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Economie-Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

Economie-Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

La folie continue avec le coin maintenant au-dessus de 50 000 $ et qui a augmenté de 70 % depuis un an.

L’immense spéculation en cours alimentée par certains patrons de grandes entreprises comme celui de Tesla pourrait bien constituer une dramatique escroquerie pour beaucoup de petits porteurs. Surtout si on rappelle l’extrême volatilité d’une cryptomonnaie  qui ne repose en faite sur aucun actif et peut rechuter brutalement comme en 2018.

 

La semaine dernière, le constructeur automobile électrique Tesla a créé la surprise en annonçant avoir investi 1,5 milliard de dollars de sa trésorerie en bitcoin. Le patron de Tesla et homme le plus riche du monde, Elon Musk, n’hésite pas à vanter les mérites des cryptomonnaies sur les réseaux sociaux.

 

La bataille est à la fois spéculative mais aussi stratégique. Pour certains il s’agit de faire monter la cryptomonnaie  au plus haut avant la prise de bénéfice dont le coût sera payé par les investisseurs naïfs. Mais pour d’autres ,il s’agit de menacer le système financier et la souveraineté monétaire des Etats. En faite de supprimer même nombre de souverainetés des Etats dont l’action en l’absence de monnaie serait forcément très réduite.

 

Le marché des cryptomonnaies ne fait cependant pas l’unanimité: plusieurs banquiers centraux, comme Andrew Bailey au Royaume-Uni, ont écarté l’idée de considérer le bitcoin comme une monnaie à part entière, ou même comme un «or numérique» qui servirait à conserver la richesse.

Birmanie: la répression continue

Birmanie: la répression continue

Fort de l’appui de la Russie et de la Chine, la junte militaire accentue la répression contre les nombreux manifestants qui refusent la dictature. Ainsi depuis début du conflit plus de 500 personnes ont été arrêtées. Parmi elles, des fonctionnaires qui participent au mouvement de désobéissance civile.

La junte militaire rencontre dans la rue une opposition qu’elle avait sans doute sous-estimée. En effet, des centaines de milliers de personnes sont encore descendues dans les rues de ce pays d’Asie du Sud-Est mercredi contre le coup d’État du 1er février et la détention du dirigeant élu Aung San Suu Kyi.

Le mouvement de désobéissance civile a eu un effet paralysant sur de nombreux domaines d’activité privées et publics.

L’armée a annoncé mercredi soir que six célébrités locales, dont des réalisateurs, des acteurs et un chanteur, étaient recherchées en vertu d’une loi anti-incitation pour avoir encouragé les fonctionnaires à se joindre à la manifestation.

Les accusations peuvent entraîner une peine de deux ans de prison.

«C’est incroyable de voir l’unité de notre peuple. Le pouvoir du peuple doit revenir au peuple », a déclaré l’acteur Lu Min sur sa page Facebook.

Malgré les appels lancés par la junte aux fonctionnaires pour qu’ils retournent au travail et les menaces d’actions s’ils ne le font pas, rien n’indique que les grèves se relâchent.

Le nombre de personnes dont on sait qu’elles ont été détenues depuis que le coup d’État a mis un terme à une tentative de transition vers la démocratie avait atteint 495 mercredi, a indiqué dans un communiqué l’Association d’assistance aux prisonniers politiques du Myanmar.

Il a indiqué que 460 étaient toujours détenus.

L’armée a pris le pouvoir après que la commission électorale eut rejeté ses accusations de fraude lors d’une élection du 8 novembre balayée par le parti de la Ligue nationale pour la démocratie (NLD) de Suu Kyi, provoquant la colère des pays occidentaux ainsi que les manifestations locales.

D’autres manifestations étaient prévues pour jeudi – y compris par des groupes d’étudiants et des travailleurs de différents groupes ethniques dans le pays diversifié de plus de 53 millions de personnes.

Les opposants au coup d’État sont profondément sceptiques quant aux promesses de la junte de remettre le pouvoir après une nouvelle élection pour laquelle aucune date n’a encore été fixée.

La lauréate du prix Nobel de la paix Suu Kyi, détenue depuis le coup d’État, fait maintenant face à une accusation de violation d’une loi sur la gestion des catastrophes naturelles ainsi qu’à des accusations d’importation illégale de six radios talkie-walkie. Sa prochaine comparution devant le tribunal est prévue pour le 1er mars.

Suu Kyi, 75 ans, a passé près de 15 ans en résidence surveillée pour ses efforts en faveur de la démocratie.

Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

La folie continue avec le coin maintenant au-dessus de 50 000 $ et qui a augmenté de 70 % depuis un an.

L’immense spéculation en cours alimentée par certains patrons de grandes entreprises comme celui de Tesla pourrait bien constituer une dramatique escroquerie pour beaucoup de petits porteurs. Surtout si on rappelle l’extrême volatilité d’une cryptomonnaie  qui ne repose en faite sur aucun actif et peut rechuter brutalement comme en 2018.

 

La semaine dernière, le constructeur automobile électrique Tesla a créé la surprise en annonçant avoir investi 1,5 milliard de dollars de sa trésorerie en bitcoin. Le patron de Tesla et homme le plus riche du monde, Elon Musk, n’hésite pas à vanter les mérites des cryptomonnaies sur les réseaux sociaux.

 

La bataille est à la fois spéculative mais aussi stratégique. Pour certains il s’agit de faire monter la cryptomonnaie  au plus haut avant la prise de bénéfice dont le coût sera payé par les investisseurs naïfs. Mais pour d’autres ,il s’agit de menacer le système financier et la souveraineté monétaire des Etats. En faite de supprimer même nombre de souverainetés des Etats dont l’action en l’absence de monnaie serait forcément très réduite.

 

Le marché des cryptomonnaies ne fait cependant pas l’unanimité: plusieurs banquiers centraux, comme Andrew Bailey au Royaume-Uni, ont écarté l’idée de considérer le bitcoin comme une monnaie à part entière, ou même comme un «or numérique» qui servirait à conserver la richesse.

La folie du bitcoin continue.

La folie du bitcoin continue.

 

En dépit des avertissements des autorités monétaires notamment de la directrice du Trésor américain, le bitcoin continu de flamber à 49000 dollars !.On sait évidemment que la cryptomonnaie est très volatile mais cette hausse inconsidérée ne repose sur aucun fondement économique et financier sérieux. Une grande partie de l’envolée du bit coin a été provoquée par les déclarations très intéressées par ailleurs du patron de tesla qui a déclaré croire dans le Bitcoin . D’autant qu’il avait investi dans la crypte menée pour 1,5 milliards de dollars.

La  problématique de régulation des cryptomonnaies se pose car leur volatilité   pourrait bien contaminer un jour l’ensemble du système financier.

Birmanie : la répression continue grâce à l’odieux appui de la Russie et de la Chine

Birmanie : la répression continue grâce à l’odieux appui de la Russie et de la Chine

En dépit des protestations internationales et aussi de la contestation interne, la répression continue en Birmanie. Les États-Unis ont promis de prendre immédiatement des sanctions économiques. Cependant la dictature militaire peut s’appuyer sur l’odieux soutien de la Russie et de la Chine, deux dictatures également qui légitiment  à peu près toutes les atteintes à la démocratie y compris les crimes.

Kyi Toe, membre du comité d’information de la Ligue nationale pour la démocratie (NLD) de Suu Kyi, a déclaré que Kyaw Tint Swe, proche de l’ancienne chef du gouvernement arrêté, et quatre autres personnes liées au gouvernement précédent avaient été emmenées de chez elles pendant la nuit.

Il a déclaré que des responsables de la commission électorale avaient également été arrêtés du jour au lendemain, y compris certains jusqu’au niveau des communes.

. Des dizaines de fonctionnaires ont été arrêtés depuis le coup d’État.

Le président américain Joe Biden a approuvé mercredi un décret pour de nouvelles sanctions contre les responsables du coup d’État et des demandes répétées pour que les généraux renoncent au pouvoir et libèrent les dirigeants civils.

Biden a déclaré que l’ordre permettait à son administration «de sanctionner immédiatement les chefs militaires qui ont dirigé le coup d’État, leurs intérêts commerciaux ainsi que les membres de leur famille proche».

Washington identifierait la première série d’objectifs cette semaine et prenait des mesures pour empêcher les généraux du Myanmar, également connu sous le nom de Birmanie, d’avoir accès à 1 milliard de dollars de fonds du gouvernement du Myanmar détenus aux États-Unis.

«Nous allons également imposer des contrôles rigoureux des exportations. Nous gelons les avoirs américains qui profitent au gouvernement birman, tout en maintenant notre soutien aux soins de santé, aux groupes de la société civile et à d’autres domaines qui bénéficient directement au peuple birman », a déclaré Biden à la Maison Blanche.

Le coup d’État et la détention de Suu Kyi du 1er février présentent à Biden sa première crise internationale majeure et un test de sa double promesse de recentrer les droits de l’homme dans la politique étrangère et de travailler plus étroitement avec ses alliés.

Suu Kyi, 75 ans, ancienne chef du gouvernement arrêté par les militaires a remporté le prix Nobel de la paix en 1991 pour avoir fait campagne pour la démocratie et reste extrêmement populaire dans son pays en dépit de l’atteinte à sa réputation internationale face au sort des Rohingyas.

Elle a passé près de 15 ans en résidence surveillée et fait maintenant face à des accusations d’importation illégale de six talkies-walkies. Son avocat dit qu’il n’a pas été autorisé à la voir.

Bitcoin : la spéculation continue

Bitcoin : la spéculation continue

 

 

Un nouveau record pour le bitcoin à 40 000 $ mais immédiatement suivi d’une chute de 5 %. Les gros opérateurs ont commencé à ramasser la mise. Certes, la technologie blockchaîn n’est pas en cause, elle permet de traiter avec sûreté, rapidité sans intermédiaire nombreux d’informations dans de nombreux secteurs et pas seulement dans la finance. Le bitcoin est l’une de ces applications.

Il s’agit d’une monnaie virtuelle comme il en existe une centaine d’autres. Le problème politique fondamental,  c’est que les soutiens du bitcoin veulent s’affranchir des monnaies nationales. La monnaie virtuelle détiendrait ainsi une sorte de souveraineté mondiale qui mettrait les monnaies nationales en tutelle. Il y a aussi les simples spéculateurs qui poussent à la hausse en sachant très bien que les indices ne montent jamais au jusqu’au ciel et qu’il est bon de prendre ses bénéfices avant la chute.

 Notons aussi que les pays comme la Chine vont transformer tout simplement leur monnaie classique en monnaie virtuelle coupante ainsi toute perspective de monnaie privée. D’autres pays suivront car abandonner la souveraineté monétaire s’est abandonnés la souveraineté dans tous les autres domaines d’intérêt général.

Brexit: la partie de poker continue

Brexit: la partie de poker continue

 

Des deux côtés,  on affirme rechercher un compromis mais  on se dit prêt aussi à affronter une rupture. Il y a une dose d’intoxication dans ces déclarations contradictoires- Pour l’instant,  aucun accord n’a pu être obtenu sur les questions centrales que constituent  la concurrence, les modalités de sa gestion et la pêche. L’ Union économique européenne estime avoir été au bout de ses propositions. L’Union européenne a fait une “offre claire et équilibrée” de partenariat futur au Royaume-Uni et la priorité désormais est que Londres clarifie ses positions et “négocie réellement” afin de trouver un accord, a déclaré lundi soir à Reuters une source à la présidence française.

“Nous avons toujours dit que nous souhaitions un accord, mais pas à n’importe quel prix. L’UE elle aussi a des intérêts à défendre, ceux d’une concurrence équitable pour ses entreprises et ceux de ses pêcheurs”, a ajouté cette source. “Nous n’accepterons pas un accord dégradé qui ne respecterait pas nos intérêts.”

A un mois du départ du Royaume-Uni de l’UE, qui sera effectif au 1er janvier, les deux parties espèrent toujours parvenir à un compromis pour éviter une sortie désordonnée, mais les négociations piétinent et Britanniques et Européens martèlent depuis des semaines qu’un “no deal” est préférable à un mauvais accord.

C’est exactement aussi ce que défendait Boris Johnson il y a peu de temps. Il se pourrait bien qu’une nouvelle fois, on prolonge les délais pour une négociation qui finalement n’avance guère. Pour une grande part l’avenir de la discussion dépend de la position définitive de Boris Johnson qui a beaucoup tergiversé jusque-là et qui peut -être n’a pas encore fixé réellement sa position : accord ou no deal.

Brexit : l’intox continue

Brexit  : l’intox continue

Pour l’instant il est bien difficile de savoir si on se dirige sur No deal ou vers un accord de dernière minute tellement les protagonistes jouent au chat et à la souris. Les uns comme les autres ne cessent d’affirmer qu’il y a des progrès mais qu’ils  sont bien insuffisants, qu’on garde cependant espoir d’un débouché favorable. Le même discours à l’Union économique que chez Boris Johnson pour surtout ne pas porter la responsabilité d’une éventuelle rupture.

Le problème porte sur la question de la pêche mais surtout sur celle de la gestion des différends en matière de concurrence. Question centrale car la non-application des critères de l’Union ferait du Royaume-Uni une sorte de Singapour, porte d’entrée sur le commerce de l’Union européenne.

Pour l’instant les 27 restent unis mais on sait qu’en coulisse l’Allemagne se désintéresse assez des questions de pêche puisqu’elle n’est pas concernée et pousserait pour trouver un accord commercial pour ne pas trop entraver l’exportation de ses produits industriels. La France au contraire à travers la bouche de Macron considère qu’en l’état la perspective d’un accord est impossible.

Boris Johnson à son habitude entretient la confusion en agitant un jour la perspective d’une rupture en même temps que le souhait d’un accord.

La Grande-Bretagne doit se préparer à une sortie de l’Union européenne sans accord négocié avec celle-ci sur leurs futures relations, a déclaré vendredi le Premier ministre britannique, Boris Johnson.

« À moins d’un changement fondamental d’approche, nous allons vers la solution à l’australienne et nous devons le faire avec une grande confiance », a-t-il dit en référence aux relations entre l’Australie et l’UE, qui ne s’appuient sur aucun accord de libre-échange bilatéral étendu.

 

De sources européennes à Bruxelles, on indique cependant que l’Union européenne se prépare toujours à de nouvelles négociations la semaine prochaine avec Londres.

« Il (Boris Johnson) n’a pas dit qu’ils (les Britanniques) quitteraient la table des négociations. Donc ce n’est que de la rhétorique. Il n’a pas dit qu’ils ne continueraient pas à discuter. Donc ils le feront », a déclaré un diplomate.

Une autre source a ajouté que la délégation européenne chargée des négociations sur le Brexit « faisait déjà ses valises pour une semaine intense à Londres », précisant qu’« un accord sur le modèle australien et canadien n’était tout simplement pas sérieux ».

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré pour sa part que le bloc communautaire continuait à rechercher un accord sur le Brexit.

Lagardère : l’assemblée générale refusée par la justice mais la guerre continue

Lagardère : l’assemblée générale refusée par la justice mais la guerre continue

 

 

Comme pour Veolia, Lagardère risque de s’enliser dans les méandres judiciaires. En effet, Bolloré et le fonds Ambert avait demandé une assemblée générale que refuse Lagardère. Le tribunal de commerce de Paris a tranché a balayé la demande de Vivendi et Amber, respectivement actionnaires de Lagardère à hauteur de 26% et 20%, d’organiser une assemblée générale exceptionnelle.

La justice a considéré que les deux groupes « ne démontrent pas avec l’évidence requise qu’ils poursuivent un autre but que celui de leurs intérêts propres », . Mais Bolloré a bien l’intention de faire appel tandis que Lagardère-récemment encore renforcé par le groupe Arnault–recherche aussi les moyens juridiques de combattre cette mainmise sur son groupe.

Il n’est pas impossible qu’on assiste comme pour Veolia Suez à la mise à l’abri juridique de certaines activités et à de nouveaux renforcements du capital par des nouveaux venus.

Liban : la chienlit continue

Liban : la chienlit continue

Le Premier ministre démissionne et renonce à former un gouvernement en raison des traditionnelles oppositions entre les différentes tendances politiques. Le point de clivage essentiel se situe sur la nomination du ministre des finances nœud central de la politique électoraliste et de la corruption.

Les efforts de Moustapha Adib ont notamment été entravés par deux formations chiites, le Hezbollah, poids lourd de la politique libanaise, et son allié Amal, dirigé par le chef du Parlement Nabih Berri, qui réclament le portefeuille des Finances. Selon des observateurs, l’obstination du tandem chiite est liée aux récentes sanctions américaines contre un ministre du parti Amal et deux compagnies affiliées au Hezbollah.

«Un tel degré d’irresponsabilité, quand le sort du Liban et de son peuple est en jeu! Politiciens, avez-vous vraiment saboté cette chance unique créée par la France?», s’est insurgé sur Twitter le coordinateur spécial de l’ONU pour le Liban, Jan Kubis.

Pause

EQUIDÉS MUTILÉS: ça continue !

EQUIDÉS MUTILÉS: ça continue !

 

Les cinglés continuent d’opérer et de tuer des chevaux. Au nom d’une idéologie, d’une secte ou d’une philosophie sulfureuse. Le parquet de Nevers annonce en effet qu’une jument âgée de 15 ans a été retrouvée morte et mutilée à Champvoux, dans la Nièvre. Les faits se sont déroulés dans la nuit de jeudi à vendredi. Environ 150 enquêtes sont en cours pour l’ensemble du pays.

 

Guerre Lagardère – Bolloré : le feuilleton continue !

Lagardère – Bolloré : le feuilleton continue !

 

 

Le feuilleton continue entre Lagardère et Bolloré. On vient d’apprendre que Bolloré a saisi le tribunal de commerce après le refus de Lagardère de réunir une assemblée générale extraordinaire. On se souvient que Lagardère avait été sauvé par Bolloré d’abord pour empêcher le fonds spéculatif Amber de prendre le pouvoir. Depuis, on a assisté un changement d’alliance. Bolloré s’est allié avec ce fonds spéculatif pour tenter de prendre la direction de Lagardère. Du coup, Lagardère s’est autorisé une petite manœuvre juridique pour conserver son pouvoir. Bolloré et Amber ont alors demandé une assemblée générale extraordinaire. Le conseil de surveillance de Lagardère a rejeté la demande de convocation d’une assemblée générale exceptionnelle émanant d’Amber Capital et de Vivendi, annonce lundi le groupe dans un communiqué.

“Le conseil de surveillance a étudié la demande conjointe d’Amber Capital et Vivendi de convocation d’une assemblée générale exceptionnelle. Il a considéré que les conditions juridiques ne sont pas réunies pour déroger au calendrier social connu de tous les actionnaires”, explique-t-il.

“Il a rappelé qu’il est garant de l’intérêt social du groupe, de son indépendance et de son intégrité. À ce titre, il doit le préserver dans un contexte particulier, où l’un des actionnaires ayant fait la demande est en concurrence directe avec Lagardère Publishing”.

“Cependant, en accord avec la gérance, le conseil de surveillance a décidé d’ouvrir un dialogue actionnarial constructif et apaisé”, ajoute Lagardère.

Amber Capital a demandé qu’une assemblée générale des actionnaires se tienne “dans les meilleurs délais” afin de procéder à une recomposition partielle du conseil de surveillance.

Le fonds d’investissement s’est associé à Vivendi dans le cadre d’un pacte d’actionnaires pour obtenir quatre sièges au conseil de surveillance. Le feuilleton est encore loin d’être terminé car Bernard Arnault, PDG du géant français du luxe LVMH, a affiché récemment son soutien à Arnaud Lagardère en confirmant sa prise de participation dans sa holding personnelle, Lagardère Capital & Management. Mais Bolloré n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle en matière de stratégie capitalistique et l’histoire est loin d’être terminée.

Lagardère – Bolloré : la guerre continue

Lagardère – Bolloré : la guerre continue

 

 

Le feuilleton guerrier continue entre Lagardère et Bolloré. On se souvient que Lagardère avait été sauvé par Bolloré d’abord pour empêcher le fonds spéculatif Amber de prendre le pouvoir. Depuis, on a assisté un changement d’alliance. Bolloré s’est allié avec ce fonds spéculatif pour tenter de prendre la direction de Lagardère. Du coup, Lagardère s’est autorisé une petite manœuvre juridique pour conserver son pouvoir. Bolloré et Amber ont alors demandé une assemblée générale extraordinaire.- Le conseil de surveillance de Lagardère a rejeté la demande de convocation d’une assemblée générale exceptionnelle émanant d’Amber Capital et de Vivendi, annonce lundi le groupe dans un communiqué.

“Le conseil de surveillance a étudié la demande conjointe d’Amber Capital et Vivendi de convocation d’une assemblée générale exceptionnelle. Il a considéré que les conditions juridiques ne sont pas réunies pour déroger au calendrier social connu de tous les actionnaires”, explique-t-il.

“Il a rappelé qu’il est garant de l’intérêt social du groupe, de son indépendance et de son intégrité. À ce titre, il doit le préserver dans un contexte particulier, où l’un des actionnaires ayant fait la demande est en concurrence directe avec Lagardère Publishing”.

“Cependant, en accord avec la gérance, le conseil de surveillance a décidé d’ouvrir un dialogue actionnarial constructif et apaisé”, ajoute Lagardère.

Amber Capital a demandé qu’une assemblée générale des actionnaires se tienne “dans les meilleurs délais” afin de procéder à une recomposition partielle du conseil de surveillance.

Le fonds d’investissement s’est associé à Vivendi dans le cadre d’un pacte d’actionnaires pour obtenir quatre sièges au conseil de surveillance. Le feuilleton est encore loin d’être terminé car Bernard Arnault, PDG du géant français du luxe LVMH, a affiché récemment son soutien à Arnaud Lagardère en confirmant sa prise de participation dans sa holding personnelle, Lagardère Capital & Management. Mais Bolloré n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle en matière de stratégie capitalistique et l’histoire est loin d’être terminée.

Etats-Unis: La Fed continue sa politique très accommodante

Etats-Unis:  La Fed continue sa politique très accommodante

La politique de la banque centrale américaine va continuer d’être accommodante pour  soutenir une économie très bousculée. Les taux vont continuer d’être proches de zéro et la banque fédérale va poursuivre ses achats de bons du Trésor et de prêt immobilier titrisées à hauteur de 120 milliards par mois

Jerome Powell s’est inquiété de la recrudescence récente des cas de contamination au coronavirus aux Etats-Unis en disant qu’elle commençait à avoir un impact sur l’activité économique.

Il a également affirmé que le cours de l’économie dépendrait très largement de l’évolution de la pandémie et des mesures prises pour la contenir, laissant ainsi entendre que la Fed pourrait être conduite à en faire davantage si la crise sanitaire s’aggravait.

L’éclatement de la crise en mars a conduit la Fed à réduire l’objectif des “fed funds” de 150 points de base et à mobiliser dans l’urgence plusieurs milliers de milliards de dollars pour soutenir l’économie et les marchés financiers, ce qui a provoqué une envolée de la taille de son bilan.

Le communiqué publié mercredi par la banque centrale et les déclarations de son président ne devraient pas modifier la position des marchés, qui s’attendent à voir la banque centrale déployer de nouvelles mesures à l’issue de sa prochaine réunion, en septembre, ou au cours du second semestre.

“C’est à peu près ce à quoi nous nous attendions”, a commenté Stan Shipley, analyste macroéconomique pour Evercore SI.

“Le communiqué important sera celui de septembre, lorsqu’ils donneront des éléments sur le pilotage des anticipations”, autrement dit sur la communication par la banque centrale sur l’évolution à attendre de sa politique monétaire, a-t-il ajouté.

Municipales à Paris : le calvaire continue pour Agnès Buzyn

Municipales à Paris : le calvaire continue pour Agnès Buzyn

C’est une sorte de calvaire politique que subit Agnès Buzin  confirmée comme candidate officielle de la république en marche à Paris. Une sorte d’épreuve car ses chances sont insignifiantes. En outre, elle a perdu son statut de ministre est sans doute en même temps ses perspectives de carrière politique. Dernière blessure, l’hypothèse de son emplacement par le secrétaire général de la république en marche, Guerini. Un remplacement vite démenti mais qui a apporté un trouble supplémentaire à la candidature de l’ancienne ministre de la santé.

. Agnès Buzyn sera bien la candidate de La République en marche à la mairie de Paris pour le second tour. Elle a confirmé mardi devant ses troupes sa « candidature et sa détermination » en vue du scrutin du 28 juin, selon plusieurs participants de cette réunion interne. « Je suis pleinement engagée, déterminée, combative. On y va. », a-t-elle assuré.

L’incertitude et la fébrilité régnaient au sein des marcheurs parisiens. Mardi matin, quatre jours après que le premier ministre a confirmé l’organisation du second tour des élections municipales le 28 juin, Agnès Buzyn devait réunir par visioconférence ses têtes de liste à 8h, avant une seconde réunion à 9h, avec son équipe de campagne. L’ancienne ministre de la Santé, en retrait et silencieuse après avoir qualifié de «mascarade» le maintien du premier tour des élections municipales en pleine crise sanitaire, devait, selon plusieurs cadres internes, annoncer qu’elle reprenait sa campagne pour le second tour.. «Ce n’est plus tenable, elle comprend que ça va être l’horreur», s’alarmait un candidat, lundi soir. «Elle a changé plusieurs fois d’avis depuis ce week-end, et hésite encore à repartir en campagne, croit savoir un ministre. Il y a beaucoup d’irresponsabilité de la part des responsables LREM qui font le siège d’Agnès tous les jours pour la convaincre d’y retourner, et recommencent encore et encore. Le risque, c’est qu’elle finisse par abandonner définitivement à une semaine de l’élection quand on aura déposé les listes, on aura l’air malin.»

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