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Sondage Macron: Pas Convaincant à la télé pour 64%

Sondage Macron: Pas Convaincant à la télé pour 64%

64% des Français considèrent que le chef de l’État n’a pas été convaincant. cependant plupart des mesures annoncées par Emmanuel Macron ont ainsi recueilli une large majorité d’avis favorables. Une différence qui s’explique par le décalage entre les mots et l’action du président. ( sondage Elabe)

Les mesures approuvées:
La simplification des normes et la réduction des délais et procédures administratives pour les entreprises: 88%
La baisse des impôts de 2 milliards d’euros pour les classes moyennes: 87%
La mise en place de recommandations nationales sur l’usage des écrans par les enfants: 78%
Le doublement du nombre d’heures d’éducation civique à l’école: 77%.
L’apprentissage de la Marseillaise à l’école primaire: 75%.
La régularisation des médecins étrangers exerçant en France: 75%.
La généralisation du Service National Universel en classe de seconde: 72%.
L’expérimentation de la tenue unique à l’école dans une centaine d’établissements: 69%.
Le durcissement des règles pour les demandeurs d’emploi qui refusent un emploi: 68%.
La mise en place d’un plan de lutte contre l’infertilité: 68%.
Donner une place plus importante au mérite dans la rémunération des fonctionnaires: 67%.
L’enseignement de l’histoire de l’art au collège et au lycée à la rentrée 2024: 62%.
La tenue d’un hommage aux victimes françaises de l’attaque terroriste du Hamas en Israël: 61%.
La mise en place d’un « congé de naissance » mieux rémunéré et plus court (six mois) pour les deux parents, à la place du congé parental: 59%.
À l’inverse, l’obligation de la pratique théâtrale au collège clive davantage (50%), et le doublement de la franchise de 0,5 à 1€ sur les médicaments est rejeté (34%).

Macron à la télé : pas convaincant et même ennuyeux

Macon à la télé : pas convaincant

Cette fois encore Macron n’aura pas réussi à atteindre une audience record. C’est avec une certaine indifférence qu’a été regardé et écouté le chef de l’État visiblement en panne de dynamisme et d’idées.

Finalement, le seul point nouveau qui ressort c’est la décision d’attribuer un chèque carburant 100 € aux salariés les moins favorisés. Pour le reste, Macron se contente de reprendre ce qu’on savait déjà. À savoir la réunion cette semaine du conseil de planification économique avec quelques mesures anecdotiques. Pourtant avec l’annonce d’un chiffre de 40 milliards de dépenses dont on ne sait pas exactement ce qu’elle recouvre.

Des dépenses contraintes pour la plupart qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’écologie. Par contre l’absence d’orientations financières stratégiques concernant les nouvelles centrales nucléaires et le renouveau ferroviaire.

Pour le pouvoir d’achat, les ménages devront attendre des discussions entre les industriels et les distributeurs. Le gouvernement simplement se met en situation d’observateur.

Pour le carburant donc un chèque et la substitution du concept de prix coûtant à celui de vente à perte. Ce qui ne mange pas de pain dans la mesure où on ne connaît pas avec précision le niveau des coûts.

Enfin l’annonce d’un retrait volontaire du Niger qui n’est en fait que la conséquence de la décision des dictateurs de virer la France rapidement. Finalement un retrait assez piteux comme au Burkina Faso et au Mali.

Décidément, la politique étrangère ne réussit pas davantage à Macon que la politique intérieure.
Au total Macon aura eu du mal à convaincre et les sondages devraient confirmer le doute de plus en plus grand des Français quant aux capacités du président de la république à réformer réellement le pays de manière efficace et juste.

Sondage – débat: MACRON PLUS CONVAINCANT ?

Sondage – débat: MACRON PLUS CONVAINCANT ?

 

Un sondage de BFM -Elabe  qui montrerait que Macron sort vainqueur du débat télévisé. Un sondage évidemment à prendre avec des pincettes comme la plupart des autres dans la mesure où ils sont commandés par les grands médias à peu près tous partisans de Macron et financiers de sa campagne.

Le candidat Emmanuel Macron a en effet  été jugé plus convaincant que Marine Le Pen par les téléspectateurs à l’issue du débat de l’entre-deux-tours de la présidentielle, comme le révèle notre sondage Opinion 2022 réalisé par l’institut Elabe et diffusé à l’issue de l’émission.

Après ces 2h30 de débat présidentiel, qui ressort gagnant? Le président sortant Emmanuel Macron a été jugé nettement plus convaincant que Marine Le Pen à l’issue du débat de l’entre-deux-tours: 59% des téléspectateurs le désignent comme vainqueur de la joute, contre 39% pour la candidate d’extrême droite, selon notre sondage réalisé par Elabe pour BFMTV et L’Express avec notre partenaire SFR.

Dans le détail, l’enquête d’opinion montre que les téléspectateurs qui ont voté Jean-Luc Mélenchon au premier tour ont jugé Emmanuel Macron plus convaincant que son adversaire, à 61% contre 36% pour Marine Le Pen.

Sans surprise, le chef de l’État bénéficie d’un plébiscite de ses soutiens, avec 97% de ses électeurs qui le voient comme le vainqueur du duel. Les électeurs de Marine Le Pen sont un petit peu plus partagés, puisqu’ils sont 85% à avoir trouvé leur candidate plus convaincante qu’Emmanuel Macron ce mercredi soir.

Macron jugé présidentiable mais « arrogant »

Au terme de ce débat dense et musclé, 53% des télespectateurs interrogés ont considéré que le candidat La République en Marche avait le plus les qualités nécessaires pour être président, contre 29% pour Marine Le Pen. Ils sont 19% à ne pas les départager sur ce critère.

L’enquête montre aussi que pour 36% des téléspectateurs sondés, c’est Emmanuel Macron qui est le plus capable de rassembler les Français. Les 31% autres considèrent que Marine Le Pen s’en sortirait mieux dans ce rôle, tandis que 33% ne sont convaincus ni par l’un, ni par l’autre.

Enfin, Emmanuel Macron est jugé le candidat le plus dynamique par 49% des téléspectateurs (contre 31% pour Marine Le Pen), le plus sincère à 36% (contre 34% pour Marine Le Pen), celui ayant le meilleur projet à 44% (contre 31% pour Marine Le Pen) mais aussi le plus arrogant à 50% (contre 16% pour Marine Le Pen).

Au contraire, les téléspectateurs ont considéré que la candidate RN était la plus inquiétante à 50% (contre 25% pour Emmanuel Macron), la plus proche des préoccupations des Français à 37% (contre 34% pour le candidat LaREM), et comme celle pouvant changer le plus les choses (à 51% contre 29% pour son rival).

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Enquête réalisée par internet en fin d’émission le 20 avril 2022 auprès d’un échantillon de 650 personnes ayant regardé le débat d’entre-deux tours entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. L’échantillon de téléspectateurs est issu d’un échantillon national de 3826 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, classe d’âge et profession de la personne interrogée après stratification par la région de résidence et la catégorie d’agglomération.

Discours de Macron : pas vraiment convaincant

 

 

 

On a évidemment maintenant l’habitude des nombreuses interventions médiatiques du président de la république. On peut même se demander si on ne frôle pas  l’overdose sur le plan quantitatif mais aussi qualitatif. Car le moins qu’on puisse dire, c’est que ce discours du 14 juillet n’a guère été plus  convaincant que ses autres récentes interventions.

Macron a parlé un peu de tout, de lui évidemment mais aussi des retraites dont il veut relancer la réforme de son plan de relance. De la crise sanitaire avec sa timide proposition de n’imposer le port du masque que dans les lieux publics clos ( concept très vague d’ERP). Cela alors que le courage face au développement incontrôlé du virus aurait sans doute imposé le port du masque partout en dehors du domicile. Là aussi, Macron fait du en même temps; même chose concernant la réforme de la retraite dont on ne sait toujours pas si elle a un objet de transformation systémique ou  paramétrique. En clair il s’agit ni d’une réforme pour le long terme ou de boucher le trou de 2020 ( 30 milliards de déficits de plus du fait du Coronavirus). 

Concernant son plan de relance massif d’au moins 100 milliards d’euros, on a un peu de mal à identifier le volume et la nature de chaque enveloppe. Ce serait 100 milliards en plus par rapport aux 450 milliards déjà dépensés (en fait pour l’essentiel des prêts aux entreprises car l’aide au chômage partiel jusqu’ alors  a représenté autour de 30 milliards). Il y a du flou dans cette perspective de relance massive de 100 milliards   » d’investissements pour aider le tissu économique et moderniser la France. On met avec ce plan de relance, en plus des 460 milliards déjà mis, au moins 100 milliards pour faire la relance industrielle, écologique, locale, culturelle et éducative. Je suis convaincu qu’on peut bâtir un pays différent d’ici à dix ans » a justifié le chef de l’Etat.

Macron a aussi évoqué ce plan pour les jeunes avec 300 000 contrats d’insertion, sans doute nécessaires mais bien insuffisants quand on sait que 700 000 jeunes vont venir sur le marché du travail à la rentrée faisant passer l’augmentation du chômage à environ 1,5 millions. Au total une intervention assez confuse, mal structurée et surtout peu convaincante.(ne parlons pas du référendum bidon !).

Sondage vœux Macron 2020:pas convaincant pour 76% (Odoxa)

Sondage vœux Macron 2020:pas convaincant pour 76%  (Odoxa)

Un score sans appel puisque 76 % des Français n’ont pas jugé convaincants le propos de Macron pour ses vœux 2020. Pas étonnant, Macron est apparu coincé comme un jeune évangéliste qui tenterait de se convaincre lui-même de son propre discours. Une prestation très triste, convenue manquant sérieusement de charisme. Le moins qu’on puisse dire c’est que le discours de Macron n’était guère enthousiasmant, guère novateur encore moins mobilisateur. Un schéma ultra classique d’abord pour se féliciter de l’action menée jusque-là, ensuite la description d’un environnement socio-économique idyllique qui n’existe que dans la tête de Macron, enfin l’affirmation de la poursuite des grandes réformes. À peine une petite ouverture sur les retraites où  Macron était attendu.  Il faudra faire vite a-t-il seulement indiqué renvoyant ainsi la patate chaude à Édouard Philippe.

Macron  se réserve sans doute ainsi une porte de sortie en ne s’impliquant pas trop dans une situation complètement bloquée. Si le climat devait se durcir et si l’opinion , comme ses probable, fait plonger la popularité de Macron, il sera toujours temps de se séparer de ce premier ministre qui il faut bien le dire à créé une véritable pagaille avec son idée d’âge pivot transformant ainsi la réforme d’un système en mesure financière punitive pour tous.

Une bavure qui s’ajoute au manque de préparation d’une réforme qui révèle par exemple tout d’un coup qu’l il faudrait augmenter les enseignants pour un montant de 10 milliards par an, si on ne veut pas les léser en matière de retraite. Si on ajoute à cette somme le coût des exceptions déjà accordées et de celles qui sont prévisibles on doit sans doute atteindre ainsi de 20 milliards. Bref finalement la réforme de retraite de Macron serait comme celle de Sarkozy, elle coûtera plus cher que le système actuel.

Visiblement, Macron paraissait très coincé dans le climat actuel. Sans doute pourquoi il  s’est limité pour les vœux à un exercice ultra traditionnel sans originalité et sans grande dimension. Une sorte de discours évangélique de jeune curé de campagne un peu coincé .

Sondage Benalla : pas convaincant pour 75 %

Sondage Benalla : pas convaincant pour 75 %

 

Une audition particulièrement suivie par les téléspectateurs et auditeurs mais qui n’a pas convaincu en dépit de l’exercice d’équilibriste particulièrement brillant réalisé par Benalla.  Selon l’enquête Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro. L’ancien chargé de mission d’Emmanuel Macron entendu mercredi 19 septembre par le Sénat n’a pas été convaincant pour 75 %. Ce sentiment concerne presque la totalité de l’échiquier politique. Si Alexandre Benalla déçoit près de six sympathisants de La république en marche sur dix (58%), il concentre contre lui 75% des sondés proches des Républicains, 80% des sympathisants du Rassemblement national, 85% des proches du Parti socialiste et 87% des sympathisants de La France insoumise. 85% des sondés n’ont pas été convaincus lorsque l’ancien collaborateur du chef de l’Etat a affirmé que son port d’arme n’était pas lié à la sécurité du président de la République mais à sa sécurité personnelle. Ils sont 81% à ne pas le croire quand il affirme qu’il n’a jamais été ni policier, ni garde du corps d’Emmanuel Macron. Et près de huit sondés sur dix (79%) ne l’ont pas cru lorsqu’il a dit n’avoir jamais eu aucun autre avantage que sa rémunération.

Concernant les sentiments exprimés par Alexandre Benalla sur cette affaire, les deux tiers (66%) des personnes interrogées ne l’ont pas cru lorsqu’il a exprimé ses regrets d’avoir critiqué le président de la commission d’enquête. Et 57% n’ont pas été convaincus par le sentiment d’humiliation exprimé par Alexandre Benalla à propos de son éviction de l’Elysée.

 

Macron : combatif mais pas convaincant

Macron : combatif mais pas convaincant

 

Les sondages permettront  de vérifier si Macron a de nouveau raté son exercice télévisé. Ce qui est certain, c’est que son interview avec Pleynel et Bourdin était très différents de celui conduit pas JP Pernaud sur TF1.  Ce dernier, a servi de brosse à reluire de Macron. Pour autant, les téléspectateurs n’ont guère été convaincus par le président de la république. De l’ordre de 70%  des retraités en particulier ont considéré que Macron avaient surtout défendu les riches depuis le début de son mandat. Cette fois interrogé par Pleynel et Bourdin de manière assez musclée, Macron a haussé le ton et comme d’habitude a montré beaucoup de condescendance voire même d’arrogance en contestant le fond et la forme de certaines questions. Pour résumer : sur la Syrie, c’est moi qui décide. Si vous n’êtes pas content changez la constitution. Cette attaque est destinée à construire la paix a affirmé Macron ! Même satisfecit sur Notre dame de landes au nom de l’Etat républicain. Concernant la situation sociale, Macron a attaqué la forme et le fond de la question de Pleynel faisait état du mécontentement ; « Vos questions sont orientées », a notamment accusé Emmanuel Macron, qui s’est vu rétorquer:  »Nous sommes là pour poser les questions qui sont dans les colères du pays, et elles peuvent vous déplaire, mais nous sommes là pour le faire ».

Nicolas Sarkozy «convaincant» ! (Castaner)

Nicolas Sarkozy «convaincant» ! (Castaner)  

Castaner a perdu une belle occasion de se taire pour dire des banalités avec une dialectique de vieux radical qui dit tout et rien. Il a jugé convaincant la défense de Sarkozy mais ne se dit pas convaincu. Ensuite il enfile les perles de l’évidence. Il aurait mieux valu qu’il se taise en affirmant que c’était l’affaire de la justice sans autre commentaire. Invité dimanche du Grand Rendez-vous d’Europe 1/CNews/Les Échosle secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement est revenu sur l’affaire du financement libyen supposé de la campagne de Nicolas Sarkozy de 2007. L’ancien président de la République est mis en examen et placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de ces soupçons. Il s’en était défendu jeudi soir au 20H de TF1, niant en bloc. Un exercice réussi selon Christophe Castaner. «Il est important qu’il puisse se défendre. Moi je l’ai trouvé convaincant. Ce qu’il a dit à la télé semblait convaincant», a-t-il jugé, avant de faire référence à une fable de Jean de La Fontaine: «Je veux réaffirmer que tout citoyen, qu’il soit puissant ou misérable doit rendre des comptes à la justice à chaque fois que c’est nécessaire.» Même si le patron de la République en marche a donc trouvé Nicolas Sarkozy «convaincant», il ne se dit en revanche pas «convaincu». «Pour être convaincu, il faudrait connaître le dossier, et les seuls qui le connaissent c’est Nicolas Sarkozy et le juge», a-t-il souligné. Voilà ce qui illustre bien : parler pour ne rien dire. Castaner n’est pas énarque pour rien.

Sondage Edouard Philippe : vaguement convaincant pour 53%

Sondage Edouard Philippe : vaguement convaincant pour 53%

 

Ce que révèle un sondage du JDD qui montre qu’aux yeux des Français le Premier ministre est vaguement convaincant 53 %. En effet, il ne réussit pas à obtenir une majorité lorsque les questions se font plus précises. En clair c’est un peu comme pour Macron, les  Français attendent de voir ! Le scepticisme domine  dès que les questions se font plus précises – de peu en ce qui concerne la sécurité routière (51% ne lui font pas confiance) et la lutte contre la délinquance (53%), très largement sur la question du pouvoir d’achat (71%) – y compris dans l’électorat Macron (51%)… Si les résultats de leur politique tardent à être perçus par les Français, combien de temps durera la faveur de l’opinion, reconquise depuis trois mois par le couple exécutif après le trou d’air de l’été? A ce stade, Edouard Philippe dit vouloir assumer le risque de l’impopularité. Il a sans doute raison. A condition de rester populaire à l’Elysée.

 

Sondage Macron : peu convaincant

Sondage Macron : peu convaincant

Selon une enquête Harris Interactive pour RMC et Atlantico publiée lundi, 39% se disent convaincus par son intervention, 61% déclarent ne pas avoir été convaincus. C‘est en matière sociale que le chef de l‘Etat a été le moins éloquent, jugent les sondés, qui sont 65% à ne pas être convaincus par ses mesures dans ce domaine. En matière économique, le chef de l‘Etat a été jugé favorablement par 40% des sondés, et sur les sujets internationaux, la moitié des personnes interrogées s‘estiment convaincues. Plus de la moitié (56%) des sondés considèrent que le projet d‘Emmanuel Macron est à la fois de gauche et de droite, quand 38% d‘entre eux estiment qu‘il défend une politique exclusivement de droite. Le chef de l‘Etat, dont la cote de popularité a chuté de 15 points en moyenne entre juin et octobre, s‘est employé dimanche à expliquer ses réformes et à déminer les critiques, en défendant sa liberté de ton face à l’émoi suscité par ses récents propos sur le “bordel” ou “les fainéants”.

Débat télé 2017 : Mélenchon, le plus convaincant et Macron, le plus présidentiel

Débat télé 2017 : Mélenchon, le plus convaincant et Macron, le plus présidentiel

Selon un sondage Elabe pour BFMTV*, Jean-Luc Mélenchon a été jugé le candidat à la présidentielle le plus convaincant lors du premier débat télévisé à onze, organisé mardi 4 avril, avec 25%, devant Emmanuel Macron (21%), puis François Fillon (15%) et Marine Le Pen (11%). Arrivent ensuite Benoît Hamon (9%), Nicolas Dupont-Aignan (6%) et Philippe Poutou (5%). Le candidat du Nouveau Parti anticapitaliste s’est fait remarquer en se lançant dans des tirades contre Marine Le Pen et François Fillon sur les affaires judiciaires. « Nous, on n’a pas d’immunité ouvrière », a-t-il signifié à la présidente du Front national. Nathalie Arthaud (3%), François Asselineau (3%), Jean Lassalle (1%) et Jacques Cheminade (0%) ferment la marche. Si Jean-Luc Mélenchon a été jugé le plus convaincant, c’est Emmanuel Macron (27%) qui, aux yeux des sondés, a le plus les qualités nécessaires pour être président de la République. Il devance Jean-Luc Mélenchon (21%), François Fillon (20%). Marine Le Pen (13%) et Benoît Hamon (10%) sont distancés.  En revanche, c’est à nouveau le candidat de la France insoumise qui arrive en tête, lorsque l’on demande aux sondés : « Qui comprend le mieux les gens comme vous ? » 26% répondent en effet Jean-Luc Mélenchon, loin devant Marine Le Pen (14%), Emmanuel Macron (12%), Philippe Poutou (12%) et François Fillon (10%).

 

Sondage Débat: Macron : plus convaincant pourquoi ?

Sondage Débat: Macron : plus convaincant pourquoi ?

 

 

Selon un sondage Elabe pour BFM TV , Emmanuel Macron a été jugé le candidat le plus convaincant lors du premier débat télévisé hier soir sur TF1 et LCI, avec 29%, devant Jean-Luc Mélenchon (20%), puis François Fillon et Marine Le Pen, à égalité à 19%, selon un sondage Elabe pour BFM TV. Le candidat socialiste, Benoît Hamon, arrive en dernière position à 11%. En cause, le fait que désormais Macron semble bénéficier d’une dynamique qui le place en tête des sondages et que sa candidature apparaît donc de plus en plus crédible. Macron est apparu aussi et peut-être surtout le plus convaincant du fait de son positionnement réaliste et non sectaire. Les autres candidats se sont tenus strictement dans leur couloir réfutant le droit à d’autres d’y mettre  les  pieds. Le candidat d’En Marche, lui, a approuvé certaines propositions de ses adversaires quand ces orientations lui paraissaient crédibles. Bref une posture au centre qui refuse le clivage caricatural et recherche surtout les solutions les plus efficientes sans ce soucier de leur marquage politique théorique. Pour résumer un positionnement d’ouverture en recherche d’efficacité sur les sujets prioritaires en particulier le développement économique et l’emploi.

 

Le sondage a été réalisé auprès d’un échantillon de 1157 téléspectateurs âgés de 18 ans et plus, ayant regardé le débat entre les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle. Ils ont été interrogés par internet en fin d’émission. 

Sondage Débat primaire : Fillon plus convaincant

 Sondage Débat primaire : Fillon plus convaincant

 

Face à la Juppé qui visiblement semblait fatigué ( voir résigné)  et à l’allocution parfois un peu  emprunté,  Fillon semble avoir gagné la confrontation François Fillon a été jugé jeudi plus convaincant que son rival Alain Juppé par 57% des Français lors du dernier débat de la primaire de la droite et du centre avant le second tour de dimanche, selon un sondage Elabe diffusé par BFM TV. Parmi les électeurs de droite et du centre, ils ont été 71% à estimer plus convaincant l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy, contre 28% pour Alain Juppé.

Réformes-Valls : pas convaincant pour 51%

Réformes-Valls : pas convaincant pour 51%

Finalement il y a beaucoup de scepticisme à l’égard de Valls et de sa capacité à réformer. 49% pensent e qu’il peut réformer contre 51% qui considèrent le contraire. En fait Valls laisse dubitatif car si son discours est très volontariste, la tonalité souvent tonitruante à l’excès et on doute légitimement de sa vraie capacité. Dans les faits il faut bien constater qu’il fait surtout du bricolage ( sur l’école, le terrorisme, l’insécurité en général, l’économie ou le social). Comme il est jeune et relativement neuf politiquement, on lui fait crédit mais il faut bien convenir que derrière les propos quasi martiaux, il n’y a pas grand chose hormis les formules archi  usées. D’une  certaine manière Valls c’est archétype du politique français dont le discours est en décalage avec l’action. Il faut dire qu’il ne connait pas grand chose aux réalités économiques et sociales puisqu’il n’a jamais travaillé. Ce  représentant de la « jeune «  génération ne permet pas de redonner confiance à un pays qui doute dans tous les domaines de la capacité à reformer et à se moderniser. Et qui doute encore davantage de sa classe politique.  La majorité des Français (51%) ne pense pas que le Premier ministre Manuel Valls soit « en mesure de mener à bien des réformes dans le domaine économique et social », selon un sondage IFOP paru dimanche dans le JDD, contre 49% d’un avis opposé.  Parmi les sceptiques à l’égard du chef du gouvernement, 28% pensent que Manuel Valls n’est « plutôt pas » en mesure de faire ce type de réformes et 23% qu’il ne l’est « pas du tout ». Les sympathisants de gauche pensent majoritairement (57%) que Manuel Valls peut mener à bien ces réformes contre 43% d’un avis contraire. En revanche les sympathisants de l’UMP sont 57% à douter des capacités du Premier ministre et ce pourcentage atteint 66% parmi les sympathisants du FN. Par ailleurs, 72% des personnes interrogées se sont dites favorables à « la mise en place de conditions plus strictes pour bénéficier d’allocations logement », 64% au « plafonnement du montant de l’allocation chômage pour les cadres supérieurs ou dirigeants », 53% au « plafonnement du montant des indemnités de licenciement gagnables aux prud’hommes, mais seulement 37% à « la simplification des licenciements dans les PME » et 32% à « l’augmentation à 67 ans de l’âge de départ à la retraite dans le privé pour bénéficier d’une retraite complémentaire pleine ».

 

Sondage : Sarkozy pas convaincant, trop de contradictions

Sondage : Sarkozy pas convaincant, trop de contradictions

Sarkozy n’a pas réussi à être convainquant pour une majorité lors de sa prestation très suivie à la télé (9 millions de téléspectateurs). Plusieurs facteurs explicatifs. Sarkozy veut désormais apparaitre comme une responsable apaisé et prenant du recul. Or il s’es t rapidement énervé lors de questions gênantes, il na pu s’empêcher de faire preuve de nervosité et e d’agressivité affirmant par exemple qu’il ne pensait rien de Hollande puis descendant en flamme sa politique et la personnalité du président actuel Autre contradiction, il ne veut pas apparaître comme le sauveur mais finalemenet ne parle que de lui, de ses capacités, de son énergie, de son charisme ( qui sont réels) renvoyant les autres à un rôle mineur( y compris Fillon et Juppé).  Notons auusi le flou de sa réponse à propos du mariage pour tous qui a dû décevoir les pros comme les antis.  La prestation de l’ex-chef de l’Etat sur France 2, dimanche soir, n’a donc pas été jugée convaincante par 54 à 55% de Français, selon deux sondages publiés lundi. Sans surprise, le clivage est très marqué entre sympathisants de droite et de gauche.  Les deux enquêtes parviennent à la même conclusion. Selon des sondages de l’institut BVA* et de l’institut Odoxa**, une majorité de Français n’a pas jugé convaincant Nicolas Sarkozy dimanche soir sur France 2. Ils sont 54%, pour le premier, et 55%, selon le second. A l’inverse, les personnes interrogées sont respectivement 44% (2% ne se prononçant pas dans l’enquête BVA) et 45% à avoir trouvé la prestation télévisée de l’ex-Président convaincante. Ce jugement est bien entendu aux antipodes selon la proximité partisane des sondés. Selon le sondage BVA pour Public Sénat, 90% des sympathisants de gauche n’ont pas été convaincus par Nicolas Sarkozy, contre 75% d’avis positif de la part des sympathisants de droite – un chiffre qui atteint 86% pour les seuls sympathisants UMP. Ces résultats sont sensiblement identiques dans l’enquête Odoxa pour Le Parisien. Ce sondage interroge par ailleurs les Français sur la motivation qu’ils accordent à Nicolas Sarkozy pour revenir sur le devant de la scène politique : il s’agit davantage d’une revanche, pour 67% d’entre eux (et 41% des sympathisants de droite), que de défendre un vrai projet pour la France. En outre, dans l’enquête BVA, une majorité de Français (45%) estime désormais que Nicolas Sarkozy n’est « ni trop », « ni pas assez » à droite – un chiffre en hausse de quatre points par rapport à une enquête réalisée trois jours plus tôt. Ceux qui le jugent « trop à droite » sont 39%, contre 44% le 18 septembre. Une baisse surtout marquée chez les sympathisants du MoDem et de l’UDI (38% jugent que l’ex-Président est « trop à droite », -9 points). Enfin, le sondage BVA indique que Nicolas Sarkozy creuse l’écart auprès des sympathisants UMP pour être leur candidat à l’élection présidentielle de 2017. Il est aujourd’hui plébiscité par 65% de ces personnes (+7 points), contre 21% pour Alain Juppé (-6 points) et 5% pour François Fillon (-2) et Bruno Le Maire (+2). Mais malgré un écart qui se rétrécit, Nicolas Sarkozy reste derrière Alain Juppé lorsque la question est posée à l’ensemble des Français (40% contre 27%). Le 18 septembre, Nicolas Sarkozy était choisi par 22% de sondés.

 




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