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CICE : échec confirmé

CICE : échec confirmé

 

Le CICE  n’atteindra pas ses objectifs pour d’une part qu’il ne sera que partiellement consommé  (6,5 milliards.sur 9,9 milliards prévus en 2014) du fait en particulier de sa complexité ; d’autre part parce nombre d’entreprises craignent des contrôles fiscaux renforcés. Enfin le CCE va créer peu d’emplois.  Le comité de suivi du Crédit d’impôt compétitivité-emploi (CICE) a donc à la baisse les résultats de la mise en œuvre de ce mécanisme, qui a désormais un an d’existence effective. . « Le montant de la créance prévue initialement a été revue en baisse sur la base des données déclarées par les entreprises en 2013″, a précisé à la presse Jean Pisani-Ferry, président du comité et Commissaire général de France Stratégie. L’année écoulée a constitué « une période de découverte et d’apprentissage » pour les entreprises, qui ont longtemps eu une « posture d’observation, voire d’attentisme » vis-à-vis de ce mécanisme censé contribuer au rétablissement de leur marge, analysent les auteurs du rapport. « En conséquence, il est sans doute trop tôt pour juger des pleins effets du CICE », qui « restent à venir », estiment-ils. Début septembre, les montants de CICE effectivement déclarés à l’administration fiscale s’élevaient à 8,7 milliards d’euros, pour 713.000 redevables, selon des données provisoires. L’écart avec les prévisions est notamment imputé par le comité de suivi au fait que des entreprises ne clôturent leurs comptes que plus tard dans l’année, à des retards de déclaration, voire à de la négligence ou des oublis. « Certaines entreprises ont pu craindre des contrôles fiscaux par analogie avec le Crédit impôt recherche », a également estimé Jean Pisani-Ferry.  Selon le rapport, plus de 40% du CICE effectif concernent des micro-entreprises, pour un montant moyen de 2.753 euros, ou des PME, pour une moyenne de 25.000 euros. Le reste se répartit entre les entreprises de taille intermédiaire (22,5%, près de 500.000 euros en moyenne) et les grandes entreprises (35,2%, pour un montant moyen de plus de 12 millions d’euros).  Selon une enquête de conjoncture de l’Insee, 52% des entreprises des services et 58% de celles de l’industrie déclarent vouloir utiliser majoritairement le CICE pour l’investissement. Dans la même enquête, 48% des entreprises de services et 34% de celles de l’industrie estimaient que le CICE aurait un impact sur l’emploi. Mais, souligne le rapport, il s’agit plus souvent de préserver des emplois et de former des collaborateurs que de recruter de nouveaux salariés. Pour Jean Pisani-Ferry, des questions de deux ordres se posent : les entreprises vont-elles traiter principalement le CICE comme une baisse du coût du travail et quelles seront alors les conséquences de ce traitement ? Le décalage entre les créances totales et ce qui est effectivement consommé par les entreprises va-t-il se maintenir ou au contraire se résorber ? Le CICE s’élevait à 4% de la masse des salaires inférieurs à 2,5 smic pour les rémunérations versées en 2013. Ce taux est désormais passé à 6%. Les entreprises bénéficient effectivement du crédit d’impôt à partir de l’année suivant le versement des salaires qui ont servi à son calcul. Cependant, un système de préfinancement piloté par la Banque publique d’investissement (BPI) permet aux entreprises qui en ont besoin de bénéficier d’un apport de trésorerie dès l’année de versement des salaires, notamment les PME. Plus de 15.000 entreprises ont recouru à ce système pour l’année 2013, pour un montant total de 1,5 milliard d’euros, précise le comité. En 2014, plus d’un milliard d’euros de préfinancements ont déjà été accordés en huit mois.  Le CICE est censé atteindre 20 milliards d’euros par an lorsqu’il aura achevé sa montée en puissance. Il est complété par les allègements de charges prévus, à peu près pour le même montant, par le pacte de responsabilité.

 

Sarkozy : « trafic d’influence «confirmé

Sarkozy : « trafic d’influence «confirmé

On comprend que Sarkozy veuille faire annuler les écoutes téléphoniques (ce qui juridiquement est possible) car le trafic influence est démontré, ce que révèle le rapport officiel des policiers. Finalement Sarkozy ne conteste pas le fond mais la manière dont ces preuves ont été apportées ; Il était à prévoir qu’avec l’annonce de sa candidature Sarkozy verrait nécessairement les affaires déterrées soit par la justice, soit pas les médias voire par le gouvernement. Pas vraiment une bonne chose pour Sarkozy et pour la démocratie.  Selon Libération qui a eu accès à ce  document de synthèse, les policiers chargés d’enquêter sur l’affaire des écoutes, dans laquelle Nicolas Sarkozy est mis en examen, établissent formellement les faits de « trafic d’influence ». Le quotidien publié également des extraits de retranscriptions d’écoutes entre l’ex-Président et son avocat, Thierry Herzog.  Quatre jours après l’annonce de Nicolas Sarkozy de revenir sur le devant de la scène politique, l’affaire dite « des écoutes » émerge à nouveau. Le journal Libération livre mercredi les conclusions du « document de synthèse » des enquêteurs, signé début juillet par la direction de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales, qui ont mis en examen à ce moment-là l’ex-Président « pour corruption active, trafic d’influence actif et recel de violation du secret professionnel ». Selon le quotidien, c’est « la première fois que les faits reprochés à Nicolas Sarkozy sont aussi clairement établis ». En cause, « les conversations enregistrées entre (l’avocat) Thierry Herzog, Nicolas Sarkozy et Gilbert Azibert », haut magistrat de la Cour des comptes. Ces discussions « sont claires sur leurs intentions, et leurs propos ne suscitent pas d’interrogation quant à leur volonté et leurs attentes », indique le rapport : « Gilbert Azibert est sollicité pour obtenir des informations (sur une décision de justice concernant l’ex-Président, Ndlr) et démarcher des conseillers à la Cour de cassation. En contrepartie, Nicolas Sarkozy accepte de l’aider à obtenir un poste à Monaco. Ces faits sont constitutifs du trafic d’influence, qui rappelons-le, prévoit l’influence réelle ou supposée. »  Libération publie également des extraits de retranscriptions d’écoutes entre Nicolas Sarkozy et son avocat, dont celles effectuées sur la ligne secrète déclarée sous le nom de Paul Bismuth. Celles-ci ont commencé en septembre 2013, mais les conversations qui intriguent le plus les enquêteurs datent de janvier et février 2014. C’est à ce moment que Thierry Herzog évoque pour la première fois le nom de « Gilbert », qui a selon lui « bien bossé ». Le 30 janvier, l’avocat informe ainsi Nicolas Sarkozy qu’il a « eu accès à l’avis qui ne sera jamais publié du rapporteur destiné à ses collègues » de la Cour de cassation. Un document confidentiel qui n’est pas censé être transmis aux parties. Toujours sur les téléphones non-officiels, Nicolas Sarkozy demande à son conseil le 5 février ce qu’il peut faire en retour à l’égard du haut magistrat. « Il m’a parlé d’un truc sur Monaco », lui répond son interlocuteur, qui évoque « un poste qui se libère au Conseil d’Etat monégasque ». Selon lui, Gilbert Azibert n’ »ose pas demander », mais lui a dit qu’il aimerait « un coup de pouce ». « Non, ben t’inquiète pas, dis-lui. Appelle-le aujourd’hui en disant que je m’en occuperai parce que moi je vais à Monaco et je verrai le Prince », a alors répondu Nicolas Sarkozy.

 

Croissance : un ralentissement chinois qui confirme le tassement mondial

Croissance : un ralentissement chinois qui confirme le tassement mondial

 

La Chine constitue en quelque sorte un indicateur avancé de l’économie mondiale or « l’usine du monde » peine à atteindre ses objectifs témoignant du tassemenet mondial. Plusieurs indicateurs pour le mois de juillet confirment le ralentissement de l’économie chinoise et suggèrent que les mesures prises par le gouvernement pour soutenir l’activité ne vont pas assez loin. Si la production industrielle a été conforme aux attentes des marchés, il n’en va pas de même pour l’investissement ou les ventes de détail ni pour l’immobilier. Des chiffres publiés mercredi indiquent en outre que les flux de capitaux injectés dans la deuxième économie du monde ont atteint leur plus bas niveau depuis six ans, alimentant les craintes d’un ralentissement marqué de la croissance au deuxième semestre. « Les chiffres de l’activité sont dans l’ensemble inférieurs aux attentes des marchés, notamment en ce qui concerne l’investissement, ce qui s’explique en grande partie par la faiblesse du secteur de l’immobilier », explique Zhou Hao, économiste chez ANZ à Shanghaï. « Je dirais que le gouvernement doit assouplir davantage sa stratégie s’il veut atteindre un taux de croissance de 7,5% sur l’année », ajoute-t-il. La croissance du produit intérieur brut chinois s’est accélérée légèrement au deuxième trimestre, à 7,5%, soit l’objectif du gouvernement pour l’ensemble de l’année, après 7,4% au premier trimestre, la croissance la plus faible depuis un an et demi. Cette légère amélioration a été attribuée toutefois aux mesures de soutien à l’économie prises par le gouvernement et non à une tendance de fond.

Allemagne : tripe A confirmé

Allemagne : tripe A confirmé 

Comparée à la France, l’Allemagne réduit son endettement (environ 72% en 2014) au lieu de 100% pour la France), sa croissance est le double de celle de la France. D’où la confirmation du triple A par Standard & Poor’s a, assortie d’une perspective stable, fondant sa décision sur le profil solide présenté par l’économie du pays. Selon les prévisions de l’agence de notation, le produit intérieur brut (PIB) allemand devrait croître de 1,8% cette année et de 2,0% l’an prochain. Elle s’attend à ce que le poids de la dette publique diminue progressivement pour revenir à 65% en 2017 contre 74% en 2013. S&P explique la stabilité de la perspective de la note accordée à l’Allemagne par l’état de ses finances publiques et de sa balance commerciale, qui devraient lui permettre d’amortir tout choc économique ou financier.

Factures téléphoniques UMP: Dati confirme mais dénonce

Factures téléphoniques UMP: Dati confirme mais dénonce

 

En faitt implicitement Dati confirme qu’elle a bien faiat payer des frais téléphoniques à L’UMP mais elle dénonce les délateurs. Elle vise en particulier Fillon et Juppé les concurrents de Sarkozy, ce dernier  qu’elle soutient.  L’UMP rembourserait 10.000 euros de factures téléphoniques par an à Rachida Dati, selon « Le Canard Enchaîné ». L’eurodéputée dénonce des « pseudos révélations-calomnieuses » et s’en prend à François Fillon et à Alain Juppé. L’audit financier de l’UMP a été dévoilé ce mardi 8 juillet. Le parti a accumulé une dette de 74,5 millions d’euros à la fin 2013. Et parmi les dépenses, il y aurait d’importantes factures téléphoniques de Rachida Dati. « Les montants annoncés par la presse, je les découvre et les ignore », a affirme l’eurodéputé dans un sms envoyé à l’AFP. Selon Le Canard Enchaîné, qui a pu se procurer les annexes de l’audit, l’UMP payerait 10.000 euros par an pour deux téléphones mobiles de l’ancienne ministre de la Justice. Sur Twitter, Rachida Dati affirme cependant que ce ne sont pas des dépenses personnelles. « L’UMP a pris en charge une ligne de téléphone et un abonnement au ‘fil AFP’, en ma qualité de responsable de l’UMP », écrit-elle. Autre révélation du Canard Enchaîné : une des collaboratrices de Rachida Dati serait rémunérée par le parti à hauteur de 7.000 euros par mois. L’eurodéputée dément également : Rachida Dati attaque de front ces informations du Canard Enchaîné, qu’elle juge calomnieuses. Selon l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, « tout ce qui sort, qui est distillé minutieusement dans la presse, ça ne vient pas de la gauche ». Elle trouve même « curieux » que « les boules puantes ne visent qu’un seul ‘camp’ : Hortefeux, Bertrand, Raffarin, Daubresse, Copé… ». Ce serait donc, selon elle, les partisans déclarés de Nicolas Sarkozy qui seraient la cible de ces attaques. L’eurodéputée interpelle directement Alain Juppé et François Fillon, membres du triumvirat à la tête de l’UMP et considérés comme des adversaires de l’ancien président. « Je leur demande si leurs frais ont été pris ou sont pris en charge par l’UMP : leurs montants et leurs natures (sic) », martèle-t-elle dans un tweet. Elle demande « la transparence sur le financement de leur think-tank, leur club ou micro-parti ».

 

L’intérim confirme la panne de croissance

L’intérim confirme la panne de croissance

 

Indicateur avancé de a conjoncture l’intérim indique que la croissance est bien en panne. France Info révèle aujourd’hui les chiffres de Prismemploi, un organisme qui regroupe différentes agences d’intérim. En avril, les effectifs intérimaires ont reculé de 1%, par rapport au même mois l’an dernier. Faisant écho aux mauvais chiffres du chômage de la semaine dernière, ces statistiques montrent que la situation ne s’améliore pas pour l’emploi. Il y a de moins en moins de missions d’intérim. La situation est particulièrement préoccupante dans le BTP: le nombre d’intérimaires a chuté en avril de 13 % dans ce secteur-clé de l’économie. Mais « si on a moins besoin d’intérimaires, c’est tout simplement parce qu’on a moins de chantiers », explique Patrick Liébus, qui préside la confédération des petites entreprises du bâtiment. Au mois d’avril, c’est d’ailleurs le BTP qui a fait chuter à lui tout seul les chiffres de l’intérim en France. Alors qu’en revanche, dans des secteurs comme le commerce, on a davantage recruté.

Sondage européennes : le vote sanction confirmé

Sondage européennes : le vote sanction confirmé

 

Les élections européennes seront en France l’occasion d’un vote sanction contre Hollande et sa politique. Le FN sera le réceptacle de tous les mécontentements (et en même temps de toues les contradictions). De son coté le PS va recevoir une fessée historique (en tenant compte que les écolos sont aussi en baisse). Dun certain point de vue cette élection est détournée de son objet car cette Europe est illisible. Il est clair que ce ne sont pas les députés européens qui décident de la politique européenne mais les chefs d’Etat, de la même manière qu’i est clair que c’est la commission des technocrates qui oriente et non le parlement européen. Au point qu’on se demande à quoi sert vraiment une élection spécifique pour ces députés ? Certes les parlementaires peuvent ici ou là infléchir la politique mais c’est vraimenet à la marge. Le dernier sondage confirme avec 24% d’intentions de vote, le Front national devance toujours l’UMP à 21% et le PS est en recul d’un point à 16,5%, selon le baromètre quotidien Ipsos/Steria publié vendredi soir. Selon la dernière vague de cette enquête réalisée pour Le Monde, le Cevipof et Terra Nova, l’alliance UDI-MoDem est créditée de 9,5%, EELV de 8,5% (-1) et le Front de gauche de 7,5% (-1). Debout la France (droite souverainiste) est donné à 3%, Nouvelle Donne (centre gauche) serait à 2,5%. Le reste se répartit entre les autres listes. La participation est évaluée à 42% (+0,5) avec une fourchette comprise entre 40 et 44%. L’enquête Ipsos a été réalisée du 22 au 23 mai auprès d’un échantillon représentatif de 1.547 personnes âgées de 18 ans et plus et inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas.

Sondage : après l’IFOP, IPSOS confirme Hollande en baisse à 18%

Sondage : après l’IFOP, IPSOS confirme Hollande en baisse à 18%

 

L’inconséquence et la désinvolture de Hollande lui coûte cher (notamment dernièrement la nomination de ses petits copains de l’ENA). La cote de popularité de François Hollande a reculé de quatre points en avril en un mois, à 18%, celle du nouveau Premier ministre Manuel Valls s’établissant à 44%, selon le baromètre Ipsos pour le Point publié lundi. Dans le détail, 1% des sondés porte un jugement « très favorable » sur l’action de François Hollande comme président de la République et 17% « plutôt favorable », tandis que 36% expriment un avis « plutôt défavorable » et 40% « très défavorable ».  6% ne se sont pas prononcés (+2 points en un mois).  Interrogés sur l’action de Manuel Valls en tant que Premier ministre, 44% des sondés ont porté un jugement favorable (6% « très favorable », 38% « plutôt favorable ») et 34% défavorables (22% plutôt défavorables, 12% très défavorables).  Mais près d’un quart (22%) ne se sont pas prononcés sur le nouveau locataire de Matignon dans ce sondage réalisé moins de deux semaines après la nomination de Manuel Valls pour succéder à Jean-Marc Ayrault.  Parmi les personnalités politiques, le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé reste en tête du classement, après une progression de 4 points en un mois, à 56% de jugements favorables (13% ne se prononcent pas).  Il devance à nouveau l’ancien maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë (55%, +7 points, 18% ne se prononcent pas).  En troisième position, le président de l’UDI Jean-Louis Borloo (52%, + 11 points), qui a depuis annoncé son retrait de ses mandats et fonctions politiques pour raisons de santé.  Dans ce baromètre, l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy gagne six points (45% favorables), tandis que son ancien Premier ministre François Fillon prend trois points (42%) et que le président de l’UMP Jean-François Copé progresse de neuf points (27%).  Chez les sympathisants de l’UMP, Nicolas Sarkozy demeure le leader politique le plus populaire et progresse même de dix points en un mois (89%), devançant Christine Lagarde, Alain Juppé et François Fillon.

 

Ecoutes Sarkozy : le procureur général Falletti confirme, Taubira a menti

Ecoutes Sarkozy : le procureur général Falletti confirme,   Taubira a menti

Taubira avait déclaré ne pas être au courant autrement que par la presse  mais le procureur général de Paris, François Falletti, a confirmé mercredi 12 mars sur Europe 1 avoir informé la Chancellerie du dossier des écoutes de l’ancien président Nicolas Sarkozy dès le 26 février.  » J’ai informé Christiane Taubira le 26 février « , confirme François Falletti. « Le 26 février 2014, il y a eu un rapport d’information qui est remonté auprès de la direction des affaires criminelles et des grâces, comme c’est la règle concernant » ce type de dossier, a expliqué le haut magistrat, en ajoutant avoir été personnellement informé « le 21 février » des écoutes de Nicolas Sarkozy et de son avocat Thierry Herzog. Dans son édition de mercredi, Le Canard enchaîné affirme que Christiane Taubira disposait dès le 26 février d’informations sur ces écoutes, alors qu’elle a assuré n’en avoir pris connaissance que par la presse. Le Canard ajoute que Manuel Valls était au courant du dossier avant même Mme Taubira, les officiers de police judiciaire devant « lui faire parvenir régulièrement leur rapport sur l’avancement de l’enquête ».

Chômage : François Hollande confirme l’inversion… Surréaliste !

Chômage : François Hollande confirme l’inversion… Surréaliste !

 

 Malgré la montée indiscutable du chômage sur l’année (y compris en novembre) Hollande confirme l’inversion. On le savait incompétent mais pas à ce point. Au-delà de l’incompétence, on touche du doigt la déraison. Comment peut-on affirmer q de telles contrevérités de telles sottises ? En se fondant sur une baisse moyenne de 1350 chômeurs sur deux mois (octobre et novembre), 1350 sur plus de 3 millions ! Alors qu’on soit bien que les chiffres sont truqués par Pôle le emploi qui peut rayer 100 000 chômeurs un mois donné pour faux motifs. (Raisons administratives, non actualisation etc.).  Le nombre de demandeurs d’emploi est reparti à la hausse en novembre en France mais l’inversion de la courbe du chômage est  donc « bien engagée » selon François Hollande, qui s’est donné jusqu’à la fin de l’année pour atteindre cet objectif. Selon les données publiées jeudi par le ministère du Travail, le nombre de demandeurs de catégorie A, sans le moindre emploi, a ainsi augmenté de 0,5% en métropole en novembre, soit de 17.800, pour s’établir à 3.293.000. En tenant compte des personnes exerçant une activité réduite (catégories B et C), leur nombre recule toutefois de 0,1% (-6.900) à 4.876.100. Avec les départements d’Outre-mer, le total atteint 5.174.300. En dépit de la hausse du nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A, le chef de l’Etat a estimé dans un communiqué que « l’inversion de la courbe du chômage est bien amorcée » et que « la diminution durable du chômage est désormais à notre portée », provoquant les sarcasmes de l’opposition. « Je demande à François Hollande de s’adresser aux Français pour prendre acte de son échec et annoncer immédiatement un changement de politique économique », a ainsi déclaré le président de l’UMP, Jean-François Copé, dans un communiqué. Le ministre du travail, Michel Sapin, avait déclaré auparavant que « l’inversion de la courbe du chômage est bel et bien engagée en ce quatrième trimestre de 2013″. « Sur les deux premiers mois du quatrième trimestre (octobre et novembre), l’évolution est à la baisse de -1.350 en moyenne par mois », a-t-il souligné à propos des chiffres de novembre. Les évolutions enregistrées en novembre sont inverses mais avec une moindre amplitude de celles d’octobre, où le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A avait reculé de 0,6% et celui incluant les catégories B et C avait progressé de 0,8%.

 

Déficit budégétaire: la Cour des comptes confirme le dérapage

Déficit  budégétaire: la Cour des comptes confirme le dérapage

La  Cour des comptes pointe du doigt un risque de dérapage des comptes publics cette année.  Les recettes de TVA sont déjà bien inférieures aux estimations du gouvernement depuis le début de l’année, et celles de l’impôt sur les sociétés sont très incertaines. Les sages de la rue Cambon calculent qu’il manquera au total 6 milliards d’euros dans les caisses de l’Etat, dont 4 milliards de recettes fiscales en moins. C’est bien en dessous des prévisions du député UMP qui lui table sur 15 milliards d’euros de recettes manquantes. Quant aux dépenses de l’Etat, la Cour des comptes voit déjà déraper le budget de plusieurs ministères, à commencer par celui de la Défense, conséquence du déploiement militaire au Mali. La Cour estime aussi que les dépenses du ministère du Travail devraient augmenter au second semestre, avec la montée en charge des contrats aidés, comme les emplois d’avenir.  Les sages chiffrent ce dépassement total des dépenses de l’Etat entre 1,1 et 2,1 milliards d’euros. Mais la Cour des comptes conclut que les dépenses seront bien maîtrisées, comme promis, grâce à un redéploiement des crédits entre les différents postes.

 

Croissance : recul confirmé par l’INSEE

Croissance : recul confirmé par l’INSEE

 

L’activité économique s’est contractée de 0,2% au premier trimestre en France après un recul de même ampleur sur les trois derniers mois de 2012 a confirmé mercredi l’Insee, qui avait dit la semaine dernière s’attendre à une diminution de 0,1% du produit intérieur brut (PIB) en moyenne sur l’année. Le gouvernement continue d’anticiper une hausse de 0,1% du PIB en 2013, après une croissance nulle l’an dernier. L’acquis de croissance pour 2013 a aussi été confirmé à -0,3% à l’issue du premier trimestre, selon les résultats détaillés de comptes trimestriels qui entérinent la rechute en récession de l’économie française. Dans sa dernière note de conjoncture trimestrielle, l’Insee prévoit toutefois un léger rebond de l’activité au deuxième trimestre (+0,2% par rapport au trimestre précédent) suivi d’une stagnation au troisième trimestre et d’une progression de 0,1% sur les trois derniers mois de l’année. Les comptes nationaux détaillés confirment une diminution de 0,1% des dépenses de consommation des ménages et font état d’une progression de +1,0% de leur pouvoir d’achat sur janvier-mars, après un recul de -0,9% au quatrième trimestre 2012. Leur taux d’épargne ressort quant à lui en hausse à 16,0% contre 15,1% à la fin 2012. Le recul de l’investissement total a été révisé en de 0,1 point à -1,0% après -0,8% au trimestre précédent. Celui des ménages a été révisé en hausse de 0,1 point à -1,4% tandis que celui des entreprises non financières a été confirmé à -0,8%. Le taux d’investissement des entreprises ressort à 19,0% à la fin du premier trimestre après 19,2% à la fin 2012. Leur taux de marge se redresse très légèrement à 28,1% contre 28,0% à fin 2012.

L’ancien banquier confirme : la liste des politiques ayant un compte en Suisse sera bien diffusée

L’ancien banquier confirme : la liste des politiques ayant un compte en Suisse sera bien diffusée

 

Pierre Condamin-Gerbier ancier cadre de la banque Reyl and Co affirme avoir une liste d’une quinzaine d’hommes politiques ayant un compte en Suisse. Pierre Condamin-Gerbier : « Cette liste a été donnée à un parti tiers… pour que la liste soit diffusée même s’il m’arrive quelque chose. Dans la liste, il y a des hommes et des femmes politiques exerçant ou ayant exercé qui ont des comptes en Suisse ou ailleurs ».  « Il y aura un canal judicaire mais je suis d’accord sur le principe d’un accompagnement informatif », répond - Pierre Condamin-Gerbier à l’invitation de Jean-Jacques Bourdin. Pierre Condamin-Gerbier : « Les voeux de François Hollande seront exaucés. Mon timing sera celui que j’aurai décidé en fonction de ma sécurité notamment. Cette liste est le fruit de 20 ans d’expérience. C’est une liste de dossiers pour lesquels j’ai eu des témoignages directs. Je n’ai pas encore décidé quand je révèlerai cette liste mais ce sera à court ou moyen terme. Je la donnerai quand les canaux avec lesquels je discute m’auront donné l’assurance necessaire que ce contenu sera bien diffusée ».

Croissance Chine : le ralentissement confirmé

Croissance Chine : le ralentissement confirmé

La Chine  a publié de nouveaux indicateurs industriels jugés décevants par les experts, qui commencent à douter d’un rebond de la croissance dans la deuxième économie mondiale.  La hausse de la production industrielle s’est ainsi établie en mai à 9,2% sur un an, contre 9,3% en avril, a rapporté le Bureau national des statistiques (BNS). Les ventes de détail ont elles augmenté de 12,9% le mois dernier, tandis que les investissements en capital fixe ont enregistré une hausse de 20,4% sur la période janvier-mai, a précisé le BNS. « Ces chiffres jettent un doute sur le consensus selon lequel la croissance va rebondir cette année », a commenté Zhang Zhiwei, du groupe de services financiers Nomura. Ces nouveaux indicateurs « viennent confirmer que l’économie (chinoise) s’enlise à nouveau dans une stagnation de sa croissance, après un bref rebond », a de son côté estimé Ren Xianfang, économiste de l’institut IHS Global Insight. Ces indicateurs concernant l’économie chinoise ont été rendus publics dans un contexte qui était déjà de relative morosité. Samedi 8 juin, les douanes chinoises ont ainsi publié leurs dernières statistiques sur les importations et les exportations de la Chine, des résultats bien inférieurs aux attentes des analystes.  Dans des entretiens samedi avec des responsables chinois, le Premier ministre Li Keqiang a reconnu que la Chine faisait face à des difficultés et qu’il lui fallait maintenir une politique macro-économique « stable », a indiqué l’agence de presse Chine nouvelle. Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé le mois dernier abaisser de 8% à « environ 7,75% » sa prévision de croissance pour la Chine en 2013.  Le gouvernement chinois a fixé un objectif limite de 3,5% d’inflation en 2013. En 2012, l’inflation en Chine était tombée à 2,6%, contre 5,4% l’année précédente, tandis que la croissance avait diminué, passant dans le même temps de 9,3% en 2011 à 7,8% l’an dernier. La production manufacturière en Chine s’est contractée en mai pour la première fois depuis sept mois, et bien plus que prévu, a annoncé le 23 mai dernier la banque HSBC. Ce qui avait fait plongé la Bourse de Tokyo de plus de 7% entraînant dans son sillage l’ensemble des bourses européennes. Le CAC40 avait ainsi chuté de plus de 2%. Les indicateurs publiés durant le week-end par Pékin ne devraient toutefois pas entraîner de réactions trop marquées dans les places boursières, car ils « correspondent globalement aux anticipations des marchés », a tempéré Lu Ting, économiste basé à Hong Kong pour Bank of America-Merrill Lynch

Etats-Unis-Fed : confirme sa politique monétaire pour la croissance

Etats-Unis-Fed : confirme sa politique monétaire pour la croissance

 

La FED  a annoncé mercredi son intention de poursuivre ses rachats d’actifs pour stimuler l’économie, en mettant en avant le chômage toujours élevé. Les rachats d’obligations du Trésor américain et de titres hypothécaires se poursuivront au rythme de 85 milliards de dollars par mois, a déclaré la banque centrale dans un communiqué publié au terme de sa réunion monétaire. La Fed a répété par ailleurs son engagement à maintenir le taux des fed funds entre zéro et 0,25 tant que le taux de chômage sera supérieur à 6,5% pourvu que le rythme de l’inflation soit inférieur à 2,5%. Les rachats d’actifs se poursuivront jusqu’à ce que le marché du travail s’améliore de manière tangible, a encore indiqué la banque centrale américaine. La décision monétaire a été adoptée par 11 voix sur 12 au sein du comité de politique monétaire, seule Esther George, présidente de la Fed de Kansas City, ayant voté contre en mettant en avant le risque de déséquilibres futurs et les risques inflationnistes induits par une politique monétaire trop accommodante.

 

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