Archive pour le Tag 'consulter'

Réforme des retraites : les syndicats demandent de consulter les Français

Réforme des retraites : les syndicats demandent de consulter les Français

Les responsables syndicaux appellent Emmanuel Macron à consulter le peuple sur la réforme des retraites et dénoncent le refus du Président de les recevoir

C’est évidemment une sorte de bras d’honneur qu’ adresse Macron aux syndicats avec sa lettre particulièrement hypocrite qui détourne la demande d’audience vers la première ministre qui elle-même l’oriente vers le ministre du travail qui, lui, fait la sourde oreille.

« Puisqu’il est si sûr de lui, le président de la République, il n’a qu’à consulter le peuple. On verra la réponse du peuple », a appelé le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez. « La détermination est là, on est passé même à un stade de grosse colère, avec ce qu’a fait le président de la République », vendredi, en rejetant la demande des syndicats de le rencontrer, a ajouté Philippe Martinez, qui va jusqu’à parler d’un « bras d’honneur » d’Emmanuel Macron. « Sans doute il faut aller vers une consultation citoyenne », a appuyé son homologue de la CFDT Laurent Berger.

« Le bras d’honneur que nous fait le président de la République avec sa réponse, c’est prendre le risque que le mouvement social dégénère », a renchéri le secrétaire général de FO Frédéric Souillot. « FO va proposer qu’on ait trois journées, les 15-16-17, de grèves et de manifs », a-t-il affirmé.

De son côté, le président de la CFE-CGC, François Hommeril, veut croire à la « raison » revienne à l’exécutif. « On ne peut diriger, on ne peut pas emmener vers l’avant un pays comme la France en misant sur la résignation de sa population. C’est la chose la plus grave de ce moment », a-t-il regretté.

Alors que le recours à l’article 49.3 qui permettrait d’approuver le texte sans vote n’est pas exclu, le secrétaire général de la FSU Benoît Teste dénonce un potentiel « coup de force démocratique » qui redonnerait « du souffle à la mobilisation ».

3 mois d’attente pour consulter un ophtalmo

3 mois d’attente pour consulter un ophtalmo

 

Les délais pour consulter un spécialiste sont de plus en plus longs. Jusqu’à trois mois en moyenne pour un ophtalmologue, 50 jours pour un cardiologue. En cause évidemment le vieillissement de la population, aussi les progrès extraordinaires de la médecine et paradoxalement un manque récurrent de médecins dans toutes les disciplines, généralistes compris. P on fait de plus en plus appel médecin étranger notamment en provenance des ex pays de l’Est. Mais le vrai problème réside dans ce fameux numerus clausus qui limite la le nombre d’étudiants en médecine. Certes le gouvernement vient de décider de faire partiellement sauter ce verrou mais il faudra une douzaine d’années avant d’en mesurer les effets, c’est-à-dire le temps de formation d’un médecin.  Or le délai d’attente chez l’ophtalmo risque bien de s’allonger dans les années à venir, car la densité d’ophtalmo devrait encore se réduire de 20% d’ici 2030, a souligné la Cour des Comptes la semaine dernière dans son rapport annuel sur la Sécurité Sociale. Selon le SNOF, la solution réside plutôt dans la nécessaire augmentation du nombre de jeunes ophtalmos, alors que le nombre actuel d’internes autorisés à passer leur diplôme est largement insuffisant. C’est d’ailleurs la raison principale des délais d’attente.

Service national : pour justifier son recul, Macron va consulter les jeunes !

Service national : pour justifier son recul,  Macron va consulter les jeunes !

Macron est tellement empêtré dans sa promesse de service national universel qu’i n’a pas trouvé d’autre solution que de consulter les jeunes qui évidemment en majorité ne sont pas favorable à cette contrainte. Officiellement, il s’agirait d’obtenir une meilleure adhésion au projet ; En réalité cette consultation permettrait de réduire au strict minimum le service dit universel à un mois. Pour ceux qui le veulent, une très petite minorité, une deuxième phase d’ »engagement volontaire au service du pays » d’une durée de trois à six mois, avant 25 ans, pourrait s’effectuer soit dans la sphère militaire, soit dans le civil (pour une majorité). En fait Bercy est contre la mesure à cause de son coût, le lobby militaire aussi car il ne veut pas qu’on ampute son budget. Une fois raboté à pas grand-chose, le SNU coûterait 1,6 milliard d’euros, un montant « raisonnable », estiment les auteurs, qui pointent toutefois plusieurs difficultés à surmonter : encadrement, nécessaire révision de la Constitution, mais aussi hébergement. Les internats scolaires risquent de ne pas suffire, il faudra donc investir quelque 1,75 milliard d’euros dans de nouvelles infrastructures, juge le rapport, qui exclut le recours aux casernes militaires. Les auteurs suggèrent ainsi de se donner du temps pour mettre en place le dispositif, qui débuterait mi-2019 par une phase pilote, avant d’être progressivement étendu à 700.000 jeunes d’ici 2026. A l’origine, le candidat Macron avait promis en mars 2017 de rétablir un « service militaire universel », obligatoire et d’une durée d’un mois. En février, le chef de l’État s’est finalement prononcé en faveur d’un service « obligatoire » d’une durée totale de « trois à six mois », en le recentrant sur un engagement plus civique que militaire, alors que les armées, déjà très mobilisés sur le front des opérations, redoutaient d’être fortement mises à contribution. On s’orienterait toutefois de nouveau vers un service national qui ne serait obligatoire qu’un seul mois.




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