Archive pour le Tag 'conteste'

Page 3 sur 4

Le Foll conteste Valls

Le  Foll conteste Valls

 

Le  Foll  soutient indirectement Peillon  en critiquant certaines orientations de Valls, de Benoît Hamon  et d’Arnaud Montebourg. Une déclaration  qui traduit en fait le positionnement de François Hollande pour la primaire de la gauche. Ce fidèle de François Hollande met  notamment en cause la proposition de Valls concernant la suppression de l’article 49–trois de la constitution. Il s’oppose également à la mise en place d’un revenu universel préférant parler du soutien à la constitution d’un patrimoine pour chaque Français. Ce « patrimoine de départ pour les jeunes », associant une dotation en capital éventuellement complétée d’un prêt, « représente la capacité que l’on a à éviter la concentration du capital et à avoir une dépense publique efficace », précise Stéphane Le Foll. Enfin il considère que la problématique environnementale est sous-estimée par nombre d de candidats. Stéphane Le Foll apporte ainsi sa contribution au débat en vue de la primaire de la gauche en vue de la présidentielle de 2017 dans un entretien à paraître mercredi dans Les Echos, en épinglant au passage Manuel Valls. « Il ne faut pas s’enfermer dans un débat de primaire de la gauche mais se projeter dans un débat de présidentielle, de gauche contre droite », indique ce fidèle de François Hollande en ajoutant « l’enjeu n’est pas l’avenir du 49-3″. Ces propos visent directement l’ex-Premier ministre, désormais candidat à la primaire organisée par le PS les 22 et 29 janvier, qui a annoncé la semaine dernière avoir l’intention de supprimer la controversée procédure d’adoption des projets de loi prévue par l’article 49-3 de la Constitution. Interrogé par le quotidien économique sur l’éventualité de soutenir Manuel Valls ou Vincent Peillon, il précise qu’il se décidera « en début d’année prochaine ». « J’attends de voir le corps des projets défendus par les deux hommes », indique-t-il. Ce fidèle de François Hollande réaffirme par ailleurs qu’il ne soutiendra ni Benoît Hamon ni Arnaud Montebourg en vue de la primaire, étant « fondamentalement en désaccord avec eux ». Il dénonce notamment le fait que ses anciens collègues au gouvernement « remettent en cause la règle des 3% », à savoir le fait de contenir le déficit public de la France sous le seuil de 3% du produit intérieur brut (PIB), une position « irresponsable » selon lui. « Des candidats qui avaient été battus refont les mêmes propositions qu’il y a cinq ans, ce qui me pose un gros problème », ajoute-t-il.

Fin du trou de la sécu : la presse conteste Marisol Touraine

Fin du trou de la sécu : la presse conteste Marisol Touraine

 

 

La  presse conteste la fin du trou de la sécu annoncée par Marisol Touraine. Cette annonce constitue évidemment une escroquerie ( déjà confirmée deux jours après par les augmentations de dépenses d’août). D’abord les comptes ne seront pas équilibrés en 2017. Ensuite on oublie la dette de 160 milliards qui, elle demeure. C’est un peu comme si dans un ménage on parvenait à qui libère ses compte en devant mais en ayant une dette représentant 25% des ses revenus. Certes. La situation s’est certes améliorée un peu, c’est tant mieux mais le résultat doit beaucoup aussi à la baisse des taux d’intêret. Au moins 2 milliards ont été ainsi économisé. Comme pour la tête de l’État qui a encore augmenté mais pourtant dont la charge des intérêts s’est stabilisée à 40 milliards. Enfin et peut-être surtout la Sécu n’a pas provisionné les futures retraites des fonctionnaires. L’État pas davantage.  Une bricole qui représente environ 2000 milliards  « Fini le trou de la sécu » affirme pourtant l’inénarrable Touraine . Pour elle, le déficit de la sécu est réglé. Pour la ministre de la Santé, « l’histoire de ce quinquennat, c’est la fin des déficits sociaux ». (Sécu, Assedic, retraites tous dans le rouge avec des dettes colossales NDLR) »Nous aurons sauvé la Sécu », poursuit-elle. Avec des chiffres qui disent le contraire : « Le régime général, qui affichait 17,4 milliards de déficit en 2011, sera à 400 millions de l’équilibre. Pour un budget de 500 milliards, c’est l’épaisseur du trait », ajoute-t-elle. Le déficit du Fonds de solidarité vieillesse « sera stabilisé » à 3,8 milliards d’euros en 2016 et en 2017. L’assurance-vieillesse dégagera quant à elle un excédent de 1,6 milliard en 2017, et le déficit de l’assurance-maladie passera de 4,1 milliards en 2016 à 2,6 milliards d’euros en 2017. Il faudra que Marisol Touraine refasse ses additions. En outre elle hypothèque les résultats de 2017 alors qu’elle ne sera plus ministre de la santé après les élections présidentielles. On parle de la ministre favorite de Hollande en Indre et Loire (mairie de tours), là où l’ancienne favorite de Louis XIV, Louise de La Vallière, s’était déjà retirée près de Tours avoir été écarté du pouvoir de séduction. La Vallière était entrée dans les ordres, Touraine mériterait de se convertir dans  ordres comptables ! Du coup la presse massacre à juste titre la ministre de la santé. La presse n’est pas dupe du discours gouvernemental et de son « habillage de communication », pour reprendre l’expression de Jean-Louis Hervois dans La Charente libre« Dommage que l’on ne soit pas plus souvent en période préélectorale. Nous aurions chaque jour une excellente nouvelle du gouvernement sortant », se gausse Jean-Michel Servant dans Le Midi libre« Voilà que le légendaire trou de la Sécurité sociale est sur le point d’être comblé. Bouché. Effacé en deux temps et trois mouvements, après d’ultimes +réglages+ budgétaires. »  Dans La Montagne, Bernard Stephan remarque qu‘ »une déclaration gouvernementale qui annonce la fin du trou de la Sécu en 2017, au lendemain de l’élection présidentielle, est forcément suspectée ». De fait, Le Parisien rappelle que la ministre n’a parlé « que du régime général » et a « +oublié+, dans son décompte, le fonds de solidarité vieillesse » et son déficit prévu de 3,8 Mds d’euros. Encore plus sceptique, Le Figaro explique « comment le gouvernement embellit les comptes de la Sécurité sociale »: « un résultat obtenu grâce à la réforme Woerth sur les retraites, mais aussi à des artifices comptables, à des hausses de taxes et à des économies annoncées mais encore à réaliser ». « Bref, ce n’est pas tout à fait la fin du trou », conclut Libération.« Ce sont d’abord les Français qui, soit en mettant doublement la main à la poche, soit en renonçant pour certains à se faire soigner, ont permis ce résultat en trompe l’œil », insiste Bruno Dive dans son éditorial de Sud-Ouest. Dans La Voix du Nord, Matthieu Verrier note que « la tatillonne Cour des comptes préconise plus d’efforts et les prévisions de croissance sur lesquelles se base le ministère sont optimistes ». Conclusion: « la véritable fin du trou ne pourra être constatée qu’en fin 2017, après la présidentielle ». Certes, « François Hollande laissera une situation bien meilleure que celle dont il a hérité (plus de 20 milliards de déficit en 2011) », admet Philippe Marcacci dans L’Est républicain. Mais« de là à voir le malade guéri ! Il y a un monde. Même, pour une ministre de la Santé, cela revient à confondre courte période de rémission à guérison totale »

Fin du trou de la sécu : la presse conteste Marisol Touraine dans actu-économie politique

Fin du trou de la sécu : la presse conteste Marisol Touraine

Fin du trou de la sécu : la presse conteste Marisol Touraine

 

 

La  presse conteste la fin du trou de la sécu annoncée par Marisol Touraine. Cette annonce constitue évidemment une escroquerie escroquerie bien. D’abord les comptes ne seront pas équilibrés en 2017. Ensuite on oublie la dette de 160 milliards qui, elle demeure. C’est un peu comme si dans un ménage on parvenait à qui libère ses compte en devant mais en ayant une dette représentant 25% des ses revenus. Certes. La situation s’est certes améliorée un peu, c’est tant mieux mais le résultat doit beaucoup aussi à la baisse des taux d’intêret. Au moins 2 milliards ont été ainsi économisé. Comme pour la tête de l’État qui a encore augmenté mais pourtant dont la charge des intérêts s’est stabilisée à 40 milliards. Enfin et peut-être surtout la Sécu n’a pas provisionné les futures retraites des fonctionnaires. L’État pas davantage.  Une bricole qui représente environ 2000 milliards  « Fini le trou de la sécu » affirme pourtant l’inénarrable Touraine qui est à la santé ce que Poivre d’Arvor est à la littérature ou McDo à la gastronomie. Bref une énarque. Pour elle, le déficit de la sécu est réglé. Pour la ministre de la Santé, « l’histoire de ce quinquennat, c’est la fin des déficits sociaux ». (Sécu, Assedic, retraites tous dans le rouge avec des dettes colossales NDLR) »Nous aurons sauvé la Sécu », poursuit-elle. Avec des chiffres qui disent le contraire : « Le régime général, qui affichait 17,4 milliards de déficit en 2011, sera à 400 millions de l’équilibre. Pour un budget de 500 milliards, c’est l’épaisseur du trait », ajoute-t-elle. Le déficit du Fonds de solidarité vieillesse « sera stabilisé » à 3,8 milliards d’euros en 2016 et en 2017. L’assurance-vieillesse dégagera quant à elle un excédent de 1,6 milliard en 2017, et le déficit de l’assurance-maladie passera de 4,1 milliards en 2016 à 2,6 milliards d’euros en 2017. Il faudra que Marisol Touraine refasse ses additions. En outre elle hypothèque les résultats de 2017 alors qu’elle ne sera plus ministre de la santé après les élections présidentielles. On parle de la ministre favorite de Hollande en Indre et Loire (mairie de tours), là où l’ancienne favorite de Louis XIV, Louise de La Vallière, s’était déjà retirée près de Tours avoir été écarté du pouvoir de séduction. La Vallière était entrée dans les ordres, Touraine mériterait de se convertir dans  ordres comptables ! Du coup la presse massacre à juste titre la ministre de la santé. La presse n’est pas dupe du discours gouvernemental et de son « habillage de communication », pour reprendre l’expression de Jean-Louis Hervois dans La Charente libre. « Dommage que l’on ne soit pas plus souvent en période préélectorale. Nous aurions chaque jour une excellente nouvelle du gouvernement sortant », se gausse Jean-Michel Servant dans Le Midi libre« Voilà que le légendaire trou de la Sécurité sociale est sur le point d’être comblé. Bouché. Effacé en deux temps et trois mouvements, après d’ultimes +réglages+ budgétaires. »  Dans La Montagne, Bernard Stephan remarque qu‘ »une déclaration gouvernementale qui annonce la fin du trou de la Sécu en 2017, au lendemain de l’élection présidentielle, est forcément suspectée ». De fait, Le Parisien rappelle que la ministre n’a parlé « que du régime général » et a « +oublié+, dans son décompte, le fonds de solidarité vieillesse » et son déficit prévu de 3,8 Mds d’euros. Encore plus sceptique, Le Figaro explique « comment le gouvernement embellit les comptes de la Sécurité sociale »: « un résultat obtenu grâce à la réforme Woerth sur les retraites, mais aussi à des artifices comptables, à des hausses de taxes et à des économies annoncées mais encore à réaliser ». « Bref, ce n’est pas tout à fait la fin du trou », conclut Libération.« Ce sont d’abord les Français qui, soit en mettant doublement la main à la poche, soit en renonçant pour certains à se faire soigner, ont permis ce résultat en trompe l’œil », insiste Bruno Dive dans son éditorial de Sud-Ouest. Dans La Voix du Nord, Matthieu Verrier note que « la tatillonne Cour des comptes préconise plus d’efforts et les prévisions de croissance sur lesquelles se base le ministère sont optimistes ». Conclusion: « la véritable fin du trou ne pourra être constatée qu’en fin 2017, après la présidentielle ». Certes, « François Hollande laissera une situation bien meilleure que celle dont il a hérité (plus de 20 milliards de déficit en 2011) », admet Philippe Marcacci dans L’Est républicain. Mais« de là à voir le malade guéri ! Il y a un monde. Même, pour une ministre de la Santé, cela revient à confondre courte période de rémission à guérison totale »

Le projet des républicains très contesté

 

Le projet des républicains très contesté

 

À l’arrache comme d’habitude Sarkozy a fait entériner un projet politique des républicains ; projet qui est en fait le sien et qui vise à cadenasser les autres candidats à la primaire de la droite. Un projet largement soutenu par un conseil national par avance acquis aux idées de Sarkozy mais contesté par des juppéistes qui n’apprécient  pas cette démocratie « de type nord-coréenne ». En clair la plupart des concurrents de Sarkozy  pour la primaire de la droite contestent  à la fois la méthode et le fond, beaucoup d’ailleurs étaient absents lors du vote de ce projet. Sarkozy comme d’habitude n’a pas fait dans la dentelle pour démolir ses concurrents et en particulier Juppé qui avait choisi de discuter avec des journalistes plutôt que de participer à cette mascarade.  Nicolas Sarkozy n’a donc pas apprécié et a fustigé les absents dans son discours de clôture : « C’est plus facile d’être sur le trottoir et de parler à quelques journalistes, c’est moins facile d’être au milieu des siens. Les juppéistes expliquaient avoir choisi l’abstention plutôt que l’absentéisme pour marquer leur différence. « C’est plutôt le projet de Nicolas Sarkozy. Je ne vais pas demander à Nicolas Sarkozy ou à ses proches de voter le projet d’Alain Juppé. L’inverse est donc vrai », a justifié le député juppéiste Benoist Apparu auprès de journalistes. Bruno Le Maire, désormais « troisième homme » des sondages, a lui boycotté la réunion du « parlement » de LR, préférant s’exprimer aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence. Là encore, Nicolas Sarkozy s’est montré cinglant avec son ancien ministre : « Quand on était ensemble au gouvernement, il y en a assez peu qui m’ont dit : ‘Je t’en supplie, je veux sortir tant je suis en désaccord!’ »

(Avec Reuters)

Jean louis Debré conteste l’utilité des réseaux sociaux

Jean louis Debré  conteste l’utilité des  réseaux sociaux

 

L’inénarrable Jean-Louis Debré qui vient de quitter la présidence du conseil constitutionnel conteste  l’utilité démocratique des réseaux sociaux concernant en particulier le débat en cours sur la loi travail. J.-L. Debré : «Si on commence à gouverner avec les réseaux sociaux, on ne fera rien». De toute évidence Jean-Louis Debré a du mal à vivre avec son temps, sans doute pourquoi on l’a d’ailleurs nommé à la tête du surprenant conseil supérieur des archives là ou il pourra exercer ses compétences archaïques. Certes, la démocratie ne peut se réduire à un lien exclusif et direct avec l’opinion publique pour autant les réseaux sociaux apportent une contribution essentielle à des débats précédemment confisqués par des corps intermédiaires souvent sclérosés. JL Debré conteste aussi les primaires pour les présidentielles prétextant le fait qu’elles sont cadenassées par les partis politiques. Un argument qui n’est pas complètement faux encore faudrait-il préciser que précédemment sauf pour De Gaulle le candidat unique de chaque sensibilité politique était déjà désigné par le parti. Depuis que son mandat a pris fin, à minuit vendredi, Jean-Louis Debré a recouvré la parole. Il était dimanche l’invité de l’émission « BFM politique» avec « le Parisien » – « Aujourd’hui en France » et RMC.  Jean-Louis Debré a passé aussi de longues minutes à dénoncer la « tyrannie de l’instantané », générée par l’impact des réseaux sociaux. Elle fabrique selon lui « des politiques qui réagissent plutôt qu’ils agissent ». «Je n’appartiens plus à ce monde politique-là », a souligné Debré, s’attristant que la politique soit devenue « un spectacle ». Il conteste donc le principe des primaires à droite en vue de la présidentielle de 2017. « Il a une confiscation du choix du peuple par des combines des partis politiques. Elles divisent tout le monde », critique-t-il, fustigeant une « logique » qui le choque.  Face à Caroline De Haas, militante de gauche à l’origine de la pétition « Loi Travail : non, merci ! », lancée contre le projet de réforme de Myriam El Khomri, Debré s’est offusqué : « La légitimité ne se fonde pas sur le nombre mais sur une élection. Si on commence à gouverner avec les réseaux sociaux, on ne fera rien. Que ceux qui sont contre la loi commencent par la lire ! » Ou quand les pétitionnaires sont considérés par Jean-Louis Debré comme d’incurables ignorants ! Curieux de la part d’un responsable dont l’intelligence ne caractérise pas la personnalité ! 

La France conteste le traité transatlantique

La France conteste  le traité transatlantique

 

À juste titre la France conteste la légitimité de la démarche en cours concernant le traité transatlantique. Un traité qui n’est pas anodin puisqu’il va concerner 40 % du pub mondial. L’objectif est de libéraliser les échanges entre l’Europe et les Etats-Unis, s un traité ultralibéral qui permettra de s’affranchir des réglementations nationales et même européennes et qui permettra aussi de traiter des différents par voie arbitrale dessaisissant ainsi de leur souveraineté les états comme l’Europe. Ainsi les trois quarts des réglementations relatives aux dimensions économiques, sociales, environnementales, sanitaires pourront être remises en question. Au-delà du fond, c’est aussi la démarche qui remise en question puisque ce traité transatlantique est négocié dans le plus grand secret entre les États-Unis et la commission européenne sans que les Etats et leur mot à dire (le détail de l’avancée des négociations n’est même pas connu par les Etats). En outre la commission européenne voudrait rendre applicable ce traité sans même l’approbation des pays membres de l’union économique. Autant dire par exemple que la mise en œuvre d’un tel traité dans son état actuel serait de nature à tuer définitivement l’agriculture française. C’est pourquoi Matthias Fekl. Secrétaire d’État au Commerce estime que Le traité transatlantique ne doit pas être adopté uniquement par les législateurs de l’Union européenne, mais également par les parlements nationaux de tous les États membres.  Alors que le 10e round de négociation sur le traité transatlantique s’est ouvert le 22 février à Bruxelles, la question du statut juridique du futur accord est devenue un sujet d’interrogation en France. Paris  souhaite en effet que le TTIP soit un « accord mixte », c’est-à-dire nécessitant la ratification du Conseil et du Parlement européen, mais aussi de l’ensemble des 42 parlements nationaux des États membres, un point juridique qui n’est pour l’instant pas garanti. Le statut juridique de l’accord commercial entre l’UE et les États-Unis pourrait s’inspirer de celui du CETA, le traité de libre-échange conclu avec le Canada. Un point d’agenda provisoire du Conseil des Affaires étrangères du 13 mai 2016 prévoit une « décision sur la signature et l’application provisoire » du CETA, ce qui permettrait « d’appliquer immédiatement tout ou partie de cet accord, de façon dite ‘provisoire’, avant même que les Parlements nationaux [...], puissent se prononcer et valider ou rejeter le CETA », a dénoncé l’ONG Foodwatch dans une lettre ouverte à Matthias Fekl.  «Matthias Fekl et le gouvernement doivent prendre ouvertement position contre un passage en force. Car une possible entrée en vigueur de l’accord CETA sans consultation des parlementaires représente un « coup d’État démocratique », pour reprendre l’expression du ministre Fekl à propos du traité transatlantique.»

La loi travail : Ségolène Royal conteste le 49.3…et Valls

La loi travail : Ségolène Royal conteste le 49.3…et Valls

 

La bataille concernant la loi sur le travail est engagée au sein du gouvernement. Ségolène Royal vient de prendre la tête de la contestation contre le contenu actuel du projet de loi relatif à la réforme du marché du travail et contre l’utilisation du 49-3,  finalement contre Valls. Ségolène Royal a évidemment bien compris que Manuel Valls entendait reprendre la main pour apparaître au sein du gouvernement comme le chantre de la réforme et du libéralisme. Pour preuve, le fait qu’il ait  écarté Emmanuel Macron l’heure pour la  présentation du projet de loi au profit de l’inexpérimentée ministre du travail Myriam El Khomri. La bataille est donc à plusieurs étages ;  Valls veut montrer qu’il est autant réformateur qu’Emmanuel Macron et même davantage, Ségolène Royal par ailleurs ne veut pas laisser à Valls le leadership de la modernité le fond comme sur la forme de la réforme. Hollande pour ce qui le concerne se tient pour l’instant en retrait estimant quand même qu’il convenait d’unir le maximum de forces de gauche sur ce projet et qu’il ne fallait  pas utiliser a priori le 4-3. Au-delà du fond,  Valls veut surtout aussi affirmer sans leadership sur la gouvernance, montrer sa détermination et son autorité non seulement vis-à-vis des autres membres du gouvernement mais aussi sans doute vis-à-vis de François Hollande. Ségolène Royal a donc  regretté dimanche que la menace de la procédure prévue par l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter sans vote le projet de loi sur la réforme du code du travail ait été brandie avant même le débat parlementaire. Invitée du Grand Débat d’Europe 1-Le Monde-iTELE, la ministre de l’Ecologie a pris ses distances avec la tension suscitée, selon la presse, par cette question entre la présidence de la République et le Premier ministre, Manuel Valls. « C’est regrettable. On ne réforme pas bien un pays avec des tensions », a-t-elle dit. « On réforme un pays avec détermination, on réforme un pays avec imagination (…) en secouant les tabous (…), les lobbies de toute nature (…), les conservatismes. » « Ce n’est pas en commençant un débat parlementaire que l’on commence effectivement à dire, ‘si vous n’êtes pas d’accord, on mettra le 49.3′ », a-t-elle déclaré, tout en estimant que Myriam El Khomri avait peut-être été mal comprise. « Il faut faire attention à tous les raccourcis, toutes les caricatures. Jamais dans son interview la ministre du Travail ne dit pas qu’elle recourra au 49.3. Elle dit, ‘nous prendrons nos responsabilités’ », explique Ségolène Royal. « Donc je pense que cette polémique-là doit maintenant cesser. » Elle n’en estime pas moins que le projet de loi, qui sera présenté en conseil des ministres le 9 mars, doit encore être amélioré : « On voit bien la montée des objections, on voit bien l’incompréhension derrière un certain nombre de dispositifs. Donc il faut continuer à travailler. » Le débat parlementaire doit permettre, selon la ministre de l’Ecologie, de trouver un « juste équilibre » entre « nouvelle flexibilité » pour le marché du travail et acquis sociaux.

Syrie : un accord déjà contesté par la Russie

Syrie : un accord déjà contesté par la Russie

 

L’accord signé vendredi par le Groupe international de soutien à la Syrie (GISS) auquel appartient la Russie est déjà contesté par cette dernière. Pire sur le terrain la Russie et les troupes de Bachar al-Assad s’appuient sur cet accord pour trouver une légitimité aux bombardements des populations civiles et des rebelles modérés qui combattent l’État islamique. Manuel Valls, chef du gouvernement français, et le secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui assistent à Munich à la conférence annuelle sur la sécurité internationale, ont tous deux réclamé l’arrêt des bombardements russes dans les zones civiles. « La France respecte la Russie et ses intérêts, mais nous savons que, pour retrouver la voie de la paix, de la discussion, les bombardements des populations civiles doivent cesser », a déclaré le premier, s’adressant à son homologue russe Dmitri Medvedev. Le président français, François Hollande, avait tenu des propos identiques jeudi.  Dans un entretien accordé jeudi à l’AFP, Bachar al Assad a même affiché sa détermination à reprendre le contrôle de l’intégralité du territoire syrien. Le président syrien « se trompe s’il pense que le conflit peut être résolu par la force », a répliqué vendredi un porte-parole du département d’Etat.  Les forces gouvernementales ont néanmoins poussé leur avantage et se trouvent désormais aux portes de la province de Rakka, dans l’Est, dont elles ont été chassées en 2014 par les djihadistes de l’Etat islamique (EI), rapporte l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). Elles chercheraient ainsi à prévenir une intervention au sol de l’Arabie saoudite contre l’EI, qui a fait de Rakka la « capitale » de son califat. L’armée syrienne a par ailleurs annoncé la reconquête de nouvelles zones de la région d’Alep. Sa progression, soutenue par l’aviation russe, le Hezbollah libanais et des combattants iraniens, a permis de couper la principale voie d’approvisionnement des rebelles en provenance de la Turquie voisine.

 

(Avec Reuters)

Pollution : Renault conteste

Pollution : Renault conteste

À juste titre,  Renault conteste la validité des tests effectués sur ses véhicules dans la mesure où les vérifications ne sont pas effectuées dans des conditions réelles. Par ailleurs Renault considère que la plupart des marques dépasse les normes de pollution. « On ne peut pas dire qu’on ne respecte pas les normes parce que, quand on est en conditions réelles, il n’y a pas de normes », a précisé Renault qui . souligne que le cas du crossover urbain Captur 110cv, qui a dépassé également les normes d’homologation, était à part car son système de dépollution présentait un défaut qui a été corrigé.  Le rappel d’environ 15.000 modèles annoncé mardi matin par la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a ainsi débuté dès le mois de novembre, a-t-il ajouté.  Renault avait annoncé en fin d’année dernière son intention d’accélérer de plusieurs années son programme de Recherche & Développement de 1,2 milliard d’euros pour préparer les prochaines normes d’émissions à l’horizon 2017-2018.  Parmi les améliorations envisagées pour réduire l’écart entre les niveaux d’oxydes d’azote (NOx) requis pour la certification des véhicules et ceux mesurés en conditions plus réelles de conduite, Renault travaille notamment sur une optimisation de son système dit EGR. Celui-ci consiste à réinjecter dans le moteur des gaz d’échappement afin d’abaisser la température de combustion qui favorise la formation des oxydes d’azote. Ce système est complété par un ‘NOx Trap’, ou piège à NOx. La mesure concernant les véhicules nouveaux comme existants, les propriétaires de voitures diesel portant la dernière norme en vigueur Euro 6 pourront demander si une opération de maintenance est requise sur leur voiture. Il devrait s’agir d’une simple reprogrammation nécessitant une vingtaine de minutes. L’opération, qui sera offerte à l’automobiliste et ne représentera qu’un coût minime pour le constructeur, pourra être réalisée à l’occasion d’une visite de routine.

PSA : La CFDT conteste en justice les externalisations

PSA : La CFDT conteste en justice les externalisations

 

La CFDT a peut-être ses raisons pour contester les externalisations de certaines fonctions PSA. La CFDT un syndicat relativement moderniste et ouvert par rapport à l’archaïsme de la plupart des autres. Pour autant la requête en justice de la CFDT contestant ses les externalisations risque d’aboutir à un échec. En effet jusqu’à preuve du contraire une entreprise peut décider de la consistance de son organigramme et des tâches qu’elle confie à la sous-traitance. Si le dialogue social (qui s’est par ailleurs notoirement amélioré chez P est-ce à par rapport aux années antérieures été du niveau de celui de l’Allemagne il y aurait sans doute matière à discussion entre le syndicat et la direction puisque pratiquement le système économique et cogérer de manière très responsable outre-Rhin. En France nous sommes dans une autre situation qui ce caractérise le plus souvent par un affrontement stérile entre direction et syndicats. C’est sans doute dommage pour la requête de la CFDT mais la stratégie choisie risque de ne pas aboutir à grand-chose. La CFDT a annoncé vendredi avoir assigné en justice PSA Peugeot Citroën pour contester l’externalisation de certaines activités du constructeur automobile. L’assignation auprès du tribunal de grande instance de Versailles (Yvelines) a été adressée au groupe en milieu de semaine, a précisé une porte-parole du syndicat. « La CFDT considère que les services concernés par les externalisations ne sont pas des entités économiques autonomes (et) conteste, par voie de conséquence, les transferts envisagés », explique le syndicat dans un communiqué. PSA Peugeot Citroën a décidé d’externaliser des fonctions moins stratégiques dans le cadre de son plan de redressement « Back in the Race ».   »Nous regrettons cette position qui ne s’inscrit pas dans le cadre du dialogue social constructif chez PSA », a déclaré un porte-parole du groupe. « Nous espérons que la prochaine réunion permettra de revenir à un dialogue serein avec la CFDT. » Selon la CFDT, les externalisations annoncées en juillet dans certaines fonctions de R&D, qui concernent plusieurs centaines de personnes, devraient être assimilées à des restructurations et donc s’effectuer sur la base du volontariat. Pour répondre aux craintes suscitées par l’externalisation de certaines activités, la direction a programmé avec les syndicats plusieurs réunions depuis septembre. La prochaine doit se tenir la semaine prochaine.

Alcatel : le bonus du patron de plus en plus contesté

Alcatel : le  bonus du patron de plus en plus contesté

 

Sur le plan étique et social le bonus de près de 14 millions accordés au patron d’Alcatel est évidemment contestable. Mais il est aussi de plus en plus critiqué au plan juridique d’autant que l’intéressé a retrouvé immédiatement un poste de dirigeant chez Numéricable. On lui reproche surtout d’avoir tordu les textes qui prévoyaient ce parachute doré. Le haut comité de gouvernement d’entreprise aurait en effet  émis un avis défavorable sur la régularité des conditions financières du départ de l’ex-patron d’Alcatel-Lucent. L’étau se resserre autour de Michel Combes dont la révélation des généreuses conditions financières de départ a suscité l’émoi dans la classe politique.  Après le déclenchement d’une enquête de l’autorité des marchés financiers, le Haut comité de gouvernement d’entreprise (HCGE), dont l’avis a été transmis au conseil d’administration d’Alcatel-Lucent, aurait pointé plusieurs et significatives irrégularités à ce sujet, selon Europe1. Parmi les points pouvant poser problème, figure en tête la clause de concurrence de 4,5 millions d’euros, qui doit être payée en 3 fois, à l’ex-directeur général de l’industriel franco-américain des télécommunications.  Les interrogations soulevées portent notamment sur le calendrier de la décision d’octroyer un tel montant alors que, dès le printemps 2015, l’arrivée prochaine de Michel Combes chez SFR-Numéricable était un secret de polichinelle. Le conseil d’administration d’Alcatel-Lucent se réunira dans les meilleurs délais pour prendre sa décision en fonction de cet avis du HCGE (dont la teneur n’a pas été rendue publique), « des intérêts de l’entreprise et de ses parties-prenantes françaises et internationales ». Michel Combes avait quitté l’entreprise, le 31 août 2015, avec des conditions prévoyant le versement de près de 14 millions d’euros d’ici 2018, payables en actions et en stock-options.

Le plan climat d’Obama contesté par les lobbys

Le plan climat d’Obama contesté par les lobbies

 

Le plan d’ Obama qui vise à réduit les émissions de gaz à effet de serre et très contesté par les lobbys en particulier ceux du charbon. Un plan qui doit  surtout à substituer des énergies renouvelables aux centrales à charbon. Le président Barack Obama doit dévoiler ce lundi la version définitive de son plan de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre produites par les centrales électriques fonctionnant au charbon.  Le président Barack Obama doit dévoiler ce lundi la version définitive de son plan de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre produites par les centrales électriques fonctionnant au charbon, a déclaré dimanche un haut responsable de son administration. Cette version-là du plan « Clean Power » vise à réduire de 32%, à l’horizon 2030, les émissions de C02 provenant du secteur de la production d’électricité, par rapport à leur niveau de 2005. Cela représente une augmentation de 9% par rapport à la proposition antérieure. Ce plan augure d’une transformation notable du secteur de l’électricité, car il encourage le passage aux énergies renouvelables aux dépens de la production d’électricité à partir du charbon. Il se fonde sur la prévision d’une capacité, en 2030, de produire 28% d’électricité à partir d’énergies renouvelables, contre 22% dans la précédente version du plan, présentée en juin. Certains groupes industriels et des élus d’Etats qui dépendent d’une énergie à base de charbon ont annoncé leur intention de contester ce plan en justice ainsi qu’au Congrès, en accusant l’administration Obama d’être responsable d’une future hausse du prix de l’électricité. La Maison blanche a estimé que ce plan marquait « le coup d’envoi d’une offensive tous azimuts en faveur du climat » de la part du président et de son administration.  »Mon administration va rendre publique la version définitive du plan America’s Clean Power, la mesure la plus importante que nous ayons prise pour lutter contre les changements climatiques », a déclaré le président Barack Obama dans une vidéo mise en ligne par la Maison blanche ce week-end.

 

PSG : Blanc enfin contesté par la presse

PSG : Blanc enfin contesté par la presse

 

La presse sportive comme le reste des grands médias est légitimiste ; jusque là elle n’avait jamais émis la moindre critique à légard de Blanc l’entraineur du PSG. Il aura fallu une déclaration du président du PSG pour la question de la compétence de Blanc soit enfin posée. Pourtant il y a un an que le PSG ne produit plus grand chose, que ses vedettes sont endormies que Blanc lui-même paraît perdu. Pour résumer mauvaise condition physique, pas d’engagement, milieu insuffisant, défense fébrile et attaque maladroite . Tout le  contraire de Marseille qui n’a pas les vedettes du PSG. En cause évidemment et depuis longtemps le niveau pour gérer cette équipe de stars (par ailleurs trop payées). Un Blanc limité sur le plan intellectuel, psychologique et même tactique, bref qui ‘a pas le niveau international.  En avril dernier, Laurent Blanc avait subi une première salve suite à l’élimination en quarts de finale face à Chelsea. Plus que le résultat et la déception de ne pas intégrer le dernier carré européen, c’est l’impression générale laissée par le coach parisien qui avait interpellé du côté de Doha. Un plan de jeu sans surprise, un coaching contesté (l’entrée de Marquinhos à la place de Lucas en fin de match) : les propriétaires du PSG n’avaient guère goûté cet échec et cette nouvelle sortie prématurée. Huit mois plus tard, le débat a été relancé au soir d’une prestation décevante face au FC Barcelone. Si Laurent Blanc a été prolongé jusqu’en 2016 et si Nasser Al-Khelaïfi a souvent souligné la qualité du travail de son entraîneur, on ne peut ignorer les dernières déclarations du président parisien. Déçu par la qualité de jeu proposé, par les intentions mais aussi par le coaching, le big boss du PSG a fait passer un message très clair. Presque un ultimatum : « J’espère que la situation sera différente en février et que ce sera la dernière défaite de la saison. » En clair, Laurent Blanc sera jugé fin février et mi-mars lors des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Une élimination, même face au Real Madrid ou au Bayern Munich, sera considérée comme un échec et scellera le sort du technicien français. D’autant que Blanc ne pourra pas compter sur le soutien unanime d’un vestiaire qui doute de lui. Et encore moins sur celui des propriétaires à Doha qui ont visiblement déjà sondé quelques entraîneurs en Europe.

 

Déficits : Lagarde (FMI) conteste les arguments du gouvernement

Déficits : Lagarde (FMI)  conteste les arguments du gouvernement

 

Ce que reproche surtout Lagarde du FMI au gouvernement français c’est de beaucoup parler et d’agir peu, à cet égard il est vrai que les 50 milliards d’économies promis par Hollande relève encore beaucoup du virtuel ; Dans une interview aux Échos , Lagarde  démonte un à un les arguments du gouvernement français pour expliquer ses difficultés à réduire ses déficits et relancer sa croissance. «Même si l’inflation est plus faible que prévu, elle ne peut pas être utilisée comme un paravent pour reporter les efforts nécessaires sur la dépense», explique-t-elle ce lundi, rejetant ainsi l’argument avancé par le ministre des Finances, Michel Sapin. Ce dernier avait plaidé la semaine dernière qu’«on ne peut pas avoir les mêmes objectifs (d’économies) avec une inflation qui devient très faible». Le gouvernement français a été contraint cet été de revoir à la baisse ses ambitions en matière de réduction du déficit.  Autre argument du gouvernement français démonté par le FMI: le niveau élevé de l’euro. «Nous ne pensons pas que l’euro soit surévalué par rapport au dollar, assure Christine Lagarde. Sa valeur est compatible avec la balance des paiements de la zone euro». Depuis l’annonce, jeudi dernier, du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, de baisser les taux d’intérêt à 0,05%, la monnaie européenne est passé sous les 1,30 dollar. Une bonne nouvelle pour les exportations des entreprises françaises et une annonce que la dirigeante du FMI n’a pas manqué de saluer, tout en rappelant que les régulateurs devront se montrer «attentifs» au flot de liquidités que cette décision va engendrer. Christine Lagarde n’a pas manqué de défendre la stratégie de la BCE souvent prise en grippe par François Hollande et Manuel Valls. «La BCE fait beaucoup depuis deux ans, déclare-t-elle. Nous saluons le fait qu’elle soit prête à recourir à des mesures non conventionnelles supplémentaires si cela devenait nécessaire pour faire face au risque d’une période trop prolongée de faible inflation». Appelant la France à «passer des paroles aux actes», la dirigeante réclame que le pays accélère ses réformes pour réduire ses déficits. «Il faut garder le cap de la réduction des dépenses publiques», affirme l’ancienne ministre de l’Économie. En cela, Christine Lagarde salue la volonté de l’exécutif d’avancer par voie d’ordonnance. «Je m’en réjouis. Tout ce qui est de nature à accélérer la mise en œuvre de vraies réformes de fond va dans la bonne direction», conclut-elle.

 

Commission européenne: Moscovici contesté par Berlin

Commission européenne: Moscovici contesté par Berlin  

C’est pas gagné pour Moscovici ! Témoin cet échange significatif entre le ministre des finances français et le ministre allemand à propos de la candidature de Moscovici comme commissaire aux affaires économiques. Dans les Echos du  21 juillet « Il est légitime que la France occupe un poste important à la Commission Européenne ! », place Michel Sapin en visant les affaires économiques. « Plus on en parle, plus la décision est difficile à prendre », lui répond Wolfgang Schäuble, pour qui, clairement, la candidature de Pierre Moscovici n’est pas la seule option. Et pourtant, tente Michel Sapin, un Français à ce poste voudra tellement être irréprochable qu’il sera d’autant plus dur avec son pays, ce qui devrait rassurer l’opinion allemande.  La teneur de ces échanges entre les ministres des Finances français et allemand en dit long sur les négociations en cours. Elles sont très serrées. François Hollande, qui depuis sa campagne présidentielle milite pour une réorientation de l’Europe vers plus de croissance, veut que ce portefeuille très stratégique au sein de la Commission revienne à la France. Mais si cette thèse de Paris sur un meilleur équilibre entre croissance et austérité a gagné du terrain, l’Allemagne craint aussi qu’un ancien ministre des finances socialistes aux affaires économiques renvoie l’image d’une Commission qui se montrerait plus souple sur la discipline budgétaire.

 

1234



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol