Archive pour le Tag 'contrôleurs'

Grève des contrôleurs SNCF: illégale !

Grève des contrôleurs SNCF:  illégale !

 

Une fois de plus la SNCF en grève ; cette fois une action des seuls contrôleurs qui ont ainsi provoqué de graves perturbations à l’occasion du week-end des flux de vacances scolaires. Une immense pagaille, une immense déception chez beaucoup de voyageurs et plus généralement un jugement très défavorable de l’opinion publique. En cause , la course au radicalisme engagée déjà depuis longtemps entre les gauchistes de la CGT et ceux du syndicat Sud rail. Évidemment une grève totalement irresponsable qui porte encore un coup à une entreprise rongée de l’intérieur par ses conflits à répétition. Cette stratégie syndicale radicale est largement responsable du déclin du fer pour les marchandises comme pour le transport de personnes sur les lignes secondaires progressivement supprimées. Le pire, c’est que cette stratégie syndicale a aussi provoqué la suppression du statut du cheminot. Un bilan syndical à la fois pathétique et désastreux. L’amorce malheureusement de la substitution d’entreprises et de salariés à statut privé . En plus, une grève illégale car décidée et dirigée par un « collectif Facebook » qui n’a aucune légitimité syndicale. Une sorte de collectif poujadiste dans l’exploit aboutira à la restriction du droit de grève sans parler de la lente agonie de la SNCF. Et tout cela avec le soutien des syndicats gauchistes dont la responsabilité doit être aussi questionnée.

On peut comprendre évidemment que les cheminots expriment légitimement des revendications, encore faudrait-il qu’ils ne se considèrent pas comme des fonctionnaires et qu’ils prennent en compte la problématique économique du transport. Parler de » résultats financiers de dingue » concernant la SNCF de la part de Sud rail relève de l’irresponsabilité totale quand on connaît l’ampleur des déficits passés et encore davantage l’ampleur des besoins d’investissement concernant tout aussi bien l’infrastructure que le matériel. Sans parler de la contribution financière de 20 milliards de la part de l’État. Pour les investissements, il faudra comme un centaine de milliards mais dont a on pas le premier centime compte tenu de l’état de l’endettement catastrophique du pays ( 3100 milliards). Bien sûr Il faut discuter de la répartition du bénéfice d’une année, mais il faut le faire entre les investissements, les salariés mais aussi les clients. Les clients car le train est trop cher, beaucoup trop cher. Et de qualité médiocre concernant la régularité.

Une organisation syndicale responsable ne peut pas soutenir une grève de quelques milliers de personnes à moins de souhaiter à terme la disparition de son entreprise et le moment venu de sa propre organisation.( Voir le déclin de la CGT depuis des dizaines d’années). Dernière observation les contrôleurs ne sont sans doute pas ceux qui sont les plus maltraités, et dont on exige la plus grande technicité et la plus grande responsabilité, sans parler de la rémunération. ( une étude comparative indépendante mériterait d’être entreprise sur ce point).

Les contrôleurs ne sont pas plus maltraités que les autres cheminots sur le plan salarial*

*D’après des données publiées sur le site de la SNCF, un contrôleur gagne 22 192 euros brut par an en début de carrière (soit 1 849 euros brut par mois), 28 816 euros brut en milieu de carrière (soit 2 401 euros brut par mois) et 35 816 euros brut en fin de carrière (soit 2 984 euros brut par mois).

Compte tenu des autres éléments salariaux, en moyenne la rémunération nette tourne autour de 3000 €.

De quoi sérieusement s’interroger sur la légitimité de la grève des contrôleurs. Comment en effet admettre que ce mouvement soit impulsé et conduit par une « coordination Facebook des contrôleurs » . Les syndicats gauchistes se contentant de relayer avec des préavis de grève. Pour preuve plusieurs responsables syndicaux à la télé ont déclaré que la suite du mouvement dépendrait de ce que souhaite cette coordination. C’est la négation même de syndicalisme qui doit intégrer l’intérêt des salariés mais aussi de la société. De ce point de vue, cette grève est à la fois illégitime socialement et illégale. Elle doit interroger le pouvoir et les politiques en général sur le concept de syndicat, son champ d’action, ses responsabilités et ses moyens. Mais par ailleurs on doit prendre en compte aussi le contenu des relations sociales souvent d’un niveau lamentable en France et qui ne peut faire émerger que des responsables syndicaux eux-mêmes très médiocres. Les récentes prestations des responsables syndicaux qui soutiennent la grève des contrôleurs témoignent de cette médiocrité.

Heureusement les syndicats réformistes progressent en France et sont même majoritaires mais ce sont toujours les syndicats  » les plus gueulards « qui tiennent le pavé médiatiquement.

À quand une vraie réflexion sur le syndicalisme et la société en France ?

Conflit Contrôleurs SNCF: une  grève illégale

Conflit Contrôleurs SNCF: une  grève illégale

Une fois de plus la SNCF en grève ; cette fois une action des seuls contrôleurs qui ont ainsi provoqué de graves perturbations à l’occasion du week-end des flux de vacances scolaires. Une immense pagaille, une immense déception chez beaucoup de voyageurs et plus généralement un jugement très défavorable de l’opinion publique. En cause , la course au radicalisme engagée déjà depuis longtemps entre les gauchistes de la CGT et ceux du syndicat Sud rail. Évidemment une grève totalement irresponsable qui porte encore un coup à une entreprise rongée de l’intérieur par ses conflits à répétition. Cette stratégie syndicale radicale est largement responsable du déclin du fer pour les marchandises comme pour le transport de personnes sur les lignes secondaires progressivement supprimées. Le pire, c’est que cette stratégie syndicale a aussi provoqué la suppression du statut du cheminot. Un bilan syndical à la fois pathétique et désastreux. L’amorce malheureusement de la substitution d’entreprises et de salariés à statut privé . En plus, une grève illégale car décidée et dirigée par un « collectif Facebook » qui n’a aucune légitimité syndicale. Une sorte de collectif poujadiste dans l’exploit aboutira à la restriction du droit de grève sans parler de la lente agonie de la SNCF. Et tout cela avec le soutien des syndicats gauchistes dont la responsabilité doit être aussi questionnée.

On peut comprendre évidemment que les cheminots expriment légitimement des revendications, encore faudrait-il qu’ils ne se considèrent pas comme des fonctionnaires et qu’ils prennent en compte la problématique économique du transport. Parler de » résultats financiers de dingue » concernant la SNCF de la part de Sud rail relève de l’irresponsabilité totale quand on connaît l’ampleur des déficits passés et encore davantage l’ampleur des besoins d’investissement concernant tout aussi bien l’infrastructure que le matériel. Sans parler de la contribution financière de 20 milliards de la part de l’État. Pour les investissements, il faudra comme un centaine de milliards mais dont a on pas le premier centime compte tenu de l’état de l’endettement catastrophique du pays ( 3100 milliards). Bien sûr Il faut discuter de la répartition du bénéfice d’une année, mais il faut le faire entre les investissements, les salariés mais aussi les clients. Les clients car le train est trop cher, beaucoup trop cher. Et de qualité médiocre concernant la régularité.

Une organisation syndicale responsable ne peut pas soutenir une grève de quelques milliers de personnes à moins de souhaiter à terme la disparition de son entreprise et le moment venu de sa propre organisation.( Voir le déclin de la CGT depuis des dizaines d’années). Dernière observation les contrôleurs ne sont sans doute pas ceux qui sont les plus maltraités, et dont on exige la plus grande technicité et la plus grande responsabilité, sans parler de la rémunération. ( une étude comparative indépendante mériterait d’être entreprise sur ce point).

Les contrôleurs ne sont pas plus maltraités que les autres cheminots sur le plan salarial*

*D’après des données publiées sur le site de la SNCF, un contrôleur gagne 22 192 euros brut par an en début de carrière (soit 1 849 euros brut par mois), 28 816 euros brut en milieu de carrière (soit 2 401 euros brut par mois) et 35 816 euros brut en fin de carrière (soit 2 984 euros brut par mois).

Compte tenu des autres éléments salariaux, en moyenne la rémunération nette tourne autour de 3000 €.

De quoi sérieusement s’interroger sur la légitimité de la grève des contrôleurs. Comment en effet admettre que ce mouvement soit impulsé et conduit par une « coordination Facebook des contrôleurs » . Les syndicats gauchistes se contentant de relayer avec des préavis de grève. Pour preuve plusieurs responsables syndicaux à la télé ont déclaré que la suite du mouvement dépendrait de ce que souhaite cette coordination. C’est la négation même de syndicalisme qui doit intégrer l’intérêt des salariés mais aussi de la société. De ce point de vue, cette grève est à la fois illégitime socialement et illégale. Elle doit interroger le pouvoir et les politiques en général sur le concept de syndicat, son champ d’action, ses responsabilités et ses moyens. Mais par ailleurs on doit prendre en compte aussi le contenu des relations sociales souvent d’un niveau lamentable en France et qui ne peut faire émerger que des responsables syndicaux eux-mêmes très médiocres. Les récentes prestations des responsables syndicaux qui soutiennent la grève des contrôleurs témoignent de cette médiocrité.

Heureusement les syndicats réformistes progressent en France et sont même majoritaires mais ce sont toujours les syndicats  » les plus gueulards « qui tiennent le pavé médiatiquement.

À quand une vraie réflexion sur le syndicalisme et la société en France ?

Contrôleurs SNCF: une  grève illégale

Contrôleurs SNCF: une  grève illégale

Une fois de plus la SNCF sera en grève ; cette fois une action des seuls contrôleurs qui ont ainsi provoqué de graves perturbations à l’occasion du week-end des flux de vacances scolaires. Une immense pagaille, une immense déception chez beaucoup de voyageurs et plus généralement un jugement très défavorable de l’opinion publique. En cause la course au radicalisme engagé déjà depuis longtemps entre les gauchistes de la CGT et ceux du syndicat Sud rail. Évidemment une grève totalement irresponsable qui porte encore un coup à une entreprise rongée de l’intérieur par ses conflits à répétition. Cette stratégie syndicale radicale est largement responsable du déclin du fer pour les marchandises comme pour le transport de personnes sur les lignes secondaires progressivement supprimées. Le pire, c’est que cette stratégie syndicale a aussi provoqué la suppression du statut du cheminot. Un bilan syndical à la fois pathétique et désastreux. L’amorce malheureusement de la substitution d’entreprises et de salariés à statut privé . En plus une grève illégale car décidée et dirigée par un « collectif Facebook » qui n’a aucune légitimité syndicale. Une sorte de collectif poujadiste dans l’exploit aboutira à la restriction du droit de grève sans parler de la lente agonie de la SNCF. Et tout cela avec le soutien des syndicats gauchistes dont la responsabilité doit être aussi questionnée.

On peut comprendre évidemment que les cheminots expriment légitimement des revendications, encore faudrait-il qu’ils ne se considèrent pas comme des fonctionnaires et qu’ils prennent en compte la problématique économique du transport. Parler de » résultats financiers de dingue » concernant la SNCF de la part de Sud rail relève de l’irresponsabilité totale quand on connaît l’ampleur des déficits passés et encore davantage l’ampleur des besoins d’investissement concernant tout aussi bien l’infrastructure que le matériel. Quelque chose comme un centaine de milliards annoncés par la gouvernement mais dont a on pas le premier centime compte tenu de l’état de l’endettement catastrophique du pays ( 3100 milliards). Bien sûr Il faut discuter de la répartition du bénéfice d’une année, mais il faut le faire entre les investissements, les salariés mais aussi les clients. Les clients car le train est trop cher, beaucoup trop cher. Et de qualité médiocre concernant la régularité.

Une organisation syndicale responsable ne peut pas soutenir une grève de quelques milliers de personnes à moins de souhaiter à terme la disparition de son entreprise et le moment venu de sa propre organisation.( Voir le déclin de la CGT depuis des dizaines d’années). Dernière observation les contrôleurs ne sont sans doute pas ceux qui sont les plus maltraités, et dont on exige la plus grande technicité et la plus grande responsabilité, sans parler de la rémunération. ( une étude comparative indépendante mériterait d’être entreprise sur ce point).

Les contrôleurs ne sont pas plus maltraités que les autres cheminots sur le plan salarial*

*D’après des données publiées sur le site de la SNCF, un contrôleur gagne 22 192 euros brut par an en début de carrière (soit 1 849 euros brut par mois), 28 816 euros brut en milieu de carrière (soit 2 401 euros brut par mois) et 35 816 euros brut en fin de carrière (soit 2 984 euros brut par mois).

Compte tenu des autres éléments salariaux, en moyenne la rémunération nette tourne autour de 3000 €. De quoi sérieusement s’interroger sur la légitimité de la grève des contrôleurs. Comment en effet admettre que ce mouvement soit impulsé et conduit par une « coordination Facebook des contrôleurs » . Les syndicats gauchistes se contentant de relayer avec des préavis de grève. Pour preuve plusieurs responsables syndicaux à la télé ont déclaré que la suite du mouvement dépendrait de ce que souhaite cette coordination. C’est la négation même de syndicalisme qui doit intégrer l’intérêt des salariés mais aussi de la société. De ce point de vue, cette grève est à la fois illégitime socialement et illégale. Elle doit interroger le pouvoir et les politiques en général sur le concept de syndicat, son champ d’action, ses responsabilités et ses moyens. Mais par ailleurs on doit prendre en compte aussi le contenu des relations sociales souvent d’un niveau lamentable en France et qui ne peut faire émerger que des responsables syndicaux eux-mêmes très médiocres. Les récentes prestations des responsables syndicaux qui soutiennent la grève des contrôleurs témoignent de cette médiocrité.

Heureusement les syndicats réformistes progressent en France et sont même majoritaires mais ce sont toujours les syndicats  » les plus gueulards « qui tiennent le pavé médiatiquement.

À quand une vraie réflexion sur le syndicalisme et la société en France ?

Des contrôleurs de température à 19° cet hiver ?

Des contrôleurs de température à 19° cet hiver ?

 

Finalement Macron a peut-être trouvé la martingale pour supprimer le chômage en France. Il suffirait pour cela de créer des millions de postes de contrôleurs de température pour vérifier les 19° imposés par le président de la république .
On voit mal en effet quelle  peut-être la portée d’une telle orientation présidentielle. C’est à peu près la même efficacité que la recommandation d’éteindre l’électricité quand on sort d’une pièce. Une pratique évidemment habituelle dans la plupart des ménages, de même que le contrôle des températures.

Pourquoi ces contrôleurs ne seraient-ils pas aussi habilités à contrôler la température des habitants eux-mêmes pour vérifier leurs critères de santé et de recommandations alimentaires.Bref, le modèle chinois version  française!  Une proposition qui pourrait en outre recueillir le soutien de Sandrine Rousseau et autres bobos gauchistes qui préconisent  la décroissance surtout pour les moins favorisés mais pas forcément pour eux (Ils font quoi de leurs revenus inutiles ? Ils les donnent aux pauvres?)

En outre une température de 19° en moyenne n’a guère de sens. À certains moments dans certaines pièces on peut descendre en dessous de 19°. À l’inverse à d’autres moments et en d’autres circonstances on pourra passer au-dessus. Le cas notamment quand des personnes sont malades, âgées ou au contraire très jeunes.

Tout cela évidemment est complètement incontrôlable et constitue un message marketing pour annoncer une augmentation générale de l’électricité à l’occasion notamment du vote du budget. Le projet est de permettre une augmentation de 20 % des tarifs.

Macron  invite donc ses concitoyens à « changer les comportements », à « mettre la clim’ un peu moins fort » quand il fait chaud et « le chauffage un peu moins fort » lorsqu’il fera froid, « autour de 19 degrés dans la pièce ». Ce « plan de sobriété renforcée, voire de rationnement », qui sera détaillé ultérieurement, vise à réaliser 10 % d’économies énergétiques, et « nous évitera les coupures » de gaz et d’électricité, promet-il.

 

 

 

Aérien : grèves des contrôleurs le 22 mai

Aérien : grèves des contrôleurs le 22 mai

 

Le ciel français sera encore perturbé mais cette  fois par les fonctionnaires de l’arien notamment les contrôleurs suite à un appel à la grève pour mardi. Les contrôleurs aériens s’inscrivent dans la grève générale et unitaire des fonctionnaires du 22 mai pour protester contre la réduction des effectifs et demander des augmentations de salaires. La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a demandé  aux passagers de s’informer auprès de leur compagnie du fait des perturbations attendues sur tout le territoire.  La DGAC demande aux compagnies de réduire de 20% leurs programmes de vol sur les aéroports d’Orly, Marseille et Lyon Saint-Exupéry. L’Unsac-CGT, Force ouvrière (FO) et l’Unsa ont déposé un préavis de grève dans le cadre d’une nouvelle journée de mobilisation des syndicats de fonctionnaires contre le projet de réforme de la fonction publique et pour la défense du pouvoir d’achat.

Grève des contrôleurs aériens : contre la retraite à 59 ans

Grève des contrôleurs aériens : contre la retraite à 59 ans

Les contrôleurs protestent notamment contre la retraite à 59 ans ( 57 ans actuellement). Dans le même temps dans le privé il faut attendre 67 ans pour une  retraite pleine. Un âge encore provisoire dans le privé car avec les déficits des régimes complémentaires de la sécu on va s’orienter sans doute vers 69 ans. Les réserves financières de l’Agirc seront à sec en 2018 ; celles de l’Arrco en 2027. Une fusion repousserait cette date fatidique à 2025 sans toutefois régler le problème à sa source et en amputant de deux ans l’échéance de banqueroute pour l’Arrco. . . L’âge légal serait quant à lui repoussé de 67 ans à 69 ans pour les salariés nés après 1959. Ces deux mesures cumulatives permettraient de faire durer les réserves des deux régimes complémentaires constituées dans les années fastes au-delà de 2030. Lé sécu , elle, en déficit chronique devra  s’aligner progressivement  sur le report de l’âge de la retraite prévu par les régimes complémentaires. Pour le moins il y a donc une « légère »différence de traitement entre le privé et le public.  Le SNCTA, premier syndicat parmi les 4000 contrôleurs aériens indique sur son blog qu’une réunion de conciliation mardi matin sur la grève des 8 et 9 avril n’a pas abouti. Il demande aux aiguilleurs du ciel de poser des préavis de grève pour trois périodes: du mercredi 8 au jeudi 9 avril, du 16 au 18 avril et du 29 avril au 2 mai. Le syndicat réclame des négociations sur l’organisation du travail. «Les périodes de pointe et de creux vont s’accentuer au cours des cinq prochaines années, en raison notamment du développement des low-costs mais rien n’a été prévu pour y faire face, explique Roger Rousseau du SNCTA. Deuxième motif de revendication: «la réglementation européenne pour exercer notre métier s’est complexifiée et nous voulons éviter l’amoncellement des règles», dit le syndicaliste.

 

Contrôleurs aériens : grève du 24 au 29 juin

Contrôleurs aériens : grève du 24 au 29 juin

Deux syndicats d’aiguilleurs du ciel, le SNCTA et l’UNSA-ICNA, ont appelé les contrôleurs aériens à faire grève du 24 au 29 juin prochain, premier week-end de grands départs en vacances, selon les Échos.  Les deux syndicats représentent respectivement 40,9% et 22,4% de la profession. Un mouvement qui devrait également toucher les aéroports européens.  Il s’agit pour les contrôleurs aériens de protester contre le plan de performance européen qui vise à faire baisser le coût du contrôle du trafic aérien, par une baisse des redevances. Ils redoutent à terme la privatisation de certains services comme la météo et la maintenance des installations, qui ne sont pas directement liées au contrôle aérien.   Les gouvernements français et allemand s’étaient prononcés contre le projet de la Commission européenne. Le secrétaire d’État aux transports, Frédéric Cuvillier recevra mercredi les représentants des deux syndicats.

Contrôleurs aériens : grève de jeudi annulée

Contrôleurs aériens : grève de jeudi annulée

 

L es syndicats des aiguilleurs du ciel auraient décidé d’annuler leur mouvement jeudi, un jour plus tôt que prévu, après la demande faite Bruxelles par Paris et de Berlin et de surseoir à son projet de libéralisation du contrôle aérien présenté dans l’après-midi au Parlement européen. « La DGAC nous a prévenu et nous a demandé de reprogrammer nos vols », explique-t-on dans une compagnie aérienne. « Le problème est que les passagers avaient annulé leur billets ». Le ministre des transports devrait faire une communication sur le sujet dans l’après-midi.

 

Grève des contrôleurs aériens : trafic perturbé

Grève des contrôleurs aériens :  trafic perturbé

Des perturbations importantes étaient à prévoir mardi dans les aéroports parisiens de Roissy et Orly, en raison d’un mouvement de grève des contrôleurs aériens de l’aviation civile. « Pour l’instant, la situation est calme dans les deux aéroports mais des retards sont à prévoir dans la journée », a indiqué un porte-parole d’Aéroports de paris (ADP), faisant par ailleurs état de possibles annulations de vols de dernière minute. « Nous conseillons vivement aux passagers de prendre contact avec leur compagnie aérienne avant de se rendre à l’aéroport pour vérifier que leur vol est bien maintenu« , a-t-il précisé. Le syndicat autonome des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA), qui se dit majoritaire chez les aiguilleurs du ciel, a déposé un préavis du 11 au 13 juin, afin de dénoncer « les conséquences directes sur la politique nationale des contraintes européennes » dans le secteur. D’autres syndicats (CGT, CFDT, Unsa et FO) représentant les contrôleurs aériens de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) ont déposé des préavis, mais pour la seule journée de mercredi, afin notamment de dénoncer le projet de Bruxelles visant à créer un « ciel unique » au niveau européen.  A la suite de ces préavis, la DGAC a demandé pendant le week-end aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 50% de mardi à jeudi aux aéroports de Roissy, Orly, Beauvais, Lyon, Nice, Marseille, Toulouse et Bordeaux. Selon un porte-parole de la DGAC, il ne devrait pas y avoir, malgré la grève, « de cacophonie ni de passagers en errance, les dispositions ayant été prises en amont ».

 

Transport aérien : grève des contrôleurs

Transport aérien : grève des contrôleurs

L’USAC-CGT, premier syndicat de la Direction générale de l’aviation civile, appelle tous les contrôleurs aériens à la grève le 12 juin prochain. Ce préavis de grève, déposé en coordination avec d’autres syndicats français, vise à dénoncer les projets de libéralisation du secteur de la navigation aérienne par la Commission européenne, précise le syndicat dans un communiqué. Cette journée d’action se fait dans le cadre d’un appel de la Fédération européenne des travailleurs des transports et devrait entraîner des perturbations dans l’écoulement du trafic aérien dans de nombreux pays européens, lit-on dans le communiqué.




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