Archive pour le Tag 'contredit'

Guerre en Ukraine : Macron se contredit encore

Guerre en Ukraine : Macron se contredit encore

Le président la république, chef des armées (et qui a oublié de faire son service militaire !) refuse pour l’instant d’envisager la livraison d’avions de chasse à l’Ukraine. Mais ce n’est pas la première fois qu’il reviendrait sur sa décision. Ainsi il avait aussi affirmé qu’il n’y avait pas de chars expédiés pour soutenir l’Ukraine. En fait ce sont quand même les chars légers AMX-30 français qui sont venus en soutien de l’Ukraine. Macron n’a toujours pas compris que Poutine le considère comme un nain politique et qu’on ne peut rester dans une posture au milieu du gué.

Dans ce conflit Macron aura toujours adopté une posture très hésitante entre le maintien du dialogue avec Poutine et le soutien à l’Ukraine. Macron s’est aussi opposé à la fourniture de missile longue portée et maintenant à la fourniture d’avions. Pour autant il suivra la position des États-Unis le moment venu aussi bien concernant les chars que les avions.La livraison d’avions de chasse «

Volodymyr Zelensky est reparti de Bruxelles sans promesses pour des avions de chasse. Le président français Emmanuel Macron a déclaré dans la nuit du jeudi 9 février au vendredi 10 qu’il n’excluait pas de livrer des avions de combat à l’Ukraine, précisant toutefois que la priorité était d’aider Kyiv à résister dans les prochaines semaines. « Je n’exclus absolument rien », a répondu Emmanuel Macron à la question de savoir si la France enverrait des avions de combat en Ukraine à court ou à moyen terme.

« La priorité doit être de tout faire pour aider à résister dans les prochaines semaines et à mener les opérations utiles dans les semaines et mois qui viennent », a toutefois indiqué le chef de l’Etat. Les alliés doivent, à cet égard, privilégier les matériels les « plus utiles » et les « plus rapides », a expliqué Emmanuel Macron, qui s’exprimait à l’issue d’un sommet européen organisé à Bruxelles auquel a participé le président ukrainien Volodimir Zelensky.

Aide à l’Ukraine : Macron se contredit encore

Aide à l’Ukraine : Macron se contredit encore

Le président la république refuse pour l’instant d’envisager la livraison d’avions de chasse à l’Ukraine. Mais ce n’est pas la première fois qu’il reviendrait sur sa décision. Ainsi il avait aussi affirmé qu’il n’y avait pas de chars expédiés pour soutenir l’Ukraine. En fait ce sont quand même les chars légers AMX-30 français qui sont venus en soutien de l’Ukraine. Macron n’a toujours pas compris que Poutine le considère comme un nain politique et qu’on ne peut rester dans une posture au milieu du gué.

Dans ce conflit Macron aura toujours adopté une posture très hésitante entre le maintien du dialogue avec Poutine et le soutien à l’Ukraine. Macron s’est aussi opposé à la fourniture de missile longue portée et maintenant à la fourniture d’avions. Pour autant il suivra la position des États-Unis le moment venu aussi bien concernant les chars que les avions.La livraison d’avions de chasse «

Volodymyr Zelensky est reparti de Bruxelles sans promesses pour des avions de chasse. Le président français Emmanuel Macron a déclaré dans la nuit du jeudi 9 février au vendredi 10 qu’il n’excluait pas de livrer des avions de combat à l’Ukraine, précisant toutefois que la priorité était d’aider Kyiv à résister dans les prochaines semaines. « Je n’exclus absolument rien », a répondu Emmanuel Macron à la question de savoir si la France enverrait des avions de combat en Ukraine à court ou à moyen terme.

« La priorité doit être de tout faire pour aider à résister dans les prochaines semaines et à mener les opérations utiles dans les semaines et mois qui viennent », a toutefois indiqué le chef de l’Etat. Les alliés doivent, à cet égard, privilégier les matériels les « plus utiles » et les « plus rapides », a expliqué Emmanuel Macron, qui s’exprimait à l’issue d’un sommet européen organisé à Bruxelles auquel a participé le président ukrainien Volodimir Zelensky.
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Omicron: Le pic atteint ! mais un nouveau record qui contredit !

  • Omicron: Le pic atteint ! mais un nouveau record qui contredit ! 
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  • D’après les experts et même les médias qui avaient bouclé pratiquement leurs tirages, le pic omicron serait atteint et même en régression. Manque de chance ou de lucidité puisqu’au contraire la France vient d’enregistrer un record 464.769 nouveaux cas en 24 heures, un record ; Mardi dernier, 368.149 cas avaient été recensés.
  • Le taux de positivité des tests augmente aussi , s’établissant à 23,9%. Le taux d’incidence est lui de 3063 personnes contaminées pour 100.000 habitants.Bref, beaucoup d’experts, les politiques et les grands médias devraient se montrer prudents dans leurs pronostics quant à l’évolution de la maladie concernant en particulier le nombre de contaminées. Un nombre record même au monde rapporté à la population. Dans nombre de fourneaux on  titre « . Le pic des cas semble donc atteint » reprenant tout simplement les affirmations du gouvernement. La vérité sans doute ce qu’il y a encore des normes inconnues concernant cette maladie aussi bien concernant les conditions de son évolution, de sa contamination et même de sa gravité à moyen et longs terme.

Le pire dans cette désinformation, c’est l’unanimité de la tonalité qui fait croire que la crise omicron est pratiquement terminée. Un joli coup de pied au cul à l’information formatée des grands médias avec ce nouveau record de contamination

Covid-Troisième dose vaccin : l’agence européenne des médicaments contredit Macron

Covid-Troisième dose vaccin : l’agence européenne des médicaments contredit Macron

 

Macron à la recherche un peu désespérée de soutien populaire a fait de la crise sanitaire l’essentiel de son champ d’intervention. Ainsi il se répand sur les réseaux sociaux et annonce notamment une troisième vaccination pour les personnes âgées fragiles. Une annonce sans doute un peu prématurée car contestée par l’agence européenne des médicaments.

. Selon l’agence, à date, les données ne sont pas suffisantes pour recommander l’administration d’une troisième dose de vaccin contre le Covid-19, a-t-elle déclaré vendredi, après que plusieurs pays de l’UE ont annoncé le déploiement d’une campagne de rappels pour les plus vulnérables dès septembre.

« Nous nous préparons, comme les autres pays européens, à faire cette troisième dose pour les personnes qui sont les plus âgées et les plus fragiles. Et nous le ferons à partir de la rentrée », a pourtant annoncé début août le chef de l’Etat dans une vidéo Instagram.

Troisième dose vaccin : l’agence européenne des médicaments contredit Macron

Troisième dose vaccin : l’agence européenne des médicaments contredit Macron

 

Macron à la recherche un peu désespérée de soutien populaire a fait de la crise sanitaire l’essentiel de son champ d’intervention. Ainsi il se répand sur les réseaux sociaux et annonce notamment une troisième vaccination pour les personnes âgées fragiles. Une annonce sans doute un peu prématurée car contestée par l’agence européenne des médicaments.

. Selon l’agence, à date, les données ne sont pas suffisantes pour recommander l’administration d’une troisième dose de vaccin contre le Covid-19, a-t-elle déclaré vendredi, après que plusieurs pays de l’UE ont annoncé le déploiement d’une campagne de rappels pour les plus vulnérables dès septembre.

« Nous nous préparons, comme les autres pays européens, à faire cette troisième dose pour les personnes qui sont les plus âgées et les plus fragiles. Et nous le ferons à partir de la rentrée », a pourtant annoncé début août le chef de l’Etat dans une vidéo Instagram.

Glyphosate : Macron se contredit encore

Glyphosate : Macron se contredit encore

il y a trois ans Macron a promis de supprimer totalement le glyphosate.  La promesse faite en 2017 n’a pas été tenue puisque l’utilisation du désherbant n’a diminué que de 50 %.

Barbara Pompili, la nouvelle ministre de l’écologie qui a succédé au déçu Nicolas Hulot a dû avaler une couleuvre et finalement s’est rangée à la ligne gouvernementale : interdire chaque usage du glyphosate dès qu’une alternative existe.  Une ligne politique réaliste mais qui contredit évidemment la promesse ferme de Macon. En plus au sein même de la république en marche les avis divergent sur cette question selon qu’on est proche de certains milieux agricoles ou de la sensibilité écolo.

Pourrait être question maintenant d’inscrire dans la loi ce changement de perspective comme on l’a fait avec les insecticides dits néonicotinoïdes dans les champs de betteraves, interdits par une loi de 2016 portée par Barbara Pompili. Mais des insecticides qui ont du être ré autoriser légalement., Barbara Pompili avait dû soutenir un détricotage partiel de la loi qu’elle avait elle-même portée.

 

Insécurité : Jadot contredit Piolle

Insécurité : Jadot contredit Piolle

Ce n’est sans doute pas un hasard si Jadot ,candidat autoproclamé des écolos pour les élections présidentielles , prend position sur la sécurité considérant qu’elle est réelle et indiscutable. En fait, l’éventuel candidat se manifeste sur un terrain peu fréquenté par les écolos uniquement pour s’opposer à Piolle, maire de Grenoble,   l’autre candidat potentiel des verts nettement plus à gauche,  qui, lui ,s’était offusqué de l’opération de police menée dans sa ville contre la drogue et l’in sécurité. Jadot, invité de BFM Politique ce dimanche, reconnaît une « réelle » insécurité en France et incite à « réinstaller la police de proximité » pour y remédier.

« L’insécurité est réelle » et cette thématique continue d’agiter les débats politiques. Alors que Gérald Darmanin observe un « ensauvagement » dans la société française, le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, évoque un « sentiment d’insécurité » plus qu’une véritable menace. Invité ce dimanche de BFM Politique, Yannick Jadot se dit quant à lui « extrêmement inquiet ».

« Des parents qui se font tabasser simplement pour avoir réclamé le port du masque, un chauffeur de bus qui se fait tuer, une aide-soignante qui se fait tuer en étant traînée sur 800 mètres dans la rue… Tout cela est insupportable », développe le député européen Europe Ecologie.

Il reproche au président de la République Emmanuel Macron de ne pas avoir su « restaurer le respect de la règle commune et le civisme dans notre pays » et déplore, dans le même temps, « les leçons de la droite sur la question de l’insécurité et de la police. Nicolas Sarkozy et ceux qui hurlent sur l’insécurité étaient tous là [au pouvoir, NDLR]« , tance-t-il.

« Nous souhaitons réinstaller la police de proximité. C’est ce que nous faisons avec nos élus nouvellement arrivés dans les municipalités. Nous travaillons avec les populations, la police, les animateurs sociaux et la justice à l’échelle des quartiers, des immeubles », expose-t-il appelant à une révision structurelle à grande échelle.

Guerre contre la pandémie: le président allemand contredit Macron

Guerre contre la pandémie: le président allemand contredit Macron

 

Alors que le président allemand se fait rare dans les médias, le président français, lu,i chaque jour convoque les médias pour des bavardages sans grand intérêt et souvent peu pertinents comme l’a montré la stratégie française contre le Coron virus. Notons d’ailleurs que le système sanitaire allemand a été beaucoup plus efficace. En effet l’Allemagne a désormais dépassé le cap des 2000 morts contre 12 000 en France, une différence que n’explique pas une contamination intervenue une semaine outre-Rhin après la France. La raison principale est sans doute lié à la discipline des Allemands, au grand nombre de lits disponibles, à la capacité de l’industrie à fournir les équipements sanitaires nécessaires (respirateurs notammenet) aussi au dépistage massif (500 000 en une semaine quand il y en a 60 000 en France . Le président allemand a contredit macro en refusant d’employer une sémantique guerrière qui ne lui paraît pas adaptée.

« Non, cette pandémie n’est pas une guerre. Les nations ne s’opposent pas à d’autres nations, les soldats à d’autres soldats. C’est un test de notre humanité », a-t-il ainsi assuré.

Cette crise « fait ressortir le meilleur et le pire des gens. Montrons aux autres ce qu’il y a de meilleur en nous », a-t-il demandé à ses concitoyens.

« Et s’il vous plaît, montrez-le-nous aussi en Europe ! », a-t-il ajouté, car l’Allemagne ne pourra pas « sortir de la crise forte et saine » si ses voisins « ne deviennent pas eux aussi forts et sains ».

« Nous, Allemands, ne sommes pas seulement appelés à faire preuve de solidarité en Europe, nous sommes obligés de le faire ! », a-t-il estimé, alors que l’Europe commémore cette année les 75 ans de la fin de la Deuxième Guerre mondiale et de la victoire sur la tyrannie du régime nazi.

Le président allemand a lancé un appel à une solidarité mondiale pour trouver un vaccin, pour que « les pays les plus pauvres, qui sont les plus vulnérables, y aient également accès ».

Frank-Walter Steinmeier a également rendu un hommage appuyé aux « piliers invisibles » de la société allemande, notamment les caissières, chauffeurs de bus et routiers, boulangers, paysans ou encore les éboueurs.

« Le danger n’a pas encore été écarté. Mais nous pouvons déjà dire aujourd’hui que chacun d’entre vous a radicalement changé de vie, chacun d’entre vous a sauvé des vies et en sauve de plus en plus chaque jour », a-t-il estimé.

Depuis le début de la crise, l’Allemagne n’applique pas un confinement strict. Avec un nombre de décès officiellement liés au Covid-19 contenus à ce stade à quelque 2500 morts, le pays semble pour le moment mieux faire face à la pandémie que nombre de ses voisins européens.

Coronavirus: l’Académie de médecine pour le port obligatoire d’un masque et contredit le gouvernement

Coronavirus: l’Académie de médecine pour  le port obligatoire d’un masque et contredit le gouvernement

 

L’Académie de médecine recommande de rendre obligatoire le port d’un masque lors des sorties pendant la période de confinement. Alors que la France est en pénurie, elle invite à utiliser des masques « alternatifs ». 

Porter un masque « grand public », ou « alternatif », devrait être obligatoire pour tous lors des sorties autorisées pendant la période de confinement, a recommandé ce vendredi l’Académie de médecine. Elle souhaite même que cette exigence soit maintenue lors de la levée du confinement.

« Il est établi que des personnes en période d’incubation ou en état de portage asymptomatique excrètent le virus et entretiennent la transmission de l’infection. En France, dans ce contexte, le port généralisé d’un masque par la population constituerait une addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur », estime l’Académie, dans un communiqué.

Selon l’Académie, pour que la levée du confinement soit la   »plus précoce et la moins risquée possible », l’obligation de porter un masque devra être maintenue, ainsi que toutes les mesures barrières déjà préconisées.

Coronavirus: L’OMS contredit la France sur les masques

Coronavirus: L’OMS contredit la France sur les masques

 

L’OMS avait déjà contredit la France à propos du dépistage massif qu’elle recommandait comme cela s’est pratiqué par exemple en Corée. En Europe, l’Allemagne pratique aussi un dépistage très important de l’ordre de  500 000 par semaine quand la France est autour de 50 000. Pour toute réponse face à cette différence, le Premier ministre a même mis en doute les chiffres allemands.!

On se souvient que jusqu’au 23 février environ les pouvoirs publics comme de nombreux mandarins considéraient que le port du masque était inutile pour les personnes non malades. C’est évidemment oublier que 50 % au moins  de la population seront atteintes par le virus ;  80 % n’auront  aucun symptôme mais ‘ils  constitueront des vecteurs de diffusion de la maladie. Le masque est donc indispensable d’abord pour protéger les autres des projections salivaires mais aussi pour se protéger soi-même.

On comprend évidemment que la protection soit prioritaire pour le personnel médical mais elle est également importante ce qui sont en contact avec le public et d’une façon générale pour toute la population. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donc déclaré vendredi que les masques chirurgicaux devaient être réservés aux personnels de santé mais elle a ouvert la voie à un usage accru des masques, même artisanaux, par le grand public afin de limiter la propagation du coronavirus Covid-19.

Un haut responsable de l’OMS a déclaré à la presse que la transmission par voie aérienne du virus pourrait avoir affecté plus d’un million de personne dans le monde et tué 50.000 personnes depuis les premiers cas en décembre en Chine.

Mais le principal vecteur de transmission reste les personnes malades qui toussent, éternuent, se mouchent et contaminent des surfaces ou d’autres personnes.

“Nous devons réserver les masques médicaux et chirurgicaux aux personnels en première ligne. Mais l’idée d’utiliser des masques recouvrant les voies respiratoires ou la bouche pour empêcher que la toux ou le reniflement projette la maladie dans l’environnement et vers les autres (…) n’est pas une mauvaise idée en soit”, a dit le docteur Mike Ryan, expert en situations d’urgence à l’OMS, lors d’une conférence de presse.

Aux Etats-Unis, Anthony Fauci, médecin et directeur de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, en charge de la coordination de la lutte contre le Covid-19, a déclaré vendredi que les Américains devraient se couvrir la bouche et le nez leurs de leur sorties en public mais qu’ils devaient surtout rester confinés autant que possible.

En France, le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, a estimé de son côté que “la notion d’accès de l’ensemble du public à un masque grand public ou alternatif peut être encouragée”, tout en soulignant que ces masques ne remplacent pas les “gestes barrières” que sont le lavage fréquent des mains et la distanciation sociale.

Une position partagée par Mike Ryan à l’OMS, qui a reconnu l’existence d’un débat “très important et sain” sur la généralisation du port du masque.

“Il peut y avoir des circonstances dans lesquelles l’utilisation des masques, qu’ils soient fait maison ou fabriqués en tissu, à l’échelle d’une communauté, peut participer à la réponse globale et complète à cette maladie” a-t-il dit.

Popularité : Macron, en recul: le sondage Elabe contredit celui de l’IFOP

Popularité : Macron, en recul: le sondage Elabe contredit celui de l’IFOP

 

 

 

Il y a quelques jours, Paris-Match et Sud-Radio (toujours en complaisants vis-à-vis du chef de l‘Etat) annonçait  une nouvelle remontée de Macron dans les sondages. D’après cette enquête effectuée par l’IFOP, Macron bénéficiait de 38% de jugements favorables un sondage qui vient d’être contredit par Elabe pour Les Echos et Radio Classique publié jeudi. – La proportion de Français accordant leur confiance à Emmanuel Macron pour “affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays” recule d’un point en juillet, à 31%, après un mois de hausse, selon un sondage Elabe pour Les Echos et Radio Classique publié jeudi. Un écart de 7 points c’est beaucoup !

Suspension de Benalla : Alain Gibelin se contredit et mange son chapeau

Suspension de Benalla : Alain Gibelin se contredit et mange son chapeau

 

 

Yaël Braun-Pivet, le directeur de l’ordre public auprès de la préfecture de police,  mange son chapeau et se contredit. Alors qu’il avait affirmé que Benalla avait participé à des réunions de haut niveau pendant sa suspension de 15 jours, il est revenu sur ses propos. Il a même écrit qu’il avait mal compris la question lors de son audition devant la commission parlementaire ! Il est clair que malgré ce démenti « inspiré ( ?) L’enquête pourrait démonter que Benalla a bien encore assumé des taches pendant sa suspension. On vient d’apprendre d’ailleurs officiellement de l’Elysée que contrairement à ce qui avait été affirmé,  Benalla n’a subi aucune retenue de salaire. Curieuse suspension en vérité qui s’est traduite par quelques jours de vacances, sans suppression de rémunération. Par ailleurs contrairement encore à ce qui a été dit, Benalla a continué d’organiser les manifestations intéressant le président. Témoin le fait qu’il accompagnait le car des bleus lors de leur réception à l’Elysée.

BCE : Dombret (Buba) contredit Schaüble

BCE : Dombret (Buba) contredit Schaüble

 

Andreas Dombret, membre du directoire de la Bundesbank (Buba) contredit totalement le ministre des finances allemand lequel estime qu’il faut abandonner rapidement la politique accommodante de la BCE en particulier concernant les taux. On constate donc que le débat sur cette question n’est pas limité entre certains états européens et l’Allemagne mais qu’il traverse aussi les sensibilités allemandes. L’argument du membre du directoire de la banque d’Allemagne paraît relativement fier car jusqu’à leur il n’y a pas de menace d’inflation, on est même loin des 2 %  d’inflation souhaitée. En cause évidemment,  une croissance encore relativement fragile même si on constate une légère amélioration. C’est d’ailleurs aussi la position de la Fed en fédéral américaine envisage aussi de reporter vers 2018 la nouvelle remontée des taux précisément en raison d’une croissance encore insuffisante Ces commentaires suggèrent que la Buba – qui a longtemps critiqué la politique ultra-accommodante de la BCE de rachats massifs d’obligations et de taux d’intérêt négatifs – ne devrait pas pousser à un brusque resserrement de la politique monétaire européenne lors de la prochaine réunion de la BCE cet automne. « Les signes d’un retournement durable en termes d’inflation sont ténus jusqu’à présent, » a-t-il dit à Pretoria. « Il y a donc dans l’ensemble un large consensus sur le fait qu’une politique monétaire expansionniste est très largement justifiée. » Andreas Dombret a toutefois précisé que les points de vue variaient au sein de la BCE sur le degré de soutien à apporter. « Les points de vue divergent cependant sur la vigueur avec laquelle la BCE doit appuyer sur la pédale de la politique monétaire et quels instruments elle doit utiliser », a-t-il dit.

Nucléaire : Hulot contredit par Philippe

Nucléaire : Hulot contredit par Philippe

 

Il n’aura pas fallu longtemps pour que le Premier ministre Édouard Philippe contredise Hulot concernant la perspective de fermeture de 17 réacteurs nucléaires d’ici 2025. Certes Hulot avait pris des précautions oratoires en indiquant « peut-être » la fermeture de 17 réacteurs. Pour autant, cette proposition paraît intenable. Il s’agit seulement d’un calcul de coin de table qui conclut que pour respecter l’objectif d’une production nucléaire limitée à 50 % du total au lieu de 75 % aujourd’hui il convenait de fermer les réacteurs représentant les 25 % en cause. Aucune logique économique, aucune logique énergétique dans les propositions du ministre de l’écologie qui contrairement à ce qu’il affirme n’est pas le décideur en la matière. Certes chacun comprend qu’il faille développer les énergies alternatives pour autant ce développement ne peut s’effectuer que de manière cohérente d’un point de vue technique et d’un point de vue économique. On ne fermera sans doute pas 17 réacteurs faute d’offre de substitution d’ici 2025. De ce point de vue les propos de Nicolas Hulot sont aussi irresponsables que ceux de Ségolène Royal : volontaristes sur le papier mais complètement irréalistes. En cause, le rythme de monter en puissance des énergies  alternatives dans certaines sont loin d’être compétitives. Pire, pour l’éolien par exemple EDF sera contraint d’acheter l’électricité à trois fois le prix du marché. Une situation qui évidemment ne pourra durer et surtout s’appliquer au nombre d’éoliennes envisagées entre (on prévoit de doubler le parc pour un cout de l’ordre de 50 milliards payés au par EDF. En cause surtout la situation financière dramatique d’EDF qui ne pourra ce disperser dans tous les modes de production électrique et devra chercher en priorité à rentabiliser le parc nucléaire existant notamment en prolongeant comme c’est prévu la durée d’existence d’une vingtaine d’années. Cela grâce notamment au Grand carénage qui coûtera de leur de 50 milliards. Ajoutons qu’EDF doit aussi faire face à son endettement énorme d’environ 40 milliards, il doit aussi financer le site d’enfouissement de Bure dont le coût est aussi de leur de 50 milliards, financé aussi l’EPR Flamanville (10 milliards) et de Hinkley Point en Angleterre (coût de 24 milliards dont 66% pour EDF)  dans les couts ne cessent de dériver, financer aussi la remise à niveau d’AREVA.   Pour ne pas trop contredire Nicolas Hulot, le premier ministre à diplomatiquement indiqué que Le gouvernement attendra que l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) rende son avis sur la prolongation des réacteurs du parc français fin 2018 ou début 2019 pour se prononcer sur la fermeture de certains d’entre eux, a déclaré Edouard Philippe dans un entretien aux Echos. Dans cette interview, le chef du gouvernement tempère donc sérieusement les propos de son ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, qui avait évoqué lundi la possibilité de fermer « peut-être jusqu’à 17 réacteurs ».   »Nous devons aussi engager les discussions avec les acteurs de la filière, à commencer par EDF », ajoute-t-il. « Des centrales fermeront mais je ne peux pas vous dire lesquelles. Il faut être prudent : cette décision devra tenir compte non seulement d’éléments techniques sur les centrales, mais aussi du niveau attendu de la consommation énergétique ou du développement des autres modes d’électricité », précise encore le premier ministre.

Politique budgétaire zone euro : le FMI se contredit

Politique budgétaire zone euro : le FMI se contredit

 

En quelques mois le FMI se contredit sur la nécessité ou non d’une  relance budgétaire. Le FMI vient d’affirmer qu’il fallait un politique budgétaire neutre dans la zone euro et non pas expansionniste comme l’a suggéré la Commission européenne. Cette position qui prend à revers l’exécutif européen figure dans une analyse régulière de l’économie de la zone euro qui a été présentée jeudi aux ministres des Finances des Dix-Neuf réunis à Bruxelles. Alors que la Commission a recommandé l’an dernier une « orientation budgétaire expansionniste » pour la zone euro, de l’ordre de 0,5%, le FMI juge qu’un tel relâchement ne serait pas conforme au Pacte de stabilité et de croissance qui lie les Etats membres de la zone euro. Mais en juillet le FMI disait le contraire«Constatant les limites des politiques monétaires ultra accommodantes le fonds monétaire international (FMI) avait  appelé en juillet à une relance urgente de la dépense publique. Deux raisons à cela d’abord le tassement économique constaté depuis le deuxième trimestre aussi les conséquences du brexit dont il est difficile de mesurer les effets non seulement sur la zone euro mais aussi au plan mondial ». À cet égard le FMI hésitait même  entre une posture volontariste et une attitude alarmiste. Le moins que l’on puisse dire c’est que le Fmi comme nombre d’experts sont en fait désorientés par la gestion complexe de l’ampleur et du  ryttme de trois leviers : la politique monétaire, la politique budgétaire et les réformes structurelles. On notera que le FMI n’a pas adressé les mêmes reproches aux Etats Unis qui ont su faire converger une  politique budgétaire expansionniste avec un politique monétaire accommodante.

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