Archive pour le Tag 'construire'

Immobilier : construire plus haut ! ( Conseil national de l’habitat )

Immobilier : construire plus haut !  ( Conseil national de l’habitat )

 

 

Le conseil national de l’habitat n’a pas découvert la lune. Il s’aperçoit simplement que face à la crise du logement dans les zones très denses, la seule solution est de construire plus haut. Évidemment pas de remise en cause de l’aménagement du territoire avec une répartition plus équilibrée sur le plan économique et démographique. On reprend donc les recettes d’antan qui avait été critiquées du fait de leur extrême concentration démographique au kilomètre carré. Conclusion là où  la crise présente un grand caractère de gravité, c’est-à-dire là où déjà les populations sont le plus concentrées, le député Aurélien taché ( président aussi du conseil national de l’habitat) propose de construire plus haut. Construire plus.. C’est la proposition iconoclaste que fait le Conseil national de l’habitat (CNH) dans le rapport qu’il vient de finaliser.  Organe consultatif, le CNH réunit des professionnels de l’immobilier, des élus locaux et nationaux, des représentants de l’administration, des associations et des personnalités qualifiées. L’objectif de ce dernier rapport, impulsé par le député, était de faire des recommandations de politique publique pour réaliser le «choc d’offre» voulu par le président de la République. La Fédération des promoteurs immobiliers et la Fédération française du bâtiment ont désigné les deux rapporteurs.

 

Le Qatar va construire une mega centrale solaire

Le Qatar va construire une mega centrale solaire

 

 

La plus grande centrale solaire d’une puissance de 800 MW  ( 1000  MW pour une  centrale nucléaire en moyenne ) sera construite par Total et le japonais Marubeni  au Qatar. Un projet particulièrement bien adapté à l’ensoleillement du pays mais qui exigera une occupation au sol de 10 km². Une solution pour des pays comme le Qatar( ou en )  en Afrique mais qui devrait encore mieux s’  articuler avec des installations plus réduites voir individuelles pour  tendre vers des bâtiments autonomes en énergie.

Le coût du projet s’élève à environ 1,7 milliard de riyals (421 millions d’euros), a précisé Saad al Kaabi, qui est également directeur général de la compagnie Qatar Petroleum (QP), lors d’une conférence de presse à Doha. Siraj Energy, une coentreprise entre QP et Qatar Electricity and Water Company (QEWC), détiendra une part de 60% dans la centrale, Total et Marubeni se partageant les 40% restants. La centrale devrait atteindre sa pleine capacité d’ici le premier trimestre 2022, a déclaré Saad al Kaabi.

BTP-permis de construire : baisse dangereuse

BTP-permis de construire : baisse dangereuse

On sait évidemment que l’évolution des permis de conduire de construire nourrit  la conjoncture du BTP de demain.  De ce point de vue, la baisse récente est inquiétante. Une baisse essentiellement nourrie par la diminution des projets de construction collective. L’avenir de la construction ne génère pas l’optimisme d’autant qu’en ce moment même les mises en chantier sur une pente nettement baissière, autour de 8 %. Peut-être faut-il voir là comme facteur explicatif les errements et  les hésitations du gouvernement dans son rapport au logement

Entre mai et juillet, 115.500 nouveaux logements ont été autorisés, soit un déclin de 4,1% par rapport à la même période de 2018. Les spécialistes évoquent l’annonce de la fin de certains effets d’aubaine avec la suppression prochaine de dispositifs comme le prêt à taux zéro (PTZ)…

Les permis de construire des logements ont repris leur recul, engagé depuis près de deux ans, en juillet en France après s’être stabilisés au second trimestre, tandis que les mises en chantier poursuivaient leur déclin, selon des chiffres officiels publiés mercredi.

Entre mai et juillet, 115.500 nouveaux logements ont été autorisés, soit un déclin de 4,1% par rapport à la même période de 2018, selon les chiffres mensuels du ministère de la Cohésion des Territoires, dont dépend le logement.

Du côté des mises en chantier, la construction de 99.200 logements a été entamée, soit un recul de 6,0% sur un an.

Ce recul des permis de construire marque, pour juillet, un retour à la tendance générale à la baisse observée depuis plus d’un an et demi. En effet, les permis s’étaient établis à un niveau stable, sur un an, entre avril et juin, soit le second trimestre.

Certains économistes avaient évoqué, à l’époque, un effet d’aubaine sur le marché des maisons, avant la suppression annoncée pour 2020 d’aides publiques comme le prêt à taux zéro, dans les zones les plus concernées.

De fait, pour la période mai-juillet, les permis de construire s’inscrivent toujours en hausse (+3,3%) pour les logements individuels « purs », soit le gros du marché des maisons, même s’ils reculent (-3,3%) pour leurs homologues « groupés », conçus au sein de programmes.

Pour les logements collectifs, c’est-à-dire les immeubles, le recul des permis, déjà sensible au second trimestre, s’accentue (-8,2%) pour la période mai-juillet, toujours sur un an.

Immobilier-permis de construire : baisse de 10%

Immobilier-permis de construire : baisse de 10%

Les permis de construire de logements, indicateur avancé de l’immobilier neuf, ont nettement reculé entre juillet et septembre en France, même s’ils ralentissent légèrement leur chute, tandis que les mises en chantier ont creusé leur recul, montrent des statistiques publiées lundi.Au cours de ces trois mois, les permis de construire se sont élevés à 122.100, soit une baisse de 10,2% par rapport à la même époque de 2017, selon les chiffres du ministère de la Cohésion des Territoires. Le nombre de mises en chantier diminue, lui, de 7,9% à 85.100.

Logement : «Construire plus et moins cher » (Chanut)

Logement :  «Construire plus et moins cher » (Chanut)

Dans une intreview au Figaro jacques Chanut livre ses propositions pour relancer le logement, il aborde auusi le prix mais ne va sans doute pas assez loin. Il est clair pourtant qu’il s’agit de la question centrale car eu égard  la situation économique et sociale la cible des acheteurs solvable est de pus en plus réduite. Il faudrait diminuer les prix d’au mois 30% pour resolvabiliser la demande.

Club Immo : Avec des mises en chantiers de logements toujours dans le rouge, quand peut-on espérer une véritable reprise ?

Jacques Chanut : Cette reprise nous l’attendons de pied ferme  depuis des années et les entreprises veulent vraiment voir le bout du tunnel. L’espoir  est revenu avec un certain nombre d’annonces gouvernementales ces dernières semaines. En attendant, l’activité est en baisse depuis 2008.  En 2014, les chiffres vont être plus mauvais que prévu. Nous étions partis sur une baisse d’activité de 0, 4 %,  malheureusement nous devrions atteindre – 1, 5 %.  Ce résultat succède à une année 2013 déjà négative avec – 3, 5 %.

 

Les mesures de Manuel Valls pour tenter de relancer le logement vont-elles dans le bon sens ?

Cela va dans le bon sens et la plupart de nos demandes ont d’ailleurs été entendues.  Ce plan de relance du logement neuf est équilibré sur les secteurs clés : le logement social est maintenu avec une confirmation d’aides, l’investissement locatif qui était bloqué depuis la loi Duflot, à moins de 30 000 logements, devrait rebondir avec le nouveau dispositif Pinel, s’il est voté en tant que tel. Enfin,  les conditions plus attractives du prêt à taux zéro pour les primo-accédants devraient dynamiser les ventes et donc la production de logements. Les trois piliers essentiel du logement neuf sont aujourd’hui soutenus.  Ce plan de relance sera-t-il suffisant ? Nous ne verrons les effets de ces annonces que l’année prochaine, peut-être un peu en fin d’année sur l’investissement locatif.

Quelles sont les autres priorités ?

Le marché de la rénovation représente 50 % de l’activité de nos entrepreneurs et de nos artisans.  Les annonces de Ségolène Royale vont aussi dans le bon sens, reste à les faire voter.  Sur les pistes d’amélioration, il faut voir réellement comment demain construire moins cher par rapport à d’autres pays européens. Construire moins cher cela ne  veut pas dire construire moins bien, ni de façon « low-cost » avec des travailleurs détachés, en situation irrégulière, cela veut dire simplifier les normes, les rendre accessibles à tous.

Quelles sont les grandes tendances, les innovations dans le domaine de la construction ?

Des pistes de progrès peuvent être réalisées en termes de gestion du logement. Nous croyons beaucoup à la maquette numérique. Regrouper sur un même système informatique tous les plans, toutes les réservations, les annotations, là on ne peut que gagner du temps, et donc faire des économies sur la construction en évitant des erreurs.  Il faut regarder les systèmes de production sur nos chantiers là où des gains de productivité peuvent être réalisés, tout en gardant l’esprit architectural français pour répondre à l’attente de nos concitoyens. L’époque des barres répétitives est révolue. Le choix des matériaux peut être optimisé et en simplifiant les normes, nous serons sur une tendance lourde d’économies  du coût de la construction.  Celui-ci ne représente que 50 % du coût du logement. Si l’on veut faire baisser le coût du logement, il faut aussi prendre en compte tout ce qui est autour : des frais annexes au financier en passant par le juridique, notamment.

 

GDF Suez va construire 125 éoliennes en mer

GDF Suez va construire 125 éoliennes  en mer

GDF Suez construira 124 éoliennes au large du Tréport (Seine-Maritime) d’une part, de l’île d’Yeu et de Noirmoutier (Vendée) d’autre part pour une capacité totale de 1.000 mégawatts (MW), équivalant à la puissance d’un réacteur nucléaire, pour un coût total de 4 milliards d’euros. GDF Suez, en partenariat avec le portugais EDP Renewables et le français Neoen Marine, s’appuiera sur une nouvelle turbine de 8 MW développée par Areva. Pour ce deuxième appel d’offres lancé en France pour des éoliennes en mer, ce consortium était face à un autre emmené par EDF. EDF Energies nouvelles, en partenariat avec l’allemand WDP offshore, avait proposé une turbine développée par Alstom d’une puissance de 6 MW. « Je souhaite que nous puissions disposer d’une capacité de production électrique en mer de 6.000 MW en 2020, ce qui permettra de couvrir 3,5% de notre consommation d’électricité », a déclaré Ségolène Royal lors d’une conférence de presse, contre 3.000 sur les appels d’offres attribués à ce jour. « Ma volonté est de faire en sorte que la France soit une des premières puissances écologiques d’Europe, elle en a les moyens, la capacité, les compétences », a-t-elle ajouté. Interrogée sur les raisons du choix de GDF Suez, Ségolène Royal a souligné que la course avait été serrée et qu’elle avait suivi l’avis de la Commission de régulation de l’énergie.  Le consortium emmené par GDF Suez misait surtout sur sa turbine de 8 MW – contre six pour celle d’Alstom –, qui permettra d’implanter 30 % d’éoliennes de moins que son concurrent, pour une production d’électricité équivalente.




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