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Ecole: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement

Ecole: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement

L’évaluation du niveau scolaire montre un nouvel effondrement du français. Rien d’étonnant à cela puisque même la lecture n’est pas maîtrisée par un trop grand nombre d’élèves.

D’après le ministère de l’éducation nationale, selon les tests de fluence qui mesurent la capacité des élèves à lire correctement un texte à voix haute, seuls 55,6 % des élèves de 6e atteignent un niveau satisfaisant. Surtout, 15 % n’ont pas le niveau d’un élève de CE2. En éducation prioritaire renforcée, seuls 39,6 % des élèves atteignent un niveau satisfaisant, mais ils progressent plus vite que les autres élèves, rassure le ministère (+3,8 points en un an). « C’est dans les établissements où on a le plus d’élèves en difficulté qu’on observe les plus belles performances ».

Il faut noter qu’il y a une cinquantaine d’années, le nombre d’élèves était plus proche de 40 que de la moyenne de 25 élèves par classe aujourd’hui. Autre époque, autre méthode, avec aussi une autre compétence, une autre pédagogie et une autre autorité des maîtres.

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Globalement, les résultats en français ont baissé de 4 points en un an. Le ministère assure ne pas avoir « d’explication catégorique », tout en évoquant la vague de Covid de janvier et février 2021 et les perturbations qu’elle avait provoquée dans les classes. L’Education nationale souligne aussi qu’en français, le nombre d’élèves parmi les plus forts est en hausse, avec 18,3 % de collégiens qui se rangent dans cette catégorie en 2022, contre 15,6 % en 2017. Le nombre d’élèves parmi les moins performants a aussi baissé de 31,8 % en 2017 à 27 % en 2022.

Pour les collégiens entrés en 6e en septembre, les évaluations nationales révèlent donc des résultats inégaux selon les compétences testées. Les pistes d’amélioration plaident pour le sur-mesure, à l’image de l’expérimentation menée dans l’académie d’Amiens .Cette mise en évidence des résultats inégaux constituent en creux une forte critique du collège unique facteur d’abaissement du niveau de connaissances.

Le ministère de l’Education nationale a aussi publié le résultat des évaluations pour les élèves de CP et de CE1. En mathématiques, le ministère se réjouit de « gagner chaque année 2 ou 3 points de maîtrise dans les opérations de soustraction » à l’entrée en CE1.

Il se félicite de « la poursuite sensible de la réduction des écarts entre les élèves de l’éducation prioritaire renforcée (REP +) et ceux hors éducation prioritaire ». Et y voit les « premiers effets positifs des dédoublements de grande section en REP + ». « Jamais un élève de REP+, depuis quatre ans, n’a eu d’aussi bons résultats, que ce soit en CP, en CE1 ou en 6e », se félicite Edouard Geffray.

En CE1, les résultats globaux des évaluations sont en baisse en français par rapport à 2021. Le ministère évoque un lien « très probable » avec la situation sanitaire des mois de janvier et février. Ces élèves étaient l’an dernier en CP à « un moment charnière pour l’apprentissage de la lecture et de l’écriture ».

Enseignement: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement

strong>Enseignement: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement

L’évaluation du niveau scolaire montre un nouvel effondrement du français. Rien d’étonnant à cela puisque même la lecture n’est pas maîtrisée par un trop grand nombre d’élèves.

D’après le ministère de l’éducation nationale, selon les tests de fluence qui mesurent la capacité des élèves à lire correctement un texte à voix haute, seuls 55,6 % des élèves de 6e atteignent un niveau satisfaisant. Surtout, 15 % n’ont pas le niveau d’un élève de CE2. En éducation prioritaire renforcée, seuls 39,6 % des élèves atteignent un niveau satisfaisant, mais ils progressent plus vite que les autres élèves, rassure le ministère (+3,8 points en un an). « C’est dans les établissements où on a le plus d’élèves en difficulté qu’on observe les plus belles performances ».

Il faut noter qu’il y a une cinquantaine d’années, le nombre d’élèves était plus proche de 40 que de la moyenne de 25 élèves par classe aujourd’hui. Autre époque, autre méthode, avec aussi une autre compétence, une autre pédagogie et une autre autorité des maîtres.

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Globalement, les résultats en français ont baissé de 4 points en un an. Le ministère assure ne pas avoir « d’explication catégorique », tout en évoquant la vague de Covid de janvier et février 2021 et les perturbations qu’elle avait provoquée dans les classes. L’Education nationale souligne aussi qu’en français, le nombre d’élèves parmi les plus forts est en hausse, avec 18,3 % de collégiens qui se rangent dans cette catégorie en 2022, contre 15,6 % en 2017. Le nombre d’élèves parmi les moins performants a aussi baissé de 31,8 % en 2017 à 27 % en 2022.

Pour les collégiens entrés en 6e en septembre, les évaluations nationales révèlent donc des résultats inégaux selon les compétences testées. Les pistes d’amélioration plaident pour le sur-mesure, à l’image de l’expérimentation menée dans l’académie d’Amiens .Cette mise en évidence des résultats inégaux constituent en creux une forte critique du collège unique facteur d’abaissement du niveau de connaissances.

Le ministère de l’Education nationale a aussi publié le résultat des évaluations pour les élèves de CP et de CE1. En mathématiques, le ministère se réjouit de « gagner chaque année 2 ou 3 points de maîtrise dans les opérations de soustraction » à l’entrée en CE1.

Il se félicite de « la poursuite sensible de la réduction des écarts entre les élèves de l’éducation prioritaire renforcée (REP +) et ceux hors éducation prioritaire ». Et y voit les « premiers effets positifs des dédoublements de grande section en REP + ». « Jamais un élève de REP+, depuis quatre ans, n’a eu d’aussi bons résultats, que ce soit en CP, en CE1 ou en 6e », se félicite Edouard Geffray.

En CE1, les résultats globaux des évaluations sont en baisse en français par rapport à 2021. Le ministère évoque un lien « très probable » avec la situation sanitaire des mois de janvier et février. Ces élèves étaient l’an dernier en CP à « un moment charnière pour l’apprentissage de la lecture et de l’écriture ».

Ecole: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement

Ecole: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement

L’évaluation du niveau scolaire montre un nouvel effondrement du français. Rien d’étonnant à cela puisque même la lecture n’est pas maîtrisée par un trop grand nombre d’élèves.

D’après le ministère de l’éducation nationale, selon les tests de fluence qui mesurent la capacité des élèves à lire correctement un texte à voix haute, seuls 55,6 % des élèves de 6e atteignent un niveau satisfaisant. Surtout, 15 % n’ont pas le niveau d’un élève de CE2. En éducation prioritaire renforcée, seuls 39,6 % des élèves atteignent un niveau satisfaisant, mais ils progressent plus vite que les autres élèves, rassure le ministère (+3,8 points en un an). « C’est dans les établissements où on a le plus d’élèves en difficulté qu’on observe les plus belles performances ».

Il faut noter qu’il y a une cinquantaine d’années, le nombre d’élèves était plus proche de 40 que de la moyenne de 25 élèves par classe aujourd’hui. Autre époque, autre méthode, avec aussi une autre compétence, une autre pédagogie et une autre autorité des maîtres.

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Globalement, les résultats en français ont baissé de 4 points en un an. Le ministère assure ne pas avoir « d’explication catégorique », tout en évoquant la vague de Covid de janvier et février 2021 et les perturbations qu’elle avait provoquée dans les classes. L’Education nationale souligne aussi qu’en français, le nombre d’élèves parmi les plus forts est en hausse, avec 18,3 % de collégiens qui se rangent dans cette catégorie en 2022, contre 15,6 % en 2017. Le nombre d’élèves parmi les moins performants a aussi baissé de 31,8 % en 2017 à 27 % en 2022.

Pour les collégiens entrés en 6e en septembre, les évaluations nationales révèlent donc des résultats inégaux selon les compétences testées. Les pistes d’amélioration plaident pour le sur-mesure, à l’image de l’expérimentation menée dans l’académie d’Amiens .Cette mise en évidence des résultats inégaux constituent en creux une forte critique du collège unique facteur d’abaissement du niveau de connaissances.

Le ministère de l’Education nationale a aussi publié le résultat des évaluations pour les élèves de CP et de CE1. En mathématiques, le ministère se réjouit de « gagner chaque année 2 ou 3 points de maîtrise dans les opérations de soustraction » à l’entrée en CE1.

Il se félicite de « la poursuite sensible de la réduction des écarts entre les élèves de l’éducation prioritaire renforcée (REP +) et ceux hors éducation prioritaire ». Et y voit les « premiers effets positifs des dédoublements de grande section en REP + ». « Jamais un élève de REP+, depuis quatre ans, n’a eu d’aussi bons résultats, que ce soit en CP, en CE1 ou en 6e », se félicite Edouard Geffray.

En CE1, les résultats globaux des évaluations sont en baisse en français par rapport à 2021. Le ministère évoque un lien « très probable » avec la situation sanitaire des mois de janvier et février. Ces élèves étaient l’an dernier en CP à « un moment charnière pour l’apprentissage de la lecture et de l’écriture ».

Emissions de CO2: dabord les mesurer correctement!

Emissions de CO2: dabord  les mesurer correctement!

Avant de prendre une décision engageante aujourd’hui, les entreprises ont besoin de données précises, constate Sylvain Duranton, directeur monde de BCG Gamma (L’Opinion, extrait)

 

 

 

 

BCG Gamma, l’entité intelligence artificielle (IA) et data du Boston Consulting group, a mené une étude auprès de 1 300 entreprises dans douze pays sur la réduction de leurs émissions de CO2. Le résultat donne la mesure du travail à accomplir. Sylvain Duranton est directeur monde de BCG Gamma.

Les entreprises se disent très engagées dans la réduction de leurs émissions de CO2, mais 9 % seulement admettent les mesurer correctement. Cela veut dire qu’elles font n’importe quoi ?

Elles sont surtout confrontées à une vraie difficulté. Pour 85 % d’entre elles, lutter contre les émissions de CO2 est important, voire très important. Mais après avoir pris des engagements forts sur le sujet, elles comprennent à quel point il est compliqué de les tenir, dès lors qu’elles n’ont pas la bonne mesure de leurs émissions. C’est un problème qu’il ne faut pas sous-estimer : une entreprise dégage du CO2 dans son fonctionnement, ce sont les émissions internes. Mais elle doit aussi prendre en compte celles de ses fournisseurs, et ensuite celles des clients qui consomment les produits qu’elle a fabriqués. Or il n’existe pas de comptabilité, pas de standard sur ces sujets. Dans certains cas, ces émissions externes représentent 80 % du total ! Sur toute cette partie du périmètre, les chefs d’entreprise se sentent très démunis pour obtenir une évaluation fiable.

 




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