Archive pour le Tag 'convaincu'

Droits de douane américains : Trump convaincu par Macron

Droits de douane américains : Trump convaincu par Macron

 

Il n’y a sans doute que Macon qui est convaincu que les américains vont  épargner l’Europe concernant les nouveaux droits de douane. D’ailleurs le chef d’État américain ne s’est pas engagé sur ce terrain mélangeant d’ailleurs à la fois les droits de douane européen avec la TVA !

 

«J’espère l’avoir convaincu»: le président français Emmanuel Macron, en visite lundi 24 février à Washington, a plaidé la cause de l’Union européenne face à la marée de nouveaux de droits de douane promis par Donald Trump. Depuis le début de son second mandat, le 20 janvier, le président américain annonce régulièrement de nouvelles taxes sur les produits entrant aux Etats-Unis, parfois déjà entrées en vigueur (avec la Chine), parfois repoussées à une date ultérieure pour les Canadiens, les Mexicains ou encore des produits spécifiques comme l’acier, l’aluminium, plus tard les médicaments, l’automobile… Il accuse notamment les pays de l’Union européenne – qui exporte plus vers les Etats-Unis que l’inverse – de se comporter de manière «injuste» avec son pays. Donald Trump critique notamment le niveau de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), payée par les consommateurs dans les pays européens, qu’il a assimilée à un droit de douane supplémentaire sur les produits américains !

 

Sondage Bayrou : un discours de politique générale qui n’a pas convaincu

Sondage Bayrou : un discours de politique générale qui n’a pas convaincu

 Ce mardi 14 janvier, François Bayrou a prononcé son discours de politique générale devant l’Assemblée nationale et 68 % des français ne l’ont pas apprécié

D’après une étude réalisée par Odoxa-Backbone pour Le Figaro,le nouveau premier ministre n’a recueilli qu’un soutien de 31 % après son discours de politique générale. 68 % ne l’ayant pas apprécié.

Rien d’étonnant à cela compte tenu de la faiblesse du soutien du gouvernement au sein même de l’assemblée nationale. Par ailleurs les personnes interrogées ont sans doute été un peu surprises pour certaines aussi bien par la forme que par le fonds de la déclaration du Premier ministre. Une déclaration sur la forme plutôt molle mais bienveillante et sur le fond des orientations très générales relativement floues. À noter cependant que la déclaration du premier ministre était plus proche de celle d’un candidat potentiel à la présidentielle que celle d’un premier ministre surtout dans une telle position de faiblesse politique.

 

Politique : Macron à la télé n’a convaincu personne

Politique : Macron à la télé n’a convaincu personne

Comme d’habitude les réactions des éditorialistes sont assez mesurées sitôt après l’intervention d’un chef de l’État. D’une certaine manière ,on attend que la tonalité soit donnée. Pourtant récent sondage du Figaro montre que 80 % des Français sont très mécontents du discours de Macon et considèrent ses propositions des « 100 jour »s comme irréalistes. .

Sur ur un plan qualitatif, les experts conviennent que cette intervention du chef de l’État manquait sérieusement de clarté, de concret et même de sérieux.
Même le Medef qui n’est pas spécialement à l’extrême gauche a considéré que ce calendrier voire les propositions du chef de l’État étaient assez douteuses en tout cas que le Medef se tiendrait à son programme et qu’il était inutile d’engager des négociations quand on est pas sûr aboutir.

La vérité, c’est que ce discours ressemblait à un espèce de patchwork assez morne rabâchant pour la énième fois les orientations du chef de l’État. Une espèce de mélange permettant difficilement non seulement de voir le contenu concret mais aussi l’objectif et la programmation. À cet égard ,cette perspective de 100 jours est une sorte de promesse publicitaire qui n’a guère de sens quand il faudra des années pour changer réellement et radicalement et de manière concertée la situation présente.

D’une certaine manière, l’intervention de Macon était existentielle. Il s’agissait de montrer pour lui qu’il était toujours président de la république et qu’il détenait la maîtrise des horloges. En fait, ce président est de plus en plus seul même au sein de sa majorité pourtant guère contraignante. Pour preuve, le calendrier social va être imposé d’une part par les syndicats de salariés, d’autre part par les syndicats des patrons. De toute manière, l’étatisation n’est pas souhaitable dans tous les domaines loin s’en faut et mieux vaudrait que Macron se consacre à gouverner plutôt qu’à vouloir moderniser à tout prix pour afficher un pseudo modernisme. La conséquence politique de cette nouvelle intervention à la télévision sera sans doute une nouvelle détérioration de la popularité déjà basse du président.

Macron à la télé n’a convaincu personne

Macron à la télé n’a convaincu personne

Comme d’habitude les réactions des éditorialistes sont assez mesurées sitôt après l’intervention d’un chef de l’État. D’une certaine manière ,on attend que la tonalité soit donnée. Curieusement, on observera qu’aucune chaîne d’information n’a cette fois demandée de sondage d’appréciation de l’opinion sur cette intervention de Macron. Rien d’étonnant à cela puisque la majorité de ces médias dépendent des grands financiers et de l’État.

Mais sur un plan qualitatif, les experts conviennent que cette intervention du chef de l’État manquait sérieusement de clarté, de concret et même de sérieux.
Même le Medef qui n’est pas spécialement à l’extrême gauche a considéré que ce calendrier voire les propositions du chef de l’État étaient assez douteuses en tout cas que le Medef se tiendrait à son programme et qu’il était inutile d’engager des négociations quand on est pas sûr aboutir.

La vérité, c’est que ce discours ressemblait à un espèce de patchwork assez morne rabâchant pour la énième fois les orientations du chef de l’État. Une espèce de mélange permettant difficilement non seulement de voir le contenu concret mais aussi l’objectif et la programmation. À cet égard ,cette perspective de 100 jours est une sorte de promesse publicitaire qui n’a guère de sens quand il faudra des années pour changer réellement et radicalement et de manière concertée la situation présente.

D’une certaine manière, l’intervention de Macon était existentielle. Il s’agissait de montrer pour lui qu’il était toujours président de la république et qu’il détenait la maîtrise des horloges. En fait, ce président est de plus en plus seul même au sein de sa majorité pourtant guère contraignante. Pour preuve, le calendrier social va être imposé d’une part par les syndicats de salariés, d’autre part par les syndicats des patrons. De toute manière, l’étatisation n’est pas souhaitable dans tous les domaines loin s’en faut et mieux vaudrait que Macron se consacre à gouverner plutôt qu’à vouloir moderniser à tout prix pour afficher un pseudo modernisme. La conséquence politique de cette nouvelle intervention à la télévision sera sans doute une nouvelle détérioration de la popularité déjà basse du président.

Intervention à la télé : Macron n’a convaincu personne

Intervention à la télé : Macron n’a convaincu personne

Comme d’habitude les réactions des éditorialistes sont assez mesurées si tôt après l’intervention d’un chef de l’État. D’une certaine manière ,o n attend que la tonalité soit donnée. Curieusement, on observera qu’aucune chaîne d’information n’a cette fois demandée de sondage d’appréciation de l’opinion sur cette intervention de Macon. Rien d’étonnant à cela puisque la majorité de ces médias dépendent des grands financiers de l’État.

Mais sur un plan qualitatif, les experts conviennent que cette intervention du chef de l’État manquait sérieusement de clarté, de concret et même de sérieux.
Même le Medef qui n’est pas spécialement à l’extrême gauche a considéré que ce calendrier voire les propositions du chef de l’État étaient assez douteuses en tout cas que le Medef se tiendrait à son programme et qu’il était inutile d’engager des négociations quand on est pas sur aboutir.

La vérité c’est que ce discours ressemblait à un espèce de patchwork assez morne rabâchant pour la énième fois les orientations du chef de l’État. Une espèce de mélange permettant difficilement non seulement de voir le contenu concret mais aussi l’objectif st la programmation. À cet égard cette perspective de 100 jours est une sorte de promesse publicitaire qui n’a guère de sens quand il faudra des années pour changer réellement et radicalement et de manière concertée la situation présente.

D’une certaine manière, l’intervention de Macon était existentielle. Il s’agissait de montrer pour lui qu’il était toujours président de la république et qu’il détenait la maîtrise des horloges. En fait, ce président est de plus en plus seul même au sein de sa majorité pourtant guère contraignante. Pour preuve, le calendrier social va être imposé d’une part par les syndicats de salariés, d’autre part par les syndicats des patrons. De toute manière l’étatisation n’est pas souhaitable dans tous les domaines loin s’en faut et mieux vaudrait que Macon se consacre à gouverner plutôt qu’à vouloir moderniser à tout prix pour afficher un pseudo modernisme. La conséquence politique de cette nouvelle intervention à la télévision sera sans doute une nouvelle détérioration de la popularité déjà basse du président.

Intox: « Macron a convaincu Biden et Poutine de se rencontrer »

 

 

 

Alors que la situation est déjà là relativement complexe, Macr on ne cesse de la compliquer encore avec des annonces bidon comme celle parue hier et ce matin dans nombre de grands médias qui bêtement reprennent les communiqués du gouvernement. Exemple d’articles de ce matin:

 »  Alors qu’une guerre était donnée pour imminente, le président américain Joe Biden et le président russe Vladimir Poutine ont donné leur accord de principe à la tenue d’un sommet consacré à la crise ukrainienne, a annoncé lundi la présidence française ».

En fait de rencontres , Poutine a décidé d’envahir le Donbass  et de menacer l’Ukraine tout entière.

Il est clair que dans ces conditions une rencontre n’est pas pour demain entre Biden et Poutine. D’ailleurs les services diplomatiques russes n’ont jamais confirmé la rencontre prochaine de Biden et Poutine.

La vérité évidemment c’est que Macron veut se donner une dimension diplomatique internationale alors qu’il ne joue qu’un rôle accessoire entre les deux grandes puissances concernées.

Il serait utile que les grands médias ne ce limitent pas à la reprise sans analyse des déclarations du pouvoir en place. Une question de déontologie et de crédibilité.

Coronavirus : pourquoi la BCE n’a pas convaincu ?

Coronavirus : pourquoi la BCE n’a pas convaincu

Par l’économiste indépendante Véronique Riches-Flores et Alexandre Baradez, analyste chez IG France décrypte la stratégie relativement prudent de la BCE ( interview l a Tribune)

 

D’abord, les annonces faites par Donald Trump mercredi 11 mars, interdisant les vols européens vers les Etats-Unis, ont créé un environnement de stress particulièrement élevé sur les marchés. Ensuite, après que la Fed, puis la Banque d’Angleterre (BoE) aient respectivement abaissé leur principal taux directeur, certains investisseurs s’attendaient à ce que la Banque centrale européenne (BCE) fasse de même en agissant notamment sur son taux de dépôt actuellement à -0,5%. De quoi inciter les banques à prêter davantage aux entreprises et aux ménages pour soutenir l’économie. Or, l’institution de Francfort a décidé de maintenir ses taux inchangés.  »Le fait que la BCE n’abaisse pas son taux de dépôt est une énorme mauvaise nouvelle. C’est ne pas avoir conscience de la réalité du marché et ceci est extrêmement inquiétant », commente l’économiste indépendante Véronique Riches-Flores.« Le Cac40 n’a jamais perdu autant sur une séance. C’est une chute historique », rappelle-t-elle.

Une absence de baisse de taux était-elle envisageable ?

Le risque pour les grandes banques centrales, dont la marge de manœuvre demeure limitée dans un environnement de taux durablement bas, est d’écouler leurs munitions trop rapidement et se retrouver à court de mesures dans le cas où la crise sanitaire s’installe dans le temps. De nombreux analystes anticipaient donc que la BCE ne cherche pas à « choquer » le marché tout de suite, mais qu’elle privilégie une approche par phases pour garder des mesures en réserve en fonction de la réaction des marchés. « Nous pouvions imaginer une absence de la baisse des taux, à condition que cela soit compensé par des mesures exceptionnelles », souligne Véronique Riches Flores. « Or, l’enveloppe de 120 milliards d’euros supplémentaires dans le cadre du programme de rachats d’actifs reste négligeable », poursuit l’économiste. « 120 milliards d’euros ce n’est pas énorme », abonde Alexandre Baradez, analyste chez IG France. A titre d’exemple, lorsque cette puissante arme anti-crise avait été déployée entre mars 2015 et fin 2018, 2.600 milliards d’euros avaient été déversés sur les marchés. « On aurait aussi pu imaginer que ces rachats d’actifs soient ciblés vers des secteurs particulièrement exposés, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui », ajoute Alexandre Baradez.

Christine Lagarde a largement insisté sur l’importance d’une réponse budgétaire coordonnée et ambitieuse. Pourquoi renvoyer la balle aux Etats ?

« Christine Lagarde a clairement indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à ce que les banques centrales répondent en premier à cette crise » , souligne Alexandre Baradez.  »Son message consiste à dire : la BCE vous donne un contexte financier favorable, mais désormais c’est à vous de jouer », laissant comprendre que les mesures fiscales et de soutien au chômage seront beaucoup plus efficaces dans l’immédiat. « Christine Lagarde est d’abord une cheffe d’entreprise et une politique. Elle s’est mise volontairement en retrait pour obliger les Etats à agir », poursuit-il. Cette mise en retrait s’est également illustrée sur la forme, la conférence de presse n’ayant pas été marquée par un point d’orgue, comme avait pu le faire son prédécesseur Mario Draghi et son devenu célèbre « whatever it takes » (tout ce qui sera nécessaire). « Le risque c’est que les Etats prennent plusieurs mois à se mettre d’accord pour une réponse coordonnée », redoute toutefois Véronique Riches-Flores.

Peut-on s’attendre à de nouvelles mesures ?

« Vraisemblablement la BCE va attendre que les Etats prennent des mesures. Si cela ne suffit pas à rassurer les marchés, elle risque d’intervenir de nouveau », anticipe Alexandre Baradez. « Contrairement à la Fed, qui a eu une réponse épidermique en baissant son taux par surprise, la BCE va sans doute procéder par étapes », poursuit-il. L’institution européenne pourrait ainsi prendre de véritables mesures de relance lorsque le pic de l’épidémie se profilera. Un programme de rachats d’actifs plus conséquent serait alors envisageable. « Cela aura un effet, à la fois, psychologique et mécanique sur les marchés », assure l’analyste. « Manifestement, la BCE va revenir à la charge », anticipe également Véronique Riches-Flores. D’ici là, la Fed pourrait également annoncer de nouvelles mesures, sans attendre la réunion du 18 mars prévue au calendrier.

 

ndage- Hollande : fuite des électeurs pas non plus convaincus par Sarkozy

Sondage-  Hollande : fuite des électeurs pas non plus convaincus par Sarkozy

 

 Dans un sondage CSA pour « Nice-Matin », un électeur sur trois ayant voté pour François Hollande au second tour ne referait pas ce choix. François Hollande s’est-il coupé d’une partie de son électorat ? En partie, si l’on en croit les récents sondages de popularité ou la dernière enquête CSA (1) publiée ce lundi 5 mai dans Nice-Matin. A la question : « Si le second tour de l’élection présidentielle opposant François Hollande à Nicolas Sarkozy avait lieu dimanche prochain, voteriez-vous à nouveau pour François Hollande ? », 35% des électeurs de François Hollande au second tour affirment qu’ils ne referaient pas le même choix. Dans ces déçus, 16% déclarent même qu’ils ne le feraient « certainement pas ». 19%, moins catégorique, expliquent qu’ils ne le feraient « probablement pas ». Ce reniement est particulièrement marqué chez les électeurs qui n’avaient pas voté pour le chef de l’État au premier tour : 41% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon et 44% de ceux de François Bayrou ne se reporteraient plus sur François Hollande.   Ce choix reste cependant très « minoritaire » au sein de sa base socialiste : deux électeurs sur trois de François Hollande au premier tour renouvelleraient leur vote en sa faveur. 44% affirment même le faire avec certitude. L’institut CSA précise par ailleurs que 58% des Français estiment que Nicolas Sarkozy n’aurait pas fait mieux que son successeur à l’Élysée.

 




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