Archive pour le Tag 'continuité'

Présidentielle-Programme électoral Macron : la continuité sans le changement …et sans financement

Présidentielle-Programme électoral Macron :   la continuité sans le  changement …et sans financement 

 

 

Finie sans doute la disruption pour Macron qui revient aux bonnes vieilles recettes des élections passées avec un très long catalogue de mesures qui ressemblent un peu au catalogue de La Redoute. Certaines paraissent de bon sens, d’autres contradictoires, d’autres théoriques et elles ont toutes en commun de n’avoir pas le financement nécessaire.

 

Le programme de Macron c’est une sorte de synthèse des idées avancées,à gauche, à droite voire aux extrêmes qui additionne le tout et accommode l’ensemble à la sauce macronienne du « en même temps ».

D’une façon générale , il manque surtout un souffle et une vision d’avenir. Surtout en cette période de bouleversements de l’environnement géostratégique et d’éventuelles menaces d’une troisième guerre mondiale. Une perspective qui est ajoutée à celle des préoccupations environnementales devrait inciter à un vaste plan de relocalisation industrielle et agricole afin de réduire la dépendance française dont il faut rappeler le triste résultat de la balance commerciale.Une perspective qui devrait aussi remettre en débat le rôle et les moyens de l’armée (Macron prévoit simplement quelques réservistes plus en plus; face aux chars russes par exemple cela risque d’être un peu insuffisant !).

Notamment n’ont pas été abordées dans ce catalogue d’une part la question de la dette, d’autre part et la compétitivité économique.

En outre et surtout ce plan n’est pas financé. D’après des calculs de coin de table, il coûterait d’après le candidat de l’ordre de 50 milliards par an dont l’essentiel doit être financé par la croissance. Justement quelle croissance avec une si faible compétitivité ?

Le président candidat a pris la précaution de ne pas indiquer de scénario de croissance.

« Le président sortant veut financer ce programme grâce à la croissance, qui permettra selon lui de dégager 15 milliards d’euros par an, la réforme des retraites et la réforme de l’assurance-chômage, auxquelles Emmanuel Macron veut ajouter 15 milliards d’euros d’économies sur les coûts de fonctionnement des collectivités locales. »

Le problème c’est que la réforme des retraites ne permettra de réelles économies qu’à très long terme. A court et moyen terme ,il y aura  en effet des transferts de dépenses sociales d’une part sur la sécurité sociale, d’autre part sur le régime d’assurance chômage. Quant à la réduction des coûts de fonctionnement des collectivités locales, le président hypothèque des responsabilités qui ne sont pas les siennes. Notons que dans le même temps , Macron fait pratiquement l’impasse sur la réforme de l’État et ses dépenses.

Bref, un programme à la française qui arrose un peu tous les sujets mais sans réelles priorités adaptées aux enjeux stratégiques et surtout sans le financement.

Politique- Programme Macron: la continuité sans le changement …et sans financement

Politique- Programme Macron: la continuité sans le  changement …et sans financement 

 

 

Finie sans doute la disruption pour Macron qui revient aux bonnes vieilles recettes des élections passées avec un très long catalogue de mesures qui ressemblent un peu au catalogue de La Redoute. Certaines paraissent de bon sens, d’autres contradictoires, d’autres théoriques et elles ont toutes en commun de n’avoir pas le financement nécessaire.

 

Le programme de Macron c’est une sorte de synthèse des idées avancées,à gauche, à droite voire aux extrêmes qui additionne le tout et accommode l’ensemble à la sauce macronienne du « en même temps ».

D’une façon générale , il manque surtout un souffle et une vision d’avenir. Surtout en cette période de bouleversements de l’environnement géostratégique et d’éventuelles menaces d’une troisième guerre mondiale. Une perspective qui est ajoutée à celle des préoccupations environnementales devrait inciter à un vaste plan de relocalisation industrielle et agricole afin de réduire la dépendance française dont il faut rappeler le triste résultat de la balance commerciale.Une perspective qui devrait aussi remettre en débat le rôle et les moyens de l’armée (Macron prévoit simplement quelques réservistes plus en plus; face aux chars russes par exemple cela risque d’être un peu insuffisant !).

Notamment n’ont pas été abordées dans ce catalogue d’une part la question de la dette, d’autre part et la compétitivité économique.

En outre et surtout ce plan n’est pas financé. D’après des calculs de coin de table, il coûterait d’après le candidat de l’ordre de 50 milliards par an dont l’essentiel doit être financé par la croissance. Justement quelle croissance avec une si faible compétitivité ?

Le président candidat a pris la précaution de ne pas indiquer de scénario de croissance.

« Le président sortant veut financer ce programme grâce à la croissance, qui permettra selon lui de dégager 15 milliards d’euros par an, la réforme des retraites et la réforme de l’assurance-chômage, auxquelles Emmanuel Macron veut ajouter 15 milliards d’euros d’économies sur les coûts de fonctionnement des collectivités locales. »

Le problème c’est que la réforme des retraites ne permettra de réelles économies qu’à très long terme. A court et moyen terme ,il y aura  en effet des transferts de dépenses sociales d’une part sur la sécurité sociale, d’autre part sur le régime d’assurance chômage. Quant à la réduction des coûts de fonctionnement des collectivités locales, le président hypothèque des responsabilités qui ne sont pas les siennes. Notons que dans le même temps , Macron fait pratiquement l’impasse sur la réforme de l’État et ses dépenses.

Bref, un programme à la française qui arrose un peu tous les sujets mais sans réelles priorités adaptées aux enjeux stratégiques et surtout sans le financement.

Présidentielle Programme Macron: la continuité sans le changement …et sans financement

Présidentielle Programme Macron: la continuité sans le  changement …et sans financement 

 

 

Finie sans doute la disruption pour Macron qui revient aux bonnes vieilles recettes des élections passées avec un très long catalogue de mesures qui ressemblent un peu au catalogue de La Redoute. Certaines paraissent de bon sens, d’autres contradictoires, d’autres théoriques et elles ont toutes en commun de n’avoir pas le financement nécessaire.

 

Le programme de Macron c’est une sorte de synthèse des idées avancées,à gauche, à droite voire aux extrêmes qui additionne le tout et accommode l’ensemble à la sauce macronienne du « en même temps ».

D’une façon générale , il manque surtout un souffle et une vision d’avenir. Surtout en cette période de bouleversements de l’environnement géostratégique et d’éventuelles menaces d’une troisième guerre mondiale. Une perspective qui est ajoutée à celle des préoccupations environnementales devrait inciter à un vaste plan de relocalisation industrielle et agricole afin de réduire la dépendance française dont il faut rappeler le triste résultat de la balance commerciale.Une perspective qui devrait aussi remettre en débat le rôle et les moyens de l’armée (Macron prévoit simplement quelques réservistes plus en plus; face aux chars russes par exemple cela risque d’être un peu insuffisant !).

Notamment n’ont pas été abordées dans ce catalogue d’une part la question de la dette, d’autre part et la compétitivité économique.

En outre et surtout ce plan n’est pas financé. D’après des calculs de coin de table, il coûterait d’après le candidat de l’ordre de 50 milliards par an dont l’essentiel doit être financé par la croissance. Justement quelle croissance avec une si faible compétitivité ?

Le président candidat a pris la précaution de ne pas indiquer de scénario de croissance.

« Le président sortant veut financer ce programme grâce à la croissance, qui permettra selon lui de dégager 15 milliards d’euros par an, la réforme des retraites et la réforme de l’assurance-chômage, auxquelles Emmanuel Macron veut ajouter 15 milliards d’euros d’économies sur les coûts de fonctionnement des collectivités locales. »

Le problème c’est que la réforme des retraites ne permettra de réelles économies qu’à très long terme. A court et moyen terme ,il y aura  en effet des transferts de dépenses sociales d’une part sur la sécurité sociale, d’autre part sur le régime d’assurance chômage. Quant à la réduction des coûts de fonctionnement des collectivités locales, le président hypothèque des responsabilités qui ne sont pas les siennes. Notons que dans le même temps , Macron fait pratiquement l’impasse sur la réforme de l’État et ses dépenses.

Bref, un programme à la française qui arrose un peu tous les sujets mais sans réelles priorités adaptées aux enjeux stratégiques et surtout sans le financement.

Programme Macron: la continuité sans le changement …et sans financement

Programme Macron: la continuité sans le  changement …et sans financement 

 

 

Finie sans doute la disruption pour Macron qui revient aux bonnes vieilles recettes des élections passées avec un très long catalogue de mesures qui ressemblent un peu au catalogue de La Redoute. Certaines paraissent de bon sens, d’autres contradictoires, d’autres théoriques et elles ont toutes en commun de n’avoir pas le financement nécessaire.

 

Le programme de Macron c’est une sorte de synthèse des idées avancées,à gauche, à droite voire aux extrêmes qui additionne le tout et accommode l’ensemble à la sauce macronienne du « en même temps ».

D’une façon générale , il manque surtout un souffle et une vision d’avenir. Surtout en cette période de bouleversements de l’environnement géostratégique et d’éventuelles menaces d’une troisième guerre mondiale. Une perspective qui est ajoutée à celle des préoccupations environnementales devrait inciter à un vaste plan de relocalisation industrielle et agricole afin de réduire la dépendance française dont il faut rappeler le triste résultat de la balance commerciale.Une perspective qui devrait aussi remettre en débat le rôle et les moyens de l’armée (Macron prévoit simplement quelques réservistes plus en plus; face aux chars russes par exemple cela risque d’être un peu insuffisant !).

Notamment n’ont pas été abordées dans ce catalogue d’une part la question de la dette, d’autre part et la compétitivité économique.

En outre et surtout ce plan n’est pas financé. D’après des calculs de coin de table, il coûterait d’après le candidat de l’ordre de 50 milliards par an dont l’essentiel doit être financé par la croissance. Justement quelle croissance avec une si faible compétitivité ?

Le président candidat a pris la précaution de ne pas indiquer de scénario de croissance.

« Le président sortant veut financer ce programme grâce à la croissance, qui permettra selon lui de dégager 15 milliards d’euros par an, la réforme des retraites et la réforme de l’assurance-chômage, auxquelles Emmanuel Macron veut ajouter 15 milliards d’euros d’économies sur les coûts de fonctionnement des collectivités locales. »

Le problème c’est que la réforme des retraites ne permettra de réelles économies qu’à très long terme. A court et moyen terme ,il y aura  en effet des transferts de dépenses sociales d’une part sur la sécurité sociale, d’autre part sur le régime d’assurance chômage. Quant à la réduction des coûts de fonctionnement des collectivités locales, le président hypothèque des responsabilités qui ne sont pas les siennes. Notons que dans le même temps , Macron fait pratiquement l’impasse sur la réforme de l’État et ses dépenses.

Bref, un programme à la française qui arrose un peu tous les sujets mais sans réelles priorités adaptées aux enjeux stratégiques et surtout sans le financement.

Politique: Macron candidat , la continuité molle

Macron candidat : la continuité molle

 

Dans un papier de l‘Opinion , on observe que Macron a largement abandonné ses habits de transformateur pour proposer à la place une sorte de continuité molle qui évacue les préoccupations et les enjeux .

 

Un quinquennat de crises et une guerre en Ukraine sont passés par là. Emmanuel Macron candidat à sa réélection est l’inverse, même s’il s’en défend, de celui qui déboulait dans le jeu politique de 2016. Rassurant, « protecteur », « lucide », quand le premier était « disruptif », « transformateur » et accumulait les hyperboles pour donner corps à la « Révolution » promise dans son livre de campagne. La révolution, sociale, sanitaire, et maintenant guerrière, les Français ne l’ont que trop connue pour l’attendre du champ politique, anticipe-t-il désormais. Ils veulent de la stabilité. Il propose d’en être le garant.

On retrouve bien ses fondamentaux dans la « lettre aux Français » qu’il publie ce jeudi soir . L’Europe, la valorisation du travail, l’émancipation par l’école, la confiance en l’avenir. A l’épreuve du pouvoir, d’autres ambitions se sont ajoutées : la souveraineté, le grand âge et la santé, les investissements d’avenir, dans la recherche en particulier. Leur addition doit constituer une « réponse singulière » face aux « dérèglements du monde ».

A ce stade pas de mesures précises pour nourrir sa promesse, mais on sent bien que là ne sera pas l’enjeu. Travailler plus longtemps, la réforme des retraites se lit entre les lignes. Baisser les impôts de production aussi. Sur le reste, l’éducation et la santé notamment, l’approche semble être davantage celle du réparateur que du modernisateur. Aux mots -absents – d’économies, de dette, de compétitivité, il préfère ceux de « valeurs », « culture », « méritocratie républicaine ». Le quoiqu’il en coûte lui aussi est passé par là.

En entrant tard en campagne, Emmanuel Macron a pu s’ajuster à l’offre. Sur le terrain de la réforme, Valérie Pécresse est trop faible pour qu’il soit contesté, calcule-t-il. Il semble faire le pari qu’il affrontera plutôt Marine Le Pen ou Eric Zemmour au second tour de la présidentielle : autres troubles à venir, anticipe-t-il, qui justifient qu’il mette l’accent sur la loi, l’« humain » et la défense du modèle social.

Dans le climat anxiogène du moment, le président sortant joue sur le réflexe légitimiste des électeurs. Il protège plus qu’il ne prend des risques parce que politiquement il n’en a pas besoin. Sa nature, en revanche, risque, elle, d’être bousculée. Ses proches ont suffisamment vanté son « ADN audacieux » pour qu’on ait longtemps cru qu’il voudrait laisser dans l’histoire la trace de la réforme profonde, un peu comme Gerhard Schröder en Allemagne. Les circonstances ont transformé sa conception du président. Réconcilier, unir, conforter face aux crises, c’est celle qu’il propose.

Macron candidat : la continuité molle

Macron candidat : la continuité molle

 

Dans un papier de l‘Opinion , on observe que Macron a largement abandonné ses habits de transformateur pour proposer à la place une sorte de continuité molle qui évacue les préoccupations et les enjeux .

 

Un quinquennat de crises et une guerre en Ukraine sont passés par là. Emmanuel Macron candidat à sa réélection est l’inverse, même s’il s’en défend, de celui qui déboulait dans le jeu politique de 2016. Rassurant, « protecteur », « lucide », quand le premier était « disruptif », « transformateur » et accumulait les hyperboles pour donner corps à la « Révolution » promise dans son livre de campagne. La révolution, sociale, sanitaire, et maintenant guerrière, les Français ne l’ont que trop connue pour l’attendre du champ politique, anticipe-t-il désormais. Ils veulent de la stabilité. Il propose d’en être le garant.

On retrouve bien ses fondamentaux dans la « lettre aux Français » qu’il publie ce jeudi soir . L’Europe, la valorisation du travail, l’émancipation par l’école, la confiance en l’avenir. A l’épreuve du pouvoir, d’autres ambitions se sont ajoutées : la souveraineté, le grand âge et la santé, les investissements d’avenir, dans la recherche en particulier. Leur addition doit constituer une « réponse singulière » face aux « dérèglements du monde ».

A ce stade pas de mesures précises pour nourrir sa promesse, mais on sent bien que là ne sera pas l’enjeu. Travailler plus longtemps, la réforme des retraites se lit entre les lignes. Baisser les impôts de production aussi. Sur le reste, l’éducation et la santé notamment, l’approche semble être davantage celle du réparateur que du modernisateur. Aux mots -absents – d’économies, de dette, de compétitivité, il préfère ceux de « valeurs », « culture », « méritocratie républicaine ». Le quoiqu’il en coûte lui aussi est passé par là.

En entrant tard en campagne, Emmanuel Macron a pu s’ajuster à l’offre. Sur le terrain de la réforme, Valérie Pécresse est trop faible pour qu’il soit contesté, calcule-t-il. Il semble faire le pari qu’il affrontera plutôt Marine Le Pen ou Eric Zemmour au second tour de la présidentielle : autres troubles à venir, anticipe-t-il, qui justifient qu’il mette l’accent sur la loi, l’« humain » et la défense du modèle social.

Dans le climat anxiogène du moment, le président sortant joue sur le réflexe légitimiste des électeurs. Il protège plus qu’il ne prend des risques parce que politiquement il n’en a pas besoin. Sa nature, en revanche, risque, elle, d’être bousculée. Ses proches ont suffisamment vanté son « ADN audacieux » pour qu’on ait longtemps cru qu’il voudrait laisser dans l’histoire la trace de la réforme profonde, un peu comme Gerhard Schröder en Allemagne. Les circonstances ont transformé sa conception du président. Réconcilier, unir, conforter face aux crises, c’est celle qu’il propose.

Politique : l’Italie choisit la continuité avec Draghi et Mattarella

Politique : l’Italie choisit la continuité avec Draghi et  Mattarella

 

Une fois n’est pas coutume l’Italie abandonne son instabilité politique  Cette fois, le pays choisi de renouveler le mandat du président de la république Mattarella (80 ans) et celui du premier ministre Draghi pourtant lui aussi très contesté lors de sa nomination mais qui fait la preuve  de l’efficacité de sa gestion .

Pour une fois,  l’Italie aurapresque la preuve d’une certaine exemplarité en matière de stabilité politique alors qu’en Allemagne la coalition entre les sociaux-démocrates, les libéraux et les écolos à surtout produit jusqu’alors  beaucoup de confusions ( en matière d’énergie par exemple ou de relations avec la Russie). Même instabilité aussi en France où le président est menacé par l’extrême droite notamment.

 

Pour une fois, l’Italie n’est pas à la traîne de l’Europe. Mieux: ce fort rebond de 2021 après l’effondrement du PIB de 8,9 % en 2020, a été tiré par l’investissement et des exportations records en 2021. Ces dernières ont été gonflées par la hausse des prix du pétrole, l’Italie étant un gros exportateur. De ce point de vue l’Italie est beaucoup plus performant que la France qui elle vient d’accuser un record de déficit des échanges extérieurs de l’ordre de 90 milliards pour l’année. En cause notamment le faite que l’Italie a su conserver un tissu industriel performant alors que la France a délocalisé une grande partie de sa production.

Fed : la continuité monétaire avec le renouvellement de Jérôme Powel

Fed : la continuité monétaire avec le renouvellement de Jérôme Powel

 

Le renouvellement de Jérôme powel envisagée par le président américain à la tête de la Fed ne provoquera pas de remous significatifs dans les milieux financiers. C’est en effet un gage de continuité même si vraisemblablement la politique accommodante doit d’abord se réduire avec d’abord un moindre rachat d’actifs st sans doute courant 2022 à un relèvement progressif des taux d’intérêt.

Une politique moins accommodante mais qu’il faut mettre en face du phénomène inflationniste qui menace et est en passe d’être pris en compte par les marchés. Pour l’instant les taux d’intérêt voisin de zéro tiennent encore. Et la Fed donne le ton à toutes les banques centrales. Une attitude qui devrait rassurer face à la nouvelle menace du covidqui pourrait bien plomber la croissance en 2022.

Sur les marchés financiers, le dollar et les rendements obligataires américains ont progressé après l’annonce de la désignation de Jerome Powell pour un nouveau mandat.

L’indice dollar, mesurant l’évolution du billet vert face à un panier de devises de référence, progressait de 0,39% à 14h30 GMT, au plus haut depuis juillet 2020.

Le rendement des emprunts d’Etat américains à deux ans gagnait plus de six points de base, à 0,5659%, à son plus haut niveau depuis mars 2020.

A Wall Street, les principaux indices actions ont ouvert en hausse de 0,3% à 0,5%.

« La nomination par Biden de Powell pour un second mandat à la présidence de la Fed est une nouvelle qui favorise les acteurs du marché car ils aiment l’idée de continuité », commente Naeem Aslam, responsable de l’analyse marchés chez Avatrade.




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