Archive pour le Tag 'complètement'

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Foot-PSG : encore un match complètement nul…. comme Blanc

Foot-PSG : encore un match complètement nul…. comme Blanc

 

Comment peut-on produire un match aussi nul avec de tels joueurs ? En conservant Blanc, complètement perdu,  incapable de définir la moindre stratégie, de motiver ses joueurs et de faire des choix tactiques intelligents et productifs. A cet égard les analyse de Blancs d’après -matchs sont à la fois affligeantes et pathétiques. Pas étonnant c’est à peine s’il sait prononcer une phrase à peu près construite sur la forme et pertinente sur le fond  On attend quoi pour le virer ? Que la saison soit complètement gâchée ? Avec ce style de jeu le PSG est certain de perdre toutes les compétitions. Aucun jeu collectif, aucun engagement, maladresse récurrente en attaque (avec un Cavani spécialiste des tirs hors cadre) et maintenant une fébrilité en défense (même du gardien).Un seul joueur s’est mis en évidence à Paris : Lucas.  Bref une honte de produire u, tel jeu avec des individualités  auusi fortes. Au début Paris s’est emparée  de la possession mais de manière stérile ;  les Franciliens font face à Montpelliérains déterminés et qui pressent très haut sur le porteur du ballon. Le PSG se procure tout de même la première occasion de la partie après un une-deux remarquable entre Ibrahimovic et Maxwell (10e). Le centre du Brésilien ne trouve toutefois pas Cavani. Le rythme s’accélère et le MHSC croit ouvrir le score mais le but de Sanson est refusé pour une position de hors-jeu (15e). Ibrahimovic tente sa chance sur coup franc (22e), Lucas fait la différence sur des raids solitaires, Cavani manque presque tout ce qu’il entreprend et le jeu parisien s’embourbe. A la pause, c’est un PSG sans agressivité qui est tenu en échec face à son public. Au retour des vestiaires, les joueurs du PSG reviennent avec de meilleures intentions mais la défense du MHSC, menée par un Hilton intraitable ce soir, veille toujours au grain. David Luiz tente sa chance de très loin (53e) mais Ligali repousse au sol tandis que Cavani ne peut reprendre… Paris pousse avec Lucas, intenable, mais le Brésilien se heurte à son tour sur la défense compacte de l’adversaire. Les minutes s’égrènent et Blanc décide de remplacer  Cavani et Matuidi, qui laissent leur place à Bahebeck et Rabiot. Montpellier reste très discret offensivement et se contente d’attendre les joueurs du PSG. Score final 0-0, le PSG a sans doute laissé passer sa chance de terminer champion d’automne. Le club de la capitale a surtout manqué une opportunité de rassurer ses supporters.  Bref le PSG a une nouvelle fois tout raté.

Un système politique complètement discrédité

Un système politique complètement discrédité

Les 60% d’abstention aux européennes traduisent évidemment un refus de cette Europe à la fois libérale et technocratique, aussi un désaveu vis-à-vis de Hollande et de sa politique suicidaire mais aussi et peut-être surtout la condamnation d’un système politique obsolète et discrédité. En effet à gauche comme à droite et même aux extrêmes les responsables sont en place depuis 10, 20, 30, 40 ans voire plus ; Toujours les mêmes qui ont transformé  la mission d’élu en carrière avec tous les avantages y afférents. Du coup personne ne se reconnaît dans cette oligarchie qui se reproduit et ne fait naître que des apparatchiks aux extrêmes y compris. Plus personne ne croit vraimenet au fameux clivage droite gauche qui n’a plus de sens depuis longtemps car si les discours diffèrent les pratiques elles sont identiques. Incompétence, mauvaise foi, manque de vision, absence de courage peuvent qualifier cette classe politique. La plupart des propos tenues sont soit incohérents, soit mensongers, soit encore illusoires. A cet égard la montée du FN n’est pas de nature à assainir le système car ce parti est le refuge de toutes les frustrations, de toutes les contradictions. Le FN non plus ne tiendrait pas ses promesses. Le dénominateur commun à tous est responsables, tous les partis c’est la volonté de conquérir le pouvoir. Une fois au pouvoir on ne sait plus quoi en faire alors finalement ce sont les lobbys, la finance, les technocrates qui décident. Témoin cet accord avec les Etats Unis, un traité de libre échange négocié de chaque coté avec une armada de technocrates et des  centaines avocats d’affaires représentant les multinationales. Un accord « secret » dont personne ne connait le contenu ni mêmes les politiques dans le détail. Finalement une sorte de trahison de la démocratie qui devrait impliquer un tsunami républicain pour tout remettre à plat en commençant par interdire que la fonction politique demeure  une carrière et en exigeant une sociologie représentative de nos élus.

Economie : Hollande s’est complètement planté

Economie : Hollande s’est complètement planté

Hollande set planté en matière de politique économique, c’est le sentiment de 90% des français dans u récent sondage. Il avoue lui-même qu’il avait sous-estimé la crise. Normal, il n’a jamais travaillé dans l’économie réelle et a fait toute sa carrière (comme beaucoup d’autres) dans le système oligarchique politique. Un changement de gouvernement ne changera rien, c’est Rocard qui le dit et qui précise qu’il faut un changement de vision.  Après avoir fait campagne sur la relance de l’économie et de l’emploi par la stimulation de la croissance, François Hollande a dû reconnaître que celle-ci ne serait pas au rendez-vous avant un certain temps.  Alors que la zone euro s’enfonce dans la récession, il acte dans les prévisions présentées ce mois-ci à la Commission européenne que 2013, comme 2012, sera une année de stagnation économique, avant un léger rebond espéré en 2014 (+1,2%).  Ce simple bilan signifie-t-il que le gouvernement socialiste, après un an de pouvoir, est rattrapé par la réalité d’une crise dont il n’aurait pas anticipé l’ampleur? « Nous avons passé la première année à colmater les importantes voies d’eau dans nos finances, dans l’économie », se défend l’entourage du Premier ministre Jean-Marc Ayrault, mettant en cause l’héritage laissé par dix ans de gouvernement de droite et par la crise financière.  Soucieuse de « sérieux budgétaire » censé donner des gages à ses partenaires européens, la France de François Hollande privilégie d’emblée la voie de la rigueur. Pour ramener le déficit public à 3% du PIB dès 2013, l’exécutif met en oeuvre un effort de plus de 30 milliards d’euros, dont deux tiers par des hausses d’impôts sur les ménages et les entreprises.  Au grand dam d’une partie de la gauche pour laquelle la différence est ténue avec la politique de Nicolas Sarkozy. « La politique budgétaire, qui est la politique centrale, est exactement la même aujourd’hui que celle du précédent gouvernement », estime Eric Heyer, de l’Observatoire français des conjonctures économiques.   »L’espoir qui avait été mis peut-être par certains citoyens dans un changement de politique est finalement un espoir déçu », ajoute-t-il, en évoquant des « différences marginales » comme le choix des emplois aidés pour remplacer le « travailler plus pour gagner plus ».  Mais ce n’est pas tout. Faisant « tomber de l’arbre » nombre de parlementaires de la majorité, M. Hollande annonce en novembre qu’une hausse de la TVA, des mesures de fiscalité écologique et de nouvelles économies viendront financer une baisse d’impôts de 20 milliards d’euros par an pour aider les entreprises à reconstituer leurs marges, investir, innover et « bien sûr embaucher ».  Face à ce vaste programme de relance de la compétitivité, la presse évoque un tournant social-démocrate, vite assumé par le ministre de l’Economie Pierre Moscovici qui parle de « révolution copernicienne pour la gauche » d’ordinaire plus encline à soutenir la consommation.  Le chef de l’Etat mise tout sur ce plan pour relancer une croissance au point mort. Son principe est voté. « Lamentable », peste le leader du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon.  Mais en février, ce qui n’était encore qu’une inquiétude se transforme en désillusion pure et simple: dans ses prévisions, la Commission européenne table sur une croissance française de 0,1% seulement en 2013 (contre 0,8% affiché par le gouvernement) et surtout estime que Paris ne tiendra pas la cible de déficit à 3%.  Alors que la popularité du président n’en finit plus de tomber, il est obligé de revoir l’ensemble de ses objectifs initiaux, y compris l’ »intangible » 3%.  Et même s’il promet qu’il n’y aura pas de nouveau tour de vis budgétaire cette année et que l’essentiel de la réduction des déficits s’effectuera désormais par des économies dans la dépense, il a du mal à convaincre alors que se profilent aussi des coupes dans les allocations familiales et une nouvelle réforme des retraites.  Justement, de grandes organisations comme le FMI ou l’OCDE mais aussi de nombreux économistes et plusieurs gouvernements européens commencent à remettre en cause le rythme effréné de l’austérité, coupable d’avoir cassé la croissance. « Il faut changer de stratégie, sinon c’est un peu suicidaire », observe Eric Heyer. « Il ne s’agit pas de changer complètement de cap et de passer à la relance, mais d’aller vers une austérité plus mesurée ».

 

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