Archive pour le Tag 'con'

Cirque à Assemblée nationale: aussi « con » que l’émission d’Hanouna ( Laurent Berger, CFDT)

Assemblée nationale: aussi « con » que l’émission d’Hanouna ( Laurent berger)

Faire aussi nul que l’émission d’Hanouna sur C8 ( destinée aux beaufs NDLR),c’est ce que fait l’Assemblée nationale estime Laurent Berger de la CFDT. La faute sans doute aux deux parties qui s’opposent de manière caricaturale à savoir la majorité d’une part et les insoumis d’autre part. En cause sans doute, le profil de nombreux de députés de ces deux camps composés essentiellement de crétins d’après Jean-François Kahn sur LCI dimanche soir. Cela vaut d’ailleurs aussi pour certains complètement dépassés et qui pourtant président les débats.

Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a donc déploré dimanche le « spectacle lamentable » donné à l’Assemblée nationale lors des débats sur le projet gouvernemental de réforme des retraites, estimant que l’ »obstruction » parlementaire menée notamment par les députés de La France Insoumise (LFI) ne servait pas les intérêts des opposants au texte.

Interrogé dans l’émission « Le Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro », le dirigeant syndical a regretté que la multitude d’amendements déposés par le groupe LFI menace d’empêcher tout débat à l’Assemblée nationale sur l’article 7 de la réforme, le plus contesté car prévoyant un report de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite. « C’est un spectacle lamentable qui n’a rien à voir avec la dignité du mouvement de la rue », a dit Laurent Berger, au lendemain d’une quatrième journée de manifestations à travers la France. « Parfois j’ai eu l’impression (…) que c’était le plateau d’un célèbre soi-disant animateur tellement c’était médiocre, c’était n’importe quoi. On aurait dit le plateau d’Hanouna », a-t-il ajouté, en référence à l’émission « Touche pas à mon poste » de Cyril Hanouna sur C8.

« Je crois que ce qui se passe à l’Assemblée nationale ne sert pas (…) ce qu’on est en train de faire dans la rue », a poursuivi Laurent Berger, souhaitant qu’ »a minima l’article 7 soit en débat à l’Assemblée nationale ». « L’obstruction, je ne pense pas que ce soit une bonne solution (…), c’est une connerie. » Evoquant un « moment exceptionnel de mobilisation du monde du travail dans sa grande diversité », le secrétaire général de la CFDT a en outre exhorté Emmanuel Macron et le gouvernement à ne « pas rester sourds » à la contestation contre le projet de réforme des retraites sous peine de provoquer un « ressentiment énorme ». « Ce qui se passe est inédit dans notre pays (…) On ne peut pas rester sourd à ça. Le gouvernement et le chef de l’Etat ne peuvent pas rester sourds à cette mobilisation », a dit Laurent Berger. « Si on s’obstine, le ressentiment dans le monde du travail, dans la société, sera énorme et personne n’y gagnera. » « Ne pas écouter (…) ce serait une erreur (…) ce serait une faute démocratique qui pourrait avoir de multiples conséquences », a-t-il insisté.

Macron, le très méchant Dark Vador » (Vauquiez… mais qu’il est con !)

Macron, le très méchant Dark Vador » (Vauquiez… mais qu’il est con !)

Il n’est pas d’usage sur ce site d’être grossier encore moins vulgaire, outefois  la dernière sortie verbale de Wauquiez mérite vraiment le Nobel de la nullité politique et de faire une exception sémantique En effet pour tout argument, Laurent Wauquiez , probable futur président  des Républicains  a comparé Emmanuel Macron au méchant Dark Vador (de la série Star Wars ). La référence culturelle de Laurent Wauquiez est sans doute à l’image du contenu de sa ligne politique : proche de la nullité. Pourtant Laurent Wauquiez comme bien d’autres, Macron y compris,  est un ancien élève de l’ENA. Cela démontre à l’évidence qu’il y a à peu près le même pourcentage d’idiots dans les différentes catégories sociologiques de Français. Cela confirme que Laurent Wauquiez ne respire vraiment pas l’intelligence sans parler de son charisme comparable à celui d’une planche à repasser. On se demande vraiment comment un responsable politique national au surplus qui envisage un jour d’être président de la république, peut être con à ce point là.  Le candidat favori à la présidence des Républicains se réfère à la saga de George Lucas dans une interview au Parisien Magazine qui paraît ce vendredi 17 novembre. Laurent Wauquiez se voit en héros jedi en lutte contre le méchant Emmanuel Macron qu’il compare à « Dark Vador ».  « Il y a un très méchant Dark Vador qui essaie d’étouffer tout espoir dans la galaxie. Mais une flamme renaît, qui va permettre de battre le méchant empire En Marche. Et cette flamme, c’est celle que je porte », argumente le patron de la région Auvergne-Rhône.

 

Platini : «ça fait quarante ans qu’on dit que je suis un gros con»

Platini :   «ça fait quarante ans qu’on dit que je suis un gros con»

 
Platini dans une interview à lEquipe Platini fait preuve d’une lucidité naïve tout autant que touchante quand il tente de  s’expliquer à propos du piège dans lequel il est tombé à la FIFA. Implicitement, il reconnaît il n’avait peut-être pas les qualités intellectuelles et où les capacités manœuvrière d’un Blatter pour accéder à la présidence de l’organisation internationale de football. Force est de constater que la très grande majorité des grands professionnels du foot ne sont pas vraiment des intellos mêmes  s’il y a quelques brillantes exceptions notamment chez les consultants. Un très bon joueur de football ne fait pas forcément un bon dirigeant ou-même un bon entraîneur. Il faut en effet d’autres compétences notamment en matière de relations humaines et de gestion. De toute évidence la défense de Platini présente de graves lacunes comme en témoigne d’ailleurs encore cette interview. Même s’il est clair que le machiavélique Blatter  l’a complètement piégé. Considérer  que Platini est un qu’on est à la fois sans doute injuste et bien sûr injurieux mais ses dernières déclarations ne peuvent le dédouaner de la légèreté coupable dont il a fait preuve dans cette affaire. Bref une interview pleine de lucidité mais aussi de naïveté

On dit que je suis un gros con

«Les  choses ont été  dures pour mes proches, qui ont été perturbés par l’injustice que je vis. Dans le dossier, il n’y a clairement rien, mais la médiatisation qui en a été faite, la communication autour de ce dossier, toutes les supputations ont fini par me retomber dessus. Mais je les ai encaissées. Ca fait quarante ans qu’on dit que je suis un gros con.»

L’affaire vécue par ses proches : «C’est moi qui leur remontais le moral»
«(Le plus dur pour sa famille) Les ragots, les supputations, ça les a fait souffrir. J’ai la chance que mon papa ne s’en soit pas rendu compte, ma maman, elle, a disparu … Pour ma femme et mes enfants, c’est plus compliqué, ils n’ont pas ma dureté. Ces dernières semaines, c’est moi qui leur remontais le moral alors que ça aurait pu être le contraire (sourire). J’irais au bout du monde s’il fallait faire la guerre.»

Sa candidature à la présidence de la Fifa : «Ce n’était pas mon destin»
«Le retrait de Blatter m’a poussé à y aller. Mais le vrai plaisir, c’était d’être à l’UEFA. Ce n’était pas mon destin d’aller à la Fifa. C’était plus une nécessité. Il fallait que je ramène le football à la Fifa. Aujourd’hui, aucun des candidats ne parle de football. De toute façon, ils ne connaissent pas.»

Sa descente aux enfers : «Blatter disait souvent que je serais son dernier scalp»
«Tout est parti de Blatter, qui voulait ma peau, qui ne voulait pas que j’aille à la Fifa. Il disait souvent que je serais son dernier scalp, mais il est tombé en même temps que moi. De toute façon, ils cherchaient absolument quelque chose contre moi.»

Son renoncement à sa candidature : «Je n’ai plus le temps de me battre avec les autres»
«Je ne me présenterai pas à la présidence de la Fifa. Je retire ma candidature. Je ne peux plus, je n’ai plus le temps ni les moyens d’aller voir les électeurs, de rencontrer les gens, de me battre avec les autres. En me retirant, je fais le choix de me consacrer à ma défense par rapport à un dossier où on ne parle plus de corruption, de falsification, où il n’y a plus rien.»

Le paiement neuf ans après, raison de sa suspension : «J’ai fait confiance à la Fifa, à son président»
«Attendez. D’abord, je parle au président de la Fifa qui me donne cet argent pour un travail effectué. S’il y avait le moindre problème avec ce paiement, pourquoi m’avoir versé cet argent, alors ? Pourquoi la Fifa, avec tous ses juristes et financiers, m’aurait payé si je n’avais pas travaillé, sachant qu’au bout de cinq ans il y avait prescription ? Ils auraient pu ne pas me verser cet argent. (…) S’ils ne l’avaient pas fait, je n’aurais pu m’en prendre qu’à moi-même pour ne pas l’avoir réclamé plus tôt. J’ai fait confiance à la Fifa, à son président. (…) On juge trente, quarante ans de nos carrières sur le paiement administratif de 2 millions de francs suisses d’une mission entamée en 1998. On est en 2015.»

Son rapport à l’argent : «Je suis plutôt dilettante»
«J’ai un rapport à l’argent qui est néant. Peut-être parce que j’en ai depuis que j’ai 17 ans et que ça ne m’a jamais intéressé. (…) Je n’ai jamais connu le salaire d’un coéquipier. Jamais. Ça ne m’intéresse pas. Avec mon argent, je suis plutôt dilettante.»

Son regard sur Joseph Blatter : «Quelqu’un d’atypique, tu n’en croises pas tous les jours au coin de la rue des gens comme lui»
«Quand on se promenait ensemble, c’est vrai que les gens me regardaient et pas lui. Il a toujours eu un problème avec Platini, Beckenbauer. Il aime les joueurs mais il ne faut pas qu’ils lui fassent de l’ombre. (…) C’est quelqu’un d’atypique, tu n’en croises pas tous les jours au coin de la rue des gens comme lui. Il a quelque chose de spécial dans le bien, le mal, la méchanceté, tout ce que tu veux, la gentillesse, le charme, il est intelligent, malin, machiavélique, il a quatre-vingts ans (79) mais il a eu une vie exceptionnelle. Ça se termine mal. Je n’ai plus la compassion que j’avais pour lui mais je reconnais qu’il a fait beaucoup pour le football.»

Son avenir : «Il n’y a pas que le foot dans la vie»
«Je crois à ma famille, à la santé de mes proches, à plein de belles choses. Il n’y a pas que le foot dans la vie. Même si je pense qu’il y aura du foot dans ma vie plus tard. Si j’écope au final d’une suspension de quelques mois, je serai toujours président de l’UEFA. Et sinon, je prendrai un club… Je ne suis pas préoccupé. Pour l’instant, je suis suspendu huit ans. Mais je ne comprends pas qu’une commission d’éthique puisse te suspendre avant que tu ne sois jugé. Quand on te suspend trois mois, on te tue médiatiquement.»

Vote FN ? « Pas la peine de devenir con » !

Vote FN ? « Pas la peine de devenir con » !

Ce qui caractérise les électeurs du Front National c’est leur faible niveau de formation. Les différentes catégories sociales qui se réfugient dans le vote FN le font essentiellement pour manifester leur mécontentement à l’égard de la politique conduite par Hollande. Leur colère est le plus souvent légitime quand il s’agit de protester contre le chômage, la misère, la fiscalité et la bureaucratie. Compte tenu de l’inefficacité de la droite et de la gauche, le FN sert de réceptacle à toutes les frustrations, à tous les mécontentements mais aussi à toutes les contradictions. Malheureusement ce n’est pas le programme du FN qui permettra d’apporter des solutions pertinentes aux questions socioéconomiques qui se posent. Le programme économique du FN ne peut conduire qu’à la ruine du pays. Sans parler de certaines orientations sociétales du parti d’extrême droite qui remet en cause le modèle démocratique français. Il faut donc espérer un réveil intellectuel de la part de ceux qui pensent que le FN peut être une solution c’est l’appel lancé par un rescapé, toujours hospitalisé,  dans une  tribune relayée ensuite par le Huffington Post,  intitulée « Me prendre une balle ne m’a pas rendu con, pas la peine de le devenir pour moi ».  »OK, je comprends le traumatisme post-attentat. Je suis même plutôt bien placé pour saisir l’impact psychologique d’une telle atrocité. Mais reprenons-nous, respirons un bon coup, réfléchissons ensemble et non les uns contre les autres », écrit-il. « La France est sous le choc et agit connement par peur. Alors on va vite se calmer et voter avec sa tête plutôt qu’avec des sentiments exacerbés et passagers », demande-t-il. « J’aime mon pays et je ne pouvais pas rêver d’un meilleur endroit pour me prendre une balle. N’en faisons pas un pays de cons », plaide-t-il. Le blogueur conclut : « Je souhaite ressortir de mon lit d’hôpital avec un moral au top. Pour cela : prenons du recul, pensons, discutons, aimons-nous …

« BHL ?, un con (Onfray)

« BHL ?, un con (Onfray)

Il est clair que cette fois Michel Onfray, le philosophe, n’a pas fait dans la dentelle ni dans l’extrême finesse pour qualifier BHL. C’était en réaction à l’intervention de BHL concernant la noyade du petit syrien de trois ans. Il est vrai que l’intervention de BHL à quelque chose d’obscène quand on sait qu’il n’a cessé de recommander de déstabiliser les régimes politiques actuellement en conflit et particulièrement en Libye. Ce sont ces interventions à caractère militaire qui ont permis à l’État islamique d’émerger et de se développer. Mais les recommandations de BHL n’ont pas grand-chose à voir avec la philosophie. BHL est en effet à la philosophie ce que Rachid d’un Dati est à la politique : un mondain  de la jet-set. On peut sur la forme évidemment reprocher à Michel Onfray d’avoir utilisé une réplique d’Audiard un peu grossière et brutale pour autant sur le fond il n’a pas tort.  Quand il parle de Bernard-Henri Lévy, Michel Onfray cite Audiard : « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait ». Personne n’est dupe. Audiard est le paravent alibi qui permet de traiter BHL de « con ». Procédé indirect, qui peut éviter l’inconvénient d’une citation directe au tribunal pour injure publique. « Je n’ai fait que citer Audiard monsieur le Président ! » Onfray parait bien connaitre la jurisprudence en la matière. Pourquoi l’injure ? Parce qu’invité de BFMTV, ce jeudi, dans la tranche animée par la toujours impeccable Nathalie Lévy, Michel Onfray a été invité à écouter BHL évoquer les effets politiques engendrés par la découverte de la photographie du corps du petit Aylan, retrouvé mort noyé sur les côtes turques. Qu’a donc pu dire BHL pour se retrouver ainsi injurié, même à l’abri d’une citation d’Audiard ? Une série d’évidences. Que « l’on est sans voix face à cette image ». Que c’est « atroce ». Que « La seule chose que l’on peut espérer c’est que cette image serve d’avertissement, de leçon ». Et « qu’il y a des photos qui ont cette vertu paradoxale de réveiller les opinions, de casser la mécanique froide des chiffres de donner un visage aux statistiques ».  Et Onfray accuse, oui, selon lui, BHL est coupable de la mort d’Aylan. Et pas seulement le philosophe, mais tout le monde, les anciens présidents, les nouveaux présidents, Sarkozy, Hollande, BHL, tous coupables : « Tous ces gens qui ont rendu possible cet enfant mort, et Bernard Henri Levy en fait partie… il est complice… Ces gens-là sont des criminels. Leur politique est criminelle « .




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