Archive pour le Tag 'confirmée'

Immobilier : catastrophe encore confirmée

Immobilier : catastrophe encore confirmée

Le dernier trimestre a été le pire depuis 15 ans dans le secteur de l’immobilier. Les ventes sont en effet écroulé autour de 30 % et l’avenir apparaît encore plus son si l’on s’en tient aux crédits accordés par les banques et aux demandes de permis de construire. Par rapport à 2019 la chute pourrait être de près de 50 %. Une véritable catastrophe qui se traduit notamment par des cascades de fermeture d’entreprises.

Le mois dernier, le promoteur nantais Réalités, qui emploie 1200 personnes, annonçait son intention de réduire ses effectifs de 50 à 100 personnes dans les 18 mois. De telles annonces sont rares, mais elles risquent de se multiplier car la crise de l’immobilier neuf ne fait que se renforcer au fil des mois. «Certains promoteurs préparent des PSE (plans de sauvegarde de l’emploi, NDLR)», a ainsi prévenu Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), en présentant ce jeudi les chiffres pour le troisième trimestre.

Dupond Moretti et CJR : la mascarade confirmée

Dupond Moretti et CJR : la mascarade confirmée

En effet cette cour, la CJR, composée de douze membres politiques et seulement 3 juristes a toujours prononcé des peines anecdotiques les politiques en cause. Ce sera donc encore le cas pour le ministre de la justice accusée d’avoir réglé des comptes avec des magistrats lesquels font ensuite semblant de régler les comptes avec le ministre. En effet le caractère de mascarade se confirme quand le procureur général de la Cour de cassation demande que le ministre soit reconnu coupable mais sans lui imposer la peine d’inéligibilité. Autrement dit on devra se compter se contenter de quelques mois de prison avec sursis au plus..

Si le ministre est réellement coupable de règlement de comptes, la peine est complètement disproportionnée par rapport à la dimension du délit. Mais si le ministre n’est pas coupable cette mise en accusation est forcément injuste. Du coup, on va faire du en même temps avec une peine assez symbolique qui ne va pas grandir la justice.

Le procureur général de la Cour de cassation Rémy Heitz a demandé à la CJR de déclarer Le ministre «coupable» mais concernant la peine d’inéligibilité, normalement obligatoire en cas de condamnation, il a déclaré à la Cour qu’elle pouvait «s’en dispenser» en s’en remettant à sa «sagesse».

La CJR est composée de 15 personnes, dont trois magistrats professionnels et douze parlementaires de tous bords, qui ont revêtu la robe noire pour l’occasion. «Ce procès n’est pas celui de la justice, c’est le procès d’une double prise illégale d’intérêt», avait prévenu le procureur général. Pendant l’audience, Éric Dupond-Moretti, qui voit dans ce procès le résultat d’une «guerre» menée contre lui par des magistrats qui n’auraient jamais accepté sa nomination, s’est efforcé de démontrer que l’ouverture de ces enquêtes «s’imposait». «Le prévenu», avait rappelé le procureur général au premier jour d’audience, «encourt, notamment, une peine de cinq années d’emprisonnement». Ainsi qu’une interdiction d’exercer une fonction publique.

Pauvreté confirmée avec la hausse des bénéficiaires de minima sociaux

Pauvreté confirmée avec la hausse des bénéficiaires de minima sociaux


Témoin de la montée de la misère sociale, près de 10 % de la population et des coûts est désormais couverte par les minima sociaux. On note surtout un accroissement de l’allocation pour adultes Handicapés. Deux raisons à cela la baissent dramatique du pouvoir d’achat dans les couches déjà défavorisées mais aussi le fait que cette allocation sert de voie de garage en attendant la retraite pour des salariés déjà âgés. Sans parler de certaines allocations de complaisance pour certains salariés un peu allergiques au travail
.

Le nombre d’allocataires de minima sociaux est reparti à la hausse en 2022, une croissance particulièrement marquée en ce qui concerne les allocations pour adulte handicapé (AAH) et pour demandeur d’asile (ADA) , selon le panorama annuel publié vendredi par le service statistique des ministères sociaux. Après une forte hausse en 2020 du fait de la crise du Covid et un repli en 2021, le nombre d’allocataires a augmenté de 0,4% pour atteindre 4,34 millions fin 2022, selon ce rapport de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees).

Dans le détail, c’est le nombre de bénéficiaires de l’AAH qui connaît «sa plus forte croissance annuelle depuis dix ans» (+3,4%), pour atteindre 1,29 million fin 2022.

Au total, 6,9 millions de personnes étaient couvertes par les minima sociaux fin 2021, soit une personne sur dix en France métropolitaine.

Au total, en incluant les conjoints et les enfants à charge, 6,9 millions de personnes étaient couvertes par les minima sociaux fin 2021, soit une personne sur dix en France métropolitaine et trois sur dix dans les départements et régions d’outre-mer (DROM), hors Mayotte. En 2021, ce sont 29,9 milliards d’euros qui ont été versés au titre de ces minima sociaux, soit 1,2% du PIB, un chiffre en baisse par rapport à 2020 (-3,1 %).

Misère sociale confirmée avec la hausse des bénéficiaires de minima sociaux

Misère sociale confirmée avec la hausse des bénéficiaires de minima sociaux


Témoin de la montée de la misère sociale, près de 10 % de la population et des coûts est désormais couverte par les minima sociaux. On note surtout un accroissement de l’allocation pour adultes Handicapés. Deux raisons à cela la baissent dramatique du pouvoir d’achat dans les couches déjà défavorisées mais aussi le fait que cette allocation sert de voie de garage en attendant la retraite pour des salariés déjà âgés. Sans parler de certaines allocations de complaisance pour certains salariés un peu allergiques au travail
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Le nombre d’allocataires de minima sociaux est reparti à la hausse en 2022, une croissance particulièrement marquée en ce qui concerne les allocations pour adulte handicapé (AAH) et pour demandeur d’asile (ADA) , selon le panorama annuel publié vendredi par le service statistique des ministères sociaux. Après une forte hausse en 2020 du fait de la crise du Covid et un repli en 2021, le nombre d’allocataires a augmenté de 0,4% pour atteindre 4,34 millions fin 2022, selon ce rapport de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees).

Dans le détail, c’est le nombre de bénéficiaires de l’AAH qui connaît «sa plus forte croissance annuelle depuis dix ans» (+3,4%), pour atteindre 1,29 million fin 2022.

Au total, 6,9 millions de personnes étaient couvertes par les minima sociaux fin 2021, soit une personne sur dix en France métropolitaine.

Au total, en incluant les conjoints et les enfants à charge, 6,9 millions de personnes étaient couvertes par les minima sociaux fin 2021, soit une personne sur dix en France métropolitaine et trois sur dix dans les départements et régions d’outre-mer (DROM), hors Mayotte. En 2021, ce sont 29,9 milliards d’euros qui ont été versés au titre de ces minima sociaux, soit 1,2% du PIB, un chiffre en baisse par rapport à 2020 (-3,1 %).

Abaya: Interdiction encore confirmée par le Conseil d’État

Abaya: Interdiction encore confirmée par le Conseil d’État

Des organisations très marginales comme « Sud éducation », la « voie lycéenne » ou encore « le poing levé » avaient curieusement sollicité encore le Conseil d’État à propos de l’abaya. Un précédent référé avait déjà donné le même résultat. Et on peut se demander si le onseil d’État a du temps à perdre pour examiner les plaintes d’organisations gauchistes très minoritaires.

« En l’état de l’instruction, le juge des référés estime qu’il n’existe pas de doute sérieux sur la légalité de l’interdiction décidée par le ministre de l’Éducation nationale et de la jeunesse le 31 août 2023″, dit le Conseil d’État dans un communiqué.
Un « référé-suspension » avait été déposé par un syndicat – Sud-Éducation – et deux associations – La Voix lycéenne et Le Poing levé – et examiné par l’instance, le 19 septembre. La décision avait été mise en délibéré.

Considérant l’abaya comme « un signe religieux », le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, avait annoncé fin août l’interdiction dans les collèges et les lycées de cette robe large qui recouvre l’ensemble du corps, à l’exception du visage et des mains.

Abaya: Interdiction confirmée par le Conseil d’État

Abaya: Interdiction confirmée par le Conseil d’État

La mesure d’interdiction soutenu par 80 % des Français est confirmé aussi par le conseil d’État. Selon le juge des référés du Conseil d’État, le port de l’abaya et du quamis à l’école « s’inscrit dans une logique d’affirmation religieuse, ainsi que cela ressort notamment des propos tenus au cours des dialogues engagés avec les élèves ».

La haute juridiction a examiné une demande déposée par l’association Action Droits des musulmans qui cherchait à obtenir la suspension de cette interdiction.

Ce collectif, qui dit lutter « contre le racisme anti-musulman », jugeait que cette interdiction « portait atteinte aux droits de l’enfant » en « visant principalement les enfants présumés musulmans, créant ainsi un risque de profilage ethnique à l’école ».

Gabriel Attal avait annoncé fin août l’interdiction dans les collèges et les lycées de cette robe large qui recouvre l’ensemble du corps, à l’exception du visage et des mains. Le ministre considère cette tenue comme « un signe religieux » qui tombe sous le coup de la loi de 2004 qui porte sur la laïcité dans les établissements scolaires.

« Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit », peut-on y lire. Parmi ceux-ci, on compte tous les « signes religieux ostentatoires » comme la kippa, le voile ou la croix.

Gabriel Attal a précisé mardi sur BFMTV que les élèves concernées se sont vues remettre une « lettre à destination de leurs familles » pour ouvrir le dialogue et « reviendront » au collège ou au lycée parce qu’elles « doivent être scolarisées ».

Inflation Zone euro: confirmée à 5,3% ?

Inflation Zone euro: confirmée à 5,3% ?

L’inflation dans la zone euro aurait ralenti en juillet à 5,3 % sur un an, après 5,5 % le mois précédent, a confirmé Eurostat, vendredi 18 août, dont les données montrent également une modération des tensions sous-jacentes. Par rapport au mois de juin, l’indice des prix à la consommation calculé aux normes européennes a légèrement reculé de 0,1 %.La hausse des prix demeure donc à un très haut niveau et le plus souvent sa mesure ne tient pas compte des évolutions structurelles de la consommation (les ménages changent la nature et le volume de leurs dépenses de plus en plus plombé par les dépenses contraintes).

En France, en juillet, selon l’Insee, l’inflation a bien poursuivi son ralentissement. L’indice des prix à la consommation (IPC) a ainsi augmenté de 4,3 % sur un an en juillet, après 4,5 % en juin, et de 0,1 % sur un mois après 0,2 % en juin. Selon l’Insee, « cette baisse de l’inflation est due, d’une part, à une baisse sur un an des prix de l’énergie plus forte que le mois précédent, et d’autre part au ralentissement des prix de l’alimentation et des produits manufacturés ». Malgré l’embellie, les budgets continuent à être rognés, notamment chez les étudiants : le coût de la rentrée 2023 est ainsi en forte hausse, selon l’UNEF et la FAGE.
Par ailleurs le problème de l’inflation se repose avec la nouvelle embellie des prix du pétrole et de l’énergie en général, électricité notamment

Zone euro: l’inflation « officielle » confirmée à 5,3%

Zone euro: l’inflation « officielle » confirmée à 5,3%

L’inflation dans la zone euro aurait ralenti en juillet à 5,3 % sur un an, après 5,5 % le mois précédent, a confirmé Eurostat, vendredi 18 août, dont les données montrent également une modération des tensions sous-jacentes. Par rapport au mois de juin, l’indice des prix à la consommation calculé aux normes européennes a légèrement reculé de 0,1 %.La hausse des prix demeure donc à un très haut niveau et le plus souvent sa mesure ne tient pas compte des évolutions structurelles de la consommation (les ménages changent la nature et le volume de leurs dépenses de plus en plus plombé par les dépenses contraintes).

En France, en juillet, selon l’Insee, l’inflation a bien poursuivi son ralentissement. L’indice des prix à la consommation (IPC) a ainsi augmenté de 4,3 % sur un an en juillet, après 4,5 % en juin, et de 0,1 % sur un mois après 0,2 % en juin. Selon l’Insee, « cette baisse de l’inflation est due, d’une part, à une baisse sur un an des prix de l’énergie plus forte que le mois précédent, et d’autre part au ralentissement des prix de l’alimentation et des produits manufacturés ». Malgré l’embellie, les budgets continuent à être rognés, notamment chez les étudiants : le coût de la rentrée 2023 est ainsi en forte hausse, selon l’UNEF et la FAGE.
Par ailleurs le problème de l’inflation se repose avec la nouvelle embellie des prix du pétrole et de l’énergie en général, électricité notamment

Chine : déflation confirmée

Chine : déflation confirmée

En raison notamment de la faiblesse de la demande intérieure et de la baisse des exportations, les prix à la consommation publié ce mercredi s’affiche en baisse de 0,3% sur un an.

Après la chute des exportations, et à rebours des principales économies qui luttent contre l’inflation, le géant asiatique annonce ce mercredi 9 août être entré en déflation – une baisse générale des prix des biens et des services – pour la première fois en plus de deux ans. L’Empire du Milieu est en effet plombé par une consommation intérieure atone, compromettant la reprise économique.

Ainsi, l’indice des prix à la consommation, principale jauge de l’inflation, s’est inscrit en juillet en baisse de 0,3% sur un an, indique le Bureau national des statistiques (BNS). Les analystes sondés par l’agence Bloomberg anticipaient un repli des prix (-0,4%), après une inflation nulle un mois plus tôt. Pour rappel, l’inflation s’affichait en France de 4,5% en juin et de 3% aux Etats-Unis.

En théorie, une baisse des prix est favorable au pouvoir d’achat des consommateurs. En réalité, au lieu de dépenser, les consommateurs reportent leurs achats dans l’espoir de profiter davantage de baisses de prix.
Autre indicateur en berne, l’indice des prix à la production s’est de nouveau contracté en juillet (-4,4%) pour le dixième mois consécutif, selon le BNS. Cet indice, qui mesure le coût des marchandises sorties d’usines et donne un aperçu de la santé de l’économie, était déjà en repli de 5,4% en juin. Des prix à la production dans le rouge sont synonymes de marges réduites pour les entreprises.

Ces données sont publiées au lendemain de chiffres décevants pour les exportations chinoises, traditionnellement un important levier de croissance. Elles ont connu en juillet leur plus fort repli sur un an (-14,2%), pénalisées par une faible demande à l’étranger, selon des chiffres officiels publiés mardi. Cette situation a un impact direct sur des dizaines de milliers d’entreprises qui fonctionnent désormais au ralenti.

Secteur Immobilier : chute confirmée

Secteur Immobilier : chute confirmée

La production a chuté d’environ 50 % au premier semestre. La baisse des prix est amorcée mais est encore insuffisante pour relancer le marché. Les vendeurs ne veulent pas baisser de manière significative le prix, on attend 10 % sur l’année mais il faudrait 25 % pour relancer durablement l’activité. De leur côté, les acheteurs sont dans une position d’attente espérant des baisses significatives.Des baisses qui pourraient éventuellement provenir d’un éclatement d’ une bulle immobilière devenue préoccupante aussi bien dans l’immobilier commercial que dans l’immobilier de particuliers

La baisse de l’activité et des prix s’est accrue au premier semestre 2023 en dépit de l’effet traditionnellement dynamisant de la période printanière. Les relations se crispent entre acheteurs et vendeurs. Tous les territoires ne sont pas concernés de la même façon, révèlent les indices « Meilleurs Agents – Les Echos » du 1 er juillet.

Ce n’est pas la chute libre mais les signes d’essoufflement de l’immobilier résidentiel tricolore s’intensifient . Le ralentissement du marché amorcé en début d’année, tant en termes d’activité qu’en prix, s’est accentué au deuxième trimestre. L’effet saisonnier et traditionnellement revigorant de la période printanière sur le secteur n’aura pas réussi cette fois-ci à renverser la vapeur.

Au 1er juillet, d’après les indices Meilleurs Agents – « Les Echos », sur six mois, les prix ont reculé de 0,4 % pour s’établir à 3.180 euros le prix moyen au mètre carré, France entière. « C’est la première fois depuis 2015 que l’on enregistre un semestre de baisse des prix à l’échelle de l’Hexagone », s’exclame Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents.

Immobilier : chute confirmée

Immobilier : chute confirmée

La production a chuté d’environ 50 % au premier semestre. La baisse des prix est amorcée mais est encore insuffisante pour relancer le marché. Les vendeurs ne veulent pas baisser de manière significative le prix, on attend 10 % sur l’année mais il faudrait 25 % pour relancer durablement l’activité. De leur côté, les acheteurs sont dans une position d’attente espérant des baisses significatives.

La baisse de l’activité et des prix s’est accrue au premier semestre 2023 en dépit de l’effet traditionnellement dynamisant de la période printanière. Les relations se crispent entre acheteurs et vendeurs. Tous les territoires ne sont pas concernés de la même façon, révèlent les indices « Meilleurs Agents – Les Echos » du 1 er juillet.

Ce n’est pas la chute libre mais les signes d’essoufflement de l’immobilier résidentiel tricolore s’intensifient . Le ralentissement du marché amorcé en début d’année, tant en termes d’activité qu’en prix, s’est accentué au deuxième trimestre. L’effet saisonnier et traditionnellement revigorant de la période printanière sur le secteur n’aura pas réussi cette fois-ci à renverser la vapeur.

Au 1er juillet, d’après les indices Meilleurs Agents – « Les Echos », sur six mois, les prix ont reculé de 0,4 % pour s’établir à 3.180 euros le prix moyen au mètre carré, France entière. « C’est la première fois depuis 2015 que l’on enregistre un semestre de baisse des prix à l’échelle de l’Hexagone », s’exclame Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents.

Covid: tendance à la hausse confirmée

Covid: tendance à la hausse confirmée

Ces derniers jours, ces cas ont toutefois repris une tendance à la hausse: la moyenne des sept derniers jours est de plus de 63.000, contre 52.000 samedi dernier.

 

le nombre de nouveaux cas positifs est quant à lui stable sur 24 heures, avec 72.443 contaminations (72.399 la veille).

La vaccination stagne, avec 33.400 injections au cours des dernières 24 heures, selon les chiffres de la Direction générale de la santé. Au total, 54,25 millions de personnes ont reçu au moins une injection (80,5% de la population totale), 53,32 ont un schéma vaccinal complet (79,1%) et 39,29 millions ont reçu une dose de rappel.

Covid France 13 février 2022 : baisse confirmée avec 118 611 cas en 24 heures

Covid France 13 février 2022 : baisse confirmée avec 118 611 cas en 24 heures

En 24 heures, 118.611 cas positifs ont été enregistrés, contre 131.376 vendredi. En moyenne sur les sept derniers jours, cet indicateur s’élève à 145.619 contre 256.329 le samedi précédent.

 

Les hôpitaux français accueillent actuellement 31.522 patients atteints du Covid (dont 1329 arrivés en 24 heures), en recul par rapport à vendredi (31.939) et à la semaine dernière (32.867). La baisse se poursuit aussi dans les services de soins critiques qui soignent les cas les plus graves, notamment en réanimation, avec 3324 malades (dont 156 admissions quotidiennes) contre 3371 la veille, et 3606 il y a une semaine.

Les décès restent, eux, à un niveau élevé, essentiellement chez des non vaccinés et des immunodéprimés: 161 personnes ont été tuées par la maladie en 24 heures, après 269 la veille.

Ecole: pagaille confirmée , grèves et demandes de report du bac

Ecole: pagaille confirmée , grèves et demandes de report du bac

 

La pagaille prévue se confirme avec d’une part une rentrée qui n’a pas été décalée dans le calendrier, d’autre part un protocole invraisemblable et inapplicable qui rend fou les enseignants et les parents.

 

Rien d’étonnant à tout cela dans la mesure où comme le rappelle certains membres du conseil scientifique, c’est délibérément que le gouvernement a décidé de laisser circuler librement le virus espérant ainsi une immunité collective. Or précisément il se confirme que les enfants sont des vecteurs privilégiés de transmission de la maladie.

 

La  « pagaille » décrite par les enseignants et directeurs d’écoles a conduit plusieurs syndicats d’enseignants (SNUipp, SNES, SE-Unsa, FO, CGT, SUD, Snalc) à annoncer, ce vendredi, un appel à la grève pour le 13 janvier, dans le premier comme dans le second degré.

Dans le premier degré, les syndicats réclament un retour à l’ancien protocole qui prévoyait la fermeture d’une classe dès le premier cas de Covid, une règle jugée « protectrice » par le principal syndicat du primaire.

Du côté des parents la situation est aussi ingérable puisqu’il est imposé de tester les enfants tous les jours. Un acte difficile à réaliser dans certaines familles en raison des conditions difficiles d’accès au laboratoire ainsi comment auto teste dans les pharmacies.

Dans le second degré, le principal syndicat, le SNES-FSU, appelle à la grève et réclame de recruter des adultes pour assurer les remplacements, à un protocole renforcé dans les collèges et lycées. Il estime aussi que les enseignants ne sont pas en mesure de bien préparer les élèves aux épreuves de spécialité du bac qui doivent avoir lieu dans deux mois, alors que beaucoup d’élèves sont absents. Le syndicat souhaite un report des épreuves du bac de mars à juin.

 

PRÉSIDENTIELLE: Dynamique confirmée pour PÉCRESSE

SONDAGE PRÉSIDENTIELLE: Dynamique confirmée pour PÉCRESSE

 

 

 

 

La dynamique Pécresse se confirme dans un nouveau sondage, la candidate des Républicains serait à égalité avec la candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, au premier tour.

 

Selon une nouvelle enquête réalisée par Ipsos Sopra Steria pour Le Parisien/Aujourd’hui en France et France Info.,  la présidente de la région Île-de-France, avec 16% d’intentions de vote si le scrutin devait avoir lieu dimanche prochain, se retrouverait en deuxième position a égalité avec Marine Le Pen, et donc en situation de se qualifier pour le second tour de l’élection. Dans ses colonnes, Le Parisien souligne que 49% des électeurs ayant voté François Fillon en 2017 seraient enclins à voter pour Valérie Pécresse en 2022. En première position, Emmanuel Macron est, à quatre mois du vote, crédité de 25% des voix.

 

Mercredi, cette dernière était, dans un sondage Elabe pour BFMTV, donnée gagnante au second tour, avec 53% d’intentions de vote, dans un face-à-face avec Emmanuel Macron après être arrivée en deuxième position au premier tour avec 20% des scrutins. « Les sondages, ça va et vient. Mais ce qui est intéressant c’est de sentir qu’il y a une envie d’alternance dans le pays, d’alternance concrète avec des solutions pour le pays », avait-elle déclaré quelques heures plus tard à notre antenne.

 Éric Zemmour est quant à lui crédité de 14% des voix. 

Aucun des candidats de gauche ne dépasserait les 10% au premier tour, le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon atteignant péniblement les 8% et Yannick Jadot, candidat écologiste, étant à la têyte de 6% des suffrages.

 

Plus loin, Anne Hidalgo et Arnaud Montebourg, qui tous deux appelaient ce mercredi à une candidature commune à gauche, sont crédités de respectivement 5 et 2,5% des voix, tandis que Fabien Roussel, Philippe Poutou et Nicolas Dupont-Aignan reçoivent 2, 1,5 et 1,5% des voix.

Sondage réalisé sur 1.500 personnes majeures, représentatives de la population française, qui ont été sondées par Ipsos Sopra Steria par Internet de lundi à ce mercredi matin. Seules celles se disant certaines d’aller voter, soit environ une sur deux, ont ensuite été incluses dans les résultats. Ces scores pourraient donc évoluer au fil de l’avancée de la campagne.

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