Archive pour le Tag 'Copé'

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Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Selon ces sources, l’ancien chef de l’Etat a eu dans la journée une longue conversation téléphonique avec son ancien Premier ministre François Fillon, après avoir déjeuné la veille avec Jean-François Copé, président proclamé mais constesté de l’UMP.  Pour Nicolas Sarkozy, ont rapporté plusieurs sources UMP à l’AFP, la situation a « assez duré » et chacun des deux rivaux « doit faire un pas vers l’autre ».  Nicolas Sarkozy a demandé fermement aux deux rivaux de trouver une solution « avant mardi ». Sinon, a-t-il prévenu, selon les mêmes sources, « je dirai que vous êtes tous les deux disqualifiés pour diriger un grand parti ».  Une de ces sources a insisté sur le fait que l’ancien chef de l’Etat avait mis un « coup de pression » sur les belligérants, sans évoquer de date limite.  En milieu de semaine, son entourage avait fait savoir qu’il était « excédé » par la lutte fratricide que se livrent MM. Copé et Fillon pour la présidence de l’UMP, passage obligé sur la route de leur ambition présidentielle.  Comme tous les anciens présidents, M. Sarkozy, en retrait de la vie politique depuis sa défaite à la présidentielle de mai, est membre de droit du Conseil Constitutionnel mais tenu à un devoir de réserve.  S’engager ouvertement dans la bataille de l’UMP serait considéré comme un manquement à l’indépendance du Conseil. En allusion à ses multiples interventions en coulisses, la sénatrice socialiste Laurence Rossignol lui a demandé mardi de démissionner du Conseil constitutionnel.  Depuis l’élection contestée le 18 novembre de Jean-François Copé, secrétaire général sortant, à la présidence de l’UMP, les militants en sont réduits à compter les coups, entre ultimatums et rebondissements, pendant que le reste de l’échiquier politique, de gauche comme de l’extrême droite ou du centre, se frotte les mains.  Selon un sondage BVA pour i-télé diffusé vendredi, 81% des sympathisants UMP considèrent désormais que le parti doit organiser une nouvelle élection pour désigner son président.   »Le fond du problème, c’est que lorsqu’on devient président de l’UMP, on peut devenir président de la République. Voilà ce qui leur fait perdre la tête », a déclaré un ancien ministre UMP à l’AFP.  Dans cette bataille, deux ambitions se révèlent, mais celle de Jean-François Copé, « une évidence », surprend moins que celle de François Fillon, « qui a longtemps avancé masqué », analyse Philippe Braud, professeur à Sciences-Po.  Taxé de « mou » par ses détracteurs, l’ancien Premier ministre a montré cette semaine qu’il était déterminé au point de faire scission à l’Assemblée nationale, avec la création d’un nouveau groupe parlementaire, le Rassemblement-UMP (R-UMP). Une aventure dans laquelle 72 des 198 députés UMP l’ont suivi.  

 

Copé-UMP : « pas de referendum »

Copé-UMP : « pas de referendum »

 

Le président proclamé du parti UMP, Jean-François Copé, engagé dans un bras de fer avec François Fillon pour la direction du premier parti d’opposition français, a estimé mercredi qu’un référendum des militants sur un nouveau vote n’était pas possible. « La ligne rouge a été franchie, j’en tire les conséquences« , a déclaré à la radio Europe 1 Jean-François Copé après la création officielle d’un groupe parlementaire Rassemblement-UMP par l’ancien Premier ministre, François Fillon, à l’Assemblée nationale. »Désormais, je ne vais plus être que le premier opposant à François Hollande » et « je le dirai tout à l’heure au bureau politique » de l’UMP, a également affirmé Jean-François Copé, en regrettant « le spectacle lamentable qu’on offre aux Français« .Le secrétaire général sortant de l’UMP, officiellement vainqueur de l’élection interne du 28 novembre dont les résultats sont contestés par François Fillon, a affirmé que « les conditions » pour l’organisation d’un référendum n’étaient « pas réunies« . Ce référendum visait à demander aux militants s’ils souhaitaient un nouveau vote pour l’élection du président de l’UMP.

Copé le fossoyeur de l’UMP

Copé le fossoyeur de l’UMP

Copé s’est déclaré vainqueur, une victoire à la Pyrrhus qui va couter cher à l’UMP. Le feuilleton de l’UMP se poursuit. L’éclatement paraît difficilement évitable. Résultats: un camp Fillon  qui pourrait créer son parti, des militants qui vont partir vers le FN et ce qui reste, présidé par Copé ; Un vari massacre. Copé vainqueur et mais en réalité fossoyeur de l’UMP. Sarkozy peut peut-être encore intervenir mais il doit le faire vite. Sans surprise, la commission nationale des recours de l’UMP a entériné ce lundi la victoire de Jean-François Copé à la présidence du parti. Sans  La riposte n’a pas tardé. D’ores et déjà, les fillonistes avaient fait savoir qu’ils ne reconnaissaient pas la légitimité de la commission des recours puisque six de ses neuf membres avaient soutenu un candidat à la présidence de l’UMP (4 étaient pro-Copé et 2 étaient pro-Fillon). Mais, quelques minutes après le discours de Jean-François Copé, François Fillon a rendu public un communiqué. Il a dénoncé «un coup de force» de son adversaire et jugé «illégale» la décision de la commission de recours, «dont la composition n’offre aucune garantie d’impartialité». Jérôme Chartier, l’un de ses proches, a carrément affirmé que l’UMP de Jean-François Copé s’était «transformée en Fort Chabrol». La situation restait donc totalement bloquée ce lundi soir, au lendemain de l’échec de la médiation tentée par l’ancien Premier ministre, Alain Juppé, sous l’oeil bienveillant de Nicolas Sarkozy. L’ancien chef de l’État est rentré de Shanghaï dimanche soir. Tout le weekend, il s’était tenu informé des derniers rebondissements. Dès ce lundi matin, Alain Juppé en a d’ailleurs appelé à Nicolas Sarkozy. «C’est à lui de jouer. Il apparaît clairement qu’il est le seul aujourd’hui à avoir l’autorité suffisante pour proposer éventuellement une sortie que je n’aperçois pas pour ce qui me concerne», a déclaré le maire de Bordeaux sur RTL. Lundi midi, Nicolas Sarkozy a reçu à déjeuner François Fillon. Un rendez-vous d’un peu plus d’une heure, à l’issue duquel François Fillon a quitté le 77, rue Miromesnil, siège des bureaux de l’ancien président, sans faire aucune déclaration. Ce déjeuner avait été calé avant l’escalade de ces derniers jours entre copéistes et fillonistes. Des bribes de leur conversation ont cependant filtré dans la soirée de ce lundi. D’après l’AFP, Nicolas Sarkozy aurait expliqué à son ancien Premier ministre qu’il juge préférable de revoter tout en lui déconseillant de recourir à la justice. Jean-François Copé, qui a appelé à ne pas «instrumentaliser» Nicolas Sarkozy, a toutefois fait savoir qu’il l’avait eu longuement au téléphone lundi matin. Des proches de Nicolas Sarkozy ont déclaré que l’ancien président, qui a fait le choix de s’éloigner de la vie politique après sa défaite à la présidentielle, en mai, est «très soucieux de l’unité» de l’UMP. Il est «extrêmement préoccupé» par la situation et a «toujours été consulté par les uns et les autres, et encore plus aujourd’hui», a précisé un de ses amis.

 

Copé pour remplacer JR dans Dallas

Copé pour remplacer JR dans Dallas

 

 

Un bon feuilleton pour durer doit présenter de nombreux rebondissements. C’est le cas à l’UMP ou Copé pourrait remplacer JR dans la série Dallas. Le méchant, c’est lui ; séducteur, cynique, affabulateur (le pain au chocolat), il a tout pour tenir le rôle. Il est d’accord avec la médiation Juppé mais souhaite que celui ne change rein au résultat ; Du coup le sheriff Juppé s’interroge : Fillon est-il victime ou a-t-il aussi une part de responsabilité ? Dans un sondage du JDD, les téléspectateurs ont choisi Fillon. Après une journée de trêve médiatique samedi, le feuilleton né il y a une semaine du vote des militants pour désigner un nouveau président à leur formation va sans nul doute connaître de nouveaux rebondissements.  Premier rendez-vous: à 09h30 au siège du parti démarre une réunion de la Commission des recours. Censée dire le droit en cas de contentieux électoral, celle-ci se trouve au centre d’une bagarre entre fillonistes et copéistes.  Les partisans de l’ancien Premier ministre jugent qu’elle est aux mains de leurs adversaires et ne veulent pas prendre ses décisions pour argent comptant, préférant s’en remettre à Alain Juppé pour arbitrer.  Les amis de Jean-François Copé jouent au contraire le légalisme à fond: de leur point de vue cette commission est la seule valable au vu des statuts du parti et son jugement sera souverain. Ils émettent en revanche les plus grandes réserves sur la proposition d’arbitrage d’Alain Juppé.  De ce qu’il dira dépendra beaucoup de la suite: qu’il désigne un gagnant sans autre forme de procès et c’en est aussitôt fini de la médiation Juppé, indique-t-on dans l’entourage du maire de Bordeaux. Derrière les deux prétendants pour 2017, l’ancien président Nicolas Sarkozy « suit l’affaire de très près », selon un proche de l’ancien chef de l’Etat. Soucieux de se ménager la possibilité de revenir sur le devant de la scène, ce dernier « n’acceptera jamais qu’Alain Juppé s’empare des rênes de l’UMP », selon le même. Un scénario de remise en selle du maire de Bordeaux qui en inquiète plus d’un dans le parti.  Le suspens est insoutenable. On attend avec impatience ‘épisode de dimanche. Le spectacle de la politique continue.

 

Copé va faire éclater l’UMP

Copé va faire éclater l’UMP

Copé a compris, la médiation de Juppé cesst peut être le sauvetage de l’UMP mais c’est l’enterrement de son ambition, être le candidat pour 2017 Dès lors, il préférera sans doute faire éclater son parti plutôt que d’être renvoyé à Meaux. Pour cela, il est largement soutenu par une sorte de clans d’arrivistes dont Sarkozy a favorisé la promotion type Rachida Dati, Morano, Rosso-Debord ; Un clan  que Fillon a qualifié de mafia ;  sans grandes convictions politiques, sans culture et sans morale ;  le ciment, le seul,  c’est la conquête du  pouvoir coute que coûte. Le président proclamé de l’UMP, Jean-François Copé, a certes affirmé vendredi qu’il était « d’une bonne volonté réelle », notamment vis-à-vis de la médiation d’Alain Juppé, mais qu’il n’accepterait jamais de se « faire voler sa victoire». En clair pas question de revenir sur les résultats.  « Je suis d’une bonne volonté réelle, j’ai accepté » la médiation du maire de Bordeaux « par ouverture, pour que la situation bouge », mais « je n’accepterai jamais qu’on truande un vote », qu’on « me vole ma victoire », a-t-il déclaré devant quelques journalistes. La sémantique de Copé est révélatrice de la morale du personnage « ma victoire » ; «  je n’accepterai pas qu’on truande un vote ». Pas vraiment un langage homme d’Etat, c’est du Morano dans le texte. Là, l’intérêt personnel dépasse largement le petit intérêt du parti et le tout petit intérêt de la France. En effet l’éclatement de l’UMP va surtout bénéficier au FN.

Le pain Copé chocolat pour 2017

Le pain Copé chocolat pour 2017

 

Copé a reçu un pain, pas en chocolat, mais de Juppé ; Son coup d’Etat sur l’UPM se sera terminé par un énorme fiasco et une mascarade. Juppé ne remettra certainement pas les clés de l’UMP à Copé pas même à Fillon. Pour 2017, Copé a en tout cas largement hypothéqué ses chances. On peut être sûr que Juppé va remettre de l’ordre dans la maison qu’il connaît bien. Pour ne pas faire perdre complètement la face  aux intéressés, il est probable qu’il n’y aura pas de président à l’UMP pour longtemps (il mettra en place une commission et une nouvelle procédure) mais une direction collégiale ou seront écartés les extrémistes arrivistes type Rachida Dati ou Morano dont les propos outranciers ont largement porté atteinte à la crédibilité de l’UMP. Copé a voulu copier Sarkozy mais sans le tallent et avec le ridicule en plus (les pains au chocolat). Pour 2017, pour Copé c’est chocolat.

UMP : Copé et Fillon acceptent la médiation de Juppé

UMP : Copé et Fillon acceptent la médiation de Juppé

 

L’ex-premier ministre va présider une instance collégiale pour réexaminer les résultats de l’élection, contestés par les camps Fillon et Copé. Alain Juppé leur donnait jusqu’à ce soir 20h00 pour accepter.

UMP : Copé plie, Juppé médiateur

UMP : Copé plie, Juppé médiateur

Jérôme Lavrilleux, bras-droit de Jean-François Copé, vient d’annoncer que le président proclamé de l’UMP acceptait la proposition d’Alain Juppé de mettre en place une instance collégiale indépendante. « Jean-François Copé est prêt à accepter le verdict qui sera prononcé par Alain Juppé », a assuré Jérôme Lavrilleux lors d’un point presse au siège du parti. « Nous nous plierons aux résultats prononcés et nous espérons que la sagesse va s’imposer », a-t-il ajouté.

UMP : la victoire de Copé contestée : 1304 voix « oubliées »

UMP : la victoire de Copé contestée : 1304 voix «  oubliées »

Et non, le psychodrame n’est pas encore terminé. L’équipe de François Fillon a annoncé que 1.304 voix ont été oubliées. Elle conteste la victoire de Jean-François Copé. François Fillon demande à Alain Juppé d’assurer la direction de l’UMP de façon transitoire. Jean-François Copé a opposé une fin de non-recevoir à la demande de François Fillon.  Après Alain Juppé pour sortir de cette impasse, certains députés en appellent à … Nicolas Sarkozy. Le député UMP, proche d filloniste Xavier Bertrand, déclare, « devant le dramatique spectacle offert pas certains des dirigeants de notre mouvement, j’en appelle à des mesures exceptionnelles prévues par nos statuts, c’est-à-dire la réunion de la commission des Sages (article 36), qui comprend notamment les anciens présidents et secrétaires généraux« .

 

Des croissants au chocolat baptisés « Copé » à la Grande Mosquée

Des croissants au chocolat baptisés « Copé » à la Grande Mosquée

Les musulmans réunis à la Grande Mosquée de Paris à l’occasion de l’Aïd el-Kébir ont pu déguster vendredi matin des croissants au chocolat baptisés « Copé », une initiative du Conseil des démocrates musulmans de France pour lutter contre l’islamophobie.  Pour Abderrahmane Dahmane, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy chargé de la Diversité et président de l’association, il s’agissait de montrer, par cette distribution de « pains au chocolat en forme de croissant », que la « communauté musulmane est unie contre l’islamophobie et le racisme de Jean-François Copé » et qu’elle « inscrit son intégration dans ce pays ».  Le candidat à la présidence de l’UMP avait déclenché une polémique début octobre en évoquant le cas d’un jeune qui se serait fait « arracher son pain au chocolat par des voyous » au motif « qu’on ne mange pas au ramadan ».  Alors que plusieurs milliers de fidèles sortaient peu après 09H00 de la prière de l’Aïd el-Kébir – ou Aïd al-Adha -, plus grande fête de l’islam qui commémore le sacrifice d’Abraham, les membres de l’association ont offert quelque 2.000 viennoiseries.  J’aime beaucoup cette façon pacifique de répondre à M. Copé qui fait campagne sur le dos des musulmans et banalise un certain racisme », explique Kamel Cheklat, 40 ans, universitaire.  Pour un autre fidèle, qui ne veut pas donner son nom, « il faut rappeler que l’Aïd est une fête où l’on partage tout. Il ne faut pas juger les gens, mais respecter leur culture ». Lui aussi se félicite de cette démarche humoristique : « il ne faut pas répondre par l’injure », dit-il.   »C’est pour tourner en dérision ce que dit M. Copé », se réjouit Rachida Aboulhouda, 18 ans. « Si au moins ce qu’il dit était constructif, pour parler du terrorisme par exemple, mais parler d’une histoire de gamins… », déplore-t-elle. « C’est plus de 2.000 croissants au chocolat qui sont partis ! C’est un succès contre le racisme et la stigmatisation ! », lance M. Dahmane à la fin de la distribution. Ex-secrétaire national à l’UMP, il avait été limogé de son poste à l’Elysée en mars 2011 après avoir sévèrement critiqué le débat sur la laïcité et l’islam organisé par l’UMP.

Copé demande à Hollande « de trancher dans la journée » ; sur la dépénalisation du vol de pain au chocolat ?

Copé demande à Hollande « de trancher dans la journée » ;  sur la dépénalisation du vol de pain au chocolat ?

Copé refuse la dépénalisation pour la drogue mais pas sur le vol de pain au chocolat, l’argent de Bettencourt aux profits des partis politiques ou l’affaire de Karachi. Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, a demandé lundi « solennellement à François Hollande de trancher dans la journée » sur la question de la dépénalisation du cannabis.   »Cela ne peut pas rester en l’état », a ajouté M. Copé sur France Info, en réagissant au souhait du ministre de l’Education, Vincent Peillon, de voir s’ouvrir le débat sur ce sujet.   »La dépénalisation des drogues douces, dites douces, est simplement inacceptable. Je suis désolé de devoir rappeler ce que des dizaines et des dizaines de chercheurs ont évoqué dans des rapports scientifiques incontestables sur les ravages sur la santé physique, psychique, psychologique, sur l’ensemble des être humains et notamment les plus jeunes des effets du cannabis », a ajouté le député-maire de Meaux.  M. Copé a dit vouloir « que ce débat flottant, rouvert régulièrement, soit immédiatement tranché ». « Si ce n’est pas le cas, je lance à partir de demain une campagne de pétition et un appel à témoignages de parents d’enfants victimes de la drogue », a-t-il prévenu.

 

 

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