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Coronavirus, relance, racisme, politique : le one-man-show habituel de Maon… tout en même temps!

Coronavirus, relance, racisme, politique : le one-man-show habituel de Macron… tout en même temps!

Comme d’habitude, Macorn va parler de tout et de rien, surtout de rien quant aux solutions et aux perspectives. Et comme d’habitude il va parler, parler parler, parler, très longtemps pour noyer question, problématique, et  hypothèse. Pour les solutions il laissera la tâche aux subalternes comme le premier ministre, lequel en profite habilement pour remonter maintenant dans l’opinion publique au point que Macron sera contraint un jour de l’évincer pour éviter de se retrouver devant un candidat potentiel en 2022. D’une certaine manière, le président actuel pourrait être considéré comme maudit car il a eu à affronter nombre de crises qui n’étaient pas forcément prévisibles et dont il n’est pas entièrement responsable. Il y a eu d’abord  l’affaire Benalla qui a bien mal débuté le quinquennat. Puis rapidement, c’est la révolte des gilets jaunes qui a pris le relais avec un mode de concertation pour le moins contradictoire et épisodique. La contradiction la plus évidente , c’est quand le pouvoir a été est obligé de lâcher ce qu’il aurait pu faire dès le départ. Ensuite est venu cette question sanitaire venue d’ailleurs, de Chine sans doute, pour laquelle la France était particulièrement mal préparée eu égard à l’état général de ses hôpitaux par rapport à l’Allemagne par exemple. Dernièrement , vient de s’ouvrir la polémique à propos des dernières affaires policières, de la déontologie et des principes dans ce domaine. Il ne pourra pas éviter la question des conséquences économiques et sociales du déconfinement puisque le ministre de l’économie lui-même a annoncé 800 000 chômeurs d’ici la fin d’année. Avec une dégradation parallèle évidemment de la croissance et des grands équilibres financiers ( budget et dettes.). Il devra sans doute s’expliquer ou faire semblant sur la manière d’amortir une telle somme de dettes. Une situation économique et sociale qui lui comportera un volet social très douloureux Avant l’allocution télévisée du chef de l’Etat de  dimanche, la défiance à l’égard de l’exécutif repart à la hausse, dans le sondage quotidien OpinionWay & Organique pour « Les Echos ». L’inquiétude des Français, bien qu’au plus bas depuis le début de l’épidémie, reste élevée. À propos du Corona virus l’opinion publique est loin d’être sereine. Appelés à placer sur une échelle de 0 à 10 leur niveau d’inquiétude à propos du coronavirus, « pour eux ou pour leurs proches », les Français l’évaluent à 6,2 en moyenne dans le baromètre quotidien CoviDirect OpinionWay-Organ’Ice pour « Les Echos ».

 

C’est certes le point le plus bas depuis le début de la crise, avec 1,3 point de moins que le pic de la fin mars (7,5). Mais « un mois tout juste après le début du déconfinement et alors que de plus en plus de gens se détendent dans leurs comportements, c’est un niveau élevé », souligne Bruno Jeanbart, le directeur général adjoint de l’institut de sondages.

« Il y a beaucoup d’attentes et beaucoup d’interrogations. Pour les Français, la crise du Covid n’est pas terminée. L’inquiétude de l’opinion disparaît moins vite que le virus », observe-t-il, tout en relevant que la progression du nombre de « peu inquiets » (35 % du total, contre 46 % d’« assez inquiets » et 16 % de « très inquiets ») ne facilite paradoxalement pas la décision politique sur ​la suite du déconfinement​, tant les avis divergent.

. Huit Français sur dix (81 %) estiment que la situation de l’économie française« va se dégrader » et 43 % que leur situation financière personnelle va faire les frais de la crise. 45 % des salariés pensent par ailleurs que la situation de leur entreprise va se détériorer.

 

La pression qui pèse sur les épaules d’Emmanuel Macron est d’autant plus forte que la défiance s’accroît à nouveau. Pas moins de 54 % des Français affirment ne pas faire confiance à l’exécutif « pour limiter les effets » de l’épidémie de coronavirus . Si elle s’est un peu atténuée depuis le début du mois de mai (lorsqu’elle atteignait 60 %), la défiance est repartie à la hausse, faisant un bond de 3 points en une semaine. Elle reste de 8 points supérieure à ce qu’elle était lors du lancement de ce baromètre, fin mars. « Les Français sont passés du sentiment que le gouvernement a trouvé le bon rythme sur le déconfinement à des interrogations sur une trop grande prudence », analyse Bruno Jeanbart. Et pour noyer le poisson , Macron pourrait reparler d’une éventuelle recomposition politique et même du calendrier.

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Retraites: une Conférence de financement des retraites pleine de dangers

Retraites: une Conférence de financement des retraites pleine de dangers 

 

Il est clair que la conférence de financement sur des retraites risque d’être assez délicate autant pour le pouvoir que pour les syndicats. D’abord il y a un manque de clarté quant aux contenus  actuels de la réforme d’autant que cette dernière ne cesse d’évoluer. Aucun exercice de financement ne peut être pertinent si au préalable la situation des coûts n’est pas évaluée. rien que pour  l’éducation nationale- si les promesses sont respectées- le coût du rattrapage salarial représentera 10 milliards par an . Mais un coût  qui sera imputé au budget général pas à celui des retraites. Il faudra aussi ajouter le coût de toutes les exemptions de situations particulières et des transitions relativement longues pour nombre de régimes spéciaux.

 

Le gouvernement devra notoirement bouger car les insuffisances de son projet ont largement été critiquées  par le conseil d’État qui a constaté le flou du contenu du projet tout autant que les approximations financières. En cas d’échec de la conférence de financement cela confirmera  l’étatisation complète du système. Les insuffisances de ce système feront retomber la responsabilité quasi totalement sur l’Etat. Mais les syndicats ne seront pas non plus dans une position confortable.

Il y a d’abord ceux  qui risquent de ne pas y participer, ce qui sans doute sera apprécié comme une fuite devant les responsabilités. Il y a ceux qui apporteront leurs contributions mais qui ne sont pas sûrs  les voir pris en compte. Ils pourraient donc être pris à revers par le gouvernement et rencontrer des difficultés à l’intérieur de leurs propres organisations. Pour s’en sortir, il faudra donc des fortes concessions de part et d’autre y compris du côté du patronat qui en s’enfermant dans sa position actuelle contribue à écroulement  d’une croissance déjà très faiblarde pour 2020 voire au-delà. Proposé par la CFDT et repris par le gouvernement, l’événement prévu à partir de jeudi doit permettre de rassurer sur l’équilibre du futur système. Mais une certaine confusion règne comme l’explique dimanche sur Europe 1 Dominique Corona, secrétaire général adjoint et négociateur des retraites du syndicat UNSA.

« C’est très inconfortable et très incommodant », estime-t-il concernant la situation. Vendredi, le Conseil d’Etat a d’ailleurs souligné ce climat d’incertitudes en critiquant la longue étude d’impact et les projections financières de la réforme.

« Il manque un certain nombre de données (…) qui nous permettraient d’y voir un petit peu plus clair », regrette Dominique Corona.  »Il y a d’un côté des concertations en cours avec des décision qui ne sont pas prises et de l’autre côté une conférences des financements qui va avoir lieu. Il va bien falloir qu’à un moment donné il y ait une intersection et que nous ayons des chiffres consolidés pour pouvoir travailler sereinement », abonde le syndicaliste.

Et d’énumérer les doutes encore existants : « Sur la pénibilité, rien n’est encore totalement tranché. Sur l’emploi des seniors, la concertation vient de s’achever. Nous attendons impatiemment maintenant ce que va faire le gouvernent. »Les  échanges doivent durer trois mois, jusqu’en avril.

Retraites: Philippe torpille la conférence de financement

Retraites: Philippe torpille  la conférence de financement

 

 

Il est clair que le Premier ministre n’a guère apprécié d’avoir été mis en demeure par le président de la république de trouver un compromis rapide concernant les retraites. De la même façon qu’il n’a pas été particulièrement heureux d’avaler son chapeau et de renoncer à ce qui constitue son totem à savoir l’âge  pivot à 64 ans. Très critiqué à droite, son véritable camp d’appartenance, Édouard Philippe remet deux  sous dans la mécanique pour bloquer la conférence de financement qu’il a dû accepter à regret à la demande de la CFDT. Alors que cette conférence n’a même pas démarré, le Premier ministre remet une poignée de sable dans les rouages de la négociation en réaffirmant qu’une mesure d’âge est indispensable. Sans doute pour faire plaisir au Medef, aussi à la droite mais surtout pour montrer qu’il est le patron de cette réforme. Une attitude évidemment maladroite qui hypothèque une négociation déjà difficile.

Dans la lettre qu’il a adressée samedi aux partenaires sociaux, le Premier ministre a limité leurs marges de manœuvre en disposant que les futures mesures financières “ne devront entraîner ni baisse des pensions (…) ni hausse du coût du travail”. Dans l’hypothèse d’un échec des négociations, le gouvernement reprendrait la main.

“Une mesure d’âge sera à mon sens forcément présente, mais je ne veux pas faire le travail des organisations syndicales et patronales avant qu’elles le fassent”, a déclaré Edouard Philippe lors de la séance des questions au gouvernement, à l’Assemblée nationale.

“Car je ne vois pas comment sinon on pourrait arriver à l’équilibre financier en 2027”, avait-il jugé auparavant. Édouard Philippe reste bien dans la tradition dans la Juppé, une tradition caractérisée par une psychorigidité idiote et finalement méprisante pour les partenaires sociaux. Comme si le gouvernement, l’État en général,  pouvait donner des leçons de gestion alors par exemple qu’on laisse encore filer le budget pour 2020 et qu’on va dépasser les 100 % d’endettement par rapport aux PIB.

Bruno Retailleau, le réac, critique la conférence de financement des retraites

Bruno Retailleau, le réac,  critique  la conférence de financement des retraites

Bruno Retailleau, l’un  des représentants les plus réacs des républicains considère que  tous les syndicats sont à mettre dans le même sac. Pas étonnant, l’intéressé manifeste peu d’affection pour les organisations sociales. Retailleau, réac dans le domaine sociétal comme dans le champs socioéconomiques condamne donc aussi la perspective de conférence de financement des retraites proposées par la CFDT. Pas étonnant que les républicains en tant que parti glisse tout doucement vers l’extinction avec des propos aussi rétrogrades. Faut-il mettre en place une conférence de financement du système des retraites, comme le souhaite le patron de la CFDT Laurent Berger ? Pas selon Bruno Retailleau, qui estime au micro d’Europe 1 qu’il s’agit d’ »une mauvaise piste ». Invité du Grand journal du soir d’Europe 1 mardi, le président du groupe LR demande au gouvernement de tenir bon sur l’âge pivot, pomme de discorde du conflit sur la réforme des retraites, quelques heures après que le Premier ministre ait accepté d’en discuter avec les syndicats lors d’une réunion qui doit se tenir vendredi.

« Le système à points peut être le meilleur ou le pire. La valeur du point influencera sur le niveau des pensions, et la seule façon de la maintenir, c’est d’avoir un régime équilibré », estime Bruno Retailleau. « Or, si vous faites une réforme systémique et vous remettez les mesures paramétriques, qui font l’équilibre du système, à demain, vous faites l’inverse de ce que tous les pays européens qui ont adopter un système à points ont fait », rappelle-t-il. Bruno Retailleau s’en est ensuite pris à l’universalité du nouveau système de retraites voulu par le gouvernement : « Je vois bien que cette réforme est complètement déchiquetée, elle n’a plus rien d’universelle. Au fil du temps, on achète des catégories, comme les militaires, routiers, employés du gaz, etc. Et les régimes spéciaux vont se multiplier. » Là ce n’est pas faux !

«Conférence de financement» de la CFDT: accueil contradictoire du gouvernement

«Conférence de financement» de la CFDT: accueil contradictoire du gouvernement

 

 

La nouvelle main tendue de la CFDT qui propose une conférence de financement pour distinguer les aspects paramétriques de la dimension systémique a reçu un accueil assez diversifié au sein du gouvernement. Ainsi le ministre de l’économie, très prudent sur le dossier depuis le début, a-t-il considéré qu’il fallait saisir l’opportunité du débat proposé par Laurent Berger. Par contre, du côté du premier ministre, on s’enferme  toujours sur le totem de la pivot. La vérité, c’est qu’il existe bien deux lignes au sein de la majorité qui traverse le gouvernement mais aussi les députés de la république en marche. Le président de la république, le ministre de l’économie et nombre de députés de la république en marche seraient favorables  à la proposition de la CFDT. Inversement d’autres et notamment le Premier ministre s’arc-boute sur ce totem désormais la marque politique des durs qui veulent afficher leur résolution et leur réformisme.

D’où cet accueil très contradictoire de la proposition de la CFDT. Pourtant Une «très bonne proposition», selon le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, qui s’est déclaré favorable lundi sur France Inter à ce que le gouvernement saisisse cette «main tendue» afin d’apaiser le conflit sur la réforme des retraites qui dure désormais depuis plus d’un mois. «Banco pour cette conférence mais ne préjugeons pas des résultats à l’avance», a-t-il ajouté en réponse à une question sur une éventuelle suppression de l’âge pivot. Toutefois, selon le ministre de l’Économie, «le compromis est à portée de main».

Le gouvernement semble ouvert à cette piste… même si elle consiste à reporter les sujets qui fâchent. L’âge d’équilibre est un «progrès social» mais si les partenaires sociaux ont «une autre idée, on prend», a déclaré le nouveau Monsieur retraites du gouvernement, Laurent Pietraszewski. De même, Olivier Dussopt (Fonction publique) a garanti que le gouvernement était «ouvert au dialogue», alors que des concessions ont été faites par l’exécutif pour les policiers, les danseurs de l’Opéra, les marins ou les pilotes… Le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand (LREM) a également appelé au «compromis».

La CFDT pour «une conférence de financement» sur les retraites

La CFDT pour  «une conférence de financement» sur les retraites

C ‘est à juste titre que la CFDT a réclamé une conférence sur le problème du financement des retraites. Cela pour deux raisons ,d’abord parce qu’il est nécessaire de sortir des chiffres autrement plus pertinents que les prévisions fantaisistes du comité d’orientation des retraites, d’autre part parce qu’il convient d’examiner les différents scénarios de financement possible.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les prévisions comité d’orientation des retraites sont à géométrie politique variable. En fonction des intentions du pouvoir en place  le COR fait  varier ses prévisions. Par exemple  dans son rapport 2016, le COR prévoyait un retour à l’équilibre du système des retraites pour le milieu des années 2020, mais  dans l’édition 2017, il affirme que l’équilibre ne devrait pas être atteint avant le début des années 2040. Subitement aussi en 2019, le comité d’orientation des retraites souligne que le régime enregistrera un déficit de l’art de 10 milliards en 2025. De quoi conforter l’idée qu’il faut imposer une réforme paramétrique ( qui porte sur les critère et les modalités  pour bénéficier de la retraites ). Trois leviers sont privilégiés pour assurer la pérennité financière des systèmes de retraites : l’âge de départ à la retraite, le niveau des pensions et les cotisations.  Ce qui est curieux ce sont ces changements d’évaluation. Pas tellement étonnant finalement car le comité d’orientation est une sorte de cénacle de chapeaux à plumes et non un organisme scientifique indépendant. Dans les prévisions du comité d’orientation des retraites un seul élément est indiscutable savoir le déséquilibre démographique avec plus en plus de retraités est proportionnellement de moins en moins de cotisants. Pour sur le reste, tout dépend d’une part de la croissance ( donc du nombre de cotisants ) , du niveau des retraites et des modalités de financement.

On peut s’étonner que ce conseil d’orientation se soit autant trompé dans ses évaluations à moins qu’il ne confonde  son rôle comme un service du pouvoir ( ce qu’il est en réalité puisqu’il  dépend du Premier ministre) et son rôle d’observatoire économique et statistique indépendant. En clair, le conseil d’orientation des retraites ne sert pas à grand-chose.

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a de nouveau demandé dimanche le retrait de l’âge pivot, mesure «injuste» et «inutile», et a proposé sur France 2 «une conférence de financement» du système de retraites distincte du projet de loi en préparation. Il a par ailleurs indiqué que la CFDT, qui avait appelé à manifester le 17 décembre, déciderait «lundi» si elle se mobilisera le samedi 11 janvier comme l’intersyndicale (FO, CGT, Solidaires, FSU, CFE-CGC) des opposants qui demandent le retrait du projet a déjà prévu de le faire. Son organisation est favorable à un régime universel de retraites par points mais ne veut pas de mesure «budgétaire».

«Il faut retirer cet âge pivot du projet», a-t-il insisté. Est-ce le préalable à toute discussion ? «Oui», a-t-il répondu,

Conférence Macron : 63 % des Français pas convaincus

Conférence Macron : 63 % des Français pas convaincus

 

63% des Français n’ont pas trouvé le chef de l’État convaincant jeudi soir, selon l’enquête Harris Interactive/agence Epoka réalisée en partenariat avec RTL et LCI et le Figaro. Seuls 30 % d’entre eux l’ont trouvé «convaincant» et 7 % «très convaincant». Parmi les mesures annoncées, 65 % des Français sont contre l’augmentation du temps de travail. 58% sont contre l’allongement de la durée de cotisation pour avoir une retraite à taux plein; 59% pensent que le non rétablissement de l’ISF est «une mauvaise chose».

Toutefois, 52 % valident la suppression de l’ENA, 65% se félicitent de la possibilité de renoncer à la suppression de 120.000 postes de fonctionnaires - contrairement à la promesse de campagne d’Emmanuel Macron -; 65 % approuvent l’abaissement du seuil de signatures nécessaires pour un référendum d’initiative partagée; 66 % sont d’accord avec le débat annuel au Parlement sur l’immigration; 69 % valident la mise en place d’un RIC au niveau local; 72 % sont pour la création d’un conseil de défense écologique, 77 % approuvent la pérennisation de la prime exceptionnelle de fin d’année de 1000 euros défiscalisés et sans cotisations sociales; 77 % se félicitent du maintien de l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans, 84 % pensent que la réindexation des retraites de moins de 2000 euros sur l’inflation est une bonne chose,… La mesure la plus populaire étant l’absence de fermetures d’écoles et d’hôpitaux jusqu’en 2022 sans accord du maire de la commune (86 % d’approbation).

Si individuellement les mesures annoncées par Emmanuel Macron sont globalement approuvées par les Français, ils sont 61% à penser qu’elles ne constituent pas la marque d’une modification importante par rapport à ce qui a été fait depuis le début du quinquennat. 65% disent qu’elles ne répondent pas à leurs attentes. Surtout, ils sont 80% à juger que ces annonces ne vont pas mettre fin au mouvement des «gilets jaunes».


Enquête Harris Interactive / Agence Epoka pour LCI, RTL et Le Figaro réalisée en ligne le 25 avril 2019 suite aux annonces d’Emmanuel Macron dans le cadre de sa conférence de presse. Échantillon de 807 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes: sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e).

Conférence nationale des territoires : boycott des collectivités

Conférence nationale des territoires : boycott des collectivités

 

En cause évidemment des questions fondamentales de fond relatives aux compétences et au financement mais aussi des questions de forme. Macron accepte la concertation mais decide ensuite ce qu’il veut. En clair,  il s’assoit sur la négociation. , l’Association des maires de France (AMF), l’Assemblée des départements de France (ADF) et l’Association des régions de France (ARF) ont annoncé conjointement qu’elles boycotteront la Conférence Nationale des Territoires (CNT) le 12 juillet – l’instance de discussion biannuelle entre l’État et les collectivités inaugurée il y a un an par Emmanuel Macron. «Les collectivités ne peuvent cautionner par leur présence une instance qui n’est devenue qu’un faux-semblant de concertation et de dialogue», ont expliqué conjointement les dirigeants des trois associations. À l’unisson, ils fustigent «une politique de réforme hors-sol, décidée à Paris et inapplicable sur le terrain». Le président de l’ADF, Dominique Bussereau, a par ailleurs décrété le «gel de toutes les relations avec les ministères». «On contractualise avec l’État depuis des années», mais ces contrats ne sont «pas une contractualisation mais un diktat», a dénoncé François Baroin, le président de l’AMF, avant de renchérir: «Vous n’avez pas d’autre choix que de signer». Les trois associations qui pratiqueront la chaise vide dès mercredi lors de la réunion préparatoire à Matignon n’excluent cependant pas de renouer avec l’exécutif. «Je pense que le dialogue reprendra, mais il ne reprendra que si l’État met des choses sur la table», a averti Dominique Bussereau.

 

Hollande : comme Sarkozy, 100 à 150 000 euros par conférence

 

L’ancien président de la République avait pourtant assuré, qu’il ne souhaitait pas se lancer dans une carrière de conférencier après son départ de l’Élysée, au contraire de son prédécesseur Nicolas Sarkozy.  Alors que Sarkozy encaisse directement les 100 à 150 000 euros par conférence, Hollande, lui, plus malin, les reverse à sa fondation ; en clair indirectement à lui-même !  Pourtant  quand François Hollande entendait parler de Nicolas Sarkozy et de sa vie de conférencier de luxe, l’ex-président le critiquait de manière un peu triviale. « Uniquement l’argent ! Que l’argent ! (…) Quel est ce besoin de raconter quelque chose qui n’est quand même pas très glorieux ?« , a-t-il déclaré. Il avait même promis qu’il ne prendrait pas le même chemin : « Pour les activités privées, je n’en avais pas avant, je n’en ai pas eu pendant, je vous l’assure, et je n’en aurai pas après« . Pourtant, François Hollande s’est lui aussi lancé dans une carrière d’ex-chef d’État conférencier. Il était à Séoul (Corée du Sud) en octobre 2017, à Lisbonne (Portugal) le mois suivant, à Dubaï (Émirats arabes unis) le mois d’après. Il y a quelques jours, en mai 2018, il était à Astana, au Kazakhstan. On ne sait pas combien il touche par conférence, il est très discret sur le sujet. Ses proches affirment qu’il a reversé une grande partie de sa rémunération de Séoul à sa fondation La France s’engage qui sans doute fiances se frais » accessoires » !

 

Netanyahu dit non à la conférence de Hollande

Netanyahu dit non à la conférence de Hollande

Pas sûr que la conférence que veut organiser Hollande sur le  proche Orient serve vraiment la paix.  Benjamin Netanyahu en effet  refuse de rencontrer leader palestinien si cette conférence est organisée.  La France et Hollande en particulier tiennent à cette conférence pour montrer le rôle du pays en matière de diplomatie internationale. François Hollande qui ne peut plus guère agir en politique interne veut laisser des traces à l’extérieur. Mais « Netanyahu a dit à Hollande que s’il n’y a pas de conférence internationale, il viendra rencontrer Abou Mazen (Abbas) pour des discussions directes sans conditions préalables. Israël ne participera pas à une conférence internationale qui ne contribuerait pas à la paix », disent-ils dans un communiqué. Le chef de la diplomatie française, Jean-Marc Ayrault, avait confirmé plus tôt dans la journée que Paris s’activait pour organiser « le plus vite possible » un tel entretien, évoquant « un travail de préparation et de conviction » en cours. La dernière rencontre en public des dirigeants israélien et palestinien remonte à fin septembre lors des funérailles de l’ancien président israélien Shimon Peres. Une initiative russe lancée en septembre visant à réunir Mahmoud Abbas et Benjamin Netanyahu à Moscou n’a pour l’heure pas abouti. A Ramallah, siège de l’Autorité palestinienne, l’initiative française a été bien accueillie par le porte-parole de Mahmoud Abbas, Nabil Abou Roudeineh, qui a toutefois précisé ne pas encore avoir reçu d’invitation officielle de Paris. Depuis la suspension en avril 2014 des dernières négociations de paix directes entre Israël et l’Autorité palestinienne menées sous l’égide des Etats-Unis, la France s’active en coulisses pour relancer les discussions et faire aboutir la solution à deux Etats, non sans difficultés. L’activisme français irrite les autorités israéliennes qui estiment que seules des négociations bilatérales directes peuvent débloquer la situation. A l’heure où l’administration américaine est en pleine transition politique, la présence des Etats-Unis à la conférence, dont la date précise n’a pas encore été fixée, n’est pas encore actée. Si les Américains ne viennent pas à Paris, les chances que la conférence se tienne sont infimes.

Sondage Conférence sociale : inutile pour 6 Français sur 10

Sondage Conférence sociale : inutile pour 6 Français sur 10

 

  • Une grande messe considérée comme inutile. Pas étonnant,  les grands sujets fondamentaux n’y seront pas traités : l’emploi, le pouvoir d’achat, les conditions de travail ou le financement de la protection sociale. Pour ne fâcher personne on va traiter de questions importantes mais quand même secondaires. Trois tables rondes sont en effet prévues lors de la conférence sociale, sur la « sécurisation des parcours professionnels et la création du compte personnel d’activité », sur la transition énergétique et une troisième sur la « transformation numérique ». En outre c’est une curieuse conception du dialogue sociale réduite à une conférence d’une journée ! pourquoi pas une heure ? le PS qui a usurpé sa légitimité de gauche conserve une curieuse conception des relations sociales en se substituant en faiat aux partenaires sociaux. Du coup l’étatisation des relations vide les relations sociales de leur contenu et le syndicalisme se réfugie le plus souvenait dans la contestation  Près de 60 %% des Français jugent cette conférence inutile selon un sondage OpinionWay* pour Axys Consultants, et BFM Business publié Ce rendez-vous annuel, instauré par François Hollande en 2012 pour fixer la feuille de route sociale de l’année à venir, n’est plébiscité que par les sympathisants socialistes (66%). Les sympathisants Les Républicains et Front national sont les moins enthousiastes (27% chaque parti).

 

Conférence sociale : c’est uniquement de la communication (Martinez)

Conférence sociale : c’est uniquement de la communication (Martinez)

 

 

Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a raison de considérer que cette conférence sociale très médiatisée est essentiellement une opération de com. de Hollnde.  Hollande voulait une grande messe sociale sans doute pour retrouver un peu de crédit à gauche. En fait les fidèles seront moins nombreux car la CGT ne participera pas à la conférence sociale. En cause il y a le contenu de cette  de conférence davantage une opération de communication qu’une véritable négociation. En effet ne doivent être traités dans cette conférence que des sujets qui ne sont pas les plus prioritaires. Trois tables rondes sont en effet prévues lors de la conférence sociale, sur la « sécurisation des parcours professionnels et la création du compte personnel d’activité », sur la transition énergétique et une troisième sur la « transformation numérique ». Certes des sujets qu’  on ne peut négliger mais on a évité les sujets qui fâchent comme l’emploi, le pouvoir d’achat, les conditions de travail ou encore le financement de la protection sociale. Sur la forme cette conférence sociale largement médiatisée est surtout destinée à redonner un peu de vernis social à Hollande actuellement en délicatesse dans les sondages en particulier chez les salariés.   Par contre martinez a tort quand il enferme la CGT dans un syndicalisme de protestation et de contestation comme Sud.

 

(Intreview JDD)

 

Vous boycottez la conférence sociale organisée par le gouvernement demain. Dans quel but?
Cette conférence sociale, c’est uniquement de la communication. Ce n’est pas sérieux du tout. On ne va pas écouter une grand-messe d’experts patronaux et participer à des tables rondes avec des ministres qui viennent se faire valoir. Il y a des sujets majeurs qui ne sont pas pris en compte. La CGT veut parler des salaires et du temps de travail, car ce sont clairement les priorités des Français. Et puis, il y a la situation sociale dans laquelle va se tenir la conférence. Il s’est passé quelque chose de très grave chez Air France. Depuis ces événements, le Premier ministre s’entête à ignorer les salariés. Pas un mot pour les 3.000 futurs licenciés. Pas un mot après que cinq salariés ont été réveillés par la police devant leur famille et gardés à vue plus de trente-six heures comme des malfrats de la pire espèce. Et toujours pas un mot du Premier ministre pour dire que c’est exagéré. Les politiques qui font l’objet d’une procédure, on leur demande de venir au commissariat quand ils ont un moment dans leur agenda et ils s’y rendent à leur convenance.

Manuel Valls a stigmatisé un camp « du conservatisme, du refus du dialogue, de la rupture ». Vous êtes visés?
Nous, on a prévenu. Quand on croise des ministres, on leur dit l’exaspération des salariés, on leur dit : « Faites attention, ça va exploser ». Ils nous répondent de calmer les salariés mais on n’est pas les pompiers de service, on n’est pas là pour réparer les bêtises du patronat ou du gouvernement. Et malgré toutes nos alertes, c’est la CGT qui est montrée du doigt! La ministre du Travail et le Premier ministre nous renvoient la responsabilité d’un possible échec électoral en décembre et à la présidentielle, et si le FN gagne ce sera aussi la faute de la CGT… mais on va où là?

Conférence sociale : la CGT dit non

Conférence sociale : la CGT dit non

 

 

Hollande voulait une grande messe sociale sans doute pour re trouver un peu de crédit à gauche. En fait les fidèles seront moins nombreux car la CGT ne participera pas à la conférence sociale. En cause il y a le contenu de cette  de conférence davantage une opération de communication qu’une véritable négociation. En effet ne doivent être traités dans cette conférence que des sujets qui ne sont pas les plus prioritaires. Trois tables rondes sont en effet prévues lors de la conférence sociale, sur la « sécurisation des parcours professionnels et la création du compte personnel d’activité », sur la transition énergétique et une troisième sur la « transformation numérique ». Certes des sujetsqu’  on ne peut négliger mais on a évité les sujets qui fâchent comme l’emploi, le pouvoir d’achat, les conditions de travail ou encore le financement de la protection sociale. Sur la forme cette conférence sociale largement médiatisée est surtout destinée à redonner un peu de vernis social à Hollande actuellement en délicatesse dans les sondages en particulier chez les salariés.   »La CE a décidé qu’au regard d’un certain nombre d’éléments concernant l’organisation et le contenu de la conférence, du peu de place laissé à l’intervention des organisations syndicales et de ce qui s’est passé à Air France, la CGT ne participerait pas à la conférence sociale », a déclaré à Reuters Virginie Gensel, membre de la commission et du bureau confédéral. En même temps, nous demandons l’ouverture de négociations sur les questions liées au compte personnel d’activité et à la sécurité sociale professionnelle », a-t-elle ajouté.  La CGT souhaitait que la question du temps de travail et des salaires soit discutée à la conférence de lundi, a-t-elle rappelé. « On n’a pas été entendu. Là aussi on demande l’ouverture de négociations sur l’ensemble des ces sujets-là. » Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, avait laissé entendre mercredi matin sur Europe 1 que son organisation envisageait de la boycotter.  Mais pour la CGT, le contenu n’est pas seul en cause. « Il y a la question de la forme », a dit Philippe Martinez. « Comment on conçoit le dialogue social : est-ce que (…) on va à une grand-messe ou est-ce que les organisations syndicales peuvent s’exprimer ? » La CGT, Force ouvrière et la FSU avaient déjà boudé une partie de la conférence sociale de l’année dernière, organisée sur deux jours, pour manifester leur opposition à une politique jugée trop favorable au patronat.

Conférence climat : Hypothéquée par la crise

Conférence climat : Hypothéquée par la crise

Hollande commence à s’inquiéter sérieusement des chances de succès de la conférence climat qui doit se tenir à Paris à la fin de l’année. Des inquiétudes justifiées dans la mesure où en dépit de quelques avancées Il paraît peu vraisemblable que la conférence climat débouche sur des orientations contraignantes. Ce n’est d’ailleurs pas le l’objet de cette conférence qui doit laisser à chaque État le soin de définir les objectifs et moyens pour contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique et la pollution. À moins de trois mois de cette conférence on est encore très loin d’un accord puisqu’il n’a pas même été possible de trouver le financement des réunions. Accessoirement il faudra trouver les 150 milliards destinés aux pays en voie de développement afin de les aider à réussir leur transition énergétique. La crise constitue évidemment un des facteurs explicatifs qui pourraient menacer cette conférence. L’environnement économique international est en effet fragilités et presque partout et la préoccupation première est de soutenir la croissance et l’emploi un objectif assez souvent contradictoire avec la prise en compte de l’environnement. D’une certaine manière la dégradation de l’environnement conjoncturel s’oppose aux évolutions structurelles. Du coup la France multiplie les manifestations pour tenter de sensibiliser l’opinion française mais aussi internationale. Dernier exemple France a annoncé jeudi, à 81 jours de l’échéance, la suppression d’aides à l’exportation de centrales au charbon polluantes. Le Premier ministre a adressé ce signal très attendu à l’ouverture d’une manifestation organisée au Palais de l’Elysée pour afficher l’engagement de la France en faveur du climat. »Nous supprimerons immédiatement les crédits export pour tous les nouveaux projets de centrales à charbon qui ne sont pas dotées d’un dispositif de capture et de stockage du CO2″, a dit Manuel Valls à plus de 400 invités – ministres, représentants de l’industrie et de la société civile, élus. Un geste insuffisant, de toute évidence, aux yeux de l’ex- ministre écologiste du Logement, Cécile Duflot, présente. « On peut continuer à être assez critique sur la traduction dans la politique du gouvernement français des engagements qui doivent être pris à la COP », a-t-elle confié à Reuters. La conférence des Nations unies sur le climat (COP21), prévue du 30 novembre au 11 décembre, est le plus grand rendez-vous international jamais organisé par la France et François Hollande en a fait un enjeu majeur de son quinquennat. Jeudi matin, le traditionnel tapis rouge déroulé pour les invités du chef de l’Etat dans la cour d’honneur du Palais de l’Elysée avait symboliquement été remplacé par un tapis vert.  »Il s’agit d’être capable de réussir ce qui est le rendez-vous sûrement le plus essentiel que le monde s’est donné à lui-même », a dit François Hollande en conclusion de la réunion. Six ans après l’échec de la conférence de Copenhague, la COP21 est considérée comme une des dernières chances de conclure un accord universel sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour enrayer le réchauffement climatique avant que ses conséquences deviennent irréversibles. Les principaux intervenants, politique ou non, dont les ministres des Affaires étrangères et de l’Ecologie, Laurent Fabius et Ségolène Royal, ou l’ancien animateur de télévision Nicolas Hulot, aujourd’hui conseiller spécial du chef de l’Etat, ont insisté l’un après l’autre sur l’urgence d’un tel accord. « Plus tard, ce sera trop tard (…) On n’a pas le droit d’échouer », a averti le chef de la diplomatie française, tout en reconnaissant que la conférence de Paris ne pouvait pas régler tous les problèmes mais être un « point de bascule ».  Or les négociations sur un projet d’accord ne progressent que très lentement. Elles butent notamment sur le financement de l’aide à l’adaptation de l’économie des pays en développement et les plus exposés au réchauffement climatique, financement sans lequel ces derniers risquent de refuser de s’engager. « Il y a des progrès ils sont minces, trop minces encore, et donc il y a une incertitude », a reconnu François Hollande, qui de nouveau fait état d’un « risque majeur » d’échec.

Conférence de Presse : des annonces attendues

Conférence de Presse : des annonces attendues

 

Il ne faut sans doute pas s’attendre à beaucoup d’annonces surprise lors de la conférence de presse de Hollande. Les principaux points abordés concerneront la question des migrants de la Syrie,  de la fiscalité et du code de travail. Concernant des migrants Hollande va réaffirmer vraisemblablement les propositions soutenues par la France et l’Allemagne pour une répartition contraignante des flux autrement dits l’instauration de quotas que par ailleurs Hollande contestée il y encore quelques mois. Il en profitera pour reposer la problématique de lutte contre le terrorisme et contre l’État islamique en Syrie. Ce devrait être l’amorce d’un changement de stratégie de la France quant à son engagement aérien en Syrie. Un engagement jusque-là qui était limité à l’Irak pour ne pas alimenter de confusion avec un soutien du dictateur Bachar El-Assad en Syrie. Hollande va aussi traiter largement des problèmes de politique intérieure et souligner la baisse des impôts déjà annoncés.  Selon des sources gouvernementales, la baisse de l’ordre de deux milliards d’euros concernerait l’impôt sur le revenu et ciblerait les Français aux revenus modestes et moyens, pour atténuer l’impact du « choc fiscal » du début du quinquennat.  L’un des outils disponibles est de reculer le seuil d’entrée dans la première tranche imposable, qui fixe à 9.690 euros le montant des revenus annuels à partir duquel les ménages sont imposables — à 14% jusqu’à 26.764 euros.  Autres hypothèses : un travail sur la décote ou bien une réduction d’impôt forfaitaire, comme cela a été fait en 2014. Concernant le domaine social Hollande devrait se montrer très prudent vis-à-vis de la réforme du code du travail et des 35 heures en insistant sans doute sur la nécessité de la concertation entre partenaires sociaux. On voit mal en effet le gouvernement prendre  des décisions unilatérales dans ce domaine avant les élections régionales qui s’annoncent plus que délicates pour la majorité en place.

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