Archive pour le Tag 'Copé'

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Guaino « Copé, c’est Tintin chez les Soviets » (Guaino)

Guaino « Copé, c’est Tintin chez les Soviets » (Guaino)

Cette fois Guaino tape très dur sur Copé dont limage est déplorable dans l’opinion. Copé, qui, il faut bien le dire, n’est jamais parvenu à imposer une ligne claire, ni son leadership et qui continue à tripatouiller les instances de l’UMP. Alors que plus personne à l’UMP ne croit à la « vague bleue » promise par Jean-François Copé pour les élections municipales, Henri Guaino donne de la voix. Le député UMP des Yvelines a écrit, vendredi 24 janvier, à Jean-François Copé, président de l’UMP, pour lui faire part de ses désaccords sur sa ligne politique. Et d’estimer que celle-ci fait « à nouveau désespérer » les Français de droite. Dans cette lettre, l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy à l’Elysée demande notamment à Jean-François Copé de « déclarer solennellement » samedi 25, lors du Conseil national que l’UMP tient à Paris, que le principal parti de l’opposition ne soutient pas François Bayrou, candidat aux élections municipales à Pau. Ce soutien au président du MoDem, qui avait voté pour François Hollande au second tour de l’élection présidentielle en 2012, est « inacceptable » à ses yeux. De plus, le député demande au président de l’UMP de « reporter l’adoption des grandes lignes du projet politique de l’UMP », lesquelles « n’ont fait l’objet d’aucun grand débat dans les fédérations, d’aucun processus de maturation intellectuelle et politique ». Il réclame de surcroît le report de « l’élection des membres élus du bureau politique », dont la liste a été « concoctée dans l’entresoi de quelques-uns, sans que ce scrutin soit annoncé ». Et d’attaquer : « Cette manœuvre ruine la confiance, elle nous divise, nous fragilise (…) Elle est inexcusable. C’est Tintin chez les Soviets ». Enfin, Henri Guaino demande au patron de l’opposition de « reporter l’investiture de la tête de liste pour les élections européennes en Ile-de-France », Alain Lamassoure. « C’est une faute et c’est irresponsable » car ce dernier est « partisan d’une Europe fédérale et un ardent défenseur de l’Union européenne telle qu’elle se construit », rappelle Guaino qui souhaite « un changement au contraire très profond » de cette construction.

UMP : « l’élection de Copé pas honnête » ( Fillon)

UMP : ‘ l’élection de Copé pas honnête » ( Fillon)

Invité ce mardi de RTL, François Fillon est revenu sur l’élection de Jean-François Copé à la tête du parti : en novembre 2012, le scrutin avait pris des allures de psychodrame, entaché de soupçons d’irrégularités et de multiples contestations. « Il y a eu une élection à la présidence de l’UMP qui n’a pas été honnête, qui n’a pas été transparente », estime toujours aujourd’hui l’ancien Premier ministre. « On ne peut pas baser la légitimité d’une formation politique sur des pratiques qui ne sont pas honnêtes. »  A une auditrice qui se demande si François Fillon ne fait pas « cavalier seul », alors que l’UMP a besoin d’être « forte ensemble », le député répond qu’il faudra encore du temps. Qu’il a accepté le compromis validant l’élection de Jean-François Copé à la tête du parti : « Il m’a semblé que c’était dans l’intérêt de ma famille. »"On a décidé de laisser ça de côté, d’oublier le passé et d’essayer de reconstruire une formation politique rassemblée autour d’un projet politique », explique-t-il. Une tache qui « prend du temps », qui « n’est pas facile ». François Fillon évoque « quelques tensions » récentes, à l’occasion du choix des candidats aux élections municipales, mais constate tout de même des « progrès manifestes ». « On ne gagnera jamais sur quelque chose qui n’est pas solidement construit, on a d’abord besoin de reconstruire les fondations de notre famille politique. » Il réclame donc le temps du « débat ».

 

Ecotaxe: « coût de la collecte aberrant » (Copé)

Ecotaxe: «  coût de la collecte  aberrant » (Copé)

 

« Ce qui est surtout critiquable, c’est le montage. De tels coûts de gestion sont aberrants. (…) On ne peut pas imaginer dans un pays moderne un tel coût de collecte d’impôt quel qu’il soit », a déclaré M. Copé sur iTélé. Le président de l’UMP, Jean-François Copé, a jugé « aberrant » mardi le coût de collecte de l’écotaxe prévu par le contrat pourtant passé entre l’Etat et la société Ecomouv’ sous la précédente majorité. « Ce qui est surtout critiquable, c’est le montage. De tels coûts de gestion sont aberrants. (…) On ne peut pas imaginer dans un pays moderne un tel coût de collecte d’impôt quel qu’il soit », a déclaré M. Copé sur i>TELE. L’écotaxe, suspendue la semaine dernière par le gouvernement Ayrault, était censée rapporter 1,15 milliard d’euros par ans, dont 20%, soit 250 millions d’euros pour Ecomouv, société appartenant à 70% au groupe italien Autostrade per l’Italia. Interrogé sur la responsabilité de la précédente majorité, le député-maire de Meaux (Seine-et-Marne) a répondu: « Je rappelle que l’écotaxe, que nous avions décidée dans son principe en 2008-2009, nous l’avions reportée pour des raisons qui tenaient à la crise financière. En 2012, rien n’empêchait François Hollande s’il n’y croyait pas — c’est l’époque où il défaisait tout ce que nous avions fait — de le supprimer », a souligné M. Copé

 

Sondage Copé : 73% avec une mauvaise opinion

Sondage Copé : 73% avec une mauvaise opinion

 

Jean-François Copé n’a pas la cote auprès des Français. Le président de l’UMP reste le « mal aimé » des Français, 73% des sondés ayant une mauvaise opinion de lui, selon un sondage BVA publié dimanche 27 octobre par Aujourd’hui en France/Le Parisien. Selon cette enquête, 93% des sympathisants de gauche et 53% des sympathisants de droite déclarent avoir une mauvaise opinion de Jean-François Copé.Parmi les 73% qui ont une image négative du patron de l’UMP, 78% estiment qu’il est « trop perso », 66% « arrogant », 70% « arriviste », 60% « démagogique » et « autoritaire », 56% antipathique » et 54% « sectaire ». Par ailleurs 69% ne le trouvent pas « sincère », 65% pas « honnête » et 66% ne le juge pas « charismatique ». »C’est très rare d’avoir une image aussi catastrophique pour une personnalité issue d’un parti classique », note Eric Bonnet, de BVA dans Le Parisien. 51% des Français ne font pas confiance à Jean-François Copé « pour faire en sorte que l’UMP soit le principal opposant à François Hollande et au gouvernement », 62% jugent qu’il n’est pas à même de « définir une politique meilleure que celle du gouvernement ». Enfin une écrasante majorité de Français (78%) ne lui font confiance ni « pour lutter efficacement contre le Front national » ni « pour apaiser les tensions au sein de l’UMP (80%).Quarante-quatre pour cent des sondés le trouvent d’ailleurs « trop à droite ». Dans des « duels », 75% lui préfèrent Alain Juppé, 63% François Fillon, 60% Nicolas Sarkozy et 54% Nathalie Kosciusko-Morizet. Il est en revanche préféré à Marine Le Pen (53% contre 31%) et devance légèrement François Hollande (47% contre 44).Selon ce sondage, Copé reste en queue de peloton dans la course à l’investiture UMP pour la présidentielle 2017 : seuls 2% des sympathisants UMP souhaitent l’avoir comme candidat loin derrière Nicolas Sarkozy (58%), Alain Juppé (19%) et François Fillon (12%).

UMP : Copé le boutiquier veut aussi faire l’inventaire

UMP : Copé le boutiquier veut aussi faire l’inventaire

 

Copé ne veut pas laisser les ambitieux quadras faire seuls leur inventaire de l’EMP et de l’action de Sarkozy ; lui aussi veuet faire l’inventaire (sérieux, lui, à la différence  des autres et sans langue de bois ; de la part de Copé une vraie garantie !). Il faut se dépêcher car bientôt il ne demeurer pas grand-chose dans la boutique de l’UMP où les boutiquiers seront bientôt plus nombreux que les clients. Un inventaire d’un parti politique pourquoi pas ? Mais celui qui reste à faire est celui de la France et de son déclin (un thème peut-être pas trop porteur pour être élu ?).  Dans une interview à paraître samedi dans les journaux du groupe Nice-Matin, M. Copé, sans prononcer lui-même les mots « droit d’inventaire », pose deux règles « pour que ce débat se déroule dans la sérénité ».  Il demande d’une part qu’il ne se transforme pas « en procès personnel contre Nicolas Sarkozy et François Fillon qui ont ensemble gouverné la France pendant cinq ans ». Une façon de ménager celui qui reste la figure la plus populaire à droite, mais aussi celui qui fut son rival pour la présidence de l’UMP à l’automne dernier. : « Même si ce débat tire les enseignements du passé, il faut qu’il serve exclusivement l’avenir. C’est un point de départ incontournable pour retrouver la confiance des Français d’ici 2017″, ajoute M. Copé.  Alors qu’on lui demande s’il est frileux quant à un « droit d’inventaire » réclamé par plusieurs responsables de l’UMP, M. Copé répond : « Au contraire! Je considère qu’aujourd’hui les conditions sont réunies pour faire un travail sérieux et objectif : l’UMP ayant désormais une équipe dirigeante définitivement confortée par le vote massif des militants au mois de juin dernier, elle est en ordre de marche pour un dialogue sincère et sans langue de bois avec les Français ».  Le député-maire de Meaux « propose que ce débat ait lieu à l’UMP avec tous ceux qui le souhaitent et qu’il soit conclu au plus tard mi-octobre, afin de ne pas empiéter sur la campagne des municipales ».  Nous devons pointer du doigt ce que nous n’avons  pas osé faire et en tirer les conséquences. Mais nous dirons aussi aux Français : voilà ce que nous avions fait, les socialistes l’ont défait, regardez le résultat », ajoute-t-il.  Hervé Mariton, Gérald Darmanin, Patrick Devedjian ou Laurent Wauquiez sont sortis du bois au cœur  de l’été avec une préoccupation : dire haut et fort qu’il était temps de procéder à « l’inventaire » du précédent quinquennat pour mieux préparer le prochain.  Le plus virulent en ce mois d’août fut l’ancien ministre Laurent Wauquiez, fondateur du courant de la Droite sociale à l’UMP, qui dans une interview au Point a dressé un bilan quasi exhaustif de ce qui, à ses yeux, est à mettre à l’actif ou au passif de la décennie écoulée durant laquelle la droite a exercé le pouvoir. « En dix ans, on a sans doute amélioré le fonctionnement du pays mais on n’a pas redonné un vrai souffle ni interrompu la menace du déclin », y affirme-t-il notamment.  D’autres, comme Roger Karoutchi, ont mis en garde contre les risques de divisions supplémentaires au sein du parti. « L’inventaire divise, ne nous trompons pas de débat », a fait valoir le sénateur des Hauts-de-Seine.  Le 11 juillet, soit trois jours après la prestation très commentée de Nicolas Sarkozy devant le bureau politique de l’UMP, François Fillon avait invité ses troupes à « méditer le passé ». L’ancien Premier ministre doit faire sa rentrée le 28 août dans la Sarthe.

 

Copé : politique ou businessman ?

Copé : politique ou businessman ?

 

Curieux finalemenet cette mansuétude du président de la commission des lois à l’assemblée qui considère que les conférences rémunérées de Copé ne doivent pas être interdites. Un peu comme l’impression que le corporatisme de l’oligarchie politique se protège.  Réagissant à un article du Journal du dimanche, le numéro un du Parti socialiste Harlem Désir a dénoncé la « politique business » et le « mélange des genres » pratiqués par M. Copé. Ce dernier a participé à un forum international organisé le 23 juillet par le magazine Forbes au Congo. Lundi le ministre écologiste Pascal Canfin s’est dit « choqué ».  Même s’il conteste la rémunération de 30.000 euros, montant avancé par le JDD, Jean-François Copé « assume totalement » cette conférence payée. Il en donne « souvent », a dit lundi son directeur de cabinet Jérôme Lavrilleux. « Seules celles qui sont organisées par des organismes privées donnent lieu à rémunération », a-t-il déclaré.  De fait, la pratique des « ménages », médiatisée ces dernières années avec l’arrivée sur ce marché d’anciens chefs d’Etat et de gouvernement comme Bill Clinton ou Tony Blair, n’a rien d’illégal.  Ce serait contraire au « principe d’égalité et à la liberté d’entreprendre » de l’interdire, dit à l’AFP Jean-Jacques Urvoas, président de la Commission des Lois de l’Assemblée nationale. La future loi sur la transparence, qui devrait être votée en septembre, permettra en revanche de rendre publiques toutes les conférences données par les parlementaires et le montant de leur rémunération.  Payées entre 5.000 et 300.000 euros la prestation selon le JDD, ces pratiques posent problème lorsque l’homme politique qui intervient exerce en parallèle un mandat électoral, juge le chef des députés socialistes, Bruno Le Roux. « Il faut faire la différence entre ceux qui sont porteurs d’une parole publique (…) ceux-là doivent avoir un code », a-t-il plaidé lundi sur RTL.  Le député PS Yann Galut, rapporteur de la loi sur la transparence, trouve d’ailleurs « surprenante » la rémunération d’interventions en plein exercice d’un mandat. « C’est une double rémunération : une fois qu’on est élu, on est rémunéré par l’Assemblée nationale », or les conférences données sont « souvent liées à votre activité de député ».  Alexis Douay, qui dirige Entourages, une agence de « celebrity marketing » qui propose à des entreprises de grands noms pour animer leurs événements, fait remarquer que « très peu de personnalités politiques » figurent dans ses fichiers, « pour des questions de déontologie ».   »Il n’y a absolument pas lieu de polémiquer », selon l’entourage de François Fillon qui donne des conférences via sa société « 2F Conseil ». Etre rémunéré, « c’est tout à fait logique, dès lors qu’il y a une prestation », déclare à l’AFP son porte-parole, le député UMP Jérôme Chartier. Il souligne que l’ex-Premier ministre donne également « quatre, cinq » conférences gratuitement par an.  Le problème disparaît dès lors qu’il n’y a plus rémunération, dit à l’AFP Séverine Tessier, porte-parole d’Anticor et co-auteure du livre « Corruption : stop ou encore ? Manifeste pour l’action citoyenne ». « A partir du moment où il y a rémunération, il y a intérêt privé, contraire à l’intérêt général », affirme-t-elle. Pour elle, le « ménage » de M. Copé est une « illustration des dérives affairistes » de la vie politique française. « Les élus, manifestement, cherchent d’abord à se servir de leurs fonctions ».  Beaucoup de politiques s’abritent d’ailleurs derrière la gratuité de leurs interventions. « Je ne donne pas de conférence payante », a affirmé lundi la candidate UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet sur BFMTV/RMC. Echo identique du côté de l’ancien ministre UMP Xavier Bertrand qui « n’a jamais donné et ne donne pas de conférences rémunérées », affirme son entourage, contrairement à ce qui est suggéré dans le JDD.  Pour l’ancien ministre socialiste, Hubert Védrine, la polémique vise surtout les mauvaises personnes, les politiques représentant une part « minime » des clients des agences de placement de personnalités. « Si on en fait deux dans l’année, c’est le maximum », confirme Alexis Douay. « Il faut aussi trouver des entreprises qui mettent 30.000 euros » dans un conférencier. La mode des politiques conférenciers n’a pas encore totalement pris en France, selon lui.

 

« Politique business » de Copé ?

« Politique business » de Copé ?

D’anciens politiques grassement rémunérés pour une petite conférence, c’est la mode depuis longtemps désormais, ‘s’y ajoute des politique en fonction comme Copé ; ce que dénonce Désir du PS. En faiat la plupart du temps les vedettes politiques n’apportent pas grand-chose à ces conférences sinon leurs noms et leurs titres pour attirer les participants (qui payent très cher !). « Un chef de parti de notre pays n’a pas à être payé pour des prestations au service d’intérêts privés à l’étranger. Cette politique business du président de l’UMP en Afrique est profondément choquante, elle est contraire à tous les principes d’éthique et de transparence », a écrit M. Désir dans un communiqué. Selon lui « ce mélange des genres doit cesser ».  Contacté par l’AFP, l’entourage de Jean-François Copé a confirmé la participation du numéro un de l’UMP la semaine dernière à un forum économique organisé dans la capitale du Congo par le magazine Forbes. Il a en revanche refusé de commenter les propos de Harlem Désir.  M. Copé comptait parmi les intervenants du Forum Forbes Afrique 2013 aux côtés de patrons, d’hommes d’État africains, de Kofi Annan, ancien secrétaire général de l’ONU. L’ancien Premier ministre belge et eurodéputé Guy Verhofstadt et l’homme d’affaires français Matthieu Pigasse (coactionnaire du groupe Le Monde, dirigeant de la banque Lazard) étaient également annoncés au programme.  La participation de dirigeants politiques à des conférences contre rémunération n’est pas exceptionnelle. Elle est pratiquée par d’anciens chefs d’Etat ou de gouvernement tels Bill Clinton, Tony Blair, Nicolas Sarkozy ou encore le socialiste Michel Rocard.  Pour Harlem Désir toutefois cela ne doit pas concerner « des responsables politiques en fonction ». « Il est contraire à l’éthique de monnayer son image, et peut-être son influence, de dirigeant politique français, en échange de sommes d’argent sur lesquelles n’existe aucune forme de transparence », insiste-t-il.  Selon le Journal du dimanche (JDD), citant « un spécialiste » non identifié, Jean-François Copé « pourrait avoir empoché 30.000 euros » en donnant cette conférence mercredi dernier à Brazzaville.

 

Tapie « on vise Sarkozy » ; oui mais qui ? Hollande, Fillon, Copé ou les trois ?

Tapie « on vise Sarkozy » ; oui mais qui ?  Hollande, Fillon, Copé ou les trois ?

 

 

Drôle d’embrouille cette affaire Tapie, il y a évidemment le chef d’inculpation d’escroquerie en bande organisée ; une affaire Adidas qui n’aurait jamais existé sans les liaisons dangereuses de la fiance et de la politique et cela dès le départ quand Tapie a obtenu le soutien du crédit lyonnais pour acheter Adidas ; ensuite lors de l’arbitrage. Tapie l’affirme, c’est maintenant Sarkozy qui est visé. Il a sans doute raison mais par qui  mais par les candidats potentiel de 2017. Hollande bien sûr qui n’a aucune chance d’être élu, comme Fillon ou Copé si Sarkozy se présente. Du coup les « comploteurs » ne sont pas forcément tous eux qu’on pense.  Bernard Tapie juge impensable que Nicolas Sarkozy n’ait pas donné son feu vert à l’arbitrage de 2008 destiné à solder le litige l’opposant au Crédit Lyonnais mais il a une nouvelle fois dédouané lundi l’ancien chef de l’Etat. Dans sa première déclaration publique depuis sa mise en examen vendredi pour escroquerie en bande organisée, l’homme d’affaires s’est dit victime d’un « acharnement médiatique » et d’un « complot » en assurant que le dossier était vide. Les enquêteurs le soupçonnent d’avoir eu des liens anciens avec Pierre Estoup, ex-juge du tribunal arbitral qui lui a accordé 403 millions d’euros en 2008 pour régler le contentieux au sujet de la revente d’Adidas. Bernard Tapie, qui a soutenu Nicolas Sarkozy lors des élections présidentielles de 2007 et 2012, a reconnu à demi-mot ces dernières semaines avoir participé à une importante réunion fin juillet 2007 à l’Elysée concernant cet arbitrage, en présence notamment de Claude Guéant, alors secrétaire général de la présidence. « Il n’est pas pensable aucunement que (Nicolas Sarkozy) n’ait pas donné son feu vert, c’est impossible, il a forcément donné son feu vert », a-t-il dit lundi soir sur France 2. « Mais entre donner son feu vert et donner son accord ou être à la manœuvre… » « On a essayé de l’accrocher, c’est lui qu’on visait dans les faits », a-t-il ajouté, assurant que l’ancien chef de l’Etat « n’avait pas l’intention de s’en mêler ». L’homme d’affaires a expliqué être venu à plusieurs reprises à l’Elysée pour défendre son dossier « jamais (devant le) président de la République » mais devant les « conseillers chaque fois qu’ils me l’ont demandé ». « Moi, M. Sarkozy je peux le voir 30 fois, pas une fois je vais lui parler de l’arbitrage (…) chacun ses principes », a-t-il lancé. Bernard Tapie, 70 ans, a passé quatre jours en garde à vue dans les locaux d’un hôpital parisien. Il a été laissé libre sous contrôle judiciaire après avoir été mis en examen pour escroquerie en bande organisée. « Il n’y a rien » dans le dossier, a-t-il estimé lundi soir. Concernant ses liens avec Pierre Estoup, il est revenu sur la dédicace qu’il a faite dans un livre offert au magistrat en juin 1998 : « votre soutien a changé le cours de mon destin ». « A l’époque, je suis mis sept fois en examen », a-t-il dit. « Je n’ai à peu près aucune chance de m’en sortir sur tous les procès en cours et d’un coup, j’apprends qu’un homme que je ne connais pas, qui est un haut magistrat, a une attitude extrêmement courageuse en me défendant dans un environnement qui m’était hostile. » « Il ne me connaissait pas, je ne le connaissais pas », a-t-il ajouté. Outre Bernard Tapie et son avocat Maurice Lantourne, trois autres personnes ont été mises en examen pour « escroquerie en bande organisée » dans ce dossier : l’ex-juge arbitre Pierre Estoup, Jean-François Rocchi, ex-président du Consortium de réalisation (CDR), l’organisme chargé du passif du Lyonnais) et le PDG de France Télécom Stéphane Richard, l’ex-directeur de cabinet de l’ancienne ministre de l’économie Christine Lagarde.

 

Copé, faux cul, qui a dénoncé le voleur de pain au chocolat épargne Stéphane Richard

Copé, faux cul, qui a dénoncé le voleur de pain au chocolat épargne Stéphane Richard

 

‘L’archétype du faux cul en politique, Copé, qui n’a pas hésité à dénoncer le voleur de pain au chocolat à la sortie d’une école est plus discret sur l’affaire Guéant et Tapie ; Il épargne le PDG d’Orange accusé d’escroquerie en bande organisée. Question sur RMC :

Jean-François Copé  sur Guéant : « Une enquête est en cours, c’est à la justice d’en décider. J’ai toujours appelé au respect de la présomption d’innocence, j’avais fait pareil pour l’affaire Cahuzac. Si les faits sont avérés, c’est extrêmement grave ».

Sur la mise en examen de Stéphane Richard. L’Etat doit-il demander sa démission ?

Jean-François Copé : « Je ne connais rien à cette affaire d’autre que ce que j’ai pu en lire, une réunion du Conseil d’administration a été convoquée, ce sera le lieu et le moment pour décider. Moi, je n’ai pas d’avis. Stéphane Richard, présumé innocent, est-il en situation de conduire les destinées de cette entreprise ? Seuls les actionnaires peuvent le décider ».

Sur le voleur de pain au chocolat ; il aurait pu dire sur le même ton :

«  Je ne connais rien de cette affaire sinon ce que j’ai pu lire ; le voleur inconnu est donc pour le moment présumé innovent, une réunion des parents d’élèves est prévue, c’et à eux de décider ». La langue de bois, oui, mais pour tout le monde. C’est cela la démocratie !

Le « pain au chocolat » Copé récompensé

Le «  pain au chocolat » Copé récompensé

Enfin un prix pour Copé justement récompensé  pas pour ses performances en matière de fraude électorale à l’ UPM , ni par l’académie de la patisserie mais  pour sa fable du pain au chocolat volé à la sortie de l’école (alors que l’école était fermée) par un musulman (un jour de ramadan).  Jean-François Copé a ainsi reçu le prix « Territoires perdus de la République » pour avoir évoqué des « quartiers » où, selon lui, un collégien peut se faire arracher un « pain au chocolat par des voyous qui lui explique qu’on ne mange pas pendant le ramadan ». Véronique Genest a pour sa part écopé de la banane d’or « Super patriote » pour s’être déclarée « islamophobe » et avoir qualifié l’islam de « dangereux pour notre démocratie ». Autre lauréat: le député UMP du Var Jean-Sébastien Viallate qui avait estimé sur twitter: « Les casseurs sont sûrement des descendants d’esclaves, ils ont des excuses # Taubira va leur donner des compensations » après les violences sur le Trocadéro en marge du sacre du PSG.  Un prix revient à la philosophe Elisabeth Badinter, qui a déploré « l’entrisme de ces islamistes dans des crèches de quartier » après l’annulation par la Cour de cassation d’une employée voilée de la crèche Baby Loup. Franck Tanguy, chroniqueur sur RMC, est épinglé pour avoir déclaré lors des Grandes Gueules: « Très franchement, quand je vois un barbu en djellaba qui traverse au feu rouge, j’ai envie d’accélérer. » Enfin, une banane d’or échoit à l’éditorialiste Elisabeth Levy « pour l’ensemble de son œuvre » qui « cumule toutes les tares », selon Bader Lejmi. Pour lui, la cérémonie de cette année se distingue des précédentes car « pour la première fois, le gouvernement est de gauche ». Mais « le racisme est toujours aussi normal sous une présidence normale », a-t-il dit. Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls s’est donc retrouvé nommé à deux reprises pour une banane d’or. Mais le jury, parmi lequel figuraient le géopolitologue Pascal Boniface, le journaliste Nadir Dendoune ou encore la championne de boxe et écrivaine Aya Cissoko, ne l’ont pas retenu. Lauréat l’an dernier, le directeur de la rédaction de l’Express, Christophe Barbier, était venu lundi recevoir son prix. « Je pense que cette récompense était un peu injuste mais je suis ravi d’avoir été invité pour exprimer mon point de vue », a-t-il expliqué, malgré les huées que lui a lancées l’assistance. « Les Indivisibles », une association d’une centaine de membres, a été fondée en janvier 2007 en référence au premier article de la Constitution affirmant le principe d’une République « une et indivisible ».

 

 

Copé : « le printemps des cons » et il s’y connaît !

Copé : «  le printemps des cons » et il s’y connaît !

 

Copé a le sens des formules à défaut d’avoir le sens de l’honnêteté (trucage des élections à l’UMP, amitiés financières avec des personnages comme Takiedinne, torpillage de Sarkozy etc.) ; Pour la gauche, il a annoncé le printemps des cons ; Copé fait mal car il est très efficace dans sa posture d’opposant (beaucoup moins dans son attitude de candidat à la gouvernance où son coté faux cul est manifeste). L’appel de Jean-François Copé à un « printemps des cons » en France, un an après l’élection de François Hollande, suscite l’indignation de la gauche, qui dénonce ce mardi 7 mai une dérive « populiste » du président de l’UMP. Pour marquer « l’échec » de la première année d’exercice du président socialiste, Jean-François Copé s’en est pris à la « véritable imposture » que constitue à ses yeux la présidence Hollande lors d’un meeting à Nîmes. Un panneau parsemé de photos de personnalités, essentiellement de droite, a été récemment découvert dans les locaux parisiens de ce syndicat classé à gauche. « Les cons, c’est nous, c’est vous, ce sont les justiciables, ce sont les victimes, c’est le peuple français, c’est tous ceux qui ne pensent pas comme eux », a lancé Jean-François Copé. A gauche, on a peu goûté aux attaques de celui qui se présente comme le chantre de la « droite décomplexée ». Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, proche de François Hollande, a estimé sur RTL que le patron de l’UMP « avait beaucoup de choses et beaucoup de chemin à faire » avant d’aspirer à diriger le pays. « Moi je le renvoie à sa vulgarité », a-t-il commenté. Michel Sapin, autre « hollandais » du gouvernement, a prédit pour sa part « un avenir noir » à Jean-François Copé. « Parce qu’à vouloir utiliser les pires mots du populisme, à vouloir donner dans la grossièreté et dans la vulgarité, il n’ira pas loin ce Jean-François Copé », a jugé le ministre du Travail ce matin sur Europe 1. « Jean-François Copé a vraiment fait de l’outrance langagière son fonds de commerce. Sans doute pense-t-il que cela finira par cacher la vacuité totale de ses propositions », a commenté de son côté Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement, lors de son point de presse hebdomadaire à l’issue du Conseil des ministres. « Je crois que les Français ont besoin aussi d’avoir une opposition constructive », avait-t-elle lancé un peu plus tôt sur l’antenne de BFM TV. Harlem Désir, qui avait dénoncé dès lundi soir les « faux procès en illégitimité » d’une droite « aigrie par la perte du pouvoir », a accusé mardi Jean-François Copé d’ »insulter » les Français. « Il abaisse le débat politique. C’est un mépris vis-à-vis des choix démocratiques qui ont été faits par les Français le 6 mai. Je lui demande de cesser cette vulgarité », a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste sur RMC Info et BFM TV.

 

Copé : un compte en Suisse ?

Copé :  un compte en Suisse ?

« Obtenue par Mediapart, la note « EPOC » fait apparaître l’ouverture du compte n°386315 au Crédit suisse de Genève au nom d’Isabelle Copé et de son mari. Nous sommes alors en juillet 2005. Jean-François Copé, ministre du Budget, est à la tête de l’administration qui fait la chasse aux fraudeurs fiscaux. »

 

Patrimoine : hypocrisie » (Copé)

Patrimoine : hypocrisie » (Copé)

Jean-François Copé, le président de l’UMP, a mis en garde mardi contre le « numéro de voyeurisme et d’hypocrisie » qu’il accuse le pouvoir d’organiser autour du patrimoine des politiques pour, dit-il, occulter l’affaire Cahuzac. Comme France 2 demandait au député-maire de Meaux s’il allait rendre public son patrimoine, à l’image de ce qu’a fait la veille son adversaire de l’automne François Fillon, le député-maire de Meaux a répondu : « naturellement je le ferai, le jour où la loi le prescrira ». Pourquoi pas tout de suite ? « Parce que je ne concours pas à ce numéro de voyeurisme, d’hypocrisie ». Le président François « Hollande souhaite jeter un écran de fumée pour faire oublier une affaire qui n’a rien à voir, celle d’un de ses ministres qui a menti et fraudé le fisc ». « On est donc en train de tout mélanger », a déclaré l’ancien ministre du budget.

Le putsch de Copé à l’UMP

Le putsch de Copé à l’UMP

Jean-François Copé a balayé vendredi les accusations de deux journalistes qui, avec leur livre « Le Coup monté », ravivent les soupçons au sein de l’UMP en affirmant que le rival de François Fillon a ourdi une manipulation pour s’arroger la présidence du parti. L’ancien Premier ministre, qui a mené à l’automne dernier un duel inédit dans les annales de la droite avec le député-maire de Meaux pour dénoncer une « fraude industrielle » dans un scrutin interne qui lui semblait acquis, a estimé a contrario sur Europe 1 que l’ouvrage lui donnait raison.  Dans ce livre paru jeudi, Bruno Jeudy et Carole Barjon décrivent avec force détails ce qu’ils présentent comme le « putsch » du 18 novembre 2012, date de l’élection à la présidence du premier parti d’opposition. Ils citent notamment Patrice Gélard, l’ex-président de la commission de contrôle des opérations électorales (Cocoe) de l’UMP, qui leur aurait déclaré avoir été « enfumé » par l’entourage de Jean-François Copé. « On ne m’enlèvera pas de l’idée que c’est un coup monté », déclare le sénateur de Seine-Maritime, qui avait proclamé la victoire de Jean-François Copé avec 98 voix d’avance le lundi 19 novembre, avant de reconnaître deux jours plus tard « l’oubli » de trois fédérations d’outre-mer dans le décompte des résultats. Cette omission, avait-il alors concédé dans un communiqué, aurait abouti « vraisemblablement à une inversion du résultat final ». Patrice Gélard a démenti jeudi avoir tenu ces propos, affirmant qu’ils avaient été « déformés » par les auteurs, fin connaisseurs de la droite française. « C’est un baroud d’honneur de journalistes très engagés », a commenté vendredi Jean-François Copé lors d’une conférence de presse, relevant « un sentiment décalé de réchauffé dans ce petit ‘coup’ qui ne vaut pas grand’chose ». « Mon objectif est de rassembler. La page est tournée », a-t-il souligné. Pour François Fillon, qui travaille déjà à sa candidature à l’élection présidentielle de 2017, « il n’y a rien de nouveau ». « Le résultat de cette élection me donnait une très courte victoire. Il a été inversé dans des conditions inacceptables, c’est pour ça que j’ai déclenché la crise qui a eu lieu à l’UMP », a-t-il dit sur Europe 1. L’ouvrage conforte ceux qui à l’UMP, notamment dans le camp des « fillonistes », militent ardemment pour une nouvelle élection en septembre, comme les deux protagonistes en sont convenus par un accord signé le 17 décembre dernier qui a instauré une direction paritaire (copéistes-fillonistes) à la tête du parti. Des « copéistes », principalement, mais aussi d’anciens partisans de l’ex-Premier ministre de Nicolas Sarkozy, s’efforcent d’instiller l’idée de l’inutilité d’un nouveau scrutin. « Les militants ne veulent pas d’une nouvelle élection », assure un proche de Jean-François Copé. « Ils ont quelqu’un qui est bien là, qui fait le job de l’opposition ». »Si élection il y a, il faudra que ça se fasse vite, pour passer à autre chose », ajoute-t-il. Jean-François Copé n’a pas encore fait officiellement acte de candidature, tandis que François Fillon réserve sa décision pour juin. Le président de l’UMP « fait beaucoup d’efforts pour être consensuel, pour le moment ça se passe bien », souligne ce proche, redoutant que les hostilités ne reprennent. « La vérité, c’est que l’on n’a pas de cœur à l’ouvrage car on se regarde en chiens de faïence, même si on reste polis », témoigne l’ancien ministre UMP Gérard Longuet dans une interview au JDD.fr.

 

Copé, un sentimental qui s’ignore, veut être aimé des français

Copé, un sentimental qui s’ignore,  veut être aimé des français

Jean-François Copé souhaite non seulement être réhabilité dans les sondages mais il veut l’ amour en plus. C’est peut-être beaucoup demander en même temps.  M. Copé a accordé un long entretien au magazine qui lui consacre quatre pages dans son édition de cette semaine, dont une grande photo de lui avec son épouse Nadia. De manière inhabituelle, il emploie un ton assez intimiste, évoquant la crise à l’UMP, sa relation avec les Français mais aussi ses liens avec sa famille.  Après le vote pour la présidence de l’UMP en novembre, et les graves dissensions qui s’en sont suivies dans le parti, « j’ai vite compris que je faisais office de bouc émissaire », affirme M. Copé, dont la cote dans les sondages avait plongé.  François Fillon lui avait contesté sa victoire, fillonistes et copéistes s’accusant mutuellement d’avoir triché.   »Pendant un mois, je n’ai pas lu un journal ni allumé la télé. Je me faisais raconter ce que j’avais besoin de savoir. Je ne voulais pas avoir l’esprit déformé par des commentaires externes, souvent haineux », dit-il, ajoutant que son « unique objectif » était « d’assurer la survie de (sa) famille politique ».   »Le spectacle lamentable de ces querelles de personnes m’a éloigné des Français », reconnaît-il, ajoutant: « Beaucoup ont pensé que la politique politicienne l’emportait sur leurs préoccupations, ils avaient raison. J’ai éprouvé à cet égard un grand sentiment d’injustice ».  Evoquant sa « relation affective » avec ses administrés à Meaux, ville dont il est député-maire, il dit qu’il « espère pouvoir construire cela avec les Français ».  Il revient également sur « l’affaire du pain au chocolat ». Ses propos sur un jeune qui se serait fait « arracher son pain au chocolat par des voyous » au motif « qu’on ne mange pas au ramadan » avait provoqué l’ire des associations musulmanes.  Selon lui, les commentateurs ont « sciemment ou non commis un contresens » sur ses propos. « Ils ont affirmé que je critiquais la pratique du ramadan. C’était tout l’inverse. Je dénonçais les intégristes », assure-t-il.  Le président de l’UMP réaffirme qu’il « est et sera toujours dans un refus total d’alliance avec le Front national ».

 

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