Les sentiments que leur procurent ces jeux? L’indifférence pour 35% des personnes interrogées et l’inquiétude pour 33%. 19% se disent tout de même fiers, satisfaits, voire impatients pour 13% d’entre eux: les jeunes notamment.
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Les sentiments que leur procurent ces jeux? L’indifférence pour 35% des personnes interrogées et l’inquiétude pour 33%. 19% se disent tout de même fiers, satisfaits, voire impatients pour 13% d’entre eux: les jeunes notamment.
Les sentiments que leur procurent ces jeux? L’indifférence pour 35% des personnes interrogées et l’inquiétude pour 33%. 19% se disent tout de même fiers, satisfaits, voire impatients pour 13% d’entre eux: les jeunes notamment.
Les sentiments que leur procurent ces jeux? L’indifférence pour 35% des personnes interrogées et l’inquiétude pour 33%. 19% se disent tout de même fiers, satisfaits, voire impatients pour 13% d’entre eux: les jeunes notamment.
Selon une enquête réalisée par le cabinet KPMG – Ifop. 87% des dirigeants d’entreprise de 200 à 249 salariés (et 77% en moyenne pour l’ensemble des dirigeants interrogés) pensent que la politique du président de la République et de son gouvernement aura un impact positif sur le dialogue social au sein des entreprises françaises. Un enjeu que 91% d’en eux estiment déterminant. . Près de 7 patrons sur 10 estiment que cela va «impliquer et responsabiliser davantage les organisations syndicales ou les représentants du personnel dans les enjeux économiques des entreprises», ajoute l’étude. Un chiffre à nuancer néanmoins: 50% d’entre eux ne voient se profiler qu’une «légère» amélioration. 84% des dirigeants estiment que, dans leur entreprise, les relations entre la direction et les représentants du personnel ou les organisations syndicales sont bonnes. Et du coup, 82% pensent pouvoir appliquer les nouvelles dispositions légales. L’obstacle principal sera que la mise en œuvre risque de demander trop de temps au regard des bénéfices attendus.
Sondage avenir : 37% des Français davantage confiants ?
Après le french bashing l’heure est à la diffusion de messages et de sondages plus optimistes. En fait il s’agit de ne pas désespérer consommateurs et ménages, les entreprises, la presse qui vit de la pub, le gouvernement tentent donc d’instiller dans l’opinion une opinion plus rose. Il faudrait davantage parler d’adaptation à la crise que de réelle vision plus optimiste. Malgré une situation économique difficile, les Les Français sont-ils vraiment en train de reprendre confiance en leur avenir ? Selon une étude de l’observatoire Sociovision, 37% d’entre eux (+6 par rapport à 2013) sont optimistes pour le futur. « Ils sont parfaitement conscients qu’ils ne peuvent pas compter sur l’État-providence, qui a longtemps été un filet de sécurité », explique Marie-José Forissier, PDG de Sociovision. Les Français développent de nouvelles pratiques en souscrivant à des assurances privées ou en se constituant un patrimoine pour plus tard. Leur consommation est également plus prudente et la solidarité semble être de mise. Plus étonnant, les Français semblent retrouver confiance en l’entreprise. »Depuis un an, on voit que la grande entreprise reprend des couleurs. On considère qu’elle a un rôle social essentiel », estime Sociovision.