Archive pour le Tag 'consommation'

Page 17 sur 17

Inflation: Hausse des prix à la consommation

Inflation: Hausse des prix à la consommation

Les prix à la consommation ont augmenté de 0,3% en février en France en raison de l’augmentation des prix de certains services après avoir baissé de 0,5% le mois précédent, en léger ralentissement sur un an, à +1%, selon les chiffres publiés par l’Insee. Hors tabac, les prix sont également en hausse de 0,3 % en février et de +0,9 % sur un an, a précisé l’Institut national des statistiques et des études économiques dans un communiqué. Corrigé des variations saisonnières, ils sont stables en février et augmentent de 1,1 % sur un an, après +1,2 % en janvier.

 

Croissance : la consommation des ménages en baisse en janvier

Croissance : la consommation des ménages en baisse en janvier

Mauvaise nouvelle sur la croissance qui repose essentiellement sur la consommation des ménages.  Cette consommation des ménages français en biens est repartie à la baisse en janvier, diminuant de 0,8% par rapport au mois précédent, tirée par la chute des achats d’automobiles, a annoncé jeudi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Les dépenses de consommation avaient résisté au dernier trimestre 2012, avec notamment une augmentation de 0,2% en décembre sur un mois selon un chiffre révisé à la hausse.

 

Baisse prix à la consommation

Baisse prix à la consommation

 

Les prix à la consommation ont reculé de 0,5% au mois de janvier du fait principalement des soldes d’hiver, mais ont progressé de 1,2% sur un an, a annoncé mercredi l’Institut national de la statistique et des études économiques. Hors tabac, les prix ont également reculé de 0,5% le mois dernier, et progressé de 1,1% sur un an, a relevé l’Insee, signalant un « rebond » des prix de l’énergie et la hausse traditionnelle de certains tarifs en début d’année.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Sondage : pas de redémarrage de la consommation en 2013

Sondage : pas de redémarrage de la consommation en 2013

 

 

Publiée ce matin, la dernière vague du baromètre Viavoice-BPCE des projets des Français pour « Les Echos » et France Info ne laisse pas présager d’un prochain redémarrage de la consommation. Non seulement car le pouvoir d’achat est sous pression mais aussi parce que les Français ne semblent pas enclins à puiser dans leurs bas de laine.  Près de la moitié des personnes interrogées (48 % précisément) anticipent une baisse de leur pouvoir d’achat au cours des trois prochains mois. Cette crainte se stabilise par rapport à l’enquête de décembre (- 1 point) et poursuit sa décrue par rapport à son pic d’octobre (- 9 points). A l’époque, l’annonce d’un budget de rigueur pour 2013 avait emmené les inquiétudes à un niveau record. En ce début d’année, les craintes restent tout de même élevées. En dépit du net reflux de l’inflation, les inquiétudes restent particulièrement vives sur l’évolution du prix de l’essence ou de l’électricité, tandis que l’alimentation reste en tête des dépenses qui préoccupent le plus.  «  Le pouvoir d’achat demeure pris en tenaille entre hausses d’impôts, faibles revalorisations des prestations sociales et pression sur les salaires », commentent les experts de Viavoice. Dans ce contexte, toute la question est de savoir si les Français vont puiser ou non dans leur épargne pour consommer. L’environnement incertain et la montée du chômage devraient limiter l’ampleur du phénomène. Et le baromètre Viavoice ne donne pas non plus beaucoup d’espoir. Les intentions d’épargne demeurent stables pour les mois à venir : 11 % des Français envisagent de mettre plus d’argent de côté (+ 1 point) et 36 % autant qu’avant (+ 1 point).  Et ce n’est visiblement pas la baisse du taux de rémunération du Livret A et du livret de développement durable (LDD) qui va pousser les Français à lâcher du lest : alors que le taux tombe vendredi de 2,25 % à 1,75 %, seuls 4 % des sondés déclarent qu’ils vont dépenser « davantage d’argent que prévu » actuellement placé sur un livret de ce type. Très peu (8 %) envisagent également de transférer une partie de leur épargne sur d’autres comptes ou placements. Parmi eux, les plus enclins à agir sont les jeunes actifs ou les catégories aisées, « ces dernières disposant potentiellement de portefeuilles plus diversifiés que la moyenne des Français, ce qui facilite ces transferts », précise Viavoice.  En clair, la majorité des sondés envisage donc de maintenir son épargne sur le Livret A ou le LDD. Le rehaussement du plafond peut même les encourager à en placer plus. L’engouement des Français pour le Livret A, qui a déjà enregistré une collecte historique en 2012, n’est pas près de retomber.

 

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

Croissance : stabilité de la consommation des ménages en décembre

Croissance : stabilité de la consommation des ménages en décembre

La consommation des ménages français est restée stable – mais à un bas niveau- en décembre sur un mois, après un léger rebond en novembre, mais a reculé de 0,2% en moyenne en 2012 par rapport à l’année précédente, a annoncé jeudi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).  En décembre, le rebond des achats d’automobiles et le recul des dépenses en énergie se compensent, précise l’Insee dans un communiqué.

 

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

La consommation alimentaire recule

La consommation alimentaire recule

Si l’on sen tient à la valeur la consommation a augmenté mais c’est uniquement sous l’effet des prix ; en volume il y a baisse de près de 1% et cela en dépit de la croissance démographique. Conclusion : une baisse de 1.3% en volume. «Les achats de produits de grande consommation sont restés tout juste stables l’an passé, constate Jacques Dupré, directeur Insight chez SymphonyIRI, qui analyse les sorties de caisses des grandes surfaces. Ce n’est pas si mal sachant que la consommation a été handicapée au premier semestre par l’inflation et que le pays est officiellement entré en crise.» Les dépenses reculent ainsi en volume de 0,8 %, mais progressent de 1,9 % en valeur dans les hypers, supermarchés et magasins hard discount. «Si on intègre le drive, en plein essor dans le pays, on arrive à une stabilité en volume et une augmentation de 2,5 % en valeur», précise Jacques Dupré. Reste que si l’on prend en compte la croissance démographique de l’Hexagone, les dépenses auraient dû augmenter d’au moins 0,5 %. «Par ménage, les Français ont donc moins consommé qu’en 2011», nuance le ­spécialiste. Il n’empêche, on est loin du passage à vide qui avait marqué la précédente crise de 2008. L’inflation élevée, conséquence de la flambée des cours des matières premières, avait fortement pénalisé les volumes d’achats (- 1,3 %). Les consommateurs s’étaient massivement reportés vers Lidl, Netto et autres enseignes de hard discount et vers les marques de distributeurs (MDD), qui stagnent depuis autour de 30 % de parts de marché. Ils avaient par ailleurs boudé les produits dits «plaisir» qui résistent à la crise cette année, à l’image de la confiserie (+ 1,3 %) ou des plats traiteur (+ 3 %).Le recours aux rabais illustre l’évolution des comportements. La part d’achats sous promotion est ainsi passée de 11,8 % à 12,3 % entre 2011 et 2012, faisant la part belle aux marques nationales. Les consommateurs n’hésitent plus à feuilleter les prospectus des enseignes à la recherche des bons plans avant même de se rendre en magasins. Ils privilégient les promotions à réduction immédiate aux remboursements différés des cartes de fidélité. Exit aussi les lots de douze pour le prix de dix. Ils rechignent à stocker ou à dépenser trop d’un coup. L’augmentation des prix au premier semestre (+ 3 %), conséquence des taxes alimentaires et de la pression sur les matières premières, avait suscité des craintes en début d’année. Le ralentissement de l’inflation au second semestre (+ 1 %) explique la résistance des volumes. Outre le retour à la normale sur le front des matières premières, il a été rendu possible par la guerre des prix que se sont livré les enseignes, notamment sur les produits vedettes des grandes marques. Au détriment des MDD, qui ont ainsi perdu en attractivité.

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Consommation : nouvelle baisse

Consommation : nouvelle baisse

La baisse de la consommation en octobre augure mal de la croissance pour le quatrième trimestre, la récession est toute proche. La consommation des ménages français en biens a reculé de 0,2% en volume en octobre par rapport au mois précédent après être restée stable en septembre (+0,1% en première estimation), selon les données publiées vendredi par l’Insee. Treize économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un recul de 0,1% le mois dernier, leurs prévisions s’échelonnant entre -0,8% et +0,2%. En octobre, la hausse des achats en biens durables ne compense pas le fort recul des dépenses en tabac, précise l’Insee dans un communiqué. Après une baisse en septembre (-0,4%), les dépenses en biens durables rebondissent en octobre (+0,5%). La hausse des dépenses en automobiles (+0,7%, après -1,9%) n’est pas compensée par le repli des achats en équipement du logement (-0,4%, après +1,5%). Après deux mois consécutifs de baisse (-0,1% en août et en septembre), la consommation en produits alimentaires continue de reculer en octobre (-0,6 %). Cette baisse résulte principalement d’une chute des dépenses en tabac, liée à une hausse des prix à compter du 1er octobre 2012, relève l’Insee.  La consommation de textile-cuir augmente en octobre (+0,5%, après une stabilité en septembre). Après une légère hausse en septembre (+0,1 %), la consommation des ménages en énergie se replie en octobre (-0,5%).

 

Consommation ménages français : légère hausse

Consommation ménages français : légère hausse

« La très légère hausse des dépenses en septembre est principalement imputable à la progression des dépenses en équipement du logement », a expliqué l’Institut, qui a par ailleurs confirmé le recul de 0,8% enregistré en août car de « légères révisions de sens contraires se compensent ».  Les dépenses en bien fabriqués ont connu une quasi-stabilité (+0,5%) sur un mois, mais un repli de 0,1% par rapport au mois de septembre 2011. Elles ont augmenté de 0,9% au troisième trimestre, par rapport au deuxième trimestre.  Les achats en biens durables ont augmenté de 0,6% en septembre, après un recul de 0,8% en août, dans le sillage notamment d’un « rebond dans l’équipement du logement » de 1,7% après -2,3% en août.   »Malgré un léger recul en septembre (-0,2%, après +0,5% en août), les dépenses en automobiles progressent sur l’ensemble du troisième trimestre (+0,8%, après +0,7% au deuxième trimestre) », a relevé l’Insee.  La consommation de textile-cuir a connu une stabilité en septembre, après un repli de 1,3% en août, et elle a bondi de 3,9% sur l’ensemble du troisième trimestre (-5,9% au deuxième trimestre).  La catégorie des « autres biens fabriqués » a enregistré une hausse de 0,8% en septembre, après une baisse de 0,3% en août. Au troisième trimestre, les ménages ont dépensé 0,3% de plus qu’au trimestre précédent où leurs dépenses avaient baissé de 0,2%.   »Le profil d’ensemble est notamment marqué par les achats en quincaillerie-bricolage », a souligné l’Institut au sujet de cette catégorie.  La consommation de produits alimentaires a reculé « très légèrement » (-0,1%, après -0,2% en août) « mais, compte tenu de l’acquis de croissance en juillet, elle augmente de 0,7% sur l’ensemble du troisième trimestre ». Au deuxième trimestre, elle avait reculé de 1,2%.  En ce qui concerne la consommation d’énergie, les ménages ont continué sur la lancée du mois d’août avec un repli de 0,4% en septembre, après -2,1% le mois précédent. Sur le trimestre, les dépenses d’énergie ont baissé de 2,6%, après +2,9% au deuxième trimestre.

 

 

Crise- Carburants : consommation moins 6% en septembre

Crise- Carburants : consommation moins 6% en septembre

La crise se faiat sentir sur la consommation de carburant ; les français changent leur comportement –6% en septembre. La consommation française de carburants a de nouveau chuté en septembre, comme au mois précédent, les mesures pour faire reculer les prix à la pompe n’ayant pas renversé la tendance, selon des données publiées aujourd’hui par l’Union française des industries pétrolières (Ufip). Les livraisons de carburants sur le marché français ont chuté de 6,4% en septembre par rapport au même mois de 2011, à 4,06 millions de mètres cubes, a précisé l’Ufip dans un communiqué. D’après l’organisation, qui fédère les entreprises du secteur pétrolier et gazier, cela reflète une baisse de 11,9% des livraisons d’essence sans plomb et de 5% pour le gazole. Par ailleurs, le gazole, dont le prix est nettement inférieur à celui du super, a représenté 80,8% de la consommation française de carburants le mois dernier. En cumul depuis le début de l’année, la consommation de carburants en France ressort en recul de 1,8% par rapport à la période comparable de 2011, a également rapporté l’Ufip. Ces données démontrent que la baisse des prix à la pompe, initiée par le gouvernement fin août, n’a pas permis jusqu’ici d’enrayer la tendance qui voit les Français limiter leurs déplacements en voiture, à cause de la cherté des carburants.  Selon les relevés du ministère de l’Ecologie de l’Energie, un litre de diesel coûtait en moyenne 1,3858 euro en septembre, et un litre de sans plomb 95 valait 1,5635 euro. Ces niveaux, bien qu’historiquement élevés, sont inférieurs aux sommets atteints cet été par les prix des carburants dans l’Hexagone, le diesel ayant atteint un record historique de 1,4592 euro le litre le 24 août.

 

 

France-consommation des ménages rebond de 0.4% en mai, une bonne nouvelle pour la croissance

France-consommation des ménages rebond de 0.4% en mai, une bonne nouvelle pour la croissance

 

 

Enfin une bonne nouvelle pour la croisance, la consommation des ménages français en biens a progressé de 0,4% en mai, un rebond lié aux dépenses en textile-cuir, a annoncé l’Insee vendredi. Le chiffre du mois d’avril a été révisé à +0,7% contre +0,6% annoncé dans un premier temps.  Les 12 économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une stabilité de la consommation en mai, leurs estimations allant de -1,3% à +0,5%.  Après une forte baisse en avril, probablement liée à une météo peu propice aux achats de vêtements de printemps-été, les achats de textile-cuir rebondissent fortement en mai (+11,1 % après -9,9 % en avril), note l’Insee.  Les dépenses en biens durables augmentent (+0,4 %, après -0,1 % en avril) en raison principalement d’une hausse des achats d’automobiles (+1,9 % en mai, après -1,8 %), tant sur le marché du neuf que sur celui de l’occasion. À l’inverse, les achats en équipement du logement sont en recul (-1,4 % après +2,1 %).  Après une vive hausse au mois d’avril (+11,1 %) due à des températures inférieures aux normales saisonnières, la consommation des ménages en énergie se replie en mai (-3,3 %).  Les dépenses en gaz et électricité sont notamment en net recul, alors que la consommation de carburants progresse légèrement.

 

Les distributeurs se secouent pour améliorer la « perception des prix ! Pourquoi pas sur les prix eux-mêmes ?

Les distributeurs se secouent pour améliorer la « perception des prix ! Pourquoi pas sur les prix eux-mêmes ?

Comme les produits alimentaires sont ceux qui font l’objet « de la plus grande fréquence d’achat », les enseignes doivent « avoir une image-prix impeccable », a fortiori en période de crise, estime M. Rosenthal, consultant.   »On peut décider de baisser plus ou moins les prix, de les baisser sur tel ou tel produit… tout l’art est là, et le communiquer de façon pertinente », poursuit-il. « Agir sur la perception à prix constants, c’est cela l’enjeu », estime M. Rosenthal. En janvier, Carrefour a ainsi annoncé garantir le prix le plus bas sur « plus de 500 produits du quotidien » de marque nationale, dans un rayon de 15 km, promettant sinon de rembourser deux fois la différence.  Cette offensive porte sur des produits emblématiques dont les clients peuvent comparer le prix d’une enseigne à une autre, contrairement aux marques de distributeur, et s’accompagne d’un nouveau slogan: « les prix bas, la confiance en plus ».  Auchan, qui vise à terme « le leadership du positionnement prix en France », a lui annoncé mardi une nouvelle politique de prix. Elle passe notamment par une offre de 14 fruits et légumes à moins de 1 euro, davantage de produits bio à moins d’un euro, plus de produits premier prix ou encore davantage de produits vendus en vrac, qui permettent de maîtriser son budget en choisissant la quantité.  Système U revendique lui la seconde place du secteur en prix.  Tous courent derrière le leader Leclerc, qui matraque depuis des années son message de prix bas, relayé par des comparateurs comme quiestlemoindscher.com ou le biolemoinscher.com, qui se déclinent aussi sur téléphone portable. Cette stratégie lui permet de gagner des parts de marché année après année.   »C’est plus une guerre d’image-prix qu’une guerre des prix », souligne Franck Rosenthal, consultant indépendant.  L’image-prix mesure le décalage entre les prix effectivement pratiqués par une enseigne et la perception qu’en ont les consommateurs. Une enseigne peut ainsi être perçue par les consommateurs comme moins chère qu’elle n’est réellement, et vice-versa. L’image-prix de Carrefour est par exemple 3% plus chère que ses prix réels, selon une enquête publiée en février par le cabinet de consultants OC & C.  L’initiative de Carrefour, qui perd des clients et des parts de marché, semble « très défensive », estime M. Rosenthal. Dans le contexte de l’arrivée du nouveau patron Georges Plassat, qui a pris ses fonctions lundi, « je ne pense pas que Carrefour reste sur cette seule initiative sur les prix », fait-il valoir.   »Ca va prendre du temps pour faire évoluer l’image-prix de Carrefour, mais ils font ce qu’il faut », estime Jean-Daniel Pick, associé d’OC & C.  Auchan s’inscrit lui « dans la continuité » d’une stratégie déjà mise en place et illustrée par le slogan « vivons mieux, vivons moins cher », en augmentant la quantité de produits bio ou de fruits et légumes à moins d’un euro, relève M. Rosenthal.  Quatorze fruits et légumes à moins de un euro, « c’est intéressant parce que c’est un large choix », qu’il s’agit de produits difficilement comparables et que les consommateurs sont très sensibles à leurs prix, relève-t-il.   »A partir du moment où les deux enseignes leader engagent un combat qui va durer, Auchan n’a pas le choix, il doit faire la même chose », estime pour sa part M. Pick.  Comme les produits alimentaires sont ceux qui font l’objet « de la plus grande fréquence d’achat », les enseignes doivent « avoir une image-prix impeccable », a fortiori en période de crise, ajoute-t-il.   »On peut décider de baisser plus ou moins les prix, de les baisser sur tel ou tel produit… tout l’art est là, et le communiquer de façon pertinente », poursuit-il. « Agir sur la perception à prix constants, c’est cela l’enjeu », estime M. Rosenthal.

 

Modification des modes de consommation des français du fait de la crise

Modification des modes de consommation des français du fait de la crise

 

Près de neuf Français sur dix (88%) estiment que la crise économique devrait être l’occasion de changer de mode de vie et de consommation, c’est ce que révèle un sondage publié ce lundi par le cabinet conseil Ethicity à l’occasion de la Semaine du développement durable. Cette enquête, présentée chaque année, montre que la crise a provoqué chez les consommateurs une aspiration au changement. «Les gens prennent conscience qu’il faut se serrer la ceinture, mais il y a quand même une volonté de vivre mieux», explique à l’AFP Gilles Degroote, le directeur associé d’Ethicity. Ils sont plus nombreux que l’année dernière à estimer que le mode de consommation peut avoir un impact social, environnemental et économique positif. Cette volonté se traduit par des gestes quotidiens pour gaspiller moins et consommer de manière plus responsable. 79% d’entre eux affirment trier systématiquement leurs déchets, 47% veillent à réduire leur consommation d’énergie et 45% celle d’eau. Près de la moitié d’entre eux (49%) évitent aussi les produits trop emballés. L’information sur les produits comme le lieu de fabrication et les composants prend de ce fait une importance accrue. 85% des personnes interrogées ont indiqué privilégier les entreprises ayant préservé une implantation locale et 76% ont regretté la faiblesse des informations sur les conditions de fabrication des produits. En revanche seuls 28% pensent à diminuer leur consommation de papier. «En comparant l’enquête aux sondages politiques de la campagne électorale ce message de volonté de changement montre que les gens prennent conscience que cela ne viendra pas des politiques, mais bien des individus et des entreprises», précise Gilles Degroote. La volonté de changement reste cependant encore modérée. Si pour 33% des personnes interrogées la crise a montré que ce système n’est plus viable et qu’il faudrait repartir de zéro, plus de la moitié des Français (57%) souhaitent simplement revoir certains aspects du système de la société actuelle. 8 % pensent même qu’il faut préserver nos modes de vie actuels. Les priorités de consommateurs restent en effet le bien-être de la famille, la santé et le coût de la vie. Le besoin d’être heureux prend la quatrième position.

 

1...1314151617



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol