Archive pour le Tag 'confiée'

Le vol du coffre-fort de Benalla: une affaire rocambolesque confiée à la justice

Le vol du  coffre-fort de Benalla: une affaire rocambolesque confiée à la justice

 

 

Une affaire totalement rocambolesque comme laisse cette affaire de coffre-fort de Benalla  disparu dans la nuit du 20 juillet 2018 et dont on ne sait pas s’il s’agit d’un vol ou d’une mise en sécurité pointe. Sans doute une mesure de prudence car sinon pu enquêtait au domicile de Ben à la que le lendemain de la disparition du coffre. Un comme un coffre contenant des armes et peut-être des documents compromettants. Une nouvelle information judiciaire a donc été ouverte cette semaine par le parquet de Paris dans le cadre de l’affaire Benalla, a-t-on appris ce jeudi. Celle-ci porte sur le coffre-fort disparu d’Alexandre Benalla, l’ancien collaborateur de la présidence. Une enquête préliminaire avait été ouverte en février 2018 pour « entrave à la manifestation de la vérité », concernant un coffre-fort qui avait disparu le 20 juillet 2018. L’enquête a désormais été confiée à un juge d’instruction.

Au mois de juillet 2018, alors que l’ancien chargé de mission de l’Élysée est en garde à vue, les policiers se retrouvent coincés devant le domicile d’Alexandre Benalla à Issy-les-Moulineaux alors qu’ils sont venus le perquisitionner. La porte et la serrure résistent à leurs assauts.

Quand ils y parviennent enfin, il est plus de 21 heures, heure au-delà de laquelle on en peut plus pratiquer de perquisition. Ils attendent donc le lendemain matin, 6 heures, pour pénétrer dans l’appartement des Hauts-de-Seine. À leur entrée, le coffre-fort dans lequel sont entreposées les armes d’Alexandre Benalla n’est plus là.

Evacuation musclée des écolos à Paris : enquête confiée à l’IGPN !

Evacuation musclée des écolos  à Paris :   enquête confiée à l’IGPN !

 

Suite à l’évacuation musclée (gaz lacrymogène en plein visage à quelques centimètres) sur le pont de Sully à Paris vendredi 28 juin, la justice a décidé d’une  enquête en la confiant à l’IGPN ! Or l’IGPN dépend directement du ministère de l’intérieur. . Pire, sa dirigeante Brigitte Jullien a toujours déclaré qu’il n’y avait pas de violences policières de la part des forces de l’ordre. Certes les militants écolos ne sont pas des enfants de chœur mais en la circonstance ils étaient simplement assis sur la chaussée (quelques dizaines) et ne constituaient pas vraiment une menace pour la république contrairement à ce qu’a laissé entendre le pseudo ministre de l’environnement De Rugy, toujours prêt à avaler une  couleuvre pour servir sa carrière.

L’enquête a donc été curieusement confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Elle devra reconstituer la chaîne de commandement qui a donné le feu vert aux CRS pour utiliser les bombes lacrymogènes sur les visages des militants. Selon les informations de franceinfo, cet ordre vient des responsables de la permanence de la DOPC, direction de la préfecture de police de Paris chargée du maintien de l’ordre et de la circulation. L’enquête de la police des polices devra aussi s’intéresser aux rôles des manifestants présents, sur la vidéo et hors vidéo, dans tout ce quartier situé entre l’Institut du monde arabe et la place de la Bastille.




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