Archive pour le Tag 'conservateurs'

Elections Royaume-Uni : l’extrême droite devant les conservateurs

Elections  Royaume-Uni : l’extrême droite devant les conservateurs

Les conservateurs du Premier ministre britannique Rishi Sunak sont pour la première fois devancés par le parti anti-immigration Reform UK . Selon cette étude réalisée pour le « Times », publiée précisément à mi-parcours de la campagne au Royaume-Uni, les travaillistes restent toujours largement en tête avec 37 % (-1 point) d’intentions de vote pour les élections législatives du 4 juillet .

La nouveauté vient du fait que le parti de Nigel Farage, héritier de l’Ukip, arriverait en seconde position avec 19 % des intentions de vote (+2 points), devant les conservateurs (18 %). Certes, l’écart reste inférieur à la marge d’erreur des sondeurs et doit encore être confirmé dans la durée.

Mais le croisement des courbes reflète une dynamique favorable à l’extrême droite depuis l’entrée en campagne de Nigel Farage , qui avait pris tout le monde par surprise. « C’est tout à fait remarquable », a-t-il applaudi sur la BBC vendredi matin.

Cette montée de l’extrême droite sanctionne une campagne laborieuse de Rishi Sunak. Après avoir déclenché l’élection de manière anticipée sans avoir un soutien franc de son camp.

 

Royaume-Uni : Défaite historique des conservateurs à prévoir

Royaume-Uni : Défaite historique des conservateurs à prévoir

Le parti conservateur devrait se contenter de seulement 140 sièges à la chambre des communes pour 422 aux travaillistes. Une défaite historique, d’une certaine manière largement imputable au Brexit

Le Parti conservateur, au pouvoir, est crédité de 140 sièges. La majorité absolue aux Communes est de 326 sièges.

Le Premier ministre, Rishi Sunak, a convoqué le 22 mai dernier des élections anticipées, soulignant que « le moment [était] venu pour la Grande-Bretagne de choisir son avenir ».

 

Royaume-Uni : Des élections législatives avec une débâcle des conservateurs le 4 juillet

Royaume-Uni : Des élections législatives avec une débâcle des conservateurs le 4 juillet

On peut légitimement se demander ce qui est à pousser le premier ministre a provoqué de façon hâtive des élections législatives britanniques le 4 juillet. Peut-être la lassitude de l’intéressé mais surtout celle des électeurs qui constatent les dégâts du Brexit en même temps que tous les mensonges qui ont influencé le vote jugé catastrophique aujourd’hui.

Ce qui est certain c’est que les conservateurs vont enregistrer une défaite historique moins par pertinence et adhésion aux thèses des travaillistes et autres que par rejet d’une classe politique qui a uséstous ces responsables les conservateurs.

Les Britanniques se rendront donc aux urnes le 4 juillet pour des élections législatives , qui pourraient voir les travaillistes revenir à Downing Street après quatorze années de premiers ministres conservateurs. Voici les principaux protagonistes de ces élections :

  Les sondages Attribue au premier ministre l’un des plus bas taux de popularité des premiers ministres britannique qui n’a pas rétabli loin s’en faut la prospérité économique, a fait augmenter le nombre d’immigrés et n’a pas pu redresser le système de santé en déliquescence. Bref, aucune des promesses les conservateurs n’a pu être retenus et c’est le contraire qui s’est produits récents.

Côté Labour, Keir Starmer caracole en tête des sondages. Il est largement considéré comme celui qui deviendra le prochain premier ministre britannique. Depuis son arrivée à la tête des travaillistes en 2020, il a recentré le parti après les années Jeremy Corbyn, beaucoup plus à gauche, et s’est montré ferme face à l’antisémitisme.

Ses soutiens voient cet homme de 61 ans comme un pragmatique, fiable et armé pour redresser le pays. Ses détracteurs fustigent ses revirements politiques, une personnalité qui manque d’éclat et ses difficultés à dessiner une vision claire pour l’avenir du pays.

Né à Londres d’un père outilleur et d’une mère infirmière, tous les deux militants socialistes, son prénom peu courant rend hommage au premier président du Labour Keir Hardie. Ce supporter du club de foot londonien d’Arsenal a été fait chevalier par la reine Elizabeth II pour services rendus à la justice – même s’il utilise rarement le titre «Sir».

Brexit–Royaume-Uni : les Conservateurs largement en tête ?

Brexit–Royaume-Uni : les Conservateurs largement en tête ?

 

Le parti de Boris Johnson est crédité de 36% des intentions de vote, contre 28% pour les travaillistes, selon un dernier sondage.

D’après le Sunday Telegraph, le parti conservateur britannique serait en tête dans les sondages concernant le renouvellement de la chambre des communes avec 36 % devançant ainsi nettement le parti travailliste qui n’o tient que 28 % selon un sondage ORB.  Les libéraux-démocrates britanniques arrivent en troisième position avec 14% des intentions de vote, devant le Parti du Brexit de Nigel Farage avec 12%, selon cette étude d’opinion réalisée mercredi et jeudi. Un  résultat qui doit à la très mauvaise image des travaillistes notamment de son leader Corbyn. Des perspectives qui sont : à relativiser car les sondages en Grande-Bretagne n’ont jamais été très fiables. En outre , l’ information émane d’un journal très conservateur. Il se pourrait que les brexiters  n’apprécient guère la position très ambiguë de Boris Johnson et ses changements perpétuels, cela au profit de Nigel Farage qui menace de présenter des candidats partout dans le Royaume-Uni, ce qui mécaniquement profiterait aux travaillistes. Il faut aussi prendre en compte le renouveau des velléités indépendantistes des Irlandais du nord  mais maintenant aussi des écossais voire même des Gallois.

L’objectif des Tories est de faire aboutir l’accord de Brexit négocié par Boris Johnson à Bruxelles pour qu’il soit avalisé par la future des Chambre des communes. En revanche, les conservateurs semblent désormais écarter la possibilité d’un Brexit sans accord, longtemps agitée par le premier ministre, a rapporté le Times samedi. Une différence avec le Brexit Party de Nigel Farage, qui juge que le texte obtenu par Boris Johnson est un mauvais accord.

Grèce : retour des conservateurs

Grèce : retour des conservateurs

 

 

C’est le paradoxe de la démocratie, en Grèce comme ailleurs. L’alternance dégagiste fait parfois éjecter ceux qui ont sauvé le pays. Alexis Tsipras et à son parti Syriza seront ainsi remplacés les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND). Cela au motif que Tsipras et son parti ont trop imposé d’austérité  au pays. Une austérité qu’on ne peut nier mais la gestion de TSYPRAS à aussi permis d’éviter la faillite totale du pays. Il est vraisemblable que les successeurs de type race ne reviendront d’ailleurs pas sur cette politique de rigueur. Le scrutin n’était normalement prévu qu’en octobre mais Alexis Tsipras a tiré les conclusions de la défaite de sa formation face à la droite aux élections européennes de la fin mai en convoquant des élections anticipées. La Nouvelle Démocratie de Kyriakos Mitsotakis est donnée en tête dans tous les sondages. Une enquête Rass publiée vendredi donne 35,2% des voix à ND et 25,4% à Syriza. Un sondage Public Issue diffusé également vendredi crédite même Nouvelle Démocratie d’une avance de 15,5 points sur Syriza. Parti issu de la gauche radicale, Syriza est arrivé au pouvoir en 2015, alors que le pays était depuis des années confronté à une grave crise économique qu’entraînait un douloureux programme d’austérité contrôlé par le Fonds monétaire international (FMI) et l’Union européenne. Une fois au pouvoir, Tsipras a dû accepter l’austérité pour que la Grèce échappe à la banqueroute. Nombre de ses électeurs ne lui ont pas pardonné. Kyriakos Mitsotakis, 51 ans, un ancien banquier passé par Harvard, appartient à une dynastie politique de la droite grecque. Il a pris la direction de ND début 2016.Son père Constantinos a été Premier ministre de 1990 à 1993. Sa soeur, Dora Bakoyiannis, a été ministre des Affaires étrangères de 2006 à 2009.La Nouvelle Démocratie, si elle revient au pouvoir, a annoncé qu’elle réduirait la pression fiscale, notamment pour les entreprises (comme Macron !).Alexis Tsipras, quant à lui, est amer: “Je suis arrivé au pire moment, j’ai essayé de sauver les meubles alors que les dégâts ont été causés par mes prédécesseurs”, a-t-il expliqué fin juin à la chaîne de télévision Open TV. “Les caisses étaient vides, on ne pouvait même pas payer les retraites… Mais je suis celui qui a sorti le pays des mémorandums et de la crise où ils (mes prédécesseurs) nous avaient conduits.”

Japon : la victoire des conservateurs rassure

Japon : la victoire des conservateurs rassure

 

Au lendemain de la victoire magistrale du Parti libéral démocrate (PLD), le gouvernement emmené par le nouveau premier ministre, Shinzo Abe, devrait mettre en place un assouplissement très net de la politique monétaire. Une perspective qui a tiré le yen à la baisse ces dernières semaines. Le dollar a progressé de 5,1% par rapport à la monnaie nippone au cours de ces cinq dernières semaines. Le billet vert a même atteint dans la matinée de lundi son plus haut niveau depuis avril 2011, à un dollar pour 84,48 yens.  La dépréciation du yen est plutôt bien accueillie par les investisseurs, alors que son appréciation a beaucoup pesé sur les exportations japonaises cette année. Les titres des grandes entreprises exportatrices étaient ainsi en hausse lundi, à l’instar de Honda qui s’adjuge 1,1% ou de Toshiba qui prend 3,74%. L’indice Topix Electric Power & Gas, consacré au secteur de l’énergie a progressé de 8%, alors que le nouveau parti au pouvoir tient à relancer la filière nucléaire, remise en question depuis l’accident de Fukushima.  La large majorité des sièges obtenue au Parlement par le PLD permettra à Shinzo Abe de mettre plus facilement en place sa politique économique. Les investisseurs attendent de la nouvelle équipe des solutions à la déflation et à la récession économique dans laquelle le pays vient d’entrer. Le premier test du nouveau chef de gouvernement devrait arriver rapidement avec la réunion cette semaine des dirigeants de la Banque centrale. D’ores et déjà, le futur premier ministre a fait savoir qu’il demanderait à son gouvernement, une fois formé le 26 décembre, de travailler avec la Banque du Japon pour fixer un objectif d’inflation de 2%.

 




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