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Plainte contre Valérie Trierweiler pour détournement de fonds publics

Plainte contre Valérie Trierweiler pour détournement de fonds publics

 

Xavier Kemlin « trouve absolument scandaleux que nos impôts servent à loger, nourrir, entretenir, payer le personnel et les déplacements d’une dame avec qui nous n’avons aucun lien juridique ». Comprenez Valérie Trierweiler, celle qu’il nomme délicatement « la maîtresse du président ». Cet héritier de la famille Guichard, arrière-petit-fils du fondateur de l’enseigne Casino, est donc allé déposer plainte le jeudi 14 mars au tribunal correctionnel de Saint-Etienne contre la première Dame pour « détournement de fonds publics ». Xavier Kemlin explique sa démarche dans une vidéo diffusée par le quotidien régional « Le Progrès ». En attendant de voir si la justice compte donner suite à sa plainte, ce qui est loin d’être acquis.  Pour celui qui s’était déjà distingué en 2011 en menant une grève de la faim devant le siège de Carrefour, il est ici « question de morale ». Selon lui, si François Hollande et sa compagne ne se marient pas, c’est pour éviter de payer l’ISF, Valérie Trierweiler venant « d’une famille de banquiers ». Remarque pertinente de la part de celui qui est domicilié en Suisse depuis 16 ans. Et d’ajouter, non sans humour : « Le mariage pour tous, c’est bien, alors qu’il le fasse ».

Sondage-Politique économique Hollande : 80% des français contre

Sondage-Politique économique Hollande : 80% des français contre

 

Une nouvelle fois, les sondages sont mauvais pour l’exécutif. Celui rendu public ce lundi par BVA marque une accentuation du mécontentement des Français face à la politique du chef de l’Etat.  L’augmentation de 160% de la taxe sur la bière, la fin des exonérations des heures supplémentaires, le gel du point d’indice du salaire des fonctionnaires… Ce début de quinquennat de François Hollande a été marqué par nombre de mesures impopulaires. Conséquence : 64% des Français jugent aujourd’hui que sa politique n’est pas juste, selon un sondage BVA rendu public ce 18 mars. Pire, outre des mesures mal perçues, c’est l’utilité même de son action qui est remise en cause onze mois après son élection : 80% des sondés jugent en effet que la politique du gouvernement n’est pas efficace. Un coup dur pour François Hollande, qui avait notamment bâti sa campagne électorale sur un objectif de justice fiscale. La part des sondés qui considèrent que la politique menée par le Président de la république est juste ne cesse de diminuer, particulièrement ce dernier mois (elle passe de 40% à 35% entre février et mars). La part de ceux qui la jugent efficace a elle aussi particulièrement chuté en un mois : passant de 25% à 18%. Pour la première fois depuis au moins septembre 2012, l’UMP est légèrement plus populaire que le PS : 39% contre 38% de « bonne » opinions.

 

Le patron de Renault contre la taxation diesel

Le patron de Renault contre la taxation diésel

Le PDG du constructeur automobile français Renault, Carlos Ghosn, s’est dit lundi plutôt défavorable à toute mesure qui pourrait réduire l’avantage compétitif du diesel, alors que le débat agite le gouvernement français. « Les gouvernements ont des déficits et doivent trouver de l’argent et ils regardent la moindre opportunité de le faire », a déclaré Carlos Ghosn à Genève, à la veille de l’ouverture à la presse du 83ème salon automobile. Les constructeurs automobiles européens ont un avantage technologique dans le domaine du diesel, a-t-il poursuivi.  « Au moment où l’Europe s’enfonce dans une crise, est-ce vraiment le moment de réduire la compétitivité du diesel en changeant les règles ? », s’est-il interrogé. « Nous n’y sommes pas favorables mais au final, ce sera aux gouvernements de trancher », a ajouté le numéro un du constructeur français, qui dirige aussi le japonais Nissan. La question d’une prime à la reconversion ou d’une surtaxe sur le diesel a ressurgi ce week-end après la publication vendredi dernier d’un rapport de la Cour des comptes critiquant la fiscalité dérogatoire dont bénéficie le diesel. Le gouvernement français réfléchit à sortir de la politique du tout diesel, qui pose un problème de santé publique, mais les avis divergent entre les ministres.  Les ministres de l’Ecologie Delphine Batho et du Logement, la Verte Cécile Duflot, mettent en avant les 40.000 décès annuels dus aux particules fines, tandis que leur collègue du Redressement productif Arnaud Montebourg s’inquiète de mesures qui privilégieraient les voitures construites à l’étranger. « Il est faux de dire que le diesel est mauvais pour la santé », a déclaré lundi Carlos Ghosn, soulignant que les moteurs récents répondaient à des normes très strictes. « Si vous prenez les diesels d’il y a dix ans, c’est une autre histoire », a-t-il néanmoins ajouté.

 

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Manifestation CGT-FO contre l’accord pour l’emploi

Manifestation CGT-FO contre l’accord pour l’emploi

 

De toute évidence la ligne de clivage entre le syndicalisme réformisme et le syndicalisme radical s’accroit. « Il y a des divergences, mais il n’y a pas de guerre syndicale ». Laurent Berger, leader de la CFDT, a pourtant tenté de relativiser lundi les tensions entre son propre syndicat, la CGT, et Force ouvrière, dans une interview aux Echos. Pourtant, le ton est bien monté d’un cran la semaine dernière. Vendredi, le même Laurent Berger avait accusé la CGT de parfois avoir des « positions dogmatiques » dans ses négociations avec le patronat. « Positions dogmatiques » qui seraient directement responsable de la fermeture de l’usine Goodyear d’Amiens nord. Simple « divergence » ? Les propos ont en tout cas suscité une vive indignation du côté de la CGT. Et Jean-Claude Mailly, leader de FO, a également exprimé son désaccord.  La fracture entre les syndicats se cristallise notamment autour de l’accord sur la sécurisation de l’emploi, conclu à la mi-janvier. CFDT, CFTC et CFE-CGC ont accepté de signer avec le Medef, tandis que CGT et FO le rejettent en bloc. Bernard Thibault, leader de la CGT, a même annoncé dimanche que sa confédération préparait une action commune avec FO. « On nous verra sans doute dans la rue dans les semaines qui viennent, avec Force ouvrière », a-t-il ainsi avancé. L’accord, qui prévoit notamment la possibilité pour une entreprise de baisser les salaires pendant deux ans en cas de difficulté économiques ou encore une simplification des procédures de licenciement, est jugé trop favorable au patronat par les deux syndicats. « Désormais la CFDT apparaît comme l’organisation grâce à qui – ou à cause de qui – cet accord a été signé », décryptait vendredi Bernard Vivier, directeur de l’Institut supérieur du Travail. « Elle conforte sa position de pilote du réformisme en France », expliquait-il. En face, FO et CGT se trouvent au contraire dans un contexte qui les pousse à se radicaliser. Selon le spécialiste, le débat autour de l’accord permet ainsi à la CGT d’affirmer « une ligne très dure et de rester unie dans le cadre de la préparation de son Congrès » de mars. Congrès lors duquel Bernard Thibault va passer le témoin à Thierry Lepaon, après une longue crise de succession. D’un autre côté, FO est « tentée de concurrencer », aux élections professionnelles, une CGT « avec laquelle elle partage, notamment dans l’industrie, un public assez comparable », relève Dominique Andolfatto, chercheur en sciences politiques, spécialiste du syndicalisme. « Cela semble être la course à celui qui sera le plus radical pour gagner les élections », résume le chercheur.  FO et CGT ne font d’ailleurs pas front commun sur tout. Jean-Claude Mailly a en effet exprimé vendredi son accord avec Laurent Berger pour critiquer le comportement de la CGT à l’usine PSA d’Aulnay. « Je ne suis pas d’accord avec ce qu’y fait la CGT. Il y a des menaces, y compris sur les délégués FO. C’est un comportement qui n’est pas normal », a dénoncé le responsable de FO. Et c’est entre la CGT et la CFDT que les tensions semblent les plus vives. Dans son interview aux Echos de lundi, Laurent Berger se montre ainsi bien plus critique à l’égard de centrale de Bernard Thibault. « L’accord a mis en lumière les différences profondes d’approche du syndicalisme entre la CGT et la CFDT. La CGT dénonce mais ne s’engage pas et demande à l’Etat d’agir », tacle ainsi le leader de la CFDT. « Il n’y a pas de guerre syndicale, a-t-il toutefois nuancé. Sur les négociations en cours sur la qualité de vie au travail par exemple, nous menons un travail en intersyndicale avec les autres organisations. »

 

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Montebourg contre la taxation du diésel

Montebourg contre la taxation du diésel

« Pour moi, utiliser le diesel comme outil de financement de l’État n’est vraiment pas la bonne politique », a déclaré Arnaud Montebourg, dimanche, invité du Grand rendez-vous Europe1- i>TELE – Le Parisien-Aujourd’hui en France, pour qui les Français ne peuvent pas subir de nouveaux impôts. « Nous devons d’abord faire des économies sur les dépenses », a insisté le ministre du Redressement productif. Il s’oppose ainsi à l’idée de surtaxer le diesel pour instaurer une fiscalité égale avec l’essence dans le but de renflouer les comptes publics.

 

Humour : c’est le PDG de Coca Cola France qui soutient Montebourg contre Titan !

Humour : c’est le PDG de Coca Cola France qui soutient Montebourg contre Titan !

Humour ou coup de pub ? En tout cas Montebourg reçoit le soutien de Coca-Cola. «Nous sommes heureux d’investir en France, cela depuis 90 ans», écrit Tristan Farabet patron de Coca-Cola France dans ce courrier révélé par Le Monde daté de mercredi et dont l’envoi a été confirmé par une porte-parole de la société. Il y fait notamment référence «à la polémique récente sur l’attractivité de notre pays pour les investisseurs étrangers». Le PDG de Titan international, Maurice Taylor, qui a renoncé à reprendre l’usine de pneus Goodyear d’Amiens-Nord, a récemment raillé «les soi-disant ouvriers» qui «ne travaillent que trois heures» par jour, dans un courrier au vitriol adressé à Arnaud Montebourg. Ce dernier a répondu, dénonçant des propos «extrémistes» et promettant un zèle douanier sur les pneus Titan. «Profondément convaincus de l’intérêt, de l’opportunité mais aussi de la responsabilité sociétale qu’implique le fait de produire en France, nous souhaitons aujourd’hui participer encore plus activement à la promotion de l’attractivité du territoire français auprès des entreprises étrangères», a-t-il poursuivi. Il a souligné que le groupe avait investi en France «près de 400 millions d’euros au cours des cinq dernières années» et qu’il comptait débourser 66 millions supplémentaires en 2013 pour le «développement industriel» de ses cinq usines françaises «malgré un contexte économique difficile et une pression fiscale importante». En 2011, Tristan Farabet avait vivement critiqué le gouvernement Fillon et son projet de taxe sodas. Et surtout il avait créé la polémique en annonçant suspendre un investissement prévu de 17 millions d’euros pour moderniser l’usine des Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône), avant de se raviser. Mardi, une porte-parole du ministère a confirmé à l’AFP que M. Montebourg avait bien reçu ce courrier, précisant que le ministère avait «été contacté par un certain nombre de sociétés américaines, y compris l’AmCham (chambre de commerce américaine en France, NDLR), qui ont souhaité temporiser les prises de positions de (Maurice) Taylor». La France «est très attachée à la coopération franco-américaine. Les Etats-Unis sont l’un des premiers investisseurs en France», a-t-on ajouté, précisant que le ministre avait envoyé une lettre de remerciements à M. Farabet.

 

Espagne: manifestation contre l’austérité et la dictature des marchés

Espagne: manifestation contre l’austérité et la dictature des marchés

 

 

Grosse manifestation en Espagne contre, l’austérité, la dictature des marchés et le gouvernement ;Dans le hurlement des sifflets et des percussions, enseignants en vert, médecins et infirmières en blanc, écologistes, groupes de la mouvance des « indignés », pompiers casqués ou mineurs du nord de l’Espagne, en noir, ont convergé vers la place de Neptuno, près du Congrès des députés.   »Démission », hurlait la foule, dans une marée de pancartes blanches portant un seul mot, « NO », frappées d’une paire de ciseaux, symbole des coupes budgétaires.   »Rajoy, pars », « Dictature des banques, NON », réclamaient d’autres pancartes.   »Nous en avons ras-le-bol », lançait Luis Miguel Herranz Fernandez, un médecin hospitalier de 38 ans, en dénonçant « les coupes budgétaires, la corruption, la baisse de qualité du système de santé ».   »Dans n’importe quel pays, cela servirait à quelque chose, mais ici, cela ne sert à rien. Le gouvernement ne nous écoute pas », s’indignait le jeune médecin alors que la foule multicolore déferlait sur les avenues.   »Nous sommes ici tous unis, les médecins, les pompiers, les mineurs, et cela leur est égal ».   »Non au coup d’Etat des marchés », pour « une véritable démocratie »: les mots d’ordre étaient multiples pour cette « marée citoyenne » du 23 février, jour anniversaire de la tentative de coup d’Etat qui avait terrifié la jeune démocratie espagnole, le 23 février 1981.  Une fois le rassemblement dispersé, quelques incidents ont éclaté dans les quartiers alentour entre la police anti-émeutes et de petits groupes de jeunes, qui se sont éparpillés en mettant le feu à des poubelles. Douze personnes ont été interpellées, selon la police.  Comme à Madrid, des « marées citoyennes » ont été organisées dans de nombreuses villes d’Espagne, rassemblant notamment des milliers de personnes à Barcelone, Valence, La Corogne, Séville ou Bilbao.   »Nous sommes très en colère », s’écriait Cristina Martin Benito, une infirmière de 35 ans vêtue de la chemise blanche de la « santé en lutte ». « Nous revendiquons la nécessité d’être protégés un peu plus, nous les citoyens, et pas les banques ».  Parmi la foule encore, des salariés d’Iberia, la compagnie aérienne qui doit suprimer 3.800 emplois, en gilets jaune fluorescent, les mineurs, casque et lampe sur le crâne, dénonçant derrière une grande banderole « la fermeture des bassins miniers, sans activité alternative ».  Cible de la colère des manifestants: la politique d’austérité menée depuis un an par le gouvernement de droite de Mariano Rajoy, visant à récupérer 150 milliards d’euros d’ici 2014.  Alors que tous les clignotants sociaux sont au rouge, que le pays en récession affiche un chômage de 26%, la grogne est accentuée par l’aide européenne de plus de 41 milliards d’euros accordée aux banques, une injustice pour beaucoup d’Espagnols.  Les affaires de corruption qui éclaboussent les grandes institutions du pays renforcent encore le malaise. Samedi, des drapeaux républicains, rouge, jaune et violet, flottaient dans la foule.  Car la monarchie, jusque-là réputée intouchable, se retrouve prise dans la tourmente d’un scandale sans précédent: le gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin, était interrogé samedi par un juge des Baléares dans une enquête sur le détournement de millions d’euros d’argent public.  Au point que la Maison royale a dû, vendredi, publier un démenti face à des rumeurs sur une éventuelle abdication du roi, âgé de 75 ans.  En janvier, c’est le nom de Mariano Rajoy qui était apparu dans une liste, publiée par le quotidien El Pais, de bénéficiaires présumés de paiements occultes.   »C’est une accumulation. Le chômage, la corruption, l’absence d’avenir pour les jeunes », résume Luis Mora, employé dans le secteur de la construction de 55 ans.

 

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Portugal: manifestation contre l’austérité

Portugal: manifestation  contre l’austérité

 

Pour les autorités européennes, le Portugal est un exemple de redressement, ce n’est pas l’avis des manifestants qui ont protesté contre l’austérité qui se traduit pas un taux de chômage de 17% (40%chez les jeunes). « Nos sacrifices tombent dans les poches des voleurs: les banquiers et les politiciens », clamaient des pancartes portées par les manifestants qui agitaient les drapeaux rouges de leur syndicat.  Le secrétaire général de la CGTP, Arménio Carlos s’est déclaré convaincu de la participation de « plusieurs dizaines de milliers de protestataires » aux défilés et rassemblements qui ont eu lieu dans une vingtaine de villes du pays.  La CGTP a assuré qu’à Porto, la grande ville du nord du pays, plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient manifesté et plusieurs milliers dans le sud notamment à Faro et Portimao.  Un bilan précis sur l’ensemble du pays restait toutefois difficile à établir d’autant que les autorités ne communiquent généralement aucune estimation.  Le mouvement était destiné notamment à protester contre les hausses d’impôts sans précédent décrétées cette année par le gouvernement tandis que depuis l’année dernière salaires et retraites ont été nettement réduits.  En contrepartie d’un plan de sauvetage de 78 milliards d’euros accordé en mai 2011 par l’Union européenne et le Fonds monétaire international, le gouvernement du Premier ministre Pedro Passos Coelho met en oeuvre un vaste programme de réformes et de rigueur.   »Nous voulons rompre avec les engagements pris en échange du plan d’aide, rompre avec la politique de droite, exiger la démission du gouvernement et de nouvelles élections », a résumé Arménio Carlos sans exclure un nouveau recours à « une grève générale au moment adéquat ».   »A partir d’aujourd’hui et jusqu’à la fin du mois de mars il y aura des grèves et des manifestations dans tout le pays », a-t-il annoncé lors d’une prise de parole à la fin de la manifestation à Lisbonne.  Les mesures d’austérité que le gouvernement du Premier ministre Pedro Passos Coelho juge indispensables pour rétablir les finances du pays ont contribué à aggraver la récession. L’économie a reculé l’année dernière de 3,2% et le chômage touche désormais 16,9% de la population active et 40% des jeunes.   »On ressent quotidiennement le manque d’argent, les transports ont augmenté, les frais de scolarité aussi. Cette politique n’a pas d’avenir, elle détruit l’économie du pays », estimait Maria Manuel Reis, 55 ans, employée au ministère des Affaires étrangères, également concerné par les coupes budgétaires.  Après les hausses d’impôts généralisées, le gouvernement prévoit d’ici 2014 une vaste « réforme de l’Etat » qui devrait permettre des économies supplémentaires de 4 milliards d’euros. Alors que la « troïka » représentant les créanciers du Portugal (UE-FMI-BCE) est attendue a la fin du mois pour un nouvel examen des réformes mises oeuvre en échange du plan d’aide, M. Passos Coelho a récemment admis qu’en raison d’une possible « spirale récessive » il pourrait revoir les objectifs fixés.

 

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Médiapart : nouvelles accusations contre Cahuzac

Médiapart : nouvelles accusations contre Cahuzac

Difficile de savoir pour l’instant  si Cahuzac a ou non un compte en Suisse. La Suisse a répondu qu’ »aucun compte n’a été fermé au nom de Cahuzac » ; ce qui permet toutes les interprétations, le compte existe-t-il toujours? ce compte est-il à son nom ? Une affaire qui n’existerait pas si le PS ne recrutait pas autant ses ministres dans les milieux bourgeois. Le site d’information Médiapart a publié vendredi le fac-simile d’un courrier électronique présenté comme émanant d’un expert-comptable et adressé au ministre du Budget Jérôme Cahuzac, tendant à étayer certaines de ses informations mettant en cause le ministre.  Il s’agit notamment des informations selon lesquelles un des appartements de M. Cahuzac aurait été sous-évalué auprès du fisc. Le courrier électronique est présenté comme émanant d’un certain Gérard Ranchon, expert-comptable de la société Norminter. Il est intitulé « Rendez-vous fiscal » et est daté du 19 décembre 2012.  M. Ranchon n’était pas joignable par l’AFP vendredi soir. Sollicité par l’AFP, l’entourage de M. Cahuzac n’a pas souhaité réagir vendredi soir.  Le texte mentionne une réunion le jour même entre l’auteur et des responsables de la « direction régionale des finances publiques de Paris Sud » au sujet de la situation fiscale de M. Cahuzac, sur laquelle les représentants du fisc ont fait des « observations » et posé des « questions ».  L’auteur du document affirme que les autorités fiscales ont fait trois observations, estimant que « l’évaluation de l’appartement de Breteuil par notre cabinet (…) semble insuffisante de l’ordre de 10% ».  Les participants à la réunion auraient aussi fait état, selon l’auteur, d’un prêt familial qui n’aurait pas figuré dans la succession du père de M. Cahuzac, ce qui pourrait signifier qu’il avait été remboursé et qu’à ce titre, il n’aurait pas dû être inclus dans la déclaration d’ISF de M. Cahuzac.  Sur l’appartement, M. Ranchon affirme que l’évaluation a été faite par Norminter, et sur le prêt, il écrit qu’un de ses collaborateurs a sans doute « reconduit mécaniquement ce montant d’année en année ».  Ensuite, M. Ranchon fait état d’un vol de montres chez M. Cahuzac, qui auraient peut-être dû être mentionnées dans la déclaration.  Enfin, au chapitre des « questions », M. Ranchon affirme notamment que le fisc s’intéresse à l’origine de l’apport financier de l’achat d’un autre appartement parisien.  Mediapart a publié depuis le 4 décembre plusieurs informations mettant en cause M. Cahuzac, l’accusant notamment d’avoir détenu un compte bancaire secret en Suisse, ce que l’intéressé a nié. L’affaire fait l’objet d’une enquête préliminaire et a donné lieu à l’échange de documents entre autorités françaises et helvétiques.

Procès de l’Etat américain contre Standard and Poor’s

Procès de l’Etat américain contre  Standard and Poor’s

Le département de la Justice (DoJ) a informé l’agence de son intention de déposer une plainte civile contre elle, a indiqué l’agence dans un communiqué, où elle affirme qu’elle « se défendra vigoureusement » contre des accusations qu’elle juge « erronées » et « injustifiées ».  Le DOJ lui-même n’a pas réagi dans l’immédiat, mais le Wall Street Journal avait affirmé un peu plus tôt, en citant des sources proches du dossier, qu’il pourrait déposer dès cette semaine une plainte à laquelle se joindraient les procureurs de plusieurs Etats américains.  S&P, une filiale du groupe de médias américain McGraw-Hill, a précisé que la plainte du ministère se concentrait « sur ses notations en 2007 de certaines obligations américaines adossées à de la dette (collateralized debt obligations, CDO) ». Ces titres financiers étaient basés sur des montages financiers complexes et liés à des emprunts immobiliers à risques dits « subprime ». L’exposition très élevée de nombreuses banques à ce type de produits avait été l’une des causes principales de la crise financière mondiale qui avait débuté en 2007-2008, conduisant à la faillite de banques comme Lehman Brothers mais aussi à la ruine de nombreux épargnants.  Les grandes agences de notation (S&P, mais aussi ses concurrentes Moody’s et Fitch) ont été beaucoup critiquées pour ne pas avoir vu venir la crise, et les législateurs des deux côtés de l’Atlantique ont tenté d’en tirer les leçons en régulant davantage leur activité. Mais ce serait la première fois que l’une d’entre elle serait traînée directement devant la justice par les autorités américaines, qui jusqu’ici s’en étaient surtout prises aux banques.  Cette annonce a aussitôt fait plonger le cours de l’action McGraw-Hill à Wall Street. Elle a terminé en baisse de 13,78% à 50,30 dollars. Dans son communiqué, S&P assure qu’elle « regrette profondément que ses notations des CDO aient échoué à anticiper totalement la rapide détérioration des conditions sur le marché hypothécaire américain durant cette période tumultueuse ». L’agence fait toutefois valoir que ses analystes « ont travaillé avec diligence pour faire face à un environnement sans précédent, changeant rapidement et de plus en plus volatil ». Elle rappelle notamment avoir abaissé ses notes sur une série d’autres actifs financiers liés aux prêts hypothécaires (residential mortgage-backed securities, RMBS) et lancé à plusieurs reprises des avertissements sur la détérioration du marché immobilier. « Ces mesures fortes se sont avérées insuffisantes, mais elles montrent que le DoJ aurait tort d’affirmer que les notes de S&P étaient motivées par des considérations commerciales et pas octroyées de bonne foi », indique-t-elle.  S&P dit avoir tiré les leçons de la crise en investissant 400 millions de dollars depuis 2007 pour renforcer ses systèmes d’évaluation. Mais elle rappelle aussi qu’elle n’est pas la seule à n’avoir pas évalué correctement l’ampleur de la crise.  Elle remarque ainsi qu’elle a « examiné les mêmes données sur les emprunts obligataires à risque que le reste du marché, y compris des responsables du gouvernement américain qui ont dit publiquement en 2007 que les problèmes sur le marché du subprime semblaient maîtrisés ».   »De manière regrettable, l’ampleur, la profondeur et les effets de ce qui s’est passé ont été plus importants que ce que nous, comme tous les autres, avions prévu », dit-elle encore.

Sondage : 56% contre le droit de vote des étrangers

Sondage : 56% contre le droit de vote des étrangers

Pour masquer les questions économiques, Ayrault a soulevé à nouveau la question du vote des étrangers. Histoire d’occuper le terrain médiatique car il ne pourra pas obtenir les 3/5 è nécessaires du parlement. Par ailleurs il se méfie à juste titre du referendum. Cela pourrait avoir le mérite de mobiliser les médias pendant quelques semaines et de jeter un voile pudique sur les questions fondamentales de la croissance, du chômage ou du pouvoir d’achat. Le Premier ministre a décidé de consulter les groupes parlementaires pour mesurer si le gouvernement est en mesure de réunir une majorité des 3/5e des députés et sénateurs nécessaire pour modifier la Constitution. L’ouverture du droit de vote des étrangers suppose, en effet, une réécriture de la loi fondamentale. La proportion de Français opposés au droit de vote est, toutefois, en baisse par rapport à la dernière enquête. Ils étaient 61% en septembre 2012 contre 56% aujourd’hui. Chauffée à blanc pendant la campagne électorale, l’opinion semble moins mobilisée contre cette vieille promesse de la gauche. Le sujet demeure profondément clivant dans la société française. Un clivage à la fois générationnel (56% des jeunes sont pour et seulement 36% des retraités), socioprofessionnel (59% des ouvriers sont contre alors 59% des professions libérales sont favorables) et, bien sûr, politique (78% des sympathisants UMP sont contre tandis que 72% des supports d’Hollande sont pour). « Le droit de vote cliva encore plus que le mariage pour tous, relève Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Cette question demeure très épidermique. Elle le symbole de la crispation identitaire française depuis plusieurs années. »  A la lumière de ce sondage, la clé de cette question est dans les mains des sympathisants de la droite modérée. Leur opposition au droit de vote a baissé de 11 points en quatre mois. De quoi laisser un petit espoir au Premier ministre qui va tenter dans les prochaines d’arracher la trentaine de voix de parlementaires qu’il lui manque pour espérer une approbation de son projet.

 

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Mobilisation contre les plans sociaux

Mobilisation contre les plans sociaux

Alors que le gouvernement a fait de la lutte contre le chômage sa priorité, des centaines de salariés –qui pourraient venir grossir dans les prochains mois les rangs des 4,6 millions de personnes qui pointent à Pôle Emploi en métropole–, étaient dans la rue.  Point d’orgue de la journée de mobilisation, plus de 650 salariés de 3suisses, PSA, Pilpa, GoodYear, Sanofi, ou Crédit Agricole ont convergé vers le ministère du Travail à Paris, avec un même mot d’ordre: obtenir une loi contre les licenciements boursiers.  Le but de ces salariés est aussi de créer un rapport de force qui, « pour l’instant, n’est pas suffisant pour contraindre Hollande et son gouvernement à tenir ses promesses », a estimé Me Fiodor Rilov, qui défend une partie des salariés rassemblés mardi et qui vient d’obtenir une victoire avec la suspension temporaire du projet de restructuration chez PSA.  La mobilisation a été aussi l’occasion pour des membres de l’opposition de gauche, comme Pierre Laurent (PCF) et Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche), de fustiger la destruction d’emplois et la mauvaise gestion des entreprises. Les parlementaires du Front de gauche déposeront d’ailleurs dans une dizaine de jours une proposition de loi « interdisant non seulement les licenciements boursiers mais aussi ceux fondés sur des motifs économiques qui n’en sont pas ».  Des salariés de PSA Peugeot Citroën avaient donné le ton dès la matinée avec la poursuite de la grève dans l’usine d’Aulnay-sous-Bois, condamnée à la fermeture, puis un rassemblement devant le siège parisien du groupe où se négociait âprement les modalités des 8.000 départs envisagés d’ici 2014.  Chez Renault, feux de palettes et débrayages ont marqué la journée. Près de 1.800 salariés se sont mobilisés dans la matinée pour peser dans les négociations syndicats-direction sur un projet d’accord de compétitivité.  Dans le secteur bancaire, où des milliers de postes ont été supprimés ces derniers mois, ce sont les salariés de la Banque de France qui ont donné de la voix à Paris. Une grève nationale a également été observée contre le projet de l’institution de supprimer 2.500 postes nets d’ici à 2020 (5.000 départs en retraite non renouvelés, et 2.500 embauches).

 

 

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Immobilier: une garantie contre les loyers impayés

Immobilier: une garantie contre les loyers impayés

Une assurance contre les loyers impayés ; assurance  privée, publique, obligatoire, facultative ? En tout cas c’est un projet sérieux. Pour encourager les propriétaires à louer leurs biens vacants, le ministère du Logement prépare la création d’une « garantie universelle des revenus locatifs », un système d’assurance contre le risque de loyers impayés qui pourrait être obligatoire, selon le Journal du dimanche.  D’après le JDD, l’idée a déjà reçu le soutien de Matignon et de l’Elysée et une telle mesure pourrait être incluse dans la nouvelle loi sur le logement que la ministre du Logement, Cécile Duflot, doit présenter en juin.  Selon l’hebdomadaire, plusieurs pistes sont encore à l’étude mais le but serait qu’une telle garantie (déjà proposée par certains assureurs) couvre un maximum de bailleurs, et qu’elle soit payée par ces derniers, et non par les locataires.  Une première option consisterait à l’imposer à « tous les propriétaires » sous la forme d’une assurance obligatoire, mais cela pourrait poser des problèmes juridiques.  Une deuxième solution serait d’instaurer un prélèvement de 2% sur les loyers (ce qui correspond au taux global d’impayés), qui alimenterait un fonds national d’assurance.  Enfin la dernière option serait d’obliger tous les assureurs à proposer une telle garantie, et d’inciter ensuite les propriétaires à en souscrire une, en les frappant dans le cas contraire d’une taxe d’un montant dissuasif.

 

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Royaume uni : un referendum contre l’Europe

Royaume uni : un referendum contre l’Europe

En dépit des précautions de langage, c’est bien un referendum contre l’Europe que Cameron va organiser.; le chef de file conservateur va assurer qu’il préférerait que son pays demeure au sein de l’édifice européen, mais à deux conditions : que l’UE se réforme, et qu’elle accepte une renégociation de ses liens avec la Grande-Bretagne. Deux conditions irréalistes, l’Europe est malheureusement impossible à reformer, par ailleurs l’UE n’acceptera pas un traitemenet particulier de la Grande bertagne qui ferait t  éclater l’Europe. Le Premier ministre résume ainsi son calendrier et sa vision. Il souhaite inscrire la nécessité « d’un nouvel arrangement » avec Bruxelles dans le manifeste électoral des conservateurs pour les législatives de 2015. En cas de victoire lui permettant d’exercer un deuxième mandat, il organiserait un référendum dans le courant de la première moitié de la prochaine législature (2015-2019).  « Si nous ne répondons pas aux défis, le danger est que l’Europe échoue et que les Britanniques se dirigent vers la sortie », fait-il valoir. « Je ne souhaite pas que cela arrive, je veux que l’Europe soit un succès » poursuit-il en soulignant « le désenchantement actuel de l’opinion publique, à son comble » pour plusieurs raisons. « Les gens estiment que l’UE s’oriente dans une direction qu’ils n’ont jamais voulue. Ils vivent mal les interférences dans notre vie nationale, au travers de lois et règlements qu’ils considèrent superfétatoires. Et ils se demandent à quoi tout cela rime ». « Une fois les nouvelles relations (entre le Royaume-Uni et l’UE) renégociées, nous consulterons les Britanniques par référendum en leur proposant un choix très simple, pour ou contre le maintien dans l’UE, sur la base du nouvel arrangement », va préconiser le chef du gouvernement. Les eurosceptiques particulièrement influents au sein du parti conservateur réclamaient à cor et à cri une telle consultation face « au déficit démocratique bruxellois ». David Cameron va indiquer mercredi « qu’il comprend leur impatience » en insistant cependant sur la nécessité de donner une chance à une Europe remodelée. Les extraits du discours diffusés dans la nuit de mardi à mercredi ne précisent pas les termes du nouveau contrat que Cameron entend obtenir. Dans le passé cependant, le Premier ministre a clairement mis en avant les avantages économiques du marché commun, en dépit de la crise dans la zone euro, et a critiqué les dérives politiques en matière de supranationalité. Il s’est prononcé ainsi pour le rapatriement à Londres de prérogatives dévolues à Bruxelles, notamment dans le domaine de l’emploi, des réglementations sociales, de la police et de la justice. Il a aussi envisagé de nouvelles exemptions s’ajoutant à celles obtenues dans le passé par Londres, qui a notamment refusé d’adopter la monnaie unique. En optant pour un référendum, David Cameron a fait la sourde oreille à tous ceux qui -dans son pays et à l’étranger – le mettaient en garde contre une dérive centrifuge : ses partenaires au sein de l’UE réticents ou hostiles à la perspective d’ »une Europe à la carte »; le président Barack Obama favorable au maintien du Royaume-Uni dans l’UE; ses alliés libéraux démocrates au sein du gouvernement britannique de coalition, résolument europhiles. Le chef du parti travailliste d’opposition Ed Miliband a pour sa part déclaré dès mardi soir que « dans son discours, David Cameron se présentera comme un Premier ministre faible, à la remorque de son parti et non pas guidé par l’intérêt économique national ».

 

Renault: accord compétitivité contre maintien des sites

Renault: accord compétitivité contre maintien des sites

Depuis début novembre, la direction s’est engagée dans un processus de discussions « donnant-donnant »: elle subordonne l’attribution de productions de véhicules venant de partenaires de Renault (Nissan, Daimler) aux efforts demandés aux 44.642 salariés Renault en France.  La signature d’un accord, voulue courant février par la direction, « permettra à nos sites français d’être suffisamment compétitifs pour attirer des volumes venant de nos partenaires, à hauteur de 80.000 véhicules supplémentaires par an », assure Gérard Leclercq, directeur des opérations France. A titre indicatif, l’usine de Flins (Yvelines) a produit en 2011 147.971 Clio III, l’usine de Douai (Nord) 166.292 Scénic III.  L’Etat, actionnaire à 15,01%, pousse l’allié nippon Nissan à soutenir le constructeur en lui confiant des modèles à produire dans ses usines de l’Hexagone. M. Montebourg avait ainsi assuré vendredi avoir obtenu du PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, qu’il accède à cette demande, ce que n’a pas confirmé la direction.   »Le volume (de 80.000 véhicules) n’est pas suffisant, mais c’est déjà une avancée. Si la direction avait mis dès le début ces chiffres sur la table, on aurait gagné un peu de temps », a commenté Dominique Chauvin, délégué CFE-CGC.  Maintenant que la direction a déroulé toutes ses propositions, « le bras de fer va désormais commencer », estiment les syndicats qui exigent un « rééquilibrage » entre les contreparties exigées des salariés et celles proposées par la direction.  Avec le gel des salaires en 2013, « on baisse le pouvoir d’achat des salariés, c’est une mesure qu’on ne peut accepter », selon Laurent Smolnik (FO).   »Cela fait des années que des efforts sont demandés aux salariés. Quand on voit le salaire de notre PDG, c’est inadmissible », a fustigé Xavier Raynaud (CGT) qui dénonce des propositions où « tout est au conditionnel ».  La semaine dernière, quelques jours avant d’annoncer une baisse de 6,3% de ses ventes mondiales en 2012, Renault avait affiché son intention de supprimer 8.260 postes d’ici fin 2016.  La direction prévoit aussi de rendre obligatoires des mobilités entre les sites, une harmonisation à 1.603 heures de travail annuelles sur tous les sites, une réforme des comptes épargne temps et formation.   »C’est intolérable, cela va entraîner des conditions de travail déplorables pour ceux qui restent et une perte de savoir-faire », estime M. Raynaud.   »Nous voulons que soient inscrits dans l’accord les affectations de produits, les volumes escomptés, et que M. Ghosn s’engage sur les volumes des partenaires », ajoute M. Chauvin.   »On ne peut pas se contenter que du seul volet accompagnement des départs, on se doit de regarder en priorité les conditions de travail pour ceux qui vont rester, et la filière en général », dit M. Chauvin selon qui « les marges de manoeuvre sont toutefois limitées ».  Les syndicats seront par ailleurs très vigilants à la durée de l’accord, déterminée ou indéterminée.  Avant la prochaine réunion, le 29 janvier, des débrayages sont prévus mercredi à Flins, Rueil-Lardy (Essonne) et Douai.

 

 

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