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Vacances des Français : plus court, moins loin, moins cher

Vacances des Français : plus court, moins loin, moins cher

Conséquence de la crise les Français adaptent leurs vacances. Pour résumer ils font des séjours plus courts choisissent des résidences moins loin et le budget vacances est plus serré :- 4,8 % par rapport à l’an passé, soit désormais 1 979 € par foyer, d’après Protourisme. La progression du nombre de vacanciers et leur choix massif de l’Hexagone s’illustrent par exemple avec les achats de billets de trains effectués par des Français auprès de voyage-sncf.com: Nice, + 11 % ; Aix-en-Provence, + 6 % ; Cannes, + 6 % ; Bordeaux, + 5 % ; Paris, + 4,3 %, etc. Ces chiffres sont corroborés par les données recueillies sous la houlette de MKG Hospitality. Elles concernent la fréquentation hôtelière du mois de juillet: les établissements de la Côte d’Azur affichent un taux d’occupation en progression de + 6 % par rapport à 2014, pendant que ceux du bord de Manche enregistrent + 3,2 %, ceux de l’Atlantique, + 2,1 %, etc.  Les pays du sud de la Méditerranée, où les séjours touristiques étaient nombreux, Égypte, Tunisie et désormais Turquie, victimes des troubles politiques, n’enregistrent pratiquement plus aucune réservation Noter par ailleurs que ces chiffres positifs s’accompagnent d’une hausse significative de la recette (+27,2% sur la Côte d’Azur), il est vrai largement liée à la clientèle étrangère.  Les départs à l’étranger touchent un peu plus de 10 millions de Français cet été. Comme d’habitude, l’Espagne et l’Italie accaparent la très grande majorité des séjours. Mais la Grèce s’impose sur la troisième marche du podium avec la perspective d’accueillir plus de 1,5 million de nos compatriotes dans l’année dont plus de la moitié cet été. Comme s’ils voulaient montrer leur solidarité dans les difficultés que traverse le pays. Les autres grandes destinations touristiques internationales, États-Unis, Canada, Thaïlande, Chine et pays d’Asie du Sud-est enregistrant des résultats plus modestes.

Relance Immobilier : les propositions du rapport Duport…. un peu court !

Relance Immobilier : les propositions du rapport Duport…. un peu court !

Ces propositions concernent surtout l’allégement des procédures notamment en réduisant les délais d’instruction des dossiers. Par contre rien sur les normes complètement aberrantes. Rien sur la matrise du coût du foncier et rien sur  les modalités de financement pour les accédants à la propriété. Un rapport qui n’est pas inutile ;  pour résumer on ira plus vite mais les contraintes seront toujours aussi complexes. Du flou également sur la démocratie participative à propos des grands projets, pas étonnant Ségolène est également impliquée dans les suites de ce rapport.   Les propositions du rapport Duport pour accélérer les projets de construction, grâce à des procédures « plus simples et plus efficaces » ont été remises vendredi 3 avril aux ministres du Logement Sylvia Pinel et de l’Environnement Ségolène Royal, a annoncé celle-ci.   Intitulé « Accélérer les projets de construction, simplifier les procédures environnementales, moderniser la participation du public », ce rapport est signé par le préfet Jean-Pierre Duport. Il préconise notamment de réduire les délais d’instruction des autorisations d’urbanisme en-deçà de 5 mois, sauf « exception justifiée par l’intervention d’une autorité de niveau national ». Il suggère aussi d’ imposer à l’autorité compétente d’indiquer l’ensemble des motifs justifiant un second refus de délivrance d’une autorisation d’urbanisme après annulation du premier refus par le juge administratif ». Le rapport avance aussi l’idée, lorsqu’un projet est d’intérêt général, de « permettre au représentant de l’Etat d’imposer à l’autorité compétente d’indiquer l’ensemble des motifs justifiant un premier refus de délivrance d’une autorisation d’urbanisme ». Des « mesures d’accompagnement des projets les plus importants » pourraient aussi être prises, et des « échanges collégiaux entre architectes des bâtiments de France », encouragés. Les projets les plus importants seraient aussi confiés à un « avis collégial ». Quant à l’administration, elle est encouragée à adopter un maillage territorial de ses services techniques « au plus près des territoires et des projets« . Le rapport l’incite aussi à « insérer de la collégialité dans les avis nécessaires à la délivrance d’une autorisation » et à dématérialiser les procédures et les documents d’urbanisme. Enfin, en matière de simplification des procédures environnementales, le rapport propose la création d’un « permis environnemental unique« . Ce dernier facilitera les relations entre les autorités compétentes et les porteurs de projets avec l’instauration d’un guichet unique, la coordination des autorisations et un encadrement des délais. Enfin, en matière de modernisation de la participation du public, le rapport propose notamment de « réserver l’enquête publique aux projets les plus importants« . Pour les autres projets, il y aurait une mise à disposition du dossier au public, avec enregistrement et publication des observations. Le rapport Duport suggère aussi « d’ouvrir la participation du public plus en amont du processus décisionnel, afin qu’elle porte sur les finalités du projet, son opportunité et les éventuelles solutions alternatives ».  Mais ce dernier champ fera l’objet d’un « chantier de la démocratie participative », sa mise en œuvre reste donc à définir. Ces propositions auront leur traduction législative dans le projet de loi pour la croissance et l’activité, a précisé Sylvia Pinel.

 

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