sud et la CGT. Du coup pour éviter ce type de grève les gouvernements seront de plus en plus incités à donner des coups de canifs dans ce statut de cheminot. Un bilan donc catastrophique au plan économique et social. Un coût de l’ordre de 3 milliards déjà pour l’économie et de 150 millions pour la seule SNCF. Au 9eme jour de grève de certains cheminots, le patron de la SNCF estime le coût du conflit à 153 millions d’euros pour l’entreprise publique. La facture totale atteindrait selon certaines estimations 400 millions par jour pour l’économie française.  Le 16 juin, Guillaume Pepy estimait sur RMC à 80 millions d’euros le coût de la grève pour la SNCF. Ce jeudi 19 juin, dans Le Parisien/Aujourd’hui en France, le patron de l’entreprise publique affirme qu’il est désormais de 153 millions au 9eme jour de conflit. « Cela fait 15 trains franciliens. Soit un tiers de notre résultat de l’année dernière. C’est énorme », constate-t-il. Pour le transport de fret, la moitié des marchandises qui étaient sur les trains sont passées par la route, ajoute-t-il.  « Il y a des risques que des entreprises ne reviennent pas. Il y a une perte de confiance, et ça c’est grave ». « Il y a un risque que cela laisse des traces à cause de ces clivages, des pressions qu’il y a eus entre grévistes et ceux qui travaillent », ajoute le président de la SNCF.  Plus globalement, le conflit entraînerait un coût global de 300 à 400 millions d’euros par jour en conséquences directes et indirectes pour les entreprises comme pour les salariés. C’est ce qu’affirme en tout cas Frédéric Gonand, professeur à Paris-Dauphine dans le Parisien, qui se base sur les conflits précédents dans les transports.  Mais le fait que la grève actuelle intervienne en mai, mois des ponts où les salariés prennnent des RTT en cascade, pourrait réduire le manque à gagner supplémentaire pour les entreprises. A l’inverse, le secteur du tourisme pourrait être davantage impacté que si le conflit se déroulait en hiver. L’Insee ne devrait rendre son verdict qu’au début 2015.

 

Habitat : transition énergétique , un coût de 15 à 30 000 euros

Habitat : transition énergétique , un coût de 15 à 30 000 euros 

François Brottes, le président de la commission des Affaires économiques à l’Assemblée nationale les détails relatifs à  la rénovation thermique de l’habitat, qui constitue l’un des défis majeurs des prochaines années. Selon lui, le futur texte aura un triple avantage « Aujourd’hui, c’est très compliqué d’obtenir un « écoprêt ». Il faut devoir faire toutes sortes de travaux, etc. On va simplifier la norme, ce qui peut permettre de gagner du temps et de l’énergie à la sortie », a assuré François Brottes. « On va avoir un système de crédit d’impôt qui va être doublé, donc beaucoup plus attractif », a affirmé le député socialiste. Interrogé sur le manque à gagner pour l’Etat, il a tenu à relativiser. « Quand vous faites un crédit d’impôt pour que les gens fassent des travaux, quand vous faites travailler des entreprises qui vont payer des impôts, qui vont mobiliser de la TVA, qui vont neutraliser du chômage (qui coûte cher à toute la société), vous avez tout de suite des dépenses passives qui se transforment en dépenses actives pour la croissance », a-t-il indiqué. François Brottes a également insisté sur le concept de tiers financeur. Il s’agit en fait de « permettre aux gens d’avoir quelqu’un qui porte le financement à leur place ».  « On peut convaincre les propriétaires. La rénovation thermique, cela coûte entre 15.000 et 30.000 euros par logement. Le tiers financeur porte le financement de cet investissement, et récupère le capital qu’il a investi et les intérêts au moment de la mutation (héritage, vente, etc.) », a-t-il détaillé. « Comme le bien a pris de la valeur, et comme le propriétaire a bénéficié du confort, il est tout de même gagnant. Il faut juste qu’il accepte qu’il y ait un moment de remboursement. Le problème, c’est d’avoir des acteurs tiers financeurs qui portent le financement pendant plusieurs dizaines d’années ».

 

Cybercriminalité : un coût de 445 milliards de dollars

Cybercriminalité : un coût de  445 milliards de dollars

La cybercriminalité coûte environ 445 milliards de dollars par an (327 milliards d’euros) à l’économie mondiale en termes de croissance, d’innovation et de compétitivité, selon un rapport publié ce lundi 9 juin par le Center for Strategic and International Studies (CSIS). « La cybercriminalité est un impôt sur l’innovation; elle ralentit le rythme de l’innovation dans le monde en réduisant la rémunération des innovateurs et des inventeurs », déclare Jim Lewis du CSIS dans un communiqué. Le rapport a été commandé par la société de logiciels de sécurité McAffee, filiale du groupe Intel. Géographiquement, la facture pèse surtout sur les grandes puissances économiques : le coût pour les Etats-Unis, la Chine, le Japon et l’Allemagne atteint un total de 200 milliards de dollars (près de 150 milliards d’euros).  Les pertes liées aux données personnelles, telles que les données des cartes de crédit volées, sont estimées à 150 milliards de dollars. Aux Etats-Unis, 40 millions de personnes, soit environ 15% de la population, ont été victimes de vols de données personnelles par les hackers. Une collaboration internationale plus étroite dans la lutte contre la cyber-criminalité commence à porter ses fruits, souligne McAfee. Lundi dernier, la justice américaine a annoncé avoir démantelé un réseau international de pirates informatiques qui avaient réussi à contaminer des centaines de millions d’ordinateurs dans le monde. Une douzaine de pays ainsi que des entreprises de sécurité privées ont collaboré pour traquer les responsables du réseau, baptisé Gameover Zeus, du nom du virus principal utilisé par les pirates.

 

La cybercriminalité coûte environ 445 milliards de dollars par an (327 milliards d’euros) à l’économie mondiale en termes de croissance, d’innovation et de compétitivité, selon un rapport publié ce lundi 9 juin par le Center for Strategic and International Studies (CSIS). « La cybercriminalité est un impôt sur l’innovation; elle ralentit le rythme de l’innovation dans le monde en réduisant la rémunération des innovateurs et des inventeurs », déclare Jim Lewis du CSIS dans un communiqué. Le rapport a été commandé par la société de logiciels de sécurité McAffee, filiale du groupe Intel. Géographiquement, la facture pèse surtout sur les grandes puissances économiques : le coût pour les Etats-Unis, la Chine, le Japon et l’Allemagne atteint un total de 200 milliards de dollars (près de 150 milliards d’euros).  Les pertes liées aux données personnelles, telles que les données des cartes de crédit volées, sont estimées à 150 milliards de dollars. Aux Etats-Unis, 40 millions de personnes, soit environ 15% de la population, ont été victimes de vols de données personnelles par les hackers. Une collaboration internationale plus étroite dans la lutte contre la cyber-criminalité commence à porter ses fruits, souligne McAfee. Lundi dernier, la justice américaine a annoncé avoir démantelé un réseau international de pirates informatiques qui avaient réussi à contaminer des centaines de millions d’ordinateurs dans le monde. Une douzaine de pays ainsi que des entreprises de sécurité privées ont collaboré pour traquer les responsables du réseau, baptisé Gameover Zeus, du nom du virus principal utilisé par les pirates.

 

Sondage : coût du travail trop élevé

Sondage : coût du travail trop élevé

 

Progressivement les français se mettent à l’économie même s’il y a encore des progrès à faire. Ainsi une majorité admet que le coût du travail est trop élevé (comme la rémunération des patrons et des actionnaires). 8O% pensent que la solution pour la croissance passe par l’investissement. Une majorité de Français, de gauche comme de droite, pense que la croissance ne reviendra pas sous le quinquennat de François Hollande Une large majorité de Français estime que le coût du capital, mais également celui du travail, constituent des freins pour l’économie française, selon un sondage Harris Interactive pour la CGT publié ce lundi. Ainsi, 87% des Français affirment que le coût du capital, c’est-à-dire les dividendes accordés aux actionnaires ou les intérêts versés aux banques, « contribue » aux difficultés de l’économie française. 58% pensent qu’il y contribue « fortement » et 29% « un peu ». Mais ce sondage montre aussi que 81% des Français font la même constatation pour le coût du travail (salaires, primes, cotisations patronales, frais de formation). 41% estiment qu’il contribue « fortement » et 40% « un peu » aux problèmes économiques. Pour relancer la croissance, il faut d’abord réduire les taxes et impôts des ménages, ainsi que les cotisations salariales, estiment 41% des Français. Ils sont 35% à souhaiter la même chose pour les dividendes versés aux actionnaires et 34% pensent qu’il faudrait diminuer les taxes et impôts des entreprises, ainsi que les cotisations patronales. Pour 33% des Français, il faudrait réduire les salaires des dirigeants des entreprises, tandis que 30% d’entre eux souhaitent une baisse des intérêts versés aux banques. Seuls 4% des Français souhaitent une réduction des emplois dans le privé et le public, 3% une baisse des salaires et 2% une réduction de l’investissement. Par ailleurs, 80% des personnes interrogées jugent que les efforts demandés par le gouvernement pour améliorer la situation sont répartis de manière injuste (36% tout à fait injuste et 44% plutôt injuste). Enfin, pour une majorité de Français (79%), l’augmentation des investissements serait la mesure la plus efficace pour améliorer la situation économique du pays. Ce sondage, selon la méthode des quotas, a été réalisé en ligne du 28 au 30 mai auprès d’un échantillon de 1.471 personnes représentatif de la population française.

Le coût des parlementaires : une folie

Le coût des parlementaires : une folie

Après les prochaines élections européennes, le 25 mai, le Parlement comptera 751 députés au total. La France en élira 74. Si leur pouvoir de décision est souvent remis en question, leur coût, lui, est bien réel. Pour 2014, le budget de l’Union européenne s’élève à 135,5 milliards d’euros. Le Parlement représente environ 1,3% de cette somme, avec un budget de 1,756 milliard. « Les dépenses des parlementaires européens, y compris leurs salaires, frais de voyage, bureaux et rémunérations des assistants représentent environ 27 % du budget 2014″, écrit l’institution sur son site internet. Soit un total de 474,12 millions d’euros.  Dans le détail, les parlementaires européens bénéficient d’un salaire brut de 7.956,87 euros par mois (imposé par l’Europe, puis par les Etats). Ils touchent également une indemnité pour frais de 4.299 euros par mois, à laquelle il convient d’ajouter une indemnité journalière d’un peu plus de 300 euros (304 euros en 2011). Au total, donc, le coût annuel d’un eurodéputé s’élève à 613.318 euros. La France, de son côté, contribue au Budget de l’UE à hauteur de 22 milliards d’euros, dont environ 285 millions pour le Parlement. Soit 77 millions pour les seuls parlementaires (102.000 euros par député). La contribution par Français s’élève donc à un peu plus d’un euro par an.  A titre de comparaison, les dépenses de l’Assemblée nationale française pour les députés s’élèvent à 305 millions d’euros par an environ, selon les comptes de 2013, sur un budget total de 579 millions. Soit un total de 529.000 euros par député.   Du côté du Palais du Luxembourg, 246 millions annuels sont destinés aux parlementaires, sur un budget total de 335 millions. Ce qui ramène le coût à 707.000 euros pour chacun des 348 sénateurs. En résumé, le coût moyen d’un parlementaire français représente 595.000 euros par an, intégralement financé par le contribuable.

 

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

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Pour le seul mois de mai de cette année, il est possible de bénéficier de 12 jours chômés pour seulement trois jours de posés. Un avantage pour les salariés, qui n’est pas sans conséquences sur l’économie française.  Les trois jeudis fériés chômés coûtent 500 millions d’euros à l’économie française, selon l’Insee. En ajoutant à cela le prix des trois ponts possibles, le chiffre peut atteindre le milliard d’euros perdu. Mais ces jours de vacances ont tout de même quelques côtés positifs. À commencer par le repos des salariés, difficilement chiffrable mais bénéfique pour la productivité et donc pour la croissance. Certains secteurs, comme le tourisme, l’hôtellerie, les loisirs, ou encore les transports se frottent les mains. Pour eux : les 1er, 8 et 29 mai sont synonymes de bénéfices.

 

Pollution à Paris :coût 4 millions d’euros par jour

Pollution Paris : 4 millions d’euros par jour

Plus de 30 départements sont en alerte maximale à la pollution aux particules fines, vendredi 14 mars. Les autorités prennent des mesures d’urgence comme la gratuité des transports en commun, notamment en IIe-de-France jusqu’à dimanche. Et selon les informations recueillies par RTL, le coût d’une telle mesure s’élève à 4 millions d’euros par jour. Ces 4 millions par jour, c’est la recette quotidienne des billets vendus à l’unité qui ne sera pas perçue. Pour les pass Navigo, en revanche, aucun impact financier puisque ces abonnements sont payés à la semaine, ou à l’année et aucune ristourne n’est prévue pour cause de pollution .  Cette perte de recette pour la RATP, la SNCF et le réseau OPtile qui regroupent des compagnies de bus privées qui desservent la grande banlieue, sera compensée par le STIF, l’organisme qui regroupe les collectivités territoriales en Ile-de-France pour gérer les Transports Publics .  Le budget du STIF étant de près 9 milliards d’euros, 4 millions pour absorber cette journée de gratuité, cela ne pose pas de problème nous dit-on. Mais si cela dure plusieurs jours, ça risque de finir par peser lourd et le STIF n’exclut pas de se retourner vers l’État pour obtenir une aide financière car c’est un arrêté préfectoral qui a instauré la gratuité. Ce n’est pas une décision des élus locaux, le gouvernement doit assumer.  En tout cas promesse du STIF : il n’y aura pas de hausse des tarifs en cours d’année pour absorber le coût de la mesure.

Retraites des fonctionnaires : un coût pour l’Etat de 37 milliards en 2013 ( Le Figaro)

Retraites des fonctionnaires : un coût pour l’Etat de 37 milliards en 2013  ( Le Figaro) 

Seul un quart des pensions de la fonction publique est financé par les cotisations des agents de l’État. Les contribuables doivent payer la différence : 37,3 milliards en 2013.

Les retraites des fonctionnaires souffrent d’un déséquilibre abyssal. C’est ce que confirme le dernier rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR), que Le Figaro s’est procuré et qui doit être présenté ce mardi après-midi. Vicissitude du calendrier: à la même heure, les députés s’exprimeront, pour la deuxième fois et en procédure de vote bloqué, sur la réforme Ayrault des retraites. Un projet de loi qui ne s’attaque nullement au besoin de financement des retraites de la fonction publique. Et pourtant: d’après les calculs actualisés du COR, seul un quart des pensions est financé par les cotisations salariales. Le régime des fonctionnaires n’est certes pas techniquement en déficit. Mais c’est jouer sur les mots: le trou – la différence entre les recettes et les dépenses – est automatiquement comblé par le budget de l’État. Résultat, un euro dépensé en subvention pour les retraites des fonctionnaires, c’est un euro de moins pour l’éducation. Ou un euro de plus de dette publique. Au final, l’État, qui ne verse pas à proprement parler de cotisation employeur, subventionne discrètement les retraites des fonctionnaires à hauteur de… 73 % de ses besoins. Concrètement, la facture atteindra 37,3 milliards d’euros cette année, selon les prévisions du COR. L’administration nomme, pudiquement, cette ligne budgétaire «cotisations fictives». Hélas, la douloureuse, elle bien réelle, ne cesse de gonfler: + 5,5 % en 2011, + 4,2 % en 2012 et + 1,7 % en 2013. Ce nouveau rapport du COR ne prend pas en compte la réforme Ayrault des retraites, qui ne s’appliquera qu’en 2014. Mais qu’importe puisqu’elle ne s’attaque pas aux retraites des fonctionnaires, le gouvernement ayant resserré sa cible sur les seuls 7 milliards de besoin de financement du régime des salariés à horizon 2020. Évidemment, les agents de la fonction publique seront soumis à la hausse des cotisations à partir du 1er janvier 2014. Mais à un rythme moins prononcé, car le rattrapage de l’écart de cotisation avec les salariés du privé, décidé en 2010, n’est pas terminé. Ils n’échapperont pas non plus à l’allongement de la durée de cotisation à partir de 2020. Mais, au final, ces mesures ne rapporteront que 300 millions l’année prochaine et 800 à horizon 2020. On est loin du trou de 37 milliards comblé chaque année par le budget de l’État… Pourquoi le régime des fonctionnaires est-il à ce point dans le ­rouge? Primo, il souffre d’un déséquilibre démographique car il compte plus de retraités (2,33 millions) que de cotisants (2,1 millions). Sur ce point, le régime général des salariés est «avantagé», avec un ratio démographique de 1,38 salarié par retraité. Secundo, les pensions dans le public sont calculées sur les six derniers mois de traitement, contre les 25 meilleures années dans le privé. Une différence qui avantage les futurs ex-agents de l’État. «Une majorité de fonctionnaires bénéficient d’un “coup du chapeau” avant leur départ en retraite, une forte augmentation de traitement dans les six derniers mois de leur carrière, décrypte Bruno Chrétien, le président de l’Institut de la protection sociale. Un faible coût pour l’administration, qui octroie, pour quelques mois, ladite hausse, mais une charge énorme – un gonflement artificiel de la pension versée pendant des dizaines d’années – pour l’État, et donc pour l’ensemble des contribuables français!» Et pour cause: l’État augmente ainsi la base de calcul des cotisations en fin de carrière, sans que cela corresponde en face aux cotisations versées par le fonctionnaire, à partir de salaires largement moins élevés, durant la vie active. Le régime de la fonction publique est enfin plus généreux que celui des salariés du privé. Les «dispositifs de solidarité» (départs anticipés, majoration de durée d’assurance pour enfant, minima de pension…) représentent 27,9 % des pensions versées, contre 16,2 % dans le privé. Le gros de ces dépenses provient du financement des départs anticipés à la retraite, par exemple des militaires.

 

100 millions : le coût de la monarchie républicaine à L’Elysée

100 millions : le coût de la monarchie républicaine à L’Elysée

 

 

La France n’as plus d’argent mais sait entretenir la pompe monarchique républicaine. Un coût de 100 millions pour l’Elysée, une bricole dans un pays en crise, il faut bien sûr y ajouter les quelques milliards nécessaires pour faire fonctionner le gouvernement, l’assemblée nationale, le sénat, le conseil économique et social etc. La royauté coûtait  cher et n’était pas très démocratique, pas sûr que cette monarchie républicaine coûte moins chère et soit plus démocratique! « Logiquement, » c’est le contribuable qui finance le fonctionnement de la présidence de la République via le budget de l’Etat. Pour 2014, la dotation destinée à l’Elysée s’élèvera à 101,7 millions d’euros, soit 1,8% de moins qu’en 2013. Mais les crédits budgétaires ne représentent pas tout. Selon le projet de budget 2014, les « produits divers de gestion » rapporteront 2 millions d’euros l’an prochain. « Ils représentent désormais près de 2% des ressources de la Présidence », remarque le député UMP Marc Le Fur, rapporteur des crédits de l’Elysée pour la commission des finances de l’Assemblée nationale. Parmi ces produits, les intérêts des deux comptes courants ouverts par l’Elysée auprès du Trésor public atteindront en 2014 quelques 902.000 euros pour des dépôts de 27,1 millions. Une somme qui devrait cependant baisser de 6,5% par rapport à 2013. Ces comptes servent à payer les dépenses courantes engagées durant l’année par l’Elysée. D’autres produits exceptionnels alimentent le budget présidentiel. C’est le cas des recettes du restaurant de l’Elysée, cantine très nettement améliorée où se restaurent les collaborateurs et les employés de la présidence. En 2014, ces recettes s’élèveront à 606.000 euros, soit 4,7% de moins qu’en 2013 sans que les documents budgétaires fournissent d’explication. Quant aux plateaux-repas servis aux conseillers du président dans leurs bureaux, ils génèreront 29.200 euros de recettes, soit 3,9% de plus qu’en 2013. Enfin, en 2014, l’Elysée pourra utiliser une partie du produit de la vente aux enchères d’un dixième de la cave que la Présidence a réalisée en mai dernier. « Après reversement de la moitié du produit de cette vente au budget de l’État, soit 250 000 euros, 50 000 euros seront en effet prélevés sur la part restant à la Présidence, soit 250 630 euros, pour acquérir de nouveaux millésimes et concourir au renouvellement de la cave », explique le député Marc Le Fur…. qui ne semble éprouver aucune honte !

Sauvetage zone euro: coût de 82 milliards pour l’Allemagne, 62 milliards pour la France

Sauvetage zone euro: coût de 82 milliards pour l’Allemagne, 62 milliards pour la France

Les citoyens allemands ont garanti le sauvetage de la zone euro à hauteur de 86 milliards d’euros jusqu’à présent, selon une note du ministère allemand des Finances, rapporte la presse allemande, ce jeudi 8 août. Ce chiffre ne comprend que les versements au Fonds européen de stabilité financière (FESF), le premier mécanisme européen de sauvetage créé en 2010. A cette somme de 86 milliards, déjà versés, vont donc s’ajouter 28 milliards d’ici avril 2014 pour le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui doit assurer la relève du FESF.  Au total, l’Allemagne aura donc déboursé 114 milliards d’euros en quatre ans pour sauver ses voisins européens. Une annonce qui ne devrait pas calmer la grogne des Allemands, alors que les prochaines élections auront lieu dans moins d’un mois. A titre de comparaison, le sauvetage de la zone euro va coûter 62,5 milliards d’euros à la France, cette année. D’ici 2015, cette somme devrait grimper jusqu’à atteindre au total 68,7 milliards d’euros.  L’Irlande, le Portugal et la Grèce sont, pour le moment, les trois seuls bénéficiaires du FESF, pour un montant total de 188,3 milliards d’euros. La Grèce, à elle seule, a déjà touché 133 milliards et dispose d’encore 10,7 milliards d’euros d’aides potentielles à venir. Chypre et l’Espagne, eux, ont bénéficié de l’aide du second mécanisme, le MES. Le montant de l’aide au secteur bancaire espagnol a ainsi atteint 41,3 milliards d’euros en février 2013, et celui pour Chypre était de 3 milliards d’euros fin juin.

 

Ponts de mai: coût de 2 milliards d’euros

Ponts  de mai: coût de 2 milliards d’euros

L’année 2013 comporte en effet 251 jours ouvrés, soit deux jours de moins que 2012, comme l’explique une enquête de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) publiée l’été dernier. Cette situation, qui ne s’était pas présentée depuis 2006, coûterait pas moins de 0,1 point en moins au PIB français, avance l’étude. La répartition des jours fériés est capricieuse, et cette année, seul le 14 juillet se trouve être un dimanche. Les autres jours fériés, dont quatre pour le seul mois de mai, impactent négativement la croissance du PIB du pays. Cette différence de jours ouvrés entraînerait donc une diminution de 0,1 point du produit intérieur brut, soit environ 2 milliards d’euros. Mais cette facétie de calendrier affecte différemment les secteurs de l’économie. En effet, ceux à l’activité continue, notamment l’industrie, voient d’un mauvais oeil ce mois de mai propice à la pose de congés ou de jours de RTT. Avec les 1er et 8 mai, le jeudi de l’Ascencion (9 mai) et le lundi de Pentecôte (20 mai), les entreprises ont fort à faire pour adapter leur planning afin d’assurer bon fonctionnement de leurs activités et de limiter les pertes de chiffres d’affaire. A l’inverse, le secteur du tourisme profite de la situation et voit ses réservations donc ses résultats augmenter lors de cette période. Paradoxalement, la crise économique actuelle a un effet bénéfique et atténue le manque à gagner provoqué par ces jours fériés. Comme l’explique Eric Heyer, économiste à l’OFCE cité par Challenges, « avoir plus de jours fériés quand on est en haut de cycle, c’est ennuyeux car les usines tournent à plein régime et les entreprises ne peuvent pas répondre à toute la demande ». Or plutôt que des entreprises qui tournent à plein régime, c’est une production en berne qui est touchée par la perte de jours ouvrés, dont l’impact négatif est moins important.  Pour autant, il faut noter l’importance du jour de la semaine sur lequel tombe les jours fériés. Par exemple, les prévisions de l’INSEE pour l’année 2014 présentent seulement un impact négatif de 0,01 point pour le PIB, soit dix fois moins que l’année en cours, alors que les deux années présentent le même nombre de jours ouvrés. Ainsi, même si en 2014 aucun jour férié ne tombe un dimanche, on comptera un mardi et deux jeudis ouvrés de moins mais trois mercredis supplémentaires, toujours selon l’étude. Or l’effet d’un mercredi ouvré est supérieur à celui d’un mardi ou d’un jeudi rappelle l’INSEE, la perte de croissance sera donc inférieure à celle attendue pour 2013.

Évasion fiscale : un coût de 1000 milliards par an pour l’UE

Évasion fiscale : un coût de 1000 milliards par an pour l’UE

Affaire Cahuzac mais surtout la diffusion par la presse des personnalités ayant des comptes dans des paradis fiscaux ; deux éléments pour faire enfin réagir la commison européenne. La Commission européenne a exhorté jeudi les pays de l’UE à « se saisir de la question » de l’évasion fiscale, notamment en adoptant une définition commune de ce qu’est un paradis fiscal, et a rappelé que l’évasion fiscale coûtait « plus de 1.000 milliards » d’euros par an à l’Europe. Interrogé au cours d’un point de presse sur la liste de personnalités actionnaires de sociétés dans des paradis fiscaux, publiée jeudi par plusieurs journaux dans le monde, le porte-parole de la Commission européenne, Olivier Bailly, a refusé de la commenter.  Mais, a-t-il rappelé, la Commission « a une position très ferme sur la fraude fiscale en générale » et a proposé en décembre dernier des mesures qui « sont encore en attente d’accord de la part des Etats membres » de l’UE.  Le but est de « limiter le coût de l’évasion fiscale en Europe, que nous évaluons à plus de 1.000 milliards d’euros par an », a-t-il expliqué.   »Pour la Commission, il ne doit y avoir aucune complaisance quelle qu’elle soit pour les individus, les sociétés ou les pays tiers qui contournent les lois internationales pour organiser la fraude fiscale », a-t-il dit.  La Commission a proposé en décembre un paquet d’une trentaine de mesures visant à lutter contre l’évasion fiscale. Elle y invite notamment les Etats de l’UE à faire une liste des paradis fiscaux, et à renforcer les accords de double imposition entre pays, pour éviter les vides juridiques favorisant la fraude fiscale.   »Nous attendons que les Etats membres se saisissent de cette question », a-t-il dit, ajoutant: « nous voulons que les Etats membres développent une position commune et une définition commune de ce qu’est un paradis fiscal ».  A la question de savoir si le Luxembourg est un paradis fiscal, M. Bailly n’a pas directement répondu, rappelant que des règles « très claires » s’appliquaient à « tous les Etats membres » de l’UE en matière de transmission d’informations sur les contenus des comptes bancaires.   »Nous sommes plutôt en train d’essayer d’avoir une définition des pratiques qui seraient illégales, plutôt que d’un terme qui cristallise », comme celui de paradis fiscal, a-t-il ajouté.

 

Coût de la congestion de la circulation : 266 milliards de dollars

Coût  de la congestion de la circulation : 266 milliards de dollars

 

266 milliards de dollars… C’est ce que coûtent les difficultés de circulation dans les 30 plus grandes villes du monde, selon une étude du cabinet Roland Berger. »La mobilité personnelle est clé pour le succès et la prospérité de l’économie d’un pays. Mais la croissance démographique, et donc l’augmentation du trafic au sein des plus grandes mégalopoles mondiales mènent à une paralysie », constatent les spécialistes qui ont réalisé l’étude.  Ils estiment que la solution est « la mobilité connectée »: lier les données de transport et les modes de transport. « Bien que nous vivions dans un monde de plus en plus connecté, la mobilité individuelle reste très fragmentée: au moment opportun, nous manquons d’information sur la meilleure manière d’aller du point A au point B », explique Xavier Aymonod, de la division Transport du cabinet Roland Berger.  Le cabinet suggère en outre d’interconnecter les différents modes de transport (véhicules privés, transports publics, co-voiturage et voitures électriques) pour que les voyageurs puissent passer de l’un à l’autre selon leurs besoins. « L’intégration de modes de transport variés aurait des impacts positifs en termes environnementaux, mais aussi sur la qualité de vie et permettrait d’économiser 266 milliards de dollars par an pour les 30 plus grandes mégalopoles mondiales », selon cette étude.  Roland Berger note que « plusieurs des conditions nécessaires sont déjà en place », à commencer par la vulgarisation des smartphones, « avec déjà plus d’un milliard de smartphones présents sur le marché mondial » (et un doublement attendu dans les deux ans), qui permet d’accéder à l’information en temps réel, n’importe où.  « Les dispositifs mobiles, les technologies de transmission rapide (LTE) et les services en cloud sont déjà une réalité et constituent l’ossature de la future mobilité », explique Xavier Aymonod. L’étude ajoute qu’au-delà des constructeurs de voiture, « déjà au coeur de la mobilité individuelle », les opérateurs ferroviaires et les compagnies aériennes avec leurs réseaux internationaux « pourraient également assumer cette fonction intégratrice ».  Enfin, « les opérateurs télécoms et les fournisseurs Internet sont également en bonne position pour mutualiser les services de divers fournisseurs de mobilité via des portails uniques », estiment-ils.

 

 

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