Archive pour le Tag 'contagion'

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Sondage : Contagion du Brexit en Europe

Sondage : Contagion du Brexit en Europe

D’après un sondage IPSOS-Mori 45% des électeurs de huit pays européens, dont la France et l’Allemagne, aimeraient pouvoir se prononcer par référendum comme les Britanniques sur le maintien de leur pays au sein de l’Union européenne, selon un sondage Ipsos-MORI publié lundi. L’enquête a été menée auprès de 6000 personnes en Allemagne, en Belgique, en Espagne, en France, en Hongrie, en Italie, en Pologne et en Suède entre le 25 mars et le 8 avril. En moyenne, ils sont un tiers à se déclarer en faveur d’une sortie de l’UE, l’Italie et la France se distinguant avec respectivement 48 et 41% des personnes interrogées favorables à un divorce avec l’Union. A l’inverse, la Pologne (22%) et l’Espagne (26%) sont les deux pays les moins tentés par une telle issue.  »Les Italiens en particulier espèrent avoir eux aussi la possibilité de se prononcer dans les urnes sur leur appartenance à l’UE », commente Bobby Duffy, directeur des études chez Ipsos-MORI. Même si les Britanniques votaient le 23 juin prochain pour un maintien du Royaume-Uni dans l’UE, ajoute-t-il, les Européens n’en auraient donc pas fini avec leurs atermoiements et leurs interrogations sur l’avenir de la construction européenne.

 

(AFP)

Chine : bourse en déroute, contagion possible ?

Chine : bourse en déroute, contagion possible ?

Une situation catastrophique en Chine avec la chute des marchés. Une  chute qui pourraiat bien contaminer d’autres zones. D’abord parce que cours avaient exagérément augmenté, ensuite par que surtout l’usine du monde est en panne depuis plusieurs mois avec notamment uen industrie manufacturière atone. Du coup  les principales sociétés de Bourse chinoises et 25 des plus importantes sociétés de gestion de fonds communs de placement du pays ont annoncé samedi des mesures pour tenter d’endiguer la chute des marchés boursiers du pays, qui atteint près de 30% depuis la mi-juin. Des mesures forcément artificielles qui ne feront pas changer les fondamentaux (endettement, croissance, rentabilité).  Les 21 plus importantes sociétés de courtage du pays ont ainsi promis d’investir au moins 120 milliards de yuans (17,4 milliards d’euros) en actions tandis que les dirigeants de 25 des principaux fonds communs de placement (FCP) ont annoncé qu’ils allaient souscrire à des fonds de leur propre entreprise. Les gestionnaires de FCP vont aussi s’efforcer d’accélérer les procédures d’homologation et d’émission de fonds en actions, a précisé la fédération chinoise de gestion d’actifs dans un communiqué publié sur son site internet à l’issue d’une réunion à Pékin. La chute des marchés boursiers chinois ces dernières semaines préoccupe les autorités de Pékin comme les investisseurs étrangers, qui craignent de voir cette correction déstabiliser la deuxième économie mondiale, avec à la clé des répercussions internationales.

Espagne : contrairement à Hollande, on craint la contagion italienne

Espagne : contrairement à Hollande, on craint la contagion italienne

 

Hollande est rassurée, «  la crise est derrière nous, pas l’Espagne qui craint la remontée des taux (en train de s’amorcer). Du coup Le gouvernement espagnol étudie à nouveau  la possibilité d’une aide internationale, a déclaré lundi le ministre de l’Economie, Luis de Guindos, ajoutant que Madrid risquait de souffrir de l’impact des incertitudes politiques en Italie. Cette contagion était déjà à l’oeuvre lundi puisque l’écart de rendement entre les obligations d’Etat espagnoles et allemandes à dix ans remontait de 20 points de base, à 436 points à la mi-journée. Elle reste toutefois loin du record de plus de 650 points inscrit en juillet. Le rendement des emprunts espagnols à dix ans s’affichait à 5,63% vers 13h00 GMT, contre 5,49% vendredi, tandis que la Bourse de Madrid cédait 1,46%. « Chaque fois qu’il y a des doutes (…) par exemple dans le cas de l’Italie aujourd’hui, quand il y a des incertitudes sur la stabilité politique d’un pays voisin comme l’Italie, cela nous affecte immédiatement », a dit Luis de Guindos dans un entretien à une radio publique espagnole. La décision de Mario Monti, le président du conseil italien, de présenter la démission de son gouvernement sitôt le budget 2013 adopté au parlement provoque un regain de tensions sur le marché de la dette italienne et à la Bourse de Milan. Les analystes jugent toutefois faible le risque à court terme encouru par l’Espagne en raison de l’instabilité italienne. « Le risque est très limité à cause du programme d’achats d’obligations (annoncé par) la BCE. On ne va pas assister à une envolée des taux d’intérêt comparable à celle qu’on a connue avant l’été mais il y aura à l’évidence des tensions qui se traduiront peut-être par une demande plus faible lors des prochaines adjudications obligataires », explique Jose Luis Martinez, économiste de Citigroup.

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