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Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Avec l’inflation, un caddie qui coûtait 100 euros en 2004 revient aujourd’hui à 143 euros, selon un économiste. Mais lorsque la réduction de la taille des produits est prise en compte, il devient encore plus onéreux pour les consommateurs.( info du Figaro)

Pour Quentin Demé, cofondateur du Congrès UPI et professeur d’Économie et Finance, si l’on additionne l’inflation et la réduction de la taille des produits, «c’est une double perte de pouvoir d’achat pour le consommateur»«Un caddie qui vous coûtait 100 euros en 2004, vous coûte désormais près de 143 euros en juin 2024. Premier état de fait : vous remarquez une inflation très importante sur votre caddie en 20 ans. Néanmoins, cette somme reste biaisée puisqu’elle n’intègre pas la pratique de la réduflation. Vous avez certes le même nombre de produits mais plus la même contenance. Ainsi, en intégrant cette pratique pour obtenir le même caddie qu’en 2004 (en supposant que tous les produits aient subi une perte de 14,3%), vous devriez non pas dépenser 143 euros mais près de 167 euros !», pointe le spécialiste.

Pour réaliser ce calcul, Quentin Demé a identifié une augmentation des prix de 43% sur vingt ans, uniquement pour l’inflation, soit environ 1,7% chaque année. Il s’est ensuite appuyé sur une étude menée au Canada au cours des vingt dernières années sur près de 300 produits ayant fait l’objet d’une «shrinkflation» qui démontre qu’en moyenne ceux-ci ont subi une réduction de leur taille de 14,3%. Au cours de son enquête, il a notamment découvert que des sachets de croquettes pour chien étaient passés de 10 à 7 kilogrammes en un an, tandis que leur prix avait évolué de 16,67 euros à 24,90 euros, soit une hausse de 49,7%.

 

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Avec l’inflation, un caddie qui coûtait 100 euros en 2004 revient aujourd’hui à 143 euros, selon un économiste. Mais lorsque la réduction de la taille des produits est prise en compte, il devient encore plus onéreux pour les consommateurs.( info du Figaro)

Pour Quentin Demé, cofondateur du Congrès UPI et professeur d’Économie et Finance, si l’on additionne l’inflation et la réduction de la taille des produits, «c’est une double perte de pouvoir d’achat pour le consommateur»«Un caddie qui vous coûtait 100 euros en 2004, vous coûte désormais près de 143 euros en juin 2024. Premier état de fait : vous remarquez une inflation très importante sur votre caddie en 20 ans. Néanmoins, cette somme reste biaisée puisqu’elle n’intègre pas la pratique de la réduflation. Vous avez certes le même nombre de produits mais plus la même contenance. Ainsi, en intégrant cette pratique pour obtenir le même caddie qu’en 2004 (en supposant que tous les produits aient subi une perte de 14,3%), vous devriez non pas dépenser 143 euros mais près de 167 euros !», pointe le spécialiste.

Pour réaliser ce calcul, Quentin Demé a identifié une augmentation des prix de 43% sur vingt ans, uniquement pour l’inflation, soit environ 1,7% chaque année. Il s’est ensuite appuyé sur une étude menée au Canada au cours des vingt dernières années sur près de 300 produits ayant fait l’objet d’une «shrinkflation» qui démontre qu’en moyenne ceux-ci ont subi une réduction de leur taille de 14,3%. Au cours de son enquête, il a notamment découvert que des sachets de croquettes pour chien étaient passés de 10 à 7 kilogrammes en un an, tandis que leur prix avait évolué de 16,67 euros à 24,90 euros, soit une hausse de 49,7%.

 

Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

 Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Avec l’inflation, un caddie qui coûtait 100 euros en 2004 revient aujourd’hui à 143 euros, selon un économiste. Mais lorsque la réduction de la taille des produits est prise en compte, il devient encore plus onéreux pour les consommateurs.( info du Figaro)

Pour Quentin Demé, cofondateur du Congrès UPI et professeur d’Économie et Finance, si l’on additionne l’inflation et la réduction de la taille des produits, «c’est une double perte de pouvoir d’achat pour le consommateur»«Un caddie qui vous coûtait 100 euros en 2004, vous coûte désormais près de 143 euros en juin 2024. Premier état de fait : vous remarquez une inflation très importante sur votre caddie en 20 ans. Néanmoins, cette somme reste biaisée puisqu’elle n’intègre pas la pratique de la réduflation. Vous avez certes le même nombre de produits mais plus la même contenance. Ainsi, en intégrant cette pratique pour obtenir le même caddie qu’en 2004 (en supposant que tous les produits aient subi une perte de 14,3%), vous devriez non pas dépenser 143 euros mais près de 167 euros !», pointe le spécialiste.

Pour réaliser ce calcul, Quentin Demé a identifié une augmentation des prix de 43% sur vingt ans, uniquement pour l’inflation, soit environ 1,7% chaque année. Il s’est ensuite appuyé sur une étude menée au Canada au cours des vingt dernières années sur près de 300 produits ayant fait l’objet d’une «shrinkflation» qui démontre qu’en moyenne ceux-ci ont subi une réduction de leur taille de 14,3%. Au cours de son enquête, il a notamment découvert que des sachets de croquettes pour chien étaient passés de 10 à 7 kilogrammes en un an, tandis que leur prix avait évolué de 16,67 euros à 24,90 euros, soit une hausse de 49,7%.

 

Consommation : augmentation du prix des consommation courante

Consommation :  augmentation du prix des consommations courantes

Les consommateurs ont évidemment constaté l’augmentation importante du carburant mais plus généralement de l’énergie. Ceci vaut aussi pour d’autres consommations courantes comme les produits alimentaires la plupart des produits alimentaires ont augmenté. Si on prend par exemple le prix des pâtes, certaines marques – particulièrement les marques des distributeurs – affichent une hausse de 10% par rapport à avant l’été. Mais cette forte hausse ne concerne pas tous les produits. D’ailleurs, si on regarde sur l’ensemble des produits alimentaires, l’inflation n’est que de 1% depuis le 1er janvier. « Il faut s’attendre à une augmentation du panier » d’ici la fin de l’année, confirme le spécialiste de la grande distribution, Olivier Dauvers. Il faudrait aussi ajouter les augmentations discrètes mais réelles des autres dépenses contraintes qui plombent de plus en plus les ménages moyens

Et d’ajouter : « Dès lors que vous avez des matières premières aussi importantes que des céréales ou du café pour ce qui est du contenu, et des matières premières aussi importantes que le carton ou le plastique, pour ce qui est du contenant, c’est impossible de passer à travers les gouttes. » Aucun doute pour le spécialiste, « nous paierons bien évidemment plus cher nos produits alimentaires en grande distribution ».Autre facteur qui pourrait venir impacter les prix : les négociations commerciales entre les producteurs, les industriels et les distributeurs. Elles viennent tout juste de démarrer et s’achèveront le 1er mars prochain. Au ministère de l’Agriculture, on affirme surveiller de près la situation, pour limiter la flambée des prix.

Inflation-Hausse des prix de la consommation courante : autour de 5 % ?

Inflation-Hausse des prix de la consommation courante : autour de 5 % ?

Nielsen ,  groupe qui épluche les tickets en sortie de caisse, a ainsi chiffré la hausse théorique du panier moyen des Français, si la flambée actuelle des matières premières (huile, sucre, blé, acier, carton, transports…) était intégralement répercutée sur les prix des produits en contenant. Et ce pour un panier de 11 produits de base: 500g de spaghetti, 1 litre d’huile d’olive, 500g de café, 12 rouleaux de papier hygiénique….

une moyenne de près de 5 %

La hausse théorique atteindrait 4,7% en moyenne, soit 1,80 euro sur un panier d’environ 50 euros. En ne choisissant que des grandes marques, le client limiterait l’inflation à 3,2%. Mais en optant pour des références en marques de distributeurs (MDD), la facture atteindrait 7,2%. Et 11% pour les MDD premiers prix.

«Alors que la part des matières premières dans le prix de vente consommateur varie selon le type de marque, et que les matières premières ne subissent pas toutes la même hausse, les inflations théoriques atteindraient 2% à 23% selon les catégories. Le café et le papier hygiénique étant parmi les catégories les plus inflationnistes», précise Nielsen.

Hausse des prix de la consommation courante : autour de 5 % ?

Hausse des prix de la consommation courante : autour de 5 % ?

Nielsen ,  groupe qui épluche les tickets en sortie de caisse, a ainsi chiffré la hausse théorique du panier moyen des Français, si la flambée actuelle des matières premières (huile, sucre, blé, acier, carton, transports…) était intégralement répercutée sur les prix des produits en contenant. Et ce pour un panier de 11 produits de base: 500g de spaghetti, 1 litre d’huile d’olive, 500g de café, 12 rouleaux de papier hygiénique….

une moyenne de près de 5 %

La hausse théorique atteindrait 4,7% en moyenne, soit 1,80 euro sur un panier d’environ 50 euros. En ne choisissant que des grandes marques, le client limiterait l’inflation à 3,2%. Mais en optant pour des références en marques de distributeurs (MDD), la facture atteindrait 7,2%. Et 11% pour les MDD premiers prix.

«Alors que la part des matières premières dans le prix de vente consommateur varie selon le type de marque, et que les matières premières ne subissent pas toutes la même hausse, les inflations théoriques atteindraient 2% à 23% selon les catégories. Le café et le papier hygiénique étant parmi les catégories les plus inflationnistes», précise Nielsen.




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