Archive pour le Tag 'copain'

PSG: maintenant un entraîneur, par un copain !

  • PSG: maintenant un entraîneur,  par un copain !

Il est clair que depuis longtemps le coach allemand Thomas Tuchel,  n’avait plus guère d’influence dans le vestiaire. Des stars comme Neymar ou MBappé se contentent depuis longtemps d’un rôle de vedette un peu capricieuse en oubliant trop souvent la dimension collective et le travail de défense. À la différence par exemple d’un Harry Kane, dans le club de Tottenham.

 

En cause l’usure prématurée de certains entraîneurs face à des enjeux colossaux mais aussi des raisons particulières comme le manque d’autorité de Thomas Tuchel qui n’a jamais été capable de sortir ses vedettes quand elles étaient en méforme.

 

Le faite de caresser dans le dos des joueurs n’est pas forcément la meilleure pédagogie pour obtenir le meilleur résultat. Thomas Tuchel a oublié que certains de ses joueurs étaient en fait  encore des ados prolongés, surpayés capricieux et inconscients. Le futur entraîneur aura notamment à remettre dans les rails MBappé un peu trop influencé par le comportement négligeant de Neymar.

 

La piste privilégiée pour lui succéder est celle de l’Argentin Mauricio Pochettino, selon les informations de RMC et l’Equipe, dont Europe 1 a eu confirmation. L’ancien défenseur du PSG entre 2001 et 2003 a fait ses preuves comme entraîneur au plus haut niveau à Tottenham (2014-2019). Comme Tuchel, le technicien de 48 ans avait été évincé en 2019 de son poste chez les Spurs de Tottenham, cinq mois après avoir atteint la première finale de C1 du club, perdue contre Liverpool (2-0). La même sanction aurait dû être prise vis-à-vis de Thomas Tuchel quand il a perdu la finale européenne.

 

Engie : pourquoi en plus du DG un président ? Pour placer un copain ?

Engie : pourquoi en plus du DG un président ? Pour placer un copain ?

L’étatisme a la vie dure en France. Pour preuve le ministre de l’économie s’est encore mêlé de la gouvernance d’Engie. Le ministre de l’économie a estimé qu’il convenait de maintenir  en place une direction bicéphale à la tête de l’entreprise avec un président et une directrice générale. Évidemment le conseil d’administration s’est couché devant la volonté gouvernementale. Pas étonnant, le conseil d’administration est pour l’essentiel de fonctionnaires et d’anciens fonctionnaires.  Pourquoi une direction bicéphale alors que la plupart des entreprises privées ou publiques la direction est assurée par une même personne. Ceci pour une question de cohérence et d’efficacité. Pourquoi en serait-il différemment pour Engie. À moins que l’on ait  un petit copain de l’ENA ou du corps des mines à placer. De toute manière, le gouvernement ne devrait pas s’exprimer sur la gouvernance interne d’une entreprise mais se limiter à lui fixer des objectifs quand l’État détient des participations financières. Les désignations dans les entreprises qui dépendent totalement ou pour partie de l’État devraient être confiées à la responsabilité d’un organisme –vraiment-indépendant.  La direction d‘Engie restera donc bicéphale après le départ de son président Gérard Mestrallet au mois de mai, a  donc officiellement annoncé le conseil d‘administration du groupe énergétique, indiquant que la succession était ouverte. PDG d‘Engie pendant huit ans, Gérard Mestrallet a cédé la direction générale du groupe en 2016 à Isabelle Kocher car il avait atteint la limite d’âge, tout en restant pour deux ans président du conseil d‘administration. “La présidence de Gérard Mestrallet prendra fin lors de l’assemblée générale du 18 mai 2018 au cours de laquelle sera soumise aux actionnaires la désignation d’un nouvel administrateur indépendant en vue de sa nomination à la présidence du groupe”, écrit le conseil d‘Engie. Depuis son arrivée à la tête d‘Engie, Isabelle Kocher, seule femme directrice générale d‘une entreprise du CAC 40, a axé la stratégie du groupe sur les énergies renouvelables, le réseau et les services, et vendu près de 15 milliards d‘euros d‘activités liées aux énergies fossiles.

Sondages de l’Elysée : encore un copain de Sarkozy mis en examen

Sondages de l’Elysée : encore un copain de Sarkozy mis en examen

Des centaines et des centaines de sondages commandé par Sarkozy sondage commandé par Sarkozy pendant qu’il était président de la république ; sondage dont beaucoup n’avaient strictement rien à voir avec la fonction présidentielle. Exemple des sondages concernant l’image de Carla Bruni (peut-être pour aider à la promotion d’une carrière de chanteuse très laborieuse !). Sondages en outre attribués à des copains notamment à buisson mais aussi à Pierre Giacometti, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, qui vient d’être mis en examen pour recel de favoritisme dans l’affaire dite des « sondages de l’Elysée », a-t-on appris mardi de source judiciaire. Une information judiciaire pour favoritisme, détournement de fonds publics (dont détournement ou destruction d’archives publiques) vise des sondages et des prestations de communication commandés par l’Elysée sous Nicolas Sarkozy, de 2007 à 2012. L’ancien patron d’Ipsos a facturé pour 2,56 millions d’euros de prestations de communication entre 2007 et 2012, selon l’association Anticor, à l’origine de l’enquête, ouverte à la suite de sa plainte avec constitution de partie civile. En juillet dernier, Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, avait été mis en examen dans ce dossier pour recel de favoritisme, détournement de fonds publics par un particulier et abus de biens sociaux. Six personnes, dont l’ancien ministre Claude Guéant et l’ex-secrétaire général de la présidence Xavier Musca, avaient par ailleurs été placées en garde à vue. Anticor estime qu’une bonne partie des sondages commandés sans appel d’offres par la société de Patrick Buisson Publifact, entre 2007 et 2009, n’avaient pas d’intérêt public lié à la fonction présidentielle. Sur la période 2010-2012, Anticor estime que certains sondages réalisés, après appels d’offres, ne relevaient pas non plus de la fonction présidentielle. Sont également visés par leur plainte des contrats de prestations en communication passés entre 2007 et 2012 entre l’Elysée et les sociétés de Pierre Giacometti et de Patrick Buisson, tous deux conseillers et amis de Nicolas Sarkozy, soupçonnés d’avoir bénéficié de favoritisme.

Un gouvernement d’énarques, de copains et de coquins

Un gouvernement d’énarques, de copains et de coquins

 

Ps vraiment un vrai gouvernement socialiste plutôt un gouvernement à tendance sociale libérale confuse avec surtout des copains. Des coquins auusi qui font à peu près le contraire de ce pourquoi ils ont été élus. Hollande a préféré une équipe de copains  à la diversité. Sapin, son ami de toujours reste au finances, Cazeneuve à l’intérieur Fabius aux affaires étrangère, Pellerin mute à la culture, Nadaud Belkacem à l’éducation et surtout l’ancien banquier , ancien conseiller de Hollande remplace Montebourg. Comme prévu un jeu de chaises musicales dont la seule surprise est la nomination de l’énarque Emmanuel Macron.  . Ancien conseiller économique de François Hollande à l’Élysée, ancien banquier d’affaires chez Rothschild, Emmanuel Macron est particulièrement décrié sur l’aile gauche du PS où on l’accuse d’avoir largement inspiré le virage social-libéral du président de la République. Son arrivée à la place d’Arnaud Montebourg a d’ailleurs été très mal perçue par l’aile gauche et les frondeurs. «Un gouvernement hollando-hollandiste avec la provocation d’Emmanuel Macron», a grincé Guillaume Balas, secrétaire général d’Un monde d’avance, le courant de Benoît Hamon. Mardi soir, sur France 2, Valls a dénoncé «les étiquettes surannées» accolées à Macron. «Il y a des années qu’on crève de débats idéologiques», a-t-il déploré, affirmant avoir le soutien de l’immense majorité des députés PS, de beaucoup d’écologistes et du PRG. D’ailleurs, il a annoncé qu’il demanderait un vote de confiance au Parlement. Autre signal fort de ce remaniement: la nomination de Najat Vallaud-Belkacem à l’Éducation nationale en remplacement de Benoît Hamon. Un choix qui a immédiatement suscité le tollé des adversaires du mariage pour tous alors que l’ex-ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports s’est particulièrement illustrée sur ce dossier. Semi-surprise aussi, et seule concession, l’icône de la gauche Christiane Taubira est maintenue à la Justice. Pour le reste, après la fracassante démission du gouvernement Valls I lundi matin, la constitution de Valls II mardi soir a surtout fait figure de ravalement cosmétique. Fleur Pellerin arrive à la Culture à la place d’Aurélie Filippetti. Un proche d’Arnaud Montebourg, le député Thomas Thévenoud, hérite certes du secrétariat d’État au Commerce extérieur, mais au bout du compte, le gouvernement paraît déséquilibré, éloigné du centre de gravité du PS, encore plus de celui de la gauche.

 

Affaire Morelle ; un copain énarque remplace le copain viré

Affaire Morelle ; un copain énarque remplace le copain viré

Gaspard Gantzer, 34 ans, un énarque qui a travaillé aux côtés de Bertrand Delanoë puis Laurent Fabius, a été nommé conseiller chargé des relations avec la presse et chef du pôle communication à l’Elysée, a annoncé mercredi la présidence.  Il devait seconder le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll mais la démission d’Aquilino Morelle, soupçonné de conflit d’intérêts, lui a offert une promotion. Gaspard Gantzer a été nommé mercredi soir « conseiller chargé des relations avec la presse, chef du pôle communication, à la Présidence de la République », a indiqué l’Elysée dans un communiqué. Il reprend ainsi en partie les attributions d’Aquilino Morelle. Issu comme Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l’Elysée, de la promotion de l’Ena Léopold Sédar Senghor (2004), Gaspard Gantzer a notamment été conseiller pour la communication (2010-2012) puis porte-parole de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris de mai 2012 à janvier 2013. Il était depuis janvier 2013 le conseiller communication et presse de Laurent Fabius au Quai d’Orsay. Un autre conseiller de l’Elysée va également quitter le Chateau quelques jours après Aquilino Morelle. Il s’agit de son ancien adjoint, Christian Gravel. Mais ce dernier explique selon le Lab, qui cite un SMS envoyé à ses amis, que son « départ n’a rien à voir avec la dernière petite affaire elyséenne… C’est un choix personnel. »

Orange : un « copain » comme directeur financier

Orange : un « copain » comme directeur financier

Encore deux  fonctionnaires qui auront  profité de leur  passage dans les cabinets pour faire une carrière sans beaucoup de risques. Ou la France des oligarques. Changement en vue à la direction d’Orange. L’actuel directeur du Trésor à Bercy, Ramon Fernandez, se verrait confier la direction financière de l’opérateur télécom historique, rapporte le Wall Street Journal. Le quotidien précise que l’actuel directeur financier d’Orange, Gervais Pellissier, qui occupe le poste depuis 2006, souhaite se voir confier de nouvelles responsabilités au sein du groupe. Cette nomination pourrait être annoncée dans les prochaines semaines. Une source proche du dossier avait récemment déclaré à Reuters que Ramon Fernandez rejoindrait le groupe Orange, mais sans préciser à quel poste.  Le conseil d’administration de l’opérateur a choisi, fin mars, de reconduire Stéphane Richard à la tête du groupe, dont l’Etat détient environ 28% du capital, optant pour la continuité dans un marché des télécoms en recomposition. Ramon Fernandez, qui avait été nommé sous Nicolas Sarkozy, pourrait être remplacé à la tête de l’importante direction du Trésor par François Villeroy de Galhau, actuel numéro deux de BNP Paribas. Même si jusqu’à présent, cet ancien collaborateur de DSK à Bercy de 1997 à 2000 a démenti cette possibilité.

Elysée : nouvelle affaire d’un copain énarque de Hollande

Elysée : nouvelle affaire d’un copain énarque de Hollande

Le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a déclaré qu’Aquilino Morelle, le conseiller de François Hollande, ne pourrait pas rester à l’Elysée si les accusations de Mediapart sur un conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique se révélaient fondées. « Si ce qui se dit est vérifié, je ne vois pas comment il peut rester. Mais si ce n’est pas vrai, il faut qu’il s’explique, il faut une grande explication pour que l’on puisse y voir clair. Il faut qu’il le fasse vite et qu’il s’explique, qu’on puisse le juger sur pièces », a déclaré Jean-Christophe Cambadélis ce vendredi 18 avril sur i-Télé.  Le site d’information Mediapart a publié un long article accusant le conseiller politique du président d’avoir « travaillé en cachette pour des laboratoires pharmaceutiques » quand il était inspecteur général des affaires sociales, et épinglant son train de vie à l’Elysée.  Aquilino Morelle, auteur du discours du Bourget de François Hollande lors de la campagne présidentielle de 2012, s’est défendu de tout « conflit d’intérêts », sur sa page Facebook. Rappelant qu’il est « docteur en médecine, ancien interne des hôpitaux de Paris et ancien élève de l’ENA » mais aussi « inspecteur général des affaires sociales », Aquilino Morelle assure avoir « respecté toutes les règles et toutes les procédures, en particulier le passage devant la Commission de déontologie » de la fonction publique d’Etat. Cette affaire entache-t-elle la présidence voulue exemplaire de François Hollande ? « Elle est exemplaire dans la manière dont fonctionne le président de la République, je peux le confirmer », a assuré ce vendredi Jean-Christophe Cambadélis.  »Aquilino Morelle va s’expliquer rapidement et à partir de là, le président prendra des décisions, ce n’est pas à moi de les annoncer à sa place », a également déclaré le nouveau patron du PS.

 




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