Archive pour le Tag 'conséquences'

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La crise en Chine aura des conséquences en Europe (Bayrou)

La crise en Chine aura des conséquences en Europe (Bayrou)

 

 

Bayrou a raison ;  contrairement à ce qu’affirme Hollande la crise en Chine va provoquer des incidences négatives sur la zone euro. « C’est évident que, pour moi, nous allons avoir des conséquences en Europe de ce qui se passe en Chine ». Il est clair que la baisse répétée de l’industrie manufacturière en Chine et la crise financière vont  impacter  l’économie mondiale y comprit la zone euro. Si l’activité de l’usine du monde est en régression depuis plusieurs mois,  c’est dû  essentiellement à une diminution des commandes extérieures. La baisse des exportations chinoises s’accompagne mécaniquement d’une baisse des importations surtout avec la crise financière interne. Du coup il y aura moins de demandes de la part de la Chine concernant par exemple la demande d’équipements des ménages comme des  entreprises ou encore la demande de produits de luxe exportés  notamment par la France. Le net tassement de l’économie chinoise se ressent de façon notoire sur les prix des matières premières. De ce fait les pays producteurs de ces matières premières voient  leurs revenus diminuer et leur capacité de financement de leurs demandes à l’extérieur amputée. Enfin la confiance des investisseurs et des acteurs économiques risquent d’être affectée.  L’opinion de François Bayrou n’est pas à l’optimisme alors que les marchés financiers ont connu une véritable journée noire lundi 24 août, embourbés dans le sillage de Shanghai. La croissance chinoise ralentit, la confiance des investisseurs est en berne et les bourses européennes sont directement impactées. Et si François Hollande a déclaré que « l’économie mondiale était suffisamment solide pour ne pas être liée à la Chine », le maire de Pau est plus sceptique quant à la situation économique mondiale. « La crise que traverse la Chine va venir jusqu’à notre pays, comme Tchernobyl dont on disait que le nuage s’arrêterait aux frontières« , conclut-il.

Défaut grec : des conséquences imprévisibles

Défaut grec : des conséquences imprévisibles

 

En faiat personne ne peut prévoir les conséquences d’un Grexit qui semble se rapprocher après la rupture surprise de négociation vendredi. On peut imaginer  des tensions sur le marché obligataire  et mécaniquement des reports sur le  marché des actions. Aussi un nouvel affaiblissement de l’euro. Rien n’est certain la contagion pourrait être aussi  plus large et de plus grande ampleur jusqu’à porter un coup à une économie mondiale déjà assez atone. A cet égard Bruxelles ( et derrière l’Allemagne)  joue aux apprentis sorciers. Si la secousse est trop forte, il se pourraiat même que Bruxelles baisse la garde et consente à la Grèce des avantages jusque là improbables. Une attitude très irresponsable de l’Europe qui joue avec le feu alors que croissance très faiblarde menace les fragiles équilibres financiers de la plupart des grands pays européens.  La semaine dernière, Goldman Sachs avait dit que l’euro pouvait perdre trois cents face au dollar dans la foulée d’un défaut de paiement de la Grèce. Pour dégringoler, toujours selon le scénario de la banque américaine, encore davantage au cours des semaines suivant ce défaut à mesure que la BCE augmente ses rachats d’actifs pour tenter d’éviter la contagion au reste de la zone euro. Alors que les obligations souveraines des autres pays de la zone euro dits « périphériques » n’ont guère été affectés par la crise grecque depuis le début de l’année, cela pourrait bien changer dès lundi à moins que la BCE ne prenne tout de suit des mesures pour éviter une telle évolution. « Il y a un risque de voir les écarts de rendement des obligations souveraines périphériques atteindre des niveaux critiques », estiment les analystes d’ABN Amro dans une note de recherche. « La BCE doit se tenir prêt à activer son programme OMT (Opérations monétaires sur titre) pour restaurer le calme si nécessaire. Il y a 12 jours, la Cour de justice de l’Union européenne a jugé mardi conforme au droit européen ce programme OMT, qui consiste pour la BCE à racheter de la dette souveraine sur le marché secondaire à condition que le pays concerné en fasse la demande et soit lié par un programme d’assistance financière de l’UE.  Plus tôt cette année, Goldman Sachs a déclaré qu’un « Grexit » (une sortie de la Grèce de la zone euro) pourrait se traduire par une multiplication par près de trois de l’écart de rendement, à quelque 400 points de base, entre les obligations souveraines à 10 ans italiennes et espagnoles d’un coté et le papier allemand de même échéance de l’autre. Un tel niveau d’écart resterait cependant inferieur de quelque 200 points de base aux pics atteints au cours de l’hiver 2011-2012. Dans ce contexte, les investisseurs sont susceptibles de se précipiter sur des actifs jugés sûr n’appartenant pas à la zone euro, au premier chef le franc suisse et le dollar américain. Certains pensent qu’il y aura une telle ruée sur ces devises que la Banque nationale suisse (BNS), voire la Réserve fédérale américaine seront amenées à intervenir sur le marché des changes. « Nous pensons qu’il y a une forte probabilité d’une intervention de la Banque nationale suisse », a déclaré Josh O’Byrne, chargé de la stratégie changes chez Citi. Le statut de valeur refuge traditionnelle des Bunds allemands a été sécoué par la forte hausse de leur rendement observée depuis le début de l’année, en raison, entre autres, d’un manque de liquidités et d’une hausse des anticipations d’inflation. « Nous sommes en territoire inconnu et les marchés actions européens, comme tous les marchés, éprouveront des difficultés à absorber tous les nouveaux éléments », a déclaré Nick Lawson, directeur chez Deutsche Bank. « Le marché ne s’était pas préparé à ce que tout ceci se poursuive au cours du week-end et le manque de liquidités qui a affecté aussi bien le marché de la dette souveraine que celui des entreprises, et, plus récemment, le marché actions, va exacerber les choses. » a déclaré Nick Lawson, directeur chez Deutsche Bank.

 

 

Berlin-Valls : grosses conséquences pour sa popularité

Berlin-Valls :  grosses conséquences pour sa popularité

 

Dans cette affaire de voyage pour aller voir un match de foot, on retiendra sans doute le fait mais surtout le coup de couteau dans ‘limage de celui qui voulait incarner rigueur , volonté et  honnêteté. De ce point de vue les prochains sondages de popularité devraient sanctionner sévèrement Valls pris à son propre piège de la posture de père la rigueur ; Valls s’est planté trois fois. D’abord en effectuant ce déplacement privé avec les moyens de l’Etat . Deuxièmement en s’ enfermant dans des explications contradictoires et incomppréhensibles.il a d’abord affirmé qu’i avait droit lui aussi à des loisirs, ensuite qu’il avait uen rencontre avec Platini .D’autres comme Bartolone affirme que c’était pour défendre la candidature de la France au CIO ( alors qu’il n’y avait pas de membres du CIO présent à Berlin !). C’est le mensonge qui va être sanctionné et cette incapacité de Valls à se remmener en cause , à admettre qu’il s’est trompé. Un Valls incapable de la moindre introspection, de la moindre excuse au-delà de la moindre sensibilité. Car ce qui choque dans cette affaire c’est le décalage entre le regard des politiques et ce que vivent de nombreux français affrontés à l’austérité. La preuve ou tout au moins le décalage énorme entre ces politiques, oligarques enfermés dans leur système et coupés des réalités économiques et sociales. 

Russie-Ukraine : des conséquences auusi pour l’économie française

Russie-Ukraine : des conséquences auusi pour l’économie française

La Russie va payer cher son soutien aux pro-russes d’Ukraine (environ 1.5% de PIB soit près de la récession) mais l’Europe va payer aussi notamment la France. Les investisseurs français ne manquent pas de raisons de s’inquiéter: les publications de résultats d’entreprises du premier semestre sont plutôt moyennes, le resserrement de la politique monétaire de la FED, et bien sûr, le risque géopolitique au Proche-Orient et en Russie, qui s’est accru la semaine dernière avec la nouvelle salve de sanctions annoncées par les occidentaux. Quand on leur parle de la Russie, le mot qui ressort le plus dans la bouche des dirigeants du CAC 40, c’est « prudence ». Nous maintenons nos opérations, nos plans de développement, mais nous surveillons le pays comme le lait sur le feu, expliquent-ils en substance.  Chez Total, par exemple, le groupe poursuit son projet gazier géant dans la péninsule de Yamal au nord du pays. Mais le jour du crash du MH 17, il a stoppé net sa montée au capital de son partenaire russe Novatek. Autre français exposé à la Russie: Société Générale. Là aussi, la trajectoire de développement de la filiale Rosbank est confirmée. La Russie reste un marché d’avenir, mais le pays tourne au ralenti. Et, nous dit-on, « les incertitudes en Russie sont préoccupantes ». Et d’autres secteurs sont à la peine. Les marques de Kering et de LVMH accueillent beaucoup moins de touristes russes dans leurs boutiques en Europe. Quant à l’automobile, Peugeot et encore plus Renault, via sa filiale Avtovaz, savent déjà que le marché russe sera extrêmement compliqué cette année.

Des conséquences de la crise italienne en France ?

Des conséquences de la crise italienne en France ?

 

«La question aujourd’hui est de savoir si, au-delà des premières réactions de court-terme, un blocage politique dans un pays de la zone euro aussi important que l’Italie, peut ramener dans les prochains mois des épisodes de crise comme on en a connu de façon récurrente depuis 2010»,  résume Christophe Blot, directeur adjoint au département analyse et prévision de l’Office française des conjonctures économiques (OFCE). A ce stade, il est encore trop tôt pour le dire. Mais un regain de volatilité des marchés n’est pas nécessairement une mauvaise nouvelle pour la France.  «Dans les épisodes précédents, on a assisté par crainte d’un phénomène de contagion à des tensions sur les taux obligataires de l’Espagne et de l’Italie, ou encore du Portugal, mais la France et l’Allemagne ont bénéficié en comparaison d’une image de placements sûrs et de taux historiquement bas», explique l’économiste. Des taux qui après être légèrement reparti à la baisse pourraient donc de nouveau baisser dans les mois prochains. A court terme, une pression à la baisse sur l’euro pourrait aussi avoir des effets favorables sur la compétitivité de nos exportations hors zone euro.  Toutefois, l’effet négatif pourrait être plus indirect et global: «La crise italienne rajoute de l’incertitude dans le climat de l’ensemble de la zone euro qui peut dissuader des décisions d’investissement ou d’embauche, notamment en France», souligne Christophe Blot.

 

Grande Bretagne, ultralibéralisme mais pas pour les banques ; conséquences : 82 milliards perdus !

Grande Bretagne, ultralibéralisme mais pas pour les banques ; conséquences : 82 milliards perdus !

Après avoir sauvé les banques, il faut privatiser en Grande Bretagne, c’est une exigence idéologique. Bilan de l’ordre de 80 milliards qui seront perdus par le contribuable. L’État pourrait en effet ne jamais récupérer la totalité des 66 milliards de livres (82 milliards d’euros) injectés au capital des banques Royal Bank of Scotland (RBS) et Lloyds Banking Group au plus fort de la crise, redoute une commission parlementaire, dans un rapport publié ce vendredi. Sa crainte est que les candidats au rachat soient trop peu nombreux pour valoriser ces établissements, lorsqu’ils seront privatisés. Les pouvoirs publics – et donc les contribuables – détiennent toujours 81% de RBS et 39,6% de Lloyds.  Le document, très critique sur la gestion de la crise financière par le gouvernement travailliste, accuse le Trésor d’avoir pris «part à une faillite collective monumentale» en raison de son incapacité à «comprendre comment le boom» du secteur bancaire avant la crise «pouvait amener à une crise bancaire». La commission parlementaire des finances publiques prend pour exemple le sauvetage de la banque Northern Rock en 2007-2008, qu’il étrille sévèrement. «Le Trésor manquait de compétences pour comprendre Northern Rock. Il a mis trop de temps à nationaliser la banque», juge la commission. «Le sauvetage de Northern Rock devrait coûter au contribuable environ 2 milliards de livres», ajoute la députée travailliste Margaret Hodge, qui préside cette commission. Le parti travailliste au pouvoir n’avait eu d’autres choix que de nationaliser à grand frais Northern Rock, dont la politique de prêts risqués a été particulièrement préjudiciable.  Plus inquiétant encore, le rapport met en doute la capacité du Trésor à gérer une nouvelle crise. Il «doit s’assurer qu’il est préparé pour gérer toute future crise», réclame la commission.

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