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Ayrault : pendant les vacances de Hollande la Com. continue

Ayrault : pendant les vacances de Hollande la Com. continue

 

Le mot d’ordre est clair occuper les médias tous les jours. Facile, aucun événement majeur pendant cette période, peu d’infos, ‘, il faut donc fournir de la copie aux médias dont les journalistes sont eux aussi en vacances. Ce que fera Ayrault après Hollande en allant se promener en France et en multipliant les rencontres.  Dans son agenda, qui couvre les journées de lundi, mardi et mercredi, Matignon souligne que le Premier ministre va alterner déplacements, rencontres et réunions de travail à Matignon pour « un moment de réflexion collective et concrète sur la France de 2025″. Il anticipe ainsi sur le thème du séminaire de travail convié le 19 août autour de François Hollande à l’Elysée.   »Le Premier ministre a choisi de dialoguer avec quelques-uns de celles et ceux qui, dans leur diversité, d’une manière ou d’une autre, feront la France de 2025″, affirme Matignon dans un communiqué.  Il recevra lundi matin « une dizaine d’enfants et adolescents » dont la « liberté de ton est utile à l’imagination requise pour se projeter dans l’avenir », est-il souligné. Leur conversation donnera lieu à publication sous forme d?’Interview en fin de semaine dans deux titres spécialisés (Mon Quotidien, le quotidien des 10-14 ans, et L’Actu, le quotidien des 14-18 ans).  Comme déjà annoncé, Jean-Marc Ayrault et son épouse Brigitte convieront ensuite dans les jardins de Matignon 300 enfants privés de vacances. Au programme: pique-nique et jeux. « Chaque enfant pourra s’il le souhaite rédiger son idée ou son vœu pour la France de 2025″, précise le communiqué.  Mardi à 5h00 du matin, le chef du gouvernement se rendra dans les Yvelines sur le chantier du futur tramway T6 Châtillon-Viroflay, une visite sur le thème de « la prévention et de la prise en compte de la pénibilité au travail », à quelques semaines des derniers arbitrages du gouvernement sur la réforme des retraites (présentée en Conseil des ministres le 18 septembre). Accompagné des ministres Marisol Touraine (Affaires sociales) et Michel Sapin (Travail), Jean-Marc Ayrault rencontrera des ouvriers travaillant de nuit au percement d’un tunnel à Vélizy-Villacoublay.  Enfin, comme la réflexion sur la France de 2025 « dans la mondialisation » doit aussi être menée avec les intellectuels, fait-on valoir, Jean-Marc Ayrault recevra mercredi de 09h00 à 12h00 l’historien et philosophe Marcel Gauchet.  Tout au long de ces trois jours, le Premier ministre aura des échanges avec ses interlocuteurs, enfants ou adultes, « sur la base des contributions reçues des ministres sur la France de 2025″, précise encore Matignon.

 

 

Le printemps turc continue

Le printemps turc continue

 

 

La lutte pour la démocratie ne faiblit pas en Turquie. Toujours aussi déterminés, des milliers de manifestants ont occupé la place Taksim d’Istanbul et le désormais fameux parc Gezi, dont la destruction annoncée a déclenché la plus grave crise politique depuis l’arrivée au pouvoir du gouvernement islamo-conservateur en Turquie en 2002.  De nombreux supporteurs des trois grands clubs rivaux de football de la ville, Galatasaray, Besiktas et Fenerbahçe, sont venus grossir les rangs de la foule, sans que la police n’intervienne.  En revanche à Ankara, la police anti-émeutes, présente en nombre, a violemment dispersé environ 5.000 manifestants réunis sur la place de Kizilay, dans le centre-ville, faisant abondamment usage de gaz lacrymogène.   »Le Premier ministre essaie tous les jours de diviser la population », a déclaré à l’AFP Eroy Dilek, un étudiant en génie mécanique de 21 ans qui manifeste place Taksim. « Nous reviendrons ici tous les jours jusqu’à ce qu’il démissionne ».  Les protestataires reprochent au Premier ministre, leur principale cible, son exercice autoritaire du pouvoir et l’accusent de vouloir islamiser la société turque.  Critiqué dans son pays comme à l’étranger pour la brutalité avec laquelle la police a réprimé la fronde, le gouvernement turc a joué samedi la carte de l’apaisement.   »Le processus (des manifestations) est sous le contrôle du gouvernement, il se normalise et devient de plus en plus raisonnable », a jugé devant la presse le vice-Premier ministre Huseyin Celik. « Nous sommes prêts à répondre à toutes les exigences raisonnables, démocratiques et qui respectent la loi ».  La veille, M. Erdogan lui-même avait adouci le ton très ferme adopté depuis le début de la crise contre les contestataires, souvent qualifiés de « vandales » ou d’ »extrémistes ».   »Nous sommes contre la violence, le vandalisme et les actions qui menacent les autres au nom des libertés », a-t-il déclaré lors d’un forum international à Istanbul, mais « nous accueillons de tout coeur ceux qui viennent avec des exigences démocratiques ».  Lors de la même conférence, le commissaire européen à l’Élargissement, Stefan Füle, a une nouvelle fois dénoncé « le recours excessif à la force » qui « n’a pas sa place dans une démocratie » et appelé M. Erdogan au dialogue.  Piqué au vif, le Premier ministre turc a vivement réagi en dénonçant le « deux poids, deux mesures » des pays occidentaux envers son pays.   »Dans n’importe quel pays d’Europe, lorsqu’il y a une protestation violente contre un projet de démolition de ce genre, croyez-moi, ceux qui sont impliqués subissent une répression plus sévère », a-t-il lancé en citant la Grèce, la France ou l’Allemagne.  Selon le dernier bilan rendu public par le syndicat des médecins turcs, la contestation a causé la mort de deux manifestants et d’un policier et fait 4.785 blessés.  Dans un geste de conciliation envers les manifestants, le maire d’Istanbul, Kadir Topbas, s’est dit prêt samedi à amender le projet urbain à l’origine de la contestation, y excluant « un « centre commercial ou un hôtel ».  Mais il a maintenu la reconstruction à la place du parc d’une caserne ottomane, rappelant que c’était une « promesse électorale ».  Le Premier ministre a lui profité de son samedi pour multiplier les consultations à Istanbul, d’abord avec les instances dirigeantes de son Parti de la justice et du développement (AKP) puis avec le président du Parlement Cemil Ciçek.  Lors de sa réunion, l’AKP a décidé d’organiser dès le week-end prochain deux réunions publiques, le samedi à Ankara et le dimanche à Istanbul, ont rapporté les médias turcs. Il s’agit officiellement de lancer la campagne du parti pour les élections locales de 2014, mais aussi de faire le pendant aux manifestations.  Parfois qualifié de « sultan » par ses détracteurs, M. Erdogan avait profité de son retour du Maghreb, dans la nuit de jeudi à vendredi, pour faire étalage de sa puissance et du soutien que continue à lui apporter une part importante de l’opinion turque.  Devant des milliers de supporteurs chauffés à blanc venus l’accueillir à l’aéroport d’Istanbul, il avait tenu des propos très fermes contre les manifestants, avant d’appeler ses troupes à rentrer chez elles dans le calme.  Il y a une semaine déjà, le Premier ministre avait agité ce scénario de la confrontation populaire. « S’ils veulent organiser des rassemblements, si c’est un mouvement social, et bien quand ils réuniront 20 personnes, j’en réunirai 200.000″, avait-il averti. « Et quand ils seront 100.000, je mobiliserai un million de membres de mon parti ».

 

La BCE continue de voir une reprise ; un problème de lunettes ?

La BCE continue de voir une reprise ; un problème de lunettes ?

C’est un paradoxe. Ce jeudi 7 mars, la banque centrale européenne (BCE) a choisi de maintenir inchangé ses taux et a revu à la baisse ses prévisions de croissance, notamment pour 2013 (voir encadré). Pourtant, cela n’a pas empêché son président, Mario Draghi, de tenir un discours plutôt rassurant, voir même encourageant pour plusieurs pays. En réalité, « l’abaissement de nos prévisions illustre un effet de report, dû à un quatrième trimestre 2012 plus faible que prévu [avec un PIB en recul de 0,6% pour la zone euro, ndlr]. Le rythme de la reprise en 2013 n’a pas changé », a expliqué le successeur de Jean-Claude Trichet. Et Mario Draghi a, cette fois, été plus volubile sur la reprise économique de la zone euro. « L’économie devrait commencer à se stabiliser à la fin du premier semestre et une reprise progressive devrait débuter au deuxième semestre », a-t-il indiqué. Lors de ses dernières interventions, le président de la BCE avait été plus évasif, se contentant de déclarer que cette reprise était prévue « pour 2013″, sans donner davantage de précision.

Un encouragement aux pays qui mènent l’austérité

> Les prévisions de la BCE pour la zone euro

Croissance:

2013 : entre -0,9 et -0,1% (contre -0,9 à 0,3% en décembre)

2014 : entre 0 et 2% (contre 0,2 à 2,2% en décembre)

 

Inflation:

2013 : entre 1,2 et 2 % (contre 1,2 à 2,1% en décembre)

2014 : entre 0,6 et 2% (contre 0,6 à 2,2% en décembre)

« Il faut distinguer le court terme du moyen terme. Et à moyen terme, nous continuons de voir un début de reprise graduelle », a-t-il déclaré. Il a ensuite expliqué que si les indicateurs économiques chiffrés sont plutôt mauvais, les données prospectives (moral des ménages, entreprises) « sont, elles, positives ». Le président de la BCE a ensuite livré trois facteurs qui soutiendront cette reprise : la hausse de la demande mondiale, « la poursuite de notre politique monétaire accommodante qui restera ainsi aussi longtemps qu’il le faudra », ainsi que la poursuite de la consolidation budgétaire menée par les Etats. Sur ce dernier point Mario Draghi a tenu à souligner « que des progrès ont été réalisés » et que « ceux qui ont fait le choix d’ajustement budgétaires importants vont voir que les effets de contractions dus à ces ajustements vont diminuer. C’est pour cela que l’économie, en fin d’année, en bénéficiera ».  Et la croissance ne sera pas ternie par une inflation rampante. Ce jeudi la BCE a décidé de réduire très légèrement ses prévisions de hausse des prix. Selon elle, l’inflation restera « sous ou proche de 2% », c’est à dire l’objectif ciblé par la BCE. Par ailleurs, Mario Draghi ne s’est pas alarmé de la situation politique italienne. « On voit que la contagion reste très limitée« , a-t-il estimé. « Après une phase initiale, les marchés sont revenus à leur niveau antérieur aux élections italiennes. Ils ont ainsi réagi plus sereinement que les hommes politiques. De plus, l’ajustement budgétaire italien s’est déjà fait et va, a priori, se poursuivre en mode pilotage automatique », a-t-il conclu

 

Notre Dames des Landes : la résistance continue dans la boue

Notre Dames des Landes : la résistance continue dans la boue

 

En dépit du climat, la résistance continue contre cet « Ayraultport » qui est en réalité une opération immobilière et un projet d’infrastructure inutile. Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées samedi, dans une ambiance bon enfant en dépit de la boue et des difficultés d’organisation, sur la zone du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes pour assister au «FestiZad» – des concerts rap, reggae et punk organisés jusqu’à dimanche en soutien aux opposants au projet. Les gendarmes ont estimé à environ 8.000 le nombre de personnes présentes sur le site depuis vendredi soir, tandis que la préfecture de Loire-Atlantique en comptait au moins 5.000. Les forces de l’ordre, qui ont assuré «un service de régulation de la circulation» autour du rassemblement, n’ont pas signalé «de tensions particulières», a indiqué dans un communiqué la préfecture, tout en pointant «l’absence de déclaration préalable» de la manifestation «et la volonté revendiquée par les organisateurs de tenir cachée jusqu’au dernier moment sa localisation précise». Jusqu’à 5-6 kilomètres autour du festival, des centaines, voire des milliers, de véhicules de toutes sortes – caravanes, camping-cars, voitures, camionnettes où ont dormi des festivaliers dans la nuit de vendredi à samedi – étaient stationnées sur les routes menant à la Zad (zone d’aménagement différée, rebaptisée zone à défendre par les opposants). Sur place, certains festivaliers, pourtant équipés pour parcourir le bocage détrempé par les pluies et une bruine persistante, se trouvaient englués dans la boue, prisonniers parfois jusqu’aux genoux et en perdant leurs bottes. Des concerts ont dû être reportés en fin d’après-midi, le temps notamment que les participants à la manifestation puissent nettoyer les scènes. Un appel au public a également été lancé pour aller chercher des branches dans les forêts alentours afin de pouvoir disposer du bois sur le sol piétiné pour tenter de le rendre un peu plus praticable. Mais malgré la boue, les concerts retardés, un groupe électrogène vacillant et une buvette en rupture de stock, l’atmosphère restait bon enfant sur le site où le public – une foule hétéroclite mêlant familles avec enfants, groupes accompagnés de chiens et retraités – déambulait dans la bonne humeur. Les organisateurs du festival, qui reconnaissaient les difficultés, se sont également dits satisfaits, à ce stade, du déroulement du festival «malgré la déception de ne pas avoir pu monter tout ce qu’on avait prévu», a affirmé Camille, un des zadistes, insistant sur l’atmosphère «détendue» du rassemblement. Si quatre chapiteaux – sur sept prévus – ont été dressés en dépit de l’interdiction de la préfecture, «il nous manque les yourtes, les tipis et les habitats légers et écologiques qui auraient du servir de sensibilisation à ce type d’habitat et abriter des expositions et des stands d’information», a-t-il regretté. Un arrêté préfectoral a interdit du 3 au 6 janvier le transport et l’installation sur la zone de «chapiteaux, tentes et autres structures itinérantes de plein air». Toutefois, «c’est beaucoup mieux que ce qu’on imaginait après les deux jours» derniers, où la polémique avec la préfecture avait enflé, a-t-il dit. La gendarmerie avait installé des barrages vendredi sur les principales voies d’accès au site, «pour garantir l’accès des secours» avait expliqué le directeur de cabinet du préfet de Loire-Atlantique, Patrick Lapouze. Mais les organisateurs du festival avaient accusé la préfecture de mettre «en danger des milliers de personnes». «Tout est bloqué aux entrées de la ZAD. Que ce soit de la nourriture, des structures, du matériel médical et même les toiles de tente des manifestants», avaient dénoncé les opposants à l’aéroport, estimant que «la sécurité sanitaire des participants» s’en trouvait «fortement impactée»: plus d’abris ni de tentes pour dormir au chaud la nuit, plus de matériel médical de premier secours et une tension évidente ne pouvant conduire qu’à des affrontements. La préfecture, de son côté, a souligné samedi qu’«à défaut de postes secouristes médicalisés organisés au sein de la zone comme c’est l’usage pour ce genre d’événement, les autorités ont prévus des moyens de secours et d’aide médicale urgente à proximité».

 

Notre-Dame-des-Landes: la chasse aux lapins écolos continue

Notre-Dame-des-Landes: la chasse aux lapins écolos continue

Une situation surréaliste, 500 gendarmes qui chassent les écolos dans les bois de Notre Dame des Landes où les travaux n’ont pas  commencé. En fait ces travaux ne commenceront pas avant 2014, sils se font car ce projet, comme beaucoup d’autres du même type, est inutile et couteux (voir articles). Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault est resté ferme dimanche tout en jouant « l’apaisement » face aux opposants au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, qui ont appelé à une nouvelle mobilisation sur place lundi dès 05H00 matin.   »Il ne s’agit aucunement de revenir sur le projet d’aéroport », a martelé sur Radio J, la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem alors que le Premier ministre a annoncé samedi soir la création d’une « commission du dialogue ». En revanche, Mme Vallaud-Belkacem a ajouté qu’il est « pris acte qu’il y a des divergences d’interprétation sur l’impact de ce projet sur l’environnement ».  Dans un communiqué dimanche soir, l’Acipa – la principale association d’opposants au projet d’aéroport – a appelé les opposants à occuper les lieux « dès 5H00 du matin (…) les cabanes réoccupées et les 40 tracteurs arrivés sur les lieux et enchaînés autour ».  Les opposants se sont montrés déterminés dimanche à obtenir le « retrait » des forces de l’ordre avant toutes négociations.  Plusieurs élus du CeDpa (Comité des élus opposés à l’aéroport) sont allés jusqu’à s’enchaîner aux grilles de la préfecture à Nantes dimanche après-midi pour demander le retrait des gendarmes mobiles du site.  Le préfet de Loire-Atlantique, Christian de Laverné, a reçu une délégation de ces élus. « Nous lui avons demandé de faire remonter au ministre de l’Intérieur qu’il était absolument impossible de parler de dialogue tant que les forces de l’ordre ne seraient pas retirées de la zone », a dit à l’AFP après la rencontre Françoise Verchère porte-parole du CeDpa . « Quand il n’y en avait pas il n’y avait pas de guerre! », a-t-elle ajouté.  Plus tôt dans la journée, Dominique Fresneau, coprésident de l’Acipa –visiblement excédé face à la poursuite des affrontements entre manifestants et gendarmes mobiles dans la nuit de samedi à dimanche– a exprimé la même exigence au sujet des forces de l’ordre. « Il va falloir que l’apaisement soit réel », a-t-il dit lors d’un point presse dimanche à Notre-Dame-des-Landes.

 

Grèce : le feuilleton continue

Grèce : le feuilleton continue

 

A nouveau désaccord sur la Grèce, le feuilleton continue ; L’Europe semble aimer la tragédie grecque  ; pas sûr que les marchés apprécient cette valse hésitante. L’Allemagne a fait état mercredi de la persistance de désaccords profonds sur le dossier grec entre ministres des Finances de la zone euro et représentants du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque centrale européenne (BCE), tout en disant espérer un accord lundi. Les représentants des différentes composantes de la « troïka » des créanciers d’Athènes se sont séparés mercredi matin sans avoir trouvé d’accord sur les moyens à mettre en oeuvre pour réduire la dette grecque à un niveau soutenable de 120% du produit intérieur brut (PIB). Après près de douze heures de négociations, ils ont dû se résoudre à prévoir une nouvelle réunion, la troisième du mois, lundi prochain, afin d’obtenir le consensus nécessaire au versement d’une nouvelle tranche d’aide à la Grèce. « Il n’y a pas de désaccord politique majeur », a affirmé à l’issue de la réunion Jean-Claude Juncker, président de l’Eurogroupe. « Nous sommes près d’un accord, mais des vérifications techniques doivent être menées, des calculs financiers doivent être effectués. » Le ministre français des Finances, Pierre Moscovici, a appuyé ces propos sur Europe 1 : « Nous sommes à un cheveu d’un accord, je suis très confiant que nous y parviendrons lundi ». Si la chancelière allemande Angela Merkel a jugé un tel accord « possible » devant la presse, son ministre des Finances Wolfgang Schäuble s’est montré plus prudent lors d’une intervention à huis clos devant les députés. Selon une source qui a assisté à cette réunion, le ministre a expliqué que les principaux différends portaient sur les moyens à mettre en oeuvre pour fournir à Athènes un financement supplémentaire de 14 milliards d’euros en 2014 et pour rendre la dette grecque soutenable – dont un éventuel report de 2020 à 2022 de l’objectif de réduction du déficit à 120% du PIB.

 

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