Archive pour le Tag 'courantes'
Economie-Inflation : augmentation du prix des consommations courantes
Les consommateurs ont évidemment constaté l’augmentation importante du carburant mais plus généralement de l’énergie. Ceci vaut aussi pour d’autres consommations courantes comme les produits alimentaires la plupart des produits alimentaires ont augmenté. L’INSEE vient d’ailleurs de constater une augmentation de 2,6% sur 1 an en octobre. Si on prend par exemple le prix des pâtes, certaines marques – particulièrement les marques des distributeurs – affichent une hausse de 10% par rapport à avant l’été. Mais cette forte hausse ne concerne pas tous les produits. D’ailleurs, si on regarde sur l’ensemble des produits alimentaires, l’inflation n’est que de 1% depuis le 1er janvier. « Il faut s’attendre à une augmentation du panier » d’ici la fin de l’année, confirme le spécialiste de la grande distribution, Olivier Dauvers. Il faudrait aussi ajouter les augmentations discrètes mais réelles des autres dépenses contraintes qui plombent de plus en plus les ménages moyens
Inflation : augmentation du prix des consommations courantes
Les consommateurs ont évidemment constaté l’augmentation importante du carburant mais plus généralement de l’énergie. Ceci vaut aussi pour d’autres consommations courantes comme les produits alimentaires la plupart des produits alimentaires ont augmenté. Si on prend par exemple le prix des pâtes, certaines marques – particulièrement les marques des distributeurs – affichent une hausse de 10% par rapport à avant l’été. Mais cette forte hausse ne concerne pas tous les produits. D’ailleurs, si on regarde sur l’ensemble des produits alimentaires, l’inflation n’est que de 1% depuis le 1er janvier. « Il faut s’attendre à une augmentation du panier » d’ici la fin de l’année, confirme le spécialiste de la grande distribution, Olivier Dauvers. Il faudrait aussi ajouter les augmentations discrètes mais réelles des autres dépenses contraintes qui plombent de plus en plus les ménages moyens
Prospective dans rétroviseur : En 2025, les machines traiteront la majorité des tâches courantes
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Comme la mode est à la survalorisation de l’intelligence artificielle, tout est bon pour démontrer que la plupart des emplois seront demain automatisés. Ce que rapporte aujourd’hui le Figaro en se fondant sur une étude du le Forum économique mondial qui prévoit qu’en 2025 les machines accompliront plus de tâches que les humains, contre 29 % actuellement. À noter d’abord le degré de précision de 29 % de tâches qui seraient accomplies par les machines, une précision qui fait douter de la pertinence scientifique de l’étude. Certes l’intelligence artificielle via notamment la numérisation et la robotisation va continuer de remplacer des tâches précédemment effectuées de manière manuelle. Mais le processus n’est pas nouveau, il y a longtemps que la machine a remplacé l’homme pour certaines tâches. Un seul exemple, dans les années 50 il fallait plusieurs personnes pour exploiter une surface agricole d’une dizaine d’hectares. Aujourd’hui une seule personne suffit pour 200 ha (tout dépend évidemment de la nature des productions certaine à haute valeur ajoutée nécessitant davantage de main-d’œuvre que d’autres). On constate le même processus dans nombreuse filières y compris dans l’artisanat ou le commerce. Le couvreur ou le boucher ne travaille plus de la même manière. Pour assurer sans doute le citoyen l’étude du forum économique mondial considère cependant que le bilan global des emplois sera positif avec environ 60 millions d’emplois supplémentaires. Un chiffre encore tout à fait approximatif voir fantaisiste car il s’agit de prendre en compte évidemment les conditions d’évolution des processus de production mais aussi la transformation de la nature de ces productions. Or d’ici une quinzaine d’années on produira des biens dont on ne connaît pas aujourd’hui la nature pour la moitié. Si l’étude ne cache pas que la prudence doit être de rigueur dans ce tournant majeur lié à la quatrième révolution industrielle, les chiffres d’impact qu’elle avance sont plus optimistes que dans une précédente étude de 2016. Le problème c’est que personne ne peut réellement avancer des arguments pertinents pour être optimiste ou pessimiste.
Transactions courantes dans le rouge en décembre
Moins d’investissement français à l’étranger et moins d’investissements étrangers en France ont pesé sur les mauvais résultats de décembre ; En octobre 2014, le déficit était de 0,4 milliard d’euros. Mais les transactions ont enregistré un déficit de 1.9 milliards en décembre. La balance des transactions courantes est un bon indicateur de la situation d’une économie par rapport au reste du monde, car elle va au-delà des seuls échanges de biens, déficitaires depuis une dizaine d’années en France. Elle prend en compte ceux, croissants, de services ainsi que les revenus des investissements et ceux du travail versés entre agents économiques en France et à l’étranger. Les données mensuelles des transactions courantes sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (cvs-cjo). Les transactions courantes forment l’un des trois grands ensembles de la balance des paiements. Les deux autres composantes sont le compte de capital (remise de dette, achat de brevets, de terrains…), et le compte financier qui répertorie entre autres les investissements directs et de portefeuille et l’évolution des réserves en devises et en or. Au sein du compte financier (données non cvs), les opérations d’investissement direct se sont soldées par des désinvestissements français à l’étranger (-2,8 milliards) et étrangers en France (-2,3 milliards), selon la BdF.