Archive pour le Tag 'consommation'

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Consommation mondiale de charbon : encore en hausse

Consommation mondiale de charbon : encore en hausse

En matière d’environnement , il y a évidemment les discours mais aussi la pratique et entre les deux, le fossé d’hypocrisie. Alors que va commencer cette semaine COP 28 à Dubaï, les dernières statistiques montrent que la consommation de charbon atteint encore des records. À noter en particulier le discours ambigu en Allemagne avec des références permanentes aux énergies alternatives alors que dans la pratique une quinzaine de centrales électriques au charbon ont été mise en service pour réduire la dépendance au gaz russe.

Gordon Brown, ancien premier ministre britannique espère mes doutes du succès de la COP28 :

Il y a quatorze ans, lors du sommet de Londres, en avril 2009, les dirigeants du G20 avaient relevé le défi de la crise financière mondiale, en engageant 1 000 milliards de dollars (917 milliards d’euros) de fonds supplémentaires pour contrer la grande récession qui avait éclaté l’année précédente. Aujourd’hui, pour faire face à une crise climatique qui s’aggrave et qui devient de plus en plus une menace existentielle, la communauté internationale doit mobiliser des montants plus élevés encore : 1 000 milliards de dollars par an de flux publics et privés en direction du Sud global pour financer sa transition écologique, selon Mari Elka Pangestu, l’ancienne directrice générale de la Banque mondiale pour les politiques de développement et les partenariats.

Aucune avancée ne pourra cependant avoir lieu sans un accord entre pays développés sur la question de savoir qui en supportera les coûts. Le doute règne d’ores et déjà quant à la capacité des Etats-Unis à respecter leur contribution au fonds climatique de 100 milliards de dollars, convenue durant la COP15 de Copenhague en 2009, bien que le pays ait réaffirmé son engagement cet été à Paris.

Par ailleurs, les appels en faveur du transfert de 100 milliards de dollars de droits de tirage spéciaux inutilisés (l’actif de réserve du Fonds monétaire international) par les pays à revenu élevé en direction des pays les plus vulnérables face au climat – un élément-clé de l’Agenda de Bridgetown de la première ministre de la Barbade, Mia Mottley – sont pour l’essentiel restés sans réponse. Quant au fonds « pertes et dommages » créé en 2022 lors de la COP27 en Egypte, il ne mobilise pas encore de grands donateurs à ce jour.

Consommation et Baisse des prix : les mensonges du ministre de l’économie

Consommation et Baisse des prix : les mensonges du ministre de l’économie

Le ministre de l’économie est un peu comme la grenouille qui voudrait se faire plus grosse que le bœuf. Il y a des mois, il avait annoncé la baisse des prix pour le début de l’été; Puis reportée à la fin de l’été et maintenant qui serait réel depuis octobre. La vérité est différente. Certes en octobre l’inflation a reflué à 4 % sur un an soit effectivement un recul par rapport à septembre qui affichait plus 4,9 %. Mais contrairement à ce qu’affirme le ministre de l’économie les prix ne baissent nullement. Au contraire il continue d’augmenter car l’inflation de 4 % en octobre se cumule avec les inflations précédentes et les prix atteignent des sommets jamais atteints.

Les chiffres provisoires de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) situent la hausse des prix à 4% au mois d’octobre, marquant une baisse significative par rapport aux chiffres du mois de septembre (4,9%) mais cela ne provoque pas pour autant au contraire une diminution des prix. À noter par ailleurs que l’inflation diminue davantage en Europe qu’en France en moyenne.

Le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, Par ailleurs candidat à la candidature pour les présidentielles de 2027, s’est d’ailleurs encore montré très optimiste mardi matin, en réaction aux chiffres de la hausse des prix du mois d’octobre. «Nous sommes en train de sortir de la crise inflationniste», a-t-il déclaré. Il y a un an presque jour pour jour, le même Bruno Le Maire pariait en outre sur un rétablissement du thermomètre des prix autour de la barre des 2% «courant 2024».Mais il ne s’agit nullement d’un thermomètre des prix mais d’un thermomètre de l’inflation !

Consommation: un changement durable ?

Consommation: un changement durable ?

Du fait de la réduction du pouvoir d’achat, les ménages ont été contraints de réduire leur consommation en volume. Mais cette évolution pourrait être structurelle, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps. Les consommateurs modifient en effet non seulement la quantité des achats mais aussi leur nature et leurs marques. Ce que confirme le président de Leclerc dans une interview au Figaro. Une évolution qui va dans le bon sens d’un point de vue écologique mais qui peut aussi affecter la santé quand on est contraint d’acheter des produits de médiocre qualité.

Les prix alimentaires ont commencé à reculer. Cela peut-il ralentir la chute des ventes?

Michel-Édouard LECLERC. – Non, j’en ai peur, car la très légère baisse des prix d’un mois sur l’autre (0,5 %) n’est pas perceptible par nos clients, qui savent que les prix restent 20 % plus élevés qu’il y a deux ans. Face à l’inflation, ils ont réduit leur consommation. Mais à cela s’est ajoutée une suspicion sur le niveau des prix, qui n’est pas levée.

La vente de carburant à prix coûtant a-t-elle un impact sur la fréquentation des hypermarchés?

Ces opérations font un carton mais n’ont pas d’impacts majeurs sur nos ventes en rayon. Nos volumes de carburant augmentent de 20 % à 30 % quand nous le vendons à prix coûtant. Les clients accueillent ces quelques centimes de rabais au litre comme un acte de bienveillance, comme avec la baguette à 29 centimes, le prix des masques et des autotests pendant le Covid.

Ménages et Consommation: un changement durable

Ménages et Consommation: un changement durable

Du fait de la réduction du pouvoir d’achat, les ménages ont été contraints de réduire leur consommation en volume. Mais cette évolution pourrait être structurelle, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps. Les consommateurs modifient en effet non seulement la quantité des achats mais aussi leur nature et leurs marque. Ce que confirme le président de Leclerc dans une interview au Figaro. Une évolution qui va dans le bon sens d’un point de vue écologique mais qui peut aussi affecter la santé quand on est contraint d’acheter des produits de médiocre qualité.

Les prix alimentaires ont commencé à reculer. Cela peut-il ralentir la chute des ventes?

Michel-Édouard LECLERC. – Non, j’en ai peur, car la très légère baisse des prix d’un mois sur l’autre (0,5 %) n’est pas perceptible par nos clients, qui savent que les prix restent 20 % plus élevés qu’il y a deux ans. Face à l’inflation, ils ont réduit leur consommation. Mais à cela s’est ajoutée une suspicion sur le niveau des prix, qui n’est pas levée.

La vente de carburant à prix coûtant a-t-elle un impact sur la fréquentation des hypermarchés?

Ces opérations font un carton mais n’ont pas d’impacts majeurs sur nos ventes en rayon. Nos volumes de carburant augmentent de 20 % à 30 % quand nous le vendons à prix coûtant. Les clients accueillent ces quelques centimes de rabais au litre comme un acte de bienveillance, comme avec la baguette à 29 centimes, le prix des masques et des autotests pendant le Covid.

Consommation: Le prix est devenu critère majeur

Consommation: Le prix est devenu critère majeur

Face à l’inflation en particulier dans le domaine alimentaire le prix est devenu le critère central pour les consommateurs estime le président d’Intermarché. Interview dans la Tribune.

Le prix reste-t-il déterminant, même si l’inflation a diminué de 0,5 % en septembre ?

Il demeure sans discussion le critère absolu pour les consommateurs. Un signe parmi d’autres : les clients se rendaient en moyenne dans 4,2 enseignes distinctes en 2013. Ce chiffre est monté à 8 dix ans plus tard. Les consommateurs sont plus que jamais à l’affût des meilleures offres, quel que soit le type de magasin.

Face à l’inflation, comment le comportement des consommateurs a-t-il évolué ?

Ils font leurs courses plus souvent. Et diminuent leurs achats d’environ 5 %. Certaines familles de produits sont plus touchées, comme le poisson, en baisse de 10 à 15 %, ou la viande, qui diminue de 5 %. Les produits d’hygiène, dont le shampoing ou le dentifrice, accusent entre 4 % et 8 % de baisse.

Le fossé se creuse-t-il entre les différents acteurs de la grande distribution ?

Les indépendants – Leclerc, Système U, Intermarché – restent très proches les uns des autres, avec des écarts sur les étiquettes de 0 à 4 %. Les groupes intégrés sont généralement 10 % à 20 % plus chers.

Le coût du carburant est un sujet majeur pour les Français. Où en êtes-vous après l’échec de la vente à perte suggérée par le gouvernement ?

Cette idée n’était pas économiquement viable. Le poids du carburant dans le chiffre d’affaires des enseignes du secteur est trop important. Il représente, selon les supermarchés du groupement, de 30 % à 50 % des ventes. Et de 10 % à 15 % pour un hyper. Nous avons 1 642 stations-service, soit une tous les 17 kilomètres.

Nous vendons 6 milliards de litres de carburant par an, pour 11,5 milliards d’euros. Proposer de vendre le carburant à prix coûtant ponctuellement était plus responsable. Les Français font en moyenne un plein tous les quinze jours. Nous nous sommes alignés sur cette fréquence. Le pouvoir d’achat et l’inflation sont des sujets qui doivent être partagés par tous, acteurs économiques et pouvoirs publics. Or les pétroliers nous vendent le carburant en encaissant une marge de 15 %. Cette dernière doit être une variable d’ajustement.

Les Mousquetaires sont aussi producteurs. Baissez-vous vos prix sur vos produits ?

Notre outil industriel, avec 56 usines en France, nous le permet. Nous proposons de la viande ou du poisson de qualité à moins de 10 euros. Ce que les grandes multinationales n’ont pas voulu consentir comme effort, nous l’avons fait. Avec succès. Nous avons gagné 500 000 nouveaux clients depuis le début de l’année. C’est énorme.

Les multinationales continuent-elles d’augmenter leurs prix ?

Les PME jouent le jeu. Pas les multinationales. Au contraire : elles ont déjà augmenté leurs prix de 20 % à 25 %. Et annoncent des hausses supplémentaires de 10 % !

Comment réagissez-vous ?

On dit stop. On sélectionne les assortiments et on diminue le nombre de références des marques qui ne jouent pas le jeu. C’est le seul moyen de baisser le coût du panier du consommateur. Kellogg’s ou Unilever sont les champions de l’augmentation des prix. Seules leurs marges comptent, même s’ils mettent en avant leurs coûts de production. Comme Les Mousquetaires ont des usines en France, nous les connaissons aussi bien qu’eux. Le poids des dépenses alimentaires dans le budget des Français a bondi de 12 % à 16 % en trois ans. S’il ne redescend pas à 13 % ou 14 %, de multiples filières agricoles souffriront des conséquences. Notre mission collective doit être de limiter ces hausses pour préserver le pouvoir d’achat des Français.

Les Restos du Cœur annoncent devoir pour la première fois refuser du monde. Allez-vous les aider ?

Les Mousquetaires ont une responsabilité sociétale, avec 150 000 salariés et 3 000 chefs d’entreprise. Nous avons donné 1 million d’euros de produits aux Restos du Cœur, nos partenaires depuis trente ans. Si tous les industriels et acteurs économiques s’y mettent, la précarité sera vaincue. Et les Restos auront les millions d’euros qui leur manquent. Il faut une « union sacrée ». ■

Société et Consommation: un changement durable

Société et Consommation: un changement durable

Du fait de la réduction du pouvoir d’achat, les ménages ont été contraints de réduire leur consommation en volume. Mais cette évolution pourrait être structurelle, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps. Les consommateurs modifient en effet non seulement la quantité des achats mais aussi leur nature et leurs marque. Ce que confirme le président de Leclerc dans une interview au Figaro. Une évolution qui va dans le bon sens d’un point de vue écologique mais qui peut aussi affecter la santé quand on est contraint d’acheter des produits de médiocre qualité.

Les prix alimentaires ont commencé à reculer. Cela peut-il ralentir la chute des ventes?

Michel-Édouard LECLERC. – Non, j’en ai peur, car la très légère baisse des prix d’un mois sur l’autre (0,5 %) n’est pas perceptible par nos clients, qui savent que les prix restent 20 % plus élevés qu’il y a deux ans. Face à l’inflation, ils ont réduit leur consommation. Mais à cela s’est ajoutée une suspicion sur le niveau des prix, qui n’est pas levée.

La vente de carburant à prix coûtant a-t-elle un impact sur la fréquentation des hypermarchés?

Ces opérations font un carton mais n’ont pas d’impacts majeurs sur nos ventes en rayon. Nos volumes de carburant augmentent de 20 % à 30 % quand nous le vendons à prix coûtant. Les clients accueillent ces quelques centimes de rabais au litre comme un acte de bienveillance, comme avec la baguette à 29 centimes, le prix des masques et des autotests pendant le Covid.

Consommation: un changement durable

Consommation: un changement durable

Du fait de la réduction du pouvoir d’achat, les ménages ont été contraints de réduire leur consommation en volume. Mais cette évolution pourrait être structurelle, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps. Les consommateurs modifient en effet non seulement la quantité des achats mais aussi leur nature et leurs marque. Ce que confirme le président de Leclerc dans une interview au Figaro. Une évolution qui va dans le bon sens d’un point de vue écologique mais qui peut aussi affecter la santé.

Les prix alimentaires ont commencé à reculer. Cela peut-il ralentir la chute des ventes?

Michel-Édouard LECLERC. – Non, j’en ai peur, car la très légère baisse des prix d’un mois sur l’autre (0,5 %) n’est pas perceptible par nos clients, qui savent que les prix restent 20 % plus élevés qu’il y a deux ans. Face à l’inflation, ils ont réduit leur consommation. Mais à cela s’est ajoutée une suspicion sur le niveau des prix, qui n’est pas levée.

La vente de carburant à prix coûtant a-t-elle un impact sur la fréquentation des hypermarchés?

Ces opérations font un carton mais n’ont pas d’impacts majeurs sur nos ventes en rayon. Nos volumes de carburant augmentent de 20 % à 30 % quand nous le vendons à prix coûtant. Les clients accueillent ces quelques centimes de rabais au litre comme un acte de bienveillance, comme avec la baguette à 29 centimes, le prix des masques et des autotests pendant le Covid.

Électricité : vers une limitation forcée de la consommation ?

Électricité : vers une limitation forcée de la consommation ?


Un projet de décret consulté par La Tribune: celui-ci prévoit de mener un test grandeur nature, consistant à limiter la demande d’électricité de quelque 200.000 Français équipés d’un compteur Linky.Une menace qui pourrait bien contribuer à tuer la perspective de développement des pompes à chaleur !

Concrètement, les ménages en question devront se contenter d’un « seuil de puissance minimal permettant de faire fonctionner les équipements courants peu énergivores », sur une période courant de la date de publication du décret jusqu’au 31 mars 2024. L’expérimentation pourrait avoir lieu un jour ouvré « entre 6h30 et 13h30 et entre 17h30 et 20h30 », pendant une durée maximale de 4 heures, sans aucun recours ni indemnisation possible de la part de l’Etat.

De quoi déclencher l’ire de plusieurs parties prenantes. « Le texte a été préparé sans associer les représentants des consommateurs et les fournisseurs. [...] Nous nous inquiétons des impacts qu’il pourrait avoir, notamment sur les logements avec des pompes à chaleur (PAC) », note-t-on à l’Anode, l’association professionnelle des fournisseurs alternatifs d’électricité et de gaz. « Si vous vous chauffez avec une PAC, celle-ci risque de tirer trop fort et donc de faire sauter le courant chez vous ! », abonde un fournisseur d’énergie ayant requis l’anonymat, dénonçant des méthodes « un peu soviétiques ».

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Consommation : baisse et changement de comportement

Consommation : baisse et changement de comportement

Les grandes marques, les distributeurs et le gouvernement se veulent rassurants vis-à-vis de la consommation. L’évolution actuelle ne serait que temporaire. En réalité il y a bien des évolutions conjoncturelles mais aussi structurelles.

L’Insee démontrait le mois dernier que près d’un ménage sur deux (47%) déclarait, en juin, avoir changé ses habitudes de consommation alimentaire depuis un an du fait de l’inflation.

«Un tsunami de déconsommation». L’expression a été lâchée, à la fin du mois d’août, par le patron de Carrefour Alexandre Bompard sur le plateau de Franceinfo. Confrontés depuis de longs mois à une inflation galopante, quoiqu’en décrue, les Français se serrent la ceinture et limitent leurs achats. Un constat inédit, observé aussi bien par les distributeurs que les industriels et autres spécialistes de la grande consommation.

L’inflation est bien entendue responsable de la baisse de volume des produits achetés. Sur deux ans les produits alimentaires ont en effet progressé de l’ordre de 20 % ce qui n’est pas rien une partie du budget qui représente autour de 25 % des ménages.

Mais les ménages en a aussi profité pour changer non seulement le volume mais aussi la nature des marchandises. Certaines marchandises leur sont apparues superflues, d’autres ont fait l’objet d’un changement de marque, d’autres enfin sont achetés mais de manière davantage parcimonieuse.

Dans son dernier point de conjoncture, le mois dernier, l’Insee soulignait que près d’un ménage sur deux (47%) déclarait en juin avoir changé ses habitudes de consommation alimentaire depuis un an du fait de l’inflation. Une proportion en hausse de dix points depuis décembre 2022.

Prix et carburant: La consommation diminue

Prix et carburant: La consommation diminue


L’Union française des industries pétrolières, l’Ufip Mobilités et énergies, indique que la consommation de carburants a diminué de 1,7% depuis début 2023 par rapport à la même période l’année dernière. Une variation similaire (-1,6%) avait déjà été observée entre 2019, dernière année pré-Covid, et 2022. Si l’on compare les sept premiers mois de l’année 2023 avec la même période en 2019, la baisse de la demande de carburants routiers flirte même avec les 4%.

« Depuis plusieurs années, on observe une stagnation voire une légère baisse de la demande de carburants, de l’ordre 1 % par an en France », explique aux Echos Olivier Gantois, le président du syndicat professionnel.

Certains attribueraient cette baisse à une modification de la mobilité et à un moindre recours à l’automobile. En fait, cela pourrait provenir plus simplement de moteurs nettement moins gourmands que les précédents et aux limitations de vitesse

Notons aussi que les véhicules électriques ne constituent encore que 1,5% des voitures en circulation.

Conséquences de l’inflation, la consommation de carburant diminue

Conséquences de l’inflation, la consommation de carburant diminue


L’Union française des industries pétrolières, l’Ufip Mobilités et énergies, indique que la consommation de carburants a diminué de 1,7% depuis début 2023 par rapport à la même période l’année dernière. Une variation similaire (-1,6%) avait déjà été observée entre 2019, dernière année pré-Covid, et 2022. Si l’on compare les sept premiers mois de l’année 2023 avec la même période en 2019, la baisse de la demande de carburants routiers flirte même avec les 4%.

« Depuis plusieurs années, on observe une stagnation voire une légère baisse de la demande de carburants, de l’ordre 1 % par an en France », explique aux Echos Olivier Gantois, le président du syndicat professionnel.

Certains attribueraient cette baisse à une modification de la mobilité et à un moindre recours à l’automobile. En fait, cela pourrait provenir plus simplement de moteurs nettement moins gourmands que les précédents et aux limitations de vitesse

Notons aussi que les véhicules électriques ne constituent encore que 1,5% des voitures en circulation.

Economie-Le prix du carburant va plomber la consommation et la croissance

Economie-Le prix du carburant va plomber la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Economie- Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance

Economie- Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Inflation: Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance

Inflation: Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Prêts personnels à la consommation : En baisse de près de 30 %

Prêts personnels à la consommation : En baisse de près de 30 %

Les prêts personnels à la consommation ont baissé de 27,8 % sur un an en raison notamment de la hausse des taux et de l’attentisme des ménages.

Les prêts personnels à la consommation ont encore fortement baissé au deuxième trimestre, de 27,8% sur un an, indique ce mardi 22 août l’Association française des sociétés financières (ASF).
Avec près de 96,5 milliards d’euros d’encours à fin mars, les prêts personnels représentent quasiment la moitié des encours du crédit à la consommation, selon les dernières données disponibles de la Banque de France.

La chute du montant des crédits immobiliers accordés, elle, s’est également accentuée ces derniers mois, selon des chiffres publiés par l’Observatoire Crédit Logement/CSA en juillet. Au second trimestre, la production de ces crédits s’est effondrée de 40,8% sur un an.

Selon le courtier Meilleurtaux, la demande de prêts a baissé de 20% sur un an au premier semestre, notamment du fait de la hausse des taux. Le taux moyen des nouveaux crédits immobiliers est passé de 1,20% en janvier 2021 à 3,08% en mai, selon les données de la Banque de France.

Les légères baisses des prix de l’immobilier « n’ont pas du tout compensé la baisse de la capacité d’emprunt », avait souligné Maël Bernier, directrice de la communication de Meilleurtaux. Le nombre de dossiers non finançables, du fait d’un taux d’endettement bien supérieur à celui exigé par les autorités, est passé de 22% en janvier 2021 à 33% en juin 2023, selon le courtier.

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