Archive pour le Tag 'conteste'

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Espagne : plan de relance contesté par le FMI

Espagne : plan de relance contesté par le FMI

L’Espagne commence à s’affranchir des critères de Bruxelles et du FMI. Un plan d’allègement de la fiscalité de 6,3 milliards d’euros visant à relancer l’économie et l’emploi en Espagne sera adopté vendredi prochain en conseil des ministres, a annoncé samedi le Président du gouvernement, Mariano Rajoy. Le taux de chômage est proche de 25% de la population active en Espagne et dépasse 50% chez les jeunes de moins de 25 ans. Le plan prévoit notamment de ramener le taux de l’impôt sur les sociétés de 30% à 25%. Des crédits seront octroyés aux petites et moyennes entreprises. L’investissement sera favorisé dans les secteurs de la recherche, des économies d’énergie, du transport et la production industrielle. Dans le courant du mois de juin, le gouvernement devrait adopter une réforme globale de la fiscalité, a précisé le chef du gouvernement. « L’idée générale est de baisser les impôts. Nous voulons que les familles aient davantage d’argent en poche, relancer la consommation, améliorer la compétitivité de l’économie tout entière, renforcer l’épargne et contribuer à la création d’emplois », a déclaré Mariano Rajoy dans un discours prononcé à Sitges, en Catalogne. Une réduction des cotisations sociales a déjà été approuvée cette année pour les sociétés qui embauchent. Le chef du gouvernement a également fait savoir qu’une baise de la fiscalité était prévue pour les contribuables à revenus moyens ou faibles. Cependant le  Fonds monétaire international a estimé cette semaine dans un rapport que l’Espagne devait augmenter ses recettes fiscales pour protéger ses services publics et faire davantage d’efforts pour réduire son déficit budgétaire afin d’assurer la pérennité de la reprise économique.

 

Sondage UMP : Sarkozy en tête mais contesté

UMP : Sarkozy en tête mais contesté

Nicolas Sarkozy meilleur candidat de la droite mais de plus en plus contesté par l’appareil UMP. Une candidature par ailleurs largement hypothéquée par le nombre de casseroles que Sarko traîne, la dernière étant le financement tde sa  campagne de 2012.  demeure le meilleur opposant à François Hollande et au gouvernement pour 44% des sympathisants de l’UMP devant Alain Juppé (37%), selon un sondage BVA-I>Télé-CQFD et Le Parisien/Aujourd’hui en France publié samedi 31 mai.  A la question, parmi les personnalités suivantes de l’UMP, quel est le meilleur opposant à François Hollande et au gouvernement, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 44%, chez les sympathisants de l’UMP, devançant Alain Juppé (37%) et François Fillon (7%). Sur l’ensemble des Français, en revanche, Alain Juppé arrive en tête (39%) devant Nicolas Sarkozy (23%) et François Fillon (12%). « Juppé semble s’installer en rival de Sarkozy pour incarner l’opposition, alors même que l’ancien président de la République est confronté à un climat affairiste défavorable« , souligne Erwan Lestrohan, directeur d’études chez BVA Opinion. Enfin, les sympathisants de droite souhaitent à 49% que le positionnement politique de l’UMP soit « ni plus ni moins à droite« , 37% « plus à droite », 11% « moins à droite

Le parlement britannique conteste la reprise de Pfizer d’ AstraZeneca par Pfizer

Le parlement britannique conteste la reprise de Pfizer d’  AstraZeneca par Pfizer

Au pays du libéralisme triomphant, le parlement n’hésite pas à contester des rachats d’entreprises locales car le  projet d’OPA de Pfizer sur AstraZeneca est en soi une menace potentielle pour la recherche scientifique au Royaume-Uni à moins que le groupe pharmaceutique américain ne fournisse des garanties plus solides sur l’emploi et l’investissement, a estimé jeudi un parlementaire britannique. AstraZeneca, le deuxième laboratoire pharmaceutique britannique, rejette l’offre de 106 milliards de dollars (plus de 77 milliards d’euros) de Pfizer et craint que le laboratoire américain ne sacrifie la recherche pour réaliser des économies. Mais AstraZeneca a également dit qu’il serait dans l’obligation d’étudier une offre à bon prix et Pfizer a déclaré de son côté qu’il pourrait améliorer la sienne. A l’issue de deux journées d’auditions parlementaires, le directeur général de Pfizer Ian Read a défendu son projet sur cinq ans prévoyant d’achever un nouveau centre de recherche d’AstraZeneca à Cambridge, de conserver le site de Macclesfield, dans le nord-ouest de l’Angleterre, et de localiser 20% de ses effectifs de recherche en Grande-Bretagne si son OPA aboutit. Mais il a ajouté que les dépenses de recherche-développement (R&D) de la nouvelle entité seraient sans doute inférieures à celles des deux laboratoires combinés et s’est refusé à avancer le moindre chiffre sur les pertes d’emplois qui pourraient résulter de la fusion. Andrew Miller, le président de la commission des Sciences du parlement britannique, qui avait interrogé les patrons des deux groupes pharmaceutiques mercredi, a dit qu’il n’était ni satisfait des engagements de Pfizer ni persuadé que l’Etat ait la capacité de les faire respecter. « L’enjeu national lié à la proposition de Pfizer est exceptionnellement élevé et toute menace envers la capacité de recherche d’AstraZeneca doit être considérée, dans une certaine mesure, comme une menace envers la recherche britannique », a-t-il dit, dans un courrier adressé au secrétaire d’Etat chargé des Universités et de la Science David Willetts. « Que l’Etat soit capable ou pas d’obliger Pfizer à tenir ses engagements – et pour nous rien n’est moins sûr – il nous faut des garanties à plus long terme avant de croire aux promesses de Pfizer envers le Royaume-Uni ». Ainsi, pour Andrew Miller, un engagement pris à cinq ans n’a guère de valeur dans une industrie qui « mesure les progrès en décennies plutôt qu’en années ».

Automobiles : montant PV selon les viles contesté

Automobiles : montant  PV selon les viles contesté

 

L’objet des PV est de dissuader l’usage de la voiture, un moyen utile parmi d’autres pour réguler son utilisation (sous réserve de transport alternatifs comme les transports collectifs dont la TVA va passer de 7 à10% début 2014) ; la possibilité pour les maires d’en fixer le montant pose cependant le problème de l’égalité devant la loi. L’association 40 millions d’automobilistes a dénoncé vendredi l’adoption par l’Assemblée nationale d’un amendement qui vise à permettre aux maires français de fixer le montant des PV dans leur commune, critiquant la vision négative de certains édiles sur ce moyen de transport populaire mais polluant. Les députés français ont adopté, dans le cadre de l’examen en seconde lecture du texte sur l’action publique territoriale, un amendement qui vise à dépénaliser les PV de stationnement. « En fonction de l’humeur du maire par rapport à la place de l’automobile dans sa ville, on va voir les tarifs varier », a déclaré Daniel Quero, président de 40 millions d’automobilistes. « Si vous prenez l’exemple de Paris, vous avez eu un tiers des parking supprimés en 10 ans, forcément on essaie d’éjecter la voiture de la ville mais on ne prévoit pas d’alternative », a-t-il ajouté sur i>TÉLÉ. Une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat doit se réunir prochainement pour mettre au point une version commune du projet de loi « sur la modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles ». Le texte de la CMP pourrait être soumis aux députés et sénateurs pour son adoption définitive avant le 19 décembre, début de la pause que s’accorde le Parlement à l’occasion des fêtes de fin d’année.

 

FO signe le mercredi un accord compétitivité contesté dans la rue le mardi

FO signe  le mercredi un accord compétitivité contesté dans la rue le mardi

Force Ouvrière (FO) a fini par signer l’accord de compétitivité avec Renault. Cet accord engage le constructeur automobile français à maintenir ses sites de production en France, en échange d’efforts consentis par les salariés. FO ne voulait pas signer cet accord en raison d’une clause de mobilité jugée inacceptable. « La mobilité des salariés était obligatoire, sur des distances parfois indécentes, ouvrant la porte à des possibilités de licenciements pour refus de mobilité. Ce point n’était pas acceptable », écrit le syndicat dans un communiqué. Sur ce point, FO a obtenu que cette mobilité soit fondée sur la base du volontariat. Le syndicat a également obtenu que Renault ne s’engage pas seulement sur le maintien des sites de production, mais également sur un volume de production minimum, afin d’éviter les usines vides. D’après cet accord, l’ex-Régie promet d’assurer une production de 85% de ses capacités de production française, soit un volume de production de 710 000 voitures. La signature de FO joint à celle de la CFE-CGC permet de franchir le seuil de 30% des voix obtenues  aux élections professionnelles (respectivement 15,6% et 29,7% des voix) qui permet de valider cet accord.  Mais attention, il ne faudrait  pas maintenant que les syndicats opposés à l’accord fassent jouer leur droit d’opposition. Ils peuvent faire jouer ce droit s’ils représentent plus de 50% des voix recueillies aux élections professionnelles. Mais comme la CFDT (19,1% des voix) avait déjà qualifié le projet d’accord équilibré, il y a peu de risques. De son côté, la CGT (25,2%) a dénoncé une « nouvelle régression sociale ».  Avec cet accord, les salariés verront leurs salaires gelés en 2013, et verront leur temps de travail allongé. Ils pourront également assurer une mobilité entre les différents sites du groupe, en cas de surcharge saisonnière de production sur un site et de ralentissement sur un autre site. Renault espère économiser 300€ de coûts de production par véhicule. Pourtant, Force Ouvrière a manifesté aux côtés de la CGT pour s’opposer à l’adoption du projet de loi (qui sera présenté le 6 mars en Conseil des ministres) reprenant l’accord sur le marché de l’emploi du 11 janvier qu’elles ont refusé de signer, à la différence de la CFDT. Pour Jean-Claude Mailly, secrétaire générale de FO, cet accord fait la part belle à la flexibilité.

Allemagne, la banque centrale allemande conteste l’union bancaire

Allemagne, la banque centrale allemande conteste l’union bancaire

 

L’Allemagne a toujours contesté l’union bancaire pour deux raisons d’une part en raison de la démographie des banques allemandes’ (nombreuses petites banques fragiles), d’autre part parce que l’Allemagne ne souhaite pas payer pour cette solidarité bancaire. L’Allemagne a imposé que cette union se limite aux plus grands établissements (3 à 4 par pays) mais demeure sur la réserve pour la solidarité qui en sera la conséquence le moment venu. Du coup la Bundesbank, la banque centrale allemande, émet d’importantes réserves sur les bases juridiques de la création de l’union bancaire européenne, rapporte dimanche l’hebdomadaire Der Spiegel, citant des juristes de l’institution. L’article se fait l’écho du scepticisme de la Buba sur l’union bancaire, un projet ambitieux qui prévoit une supervision commune des banques, un mécanisme de liquidation des établissements financiers en difficulté et une garantie commune des dépôts, afin de briser le cercle vicieux entre le système financier et les Etats. La Bundesbank n’était pas disponible dans l’immédiat pour commenter l’article du Spiegel. La banque centrale allemande a critiqué à plusieurs reprises ces dernières années certaines mesures anti-crise, sans jamais aller jusqu’à empêcher leur mise en application. Mais son opinion rencontre généralement un large écho en Allemagne et peut y influencer le débat politique. Après une première étude des résultats du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union tenu la semaine dernière à Bruxelles, les juristes de la Bundesbank ont conclu que le projet d’union bancaire manquait de « bases juridiques suffisamment saines », écrit Der Spiegel. Parmi les points qui suscitent l’inquiétude de la Buba, explique le magazine, figurent le manque de clarté sur les responsabilités des superviseurs bancaires et le fait que les nouvelles autorités appelées à naître de la réforme, comme le comité d’arbitrage entre les superviseurs et le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), ne sont pas suffisamment encadrées par le droit européen. Jens Weidmann, président de la Bundesbank et membre du Conseil de la BCE, a laissé entendre la semaine dernière dans un entretien à un magazine que les ministres des Finances de l’Union auraient dû restreindre le nombre de banques placées directement sous la responsabilité de la BCE. L’accord conclu jeudi à Bruxelles prévoit que la BCE aura directement autorité sur au moins 150 des principales banques de l’Union et qu’elle pourra se saisir du cas d’établissements de moindre importance si elle le juge nécessaire.

 

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