Archive pour le Tag 'Conférence'

Conférence de presse de Macon : déjà pour couper l’herbe sous le pied du premier ministre

Conférence de presse de Macon : déjà pour couper l’herbe sous le pied du Premier ministre

Macron a décidé de tenir une conférence de presse mardi soir. Du coup, le premier ministre qui envisageait une déclaration de politique générale repousse son intervention. Un scénario déjà connu dans le passé avec un président qui coupe l’herbe sous le pied de son Premier ministre.

Sans doute un scénario qu’on retrouvera par la suite car si le président veut récupérer l’actuelle popularité de son premier ministre, il ne lui permettra pas d’occuper en permanence le devant de la scène. Du coup le lendemain, Gabriel Attal se résoudra seulement à réunir
l’ensemble de ses ministres à 17 heures à Matignon en « séminaire de travail » pour préparer de manière « collégiale » sa déclaration de politique générale que chaque chef de gouvernement prononce devant le Parlement après sa nomination, a annoncé Matignon dimanche soir.

Aucune date n’a encore été arrêtée pour cette déclaration.

Gaza : la conférence humanitaire de Macron

Gaza : la conférence humanitaire de Macron

On se souvient que l’appel de Macon à la lutte internationale contre le Hamas n’avait rencontré aucun succès. Du coup, le président français avait tenté des démarches diplomatiques auprès d’Israël, de l’autorité palestinienne et de quelques pays arabes. Cette fois, il propose une conférence humanitaire le 9 novembre à Paris. En fait une initiative qui aurait dû être celle de l’ONU qui en la circonstance- mais malheureusement aussi pour d’autres dossiers- se montre particulièrement stérile se contentant de multiplier les communiqués du secrétaire général.

Une conférence où seront exclus l’Iran et Israël et bien entendu aussi le Hamas. Par contre, l’autorité palestinienne sera présente. L’absence d’Israël hypothèque évidemment les résultats humanitaires -et encore davantage la perspective de paix- de cette conférence aux objectifs assez flous.

L’objectif devrait être surtout de rechercher d’améliorer les conditions de vie de la population civile palestinienne à Gaza. Des conditions de vie extrêmes car Gaza manque de tout.
La question est cependant de savoir si les aides des principaux bailleurs et autres organisations internationales invités pourront parvenir. Cela supposerait au moins un couloir humanitaire mais qui ne peut être négocié qu’avec Israël.

Le premier ministre israélien a déjà fait savoir qu’il y avait déjà eu des pauses, qu’il pourrait y en avoir d’autres mais pas question de trêve ou de cessez-le-feu humanitaire tant que les otages israéliens ne seront pas libérés.

« Cette conférence mobilisera les principaux acteurs impliqués dans la réponse humanitaire à Gaza », précise le ministère des Affaires étrangères. « États, principaux bailleurs, organisations internationales et ONG actives à Gaza », comme le CICR, ont été invités, tout comme l’Autorité palestinienne, indique le Quai d’Orsay.

Parmi les chefs d’État invités, ceux des pays du Maghreb, la Jordanie, l’Egypte, mais pas l’Iran, assure le ministère des Affaires étrangères. Il y aura aussi des pays membres de l’Union européenne et des institutions européennes, ainsi que la Norvège ou encore la Suisse. Israël, de son côté, ne sera pas invité car sa présence serait « problématique », mais l’État hébreu a été averti, assure le Quai d’Orsay.

Cette conférence humanitaire vise à estimer les réponses en termes d’aide humanitaire, dans les secteurs de la santé, de l’eau, de l’énergie et de l’alimentation.

Diplomatie–Gaza : la conférence humanitaire de Macron

Diplomatie–Gaza : la conférence humanitaire de Macron

On se souvient que l’appel de Macon à la lutte internationale contre le Hamas n’avait rencontré aucun succès. Du coup, le président français avait tenté des démarches diplomatiques auprès d’Israël, de l’autorité palestinienne et de quelques pays arabes. Cette fois, il propose une conférence humanitaire le 9 novembre à Paris. En fait une initiative qui aurait dû être celle de l’ONU qui en la circonstance- mais malheureusement aussi pour d’autres dossiers- se montre particulièrement stérile se contentant de multiplier les communiqués du secrétaire général.

Une conférence où seront exclus l’Iran et Israël et bien entendu aussi le Hamas. Par contre, l’autorité palestinienne sera présente. L’absence d’Israël hypothèque évidemment les résultats humanitaires -et encore davantage la perspective de paix- de cette conférence aux objectifs assez flous.

L’objectif devrait être surtout de rechercher d’améliorer les conditions de vie de la population civile palestinienne à Gaza. Des conditions de vie extrêmes car Gaza manque de tout.
La question est cependant de savoir si les aides des principaux bailleurs et autres organisations internationales invités pourront parvenir. Cela supposerait au moins un couloir humanitaire mais qui ne peut être négocié qu’avec Israël.

« Cette conférence mobilisera les principaux acteurs impliqués dans la réponse humanitaire à Gaza », précise le ministère des Affaires étrangères. « États, principaux bailleurs, organisations internationales et ONG actives à Gaza », comme le CICR, ont été invités, tout comme l’Autorité palestinienne, indique le Quai d’Orsay.

Parmi les chefs d’État invités, ceux des pays du Maghreb, la Jordanie, l’Egypte, mais pas l’Iran, assure le ministère des Affaires étrangères. Il y aura aussi des pays membres de l’Union européenne et des institutions européennes, ainsi que la Norvège ou encore la Suisse. Israël, de son côté, ne sera pas invité car sa présence serait « problématique », mais l’État hébreu a été averti, assure le Quai d’Orsay.

Cette conférence humanitaire vise à estimer les réponses en termes d’aide humanitaire, dans les secteurs de la santé, de l’eau, de l’énergie et de l’alimentation.

Politique-Gaza : la conférence humanitaire de Macron

Politique-Gaza : la conférence humanitaire de Macron

On se souvient que l’appel de Macon à la lutte internationale contre le Hamas n’avait rencontré aucun succès. Du coup, le président français avait tenté des démarches diplomatiques auprès d’Israël, de l’autorité palestinienne et de quelques pays arabes. Cette fois, il propose une conférence humanitaire le 9 novembre à Paris. En fait une initiative qui aurait dû être celle de l’ONU qui en la circonstance- mais malheureusement aussi pour d’autres dossiers- se montre particulièrement stérile se contentant de multiplier les communiqués du secrétaire général.

Une conférence où seront exclus l’Iran et Israël et bien entendu aussi le Hamas. Par contre, l’autorité palestinienne sera présente. L’absence d’Israël hypothèque évidemment les résultats humanitaires -et encore davantage la perspective de paix- de cette conférence aux objectifs assez flous.

L’objectif devrait être surtout de rechercher d’améliorer les conditions de vie de la population civile palestinienne à Gaza. Des conditions de vie extrêmes car Gaza manque de tout.
La question est cependant de savoir si les aides des principaux bailleurs et autres organisations internationales invités pourront parvenir. Cela supposerait au moins un couloir humanitaire mais qui ne peut être négocié qu’avec Israël.

« Cette conférence mobilisera les principaux acteurs impliqués dans la réponse humanitaire à Gaza », précise le ministère des Affaires étrangères. « États, principaux bailleurs, organisations internationales et ONG actives à Gaza », comme le CICR, ont été invités, tout comme l’Autorité palestinienne, indique le Quai d’Orsay.

Parmi les chefs d’État invités, ceux des pays du Maghreb, la Jordanie, l’Egypte, mais pas l’Iran, assure le ministère des Affaires étrangères. Il y aura aussi des pays membres de l’Union européenne et des institutions européennes, ainsi que la Norvège ou encore la Suisse. Israël, de son côté, ne sera pas invité car sa présence serait « problématique », mais l’État hébreu a été averti, assure le Quai d’Orsay.

Cette conférence humanitaire vise à estimer les réponses en termes d’aide humanitaire, dans les secteurs de la santé, de l’eau, de l’énergie et de l’alimentation.

Gaza : la conférence humanitaire de Macron le 9 novembre

Gaza : la conférence humanitaire de Macron

On se souvient que l’appel de Macon à la lutte internationale contre le Hamas n’avait rencontré aucun succès. Du coup, le président français avait tenté des démarches diplomatiques auprès d’Israël, de l’autorité palestinienne et de quelques pays arabes. Cette fois, il propose une conférence humanitaire le 9 novembre à Paris. En fait une initiative qui aurait dû être celle de l’ONU qui en la circonstance- mais malheureusement aussi pour d’autres dossiers- se montre particulièrement stérile se contentant de multiplier les communiqués du secrétaire général.

Une conférence où seront exclus l’Iran et Israël et bien entendu aussi le Hamas. Par contre, l’autorité palestinienne sera présente. L’absence d’Israël hypothèque évidemment les résultats humanitaires -et encore davantage la perspective de paix- de cette conférence aux objectifs assez flous.

L’objectif devrait être surtout de rechercher d’améliorer les conditions de vie de la population civile palestinienne à Gaza. Des conditions de vie extrêmes car Gaza manque de tout.
La question est cependant de savoir si les aides des principaux bailleurs et autres organisations internationales invités pourront parvenir. Cela supposerait au moins un couloir humanitaire mais qui ne peut être négocié qu’avec Israël.

« Cette conférence mobilisera les principaux acteurs impliqués dans la réponse humanitaire à Gaza », précise le ministère des Affaires étrangères. « États, principaux bailleurs, organisations internationales et ONG actives à Gaza », comme le CICR, ont été invités, tout comme l’Autorité palestinienne, indique le Quai d’Orsay.

Parmi les chefs d’État invités, ceux des pays du Maghreb, la Jordanie, l’Egypte, mais pas l’Iran, assure le ministère des Affaires étrangères. Il y aura aussi des pays membres de l’Union européenne et des institutions européennes, ainsi que la Norvège ou encore la Suisse. Israël, de son côté, ne sera pas invité car sa présence serait « problématique », mais l’État hébreu a été averti, assure le Quai d’Orsay.

Cette conférence humanitaire vise à estimer les réponses en termes d’aide humanitaire, dans les secteurs de la santé, de l’eau, de l’énergie et de l’alimentation.

Une conférence sociale timide : un euphémisme !

Une conférence sociale timide : un euphémisme !

« Cette conférence sociale est timide dans ses résultats », estime le secrétaire national de la CFDT Yvan Ricordeau; Un responsable particulièrement bien élevé quand il qualifie aussi modestement une conférence qui n’a débouché sur rien sinon la création d’un nouveau machin intitulé haut conseil des rémunérations.

secrétaire national de la CFDT, alors qu’Élisabeth Borne menace les branches ayant des minima sous le Smic de revoir à la baisse leurs exonérations, s’il n’y a pas de progrès d’ici juin. Une initiative évoquée par la Première ministre en clôture d’une Conférence sociale avec les partenaires sociaux ce lundi.

En clair la première ministre renvoie à l’été l’observation de l’observation des minima salariaux.

Cependant, le secrétaire national de la CFDT estime que les entreprises qui ne respecteront toujours pas les minima salariaux après le mois de juin risqueront seulement « un blâme, alors que la CFDT souhaitait une amende ». « Si les branches ne sont pas dans la légalité, il faut suspendre les exonérations de cotisations. On prend date, mais si à date il n’y a pas de changement, il faudra aller plus loin », poursuit-il.

Le moins que l’on puisse dire c’est que les syndicalistes sont patients et mesurés, polis en plus !

Une conférence sociale qui débouche sur un haut conseil !

Une conférence sociale qui débouche sur un haut conseil !

Pour l’instant la conférence social annoncé à grand renfort de trompettes pour gagner du temps et mettre la poussière sous le tapis a seulement débouché sur la création d’un Haut conseil. Il faut espérer que ce Haut conseil ne se limitera pas à la création d’un pseudo observatoire des bas salaires ! Bref la conférence a surtout un objet politique montrer que la première ministre, elle, concerte avec les partenaires sociaux. Quant aux partenaires sociaux il joue leur rôle traditionnel. Les syndicats de salariés veulent des augmentations que les patrons refusent au nom de la compétitivité.

Les organisations syndicales de salariés ont chacune, exprimé leur inquiétude et leur indignation sur la progression de la pauvreté dans notre pays, l’inégalité entre les revenus du travail et ceux du capital, l’équité de carrière entre les hommes et les femmes, les effets pervers des exonérations de cotisations, l’inefficacité des ordonnances, le manque de respect du paritarisme par l’exécutif, etc…

« La France est un paradis pour les rentiers », a ainsi lancé Sophie Binet, de la CGT, qui réclame une indexation des salaires sur les prix. Et d’interpeller la cheffe du gouvernement « il faut des actes concrets et rapides ».

A la CFDT, Marylise Léon a insisté sur la nécessité de conditionner tout ou partie les exonérations de cotisations pour les branches professionnelles qui ne jouent pas le jeu de la négociation. Le Medef, a évoqué la hausse des charges pour les entreprises, dans un contexte économique tendu.

Pourquoi une conférence sociale avec les politiques

Pourquoi une conférence sociale avec les politiques ?

Il n’est pas sorti grand-chose de la réunion provoquée par le chef de l’État avec les organisations politiques hormis cette perspective très floue de conférence sociale. Une conférence qui porterait sur les bas salaires et la révision à la hausse des minima dans les branches. Si l’objectif est louable et même urgent, par contre on peut s’interroger sur la présence de politiques pour discuter d’une question essentiellement sociale et qui doit être de la responsabilité des partenaires sociaux les syndicats d’un côté et les patrons de l’autre.

Il y a suffisamment de questions politiques générales et de questions sociétales pour occuper le monde politique sans qu’il mette inutilement son et dans les négociations sociales.

Largement discrédité les organisations politiques glissent vers le social pour tenter de rénover une image de marque bien ternie.

De leur côté , les syndicats et d’une façon plus générale les partenaires sociaux ne doivent pas contribuer à installer la confusion entre domaine social et domaine politique. On peut se demander d’ailleurs ce que les syndicats font par exemple dans le cadre du soi-disant conseil national de la Refondation qui évidemment n’a rien à voir avec l’ancien conseil de résistance et qui ne constitue qu’un gadget politique pour contourner les institutions. En voulant s’impliquer sur la question des carrières et des salaires, le gouvernement relance son travail d’équilibriste. Mais l’initiative pose de nombreuses questions.

Politique et Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Politique et Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Comme c’était prévisible, il n’est pas sorti grand-chose de la pseudo initiative politique de Macon réunissant les chefs de partis représentés au Parlement. Chacun a déroulé ses priorités et ses calendriers. On a parlé de tout et de rien et le pouvoir a surtout évité soigneusement la question prégnante du pouvoir d’achat. Pour faire semblant de répondre à cette problématique, Macron envisage de lancer un nouveau machin une « conférence sociale » qui porterait sur le relèvement des salaires minimums dans les branches.

Un problème bien connu des gens organisation syndicale et qui n’a nullement besoin d’une grande conférence mais seulement d’une concertation immédiate dans chaque branche. En outre, le sujet numéro un est surtout d’encourager la revalorisation du pouvoir d’achat pour tous. En effet, l’inflation a été l’occasion d’une vaste entreprise anti redistributive au profit du résultat des entreprises et au détriment du pouvoir d’achat. Le fonds monétaire international convient lui-même que la hausse des prix correspond à des facteurs objectifs pour 40 % mais que 45 % proviennent de l’augmentation des profits.

Notons enfin que la question du pouvoir d’achat relève de la responsabilité d’abord des partenaires sociaux et non de l’État ( sauf pour le SMIC et les fonctionnaires). L’étatisation de cette problématique ne peut que favoriser la confusion et les réticences notamment patronales.

Une « conférence sociale » sur « les carrières et les branches situées sous le salaire minimum » devrait donc être organisée, a indiqué ce jeudi l’entourage du président de la République à BFMTV.
Emmanuel Macron a « validé » lors de sa réunion avec les chefs de partis le principe de l’organisation d’une « conférence sociale » portant « sur les carrières et les branches situées sous le salaire minimum », a appris ce jeudi BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information de l’AFP.

Enfumage–Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Enfumage–Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Encore un an fumage avec l’idée d’une conférence sociale proposée par Macon. Comme c’était prévisible, il n’est pas sorti grand-chose de la pseudo initiative politique de Macon réunissant les chefs de partis représentés au Parlement. Chacun a déroulé ses priorités et ses calendriers. On a parlé de tout et de rien et le pouvoir a surtout évité soigneusement la question prégnante du pouvoir d’achat. Pour faire semblant de répondre à cette problématique, Macron envisage de lancer un nouveau machin une « conférence sociale » qui porterait sur le relèvement des salaires minimums dans les branches.

Un problème bien connu des gens organisation syndicale et qui n’a nullement besoin d’une grande conférence mais seulement d’une concertation dans chaque branche. En outre, le sujet numéro un est surtout d’encourager la revalorisation du pouvoir d’achat pour tous. En effet, l’inflation a été l’occasion d’une vaste entreprise anti redistributive au profit du résultat des entreprises et au détriment du pouvoir d’achat. Le fonds monétaire international convient lui-même que la hausse des prix correspond à des facteurs objectifs pour 40 % mais que 45 % proviennent de l’augmentation des profits.
Notons enfin que la question du pouvoir d’achat relève de la responsabilité d’abord des partenaires sociaux et non de l’État ( sauf pour le SMIC et les fonctionnaires). L’étatisation de cette problématique ne peut que favoriser la confusion et les réticences notamment patronales.

Une « conférence sociale » sur « les carrières et les branches situées sous le salaire minimum » devrait donc être organisée, a indiqué ce jeudi l’entourage du président de la République à BFMTV.
Emmanuel Macron a « validé » lors de sa réunion avec les chefs de partis le principe de l’organisation d’une « conférence sociale » portant « sur les carrières et les branches situées sous le salaire minimum », a appris ce jeudi BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information de l’AFP.

Notons aussi au passage que le pouvoir a oublié les retraités qui prennent plein pot l’inflation sans aucune évolution positive de la pouvoir d’achat.

Conférence sociale : le nouveau « machin » de Macron

Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Comme c’était prévisible, il n’est pas sorti grand-chose de la pseudo initiative politique de Macon réunissant les chefs de partis représentés au Parlement. Chacun a déroulé ses priorités et ses calendriers. On a parlé de tout et de rien et le pouvoir a surtout évité soigneusement la question prégnante du pouvoir d’achat. Pour faire semblant de répondre à cette problématique, Macron envisage de lancer un nouveau machin une « conférence sociale » qui porterait sur le relèvement des salaires minimums dans les branches.

Un problème bien connu des gens organisation syndicale et qui n’a nullement besoin d’une grande conférence mais seulement d’une concertation dans chaque branche. En outre, le sujet numéro un est surtout d’encourager la revalorisation du pouvoir d’achat pour tous. En effet, l’inflation a été l’occasion d’une vaste entreprise anti redistributive au profit du résultat des entreprises et au détriment du pouvoir d’achat. Le fonds monétaire international convient lui-même que la hausse des prix correspond à des facteurs objectifs pour 40 % mais que 45 % proviennent de l’augmentation des profits.
Notons enfin que la question du pouvoir d’achat relève de la responsabilité d’abord des partenaires sociaux et non de l’État ( sauf pour le SMIC et les fonctionnaires). L’étatisation de cette problématique ne peut que favoriser la confusion et les réticences notamment patronales.

Une « conférence sociale » sur « les carrières et les branches situées sous le salaire minimum » devrait donc être organisée, a indiqué ce jeudi l’entourage du président de la République à BFMTV.
Emmanuel Macron a « validé » lors de sa réunion avec les chefs de partis le principe de l’organisation d’une « conférence sociale » portant « sur les carrières et les branches situées sous le salaire minimum », a appris ce jeudi BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information de l’AFP.

Environnement : Conférence Mondiale biodiversité menacée?

Environnement : Conférence Mondiale biodiversité menacée?

Le grand rendez-vous mondial visant à freiner l’effondrement du vivant doit se tenir en Chine à la fin de l’été. Mais sa préparation s’avère complexe, et le pays hôte, peu impliqué, n’en a toujours pas confirmé la tenue.

 

Analyse.

 

La COP15 n’est pas sur les bons rails. La COP… 15 ? Non, il n’y a pas d’erreur de chiffre : en novembre 2021, c’est bien la 26e conférence mondiale sur le climat qui s’est tenue à Glasgow, en Ecosse. Mais, en parallèle des négociations climatiques, une autre Convention-cadre des Nations unies, la Convention sur la diversité biologique, créée en 1992, organise tous les deux ans d’autres « Conférences des parties » (COP), portant cette fois sur la biodiversité.(le « Monde »)

Moins connus, ces rendez-vous n’en sont pas moins importants. L’enjeu de cette COP15, annoncée jusqu’ici pour la fin de l’été à Kunming, en Chine, est même vital : il s’agit d’adopter un nouveau cadre mondial pour mettre un terme à l’érosion de la biodiversité d’ici à 2030. Les accords d’Aichi, signés en 2010, prévoyaient déjà d’atteindre cet objectif en… 2020, mais ils ont échoué quasiment sur toute la ligne. Beaucoup espèrent que l’accord de Kunming sera, pour la nature, l’équivalent de ce que l’accord de Paris a été pour le climat, en matière de prise de conscience et d’engagements.

Fin mars, une session de négociations s’est donc tenue à Genève, en Suisse, pour préparer cette COP, et notamment le projet de cadre mondial. Hélas, les progrès ont été bien plus limités qu’espéré. Un symbole résume, à lui seul, la lenteur avec laquelle ont progressé les discussions : les crochets. Dès qu’une délégation n’est pas d’accord avec l’un des termes proposés, celui-ci est mis entre crochets. A Genève, le projet d’accord, construit autour de vingt et un objectifs concrets pour 2030, s’est ainsi rempli de crochets au point de ressembler, selon les mots des organisateurs, à un arbre de Noël auquel chacun aurait accroché sa guirlande de propositions.

Bien sûr, cette étape où les textes « gonflent » pour prendre en compte l’ensemble des points de vue est indispensable et inhérente au processus de négociation. Encore faut-il qu’ils puissent « dégonfler » à temps, au fur et à mesure qu’émergent des consensus. Le processus peine à avancer. L’agenda des quinze jours de travail, au cours desquels trois discussions ont été menées en parallèle (sur les aspects scientifiques et techniques, sur la mise en œuvre et sur le texte qui sera finalement adopté), était extrêmement chargé. Les 2 000 délégués de 151 pays se rencontraient aussi pour la première fois après deux années de discussions à distance : il faut du temps pour renouer le contact et bâtir la confiance.

Mais, malgré l’implication de la majorité des représentants et des avancées manifestes sur l’objectif de protéger 30 % des terres et des mers d’ici à 2030, ou sur l’inclusion des peuples indigènes, par exemple, le travail qu’il reste à mener pour espérer un succès de la COP est colossal. Sur l’enjeu-clé du financement, le clivage entre pays développés et en développement s’est durci en Suisse et ne sera pas facilement résolu.

Europe : conférence de presse de Macron jeudi

Europe : conférence de presse de Macron jeudi

 

 

L’exercice du chef de l’État lors de sa conférence de presse de jeudi concernant l’union européenne risque d’être relativement complexe. Macron va en effet prendre la présidence pour six mois de l’union européenne. Il voudra à cette occasion servir autant la cause européenne que sa campagne électorale. Or sur de nombreux sujets la compétitivité, la sécurité, le pouvoir d’achat les problèmes sont surtout français. Le président français va surtout insister sans doute sur la nécessité de renforcer la souveraineté européenne, un sujet aux multiples aspects et qui ne serait être résolu en quelques mois et même en quelques annéesEmmanuel .

Emmanuel Macron, qui se présente en Européen convaincu, a déjà exprimé à plusieurs reprises l’importance qu’il attachait à cette présidence semestrielle, qui va coïncider avec les campagnes pour la présidentielle des 10 et 24 avril puis pour les législatives prévues en juin en France.

 

Conférence sur l’Europe aussi en France de citoyens tirés au sort !

Conférence sur l’Europe aussi en France de citoyens tirés au sort !

Une sorte de nouvelle convention cette fois sur l’Europe en France de citoyens tirés au sort et organisée  dans chaque région. Des conférences qui s’inscrivent dans le processus de débat organisé au sein des institutions européennes. Macron souhaite de larges discussions dans toute l’Europe et propose des conférences composées de citoyens tirés sur des listes au hasard. Une sorte de remake de la convention citoyenne qui ne lui a pourtant pas tellement réussi tellement la convention a accouché de contradictions.

Dès mars 2022, quand la synthèse des contributions et des débats sera établie, nous, responsables politiques des différents États membres, du Parlement européen, de la Commission, devrons en tenir compte pour réformer l’Europe. J’en prends l’engagement au nom de la présidence française du Conseil de l’UE a déclaré le président français souhaite que l’Europe agisse plus vite et plus fort.

Conférence sociale à Matignon: pour abandonner la réforme de l’Unedic ?

Conférence sociale à Matignon: pour abandonner la réforme de l’Unedic ?

La conférence sociale que convoque le premier ministre à Matignon aura sans doute essentiellement pour objet de décaler encore l’application de la réforme de l’assurance-chômage.

Cette réforme prévoit en effet un durcissement de quatre à six mois de travail pour ouvrir des droits et une réforme du mode de calcul des allocations défavorables à ceux qui alternent chômage et contrats courts. Face à la crise sanitaire elle avait été décalée jusqu’au 1er janvier. Un nouveau délai d’application pour être décidé jusqu’au 1er avril 2021.

Dans un entretien au Journal du dimanche, le directeur général de Pôle emploi, Jean Bassères, a annoncé avoir enregistré 404.500 demandeurs d’emploi supplémentaires entre février et août. Des «conseillers indemnisation» devraient être mis en place d’ici mars 2022 pour que chaque demandeur d’emploi puisse interroger un spécialiste sur ses allocations-chômage.

Normalement on devrait aussi reparler du calendrier de la réforme des retraites et de la reprise des discussions fins 2020 début 2021. Mais compte tenu de la situation économique, sociale et même politique il est probable que l’examen de ce dossier sera encore repoussé. Certaines questions concernant les reconversions seront sans doute aussi abordées.

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