Archive pour le Tag 'Commissaire'

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Alstom : l’inutile commissaire Barnier met en garde la France

Alstom : l’inutile commissaire Barnier met en garde la France

 

Au nom de la commission européenne le commissaire européen Barnier condamne les velléités de protectionnisme en France. Curieux d’abord pour un français, d’autant plus curieux que ce commissaire est complètement transparent ; contradictoire auusi car c’est lui qui voulait interdire aux agences de notation de noter les Etats. On se demande bien sur quelle compétence et quelle légitimité s’appuie le seul commisaire français de l’union européenne. 5 par parenthèse si on doit le remplacer par le mollasson Moscovici, ce ne sera guère mieux !). La Commission européenne a donc mis Paris en garde contre toute tentation protectionniste après la publication d’un décret, dit « décret Alstom », qui étend à l’énergie et aux transports le mécanisme de protection des entreprises stratégiques contre les appétits étrangers. « L’objectif de protéger les intérêts essentiels stratégiques dans chaque État membre est essentiel dès qu’il s’agit de sécurité ou ordre public. C’est clairement prévu dans le traité. Mais nous devons vérifier si (cet objectif) est appliqué de manière proportionnée sinon cela reviendrait à du protectionnisme », a déclaré ce jeudi 15 mai le commissaire chargé du Marché intérieur, le Français Michel Barnier. « On n’assurera pas une bonne protection de l’industrie européenne, son développement, avec du protectionnisme », a insisté le commissaire européen. « Une bonne protection c’est l’investissement pas le protectionnisme », a-t-il ajouté. On n’assurera pas une bonne protection de l’industrie européenne, son développement, avec du protectionnisme. Michel Barnier La Commission européenne « devra vérifier si ces mesures entrent bien dans le champ de la défense légitime de l’intérêt public », a prévenu Michel Barnier. Le gouvernement français a brandi ce jeudi l’étendard du patriotisme économique en se dotant d’une nouvelle arme qui pourrait lui permettre de bloquer les visées étrangères sur Alstom, et surtout celles de General Electric qui veut racheter le pôle énergie du fleuron industriel français. « Le choix que nous avons fait, avec le Premier ministre, est un choix de patriotisme économique », a déclaré le ministre français de l’Economie, Arnaud Montebourg, dans un entretien au journal Le Monde. « Ces mesures de protection des intérêts stratégiques de la France sont une reconquête de notre puissance. » Ce décret gouvernemental soumet à l’autorisation préalable du ministre de l’Économie les investissements par des groupes étrangers en France, dans les domaines de l’énergie et des transports, mais aussi de l’eau, de la santé et des télécoms. Il étend un dispositif de protection mis en place par un précédent décret de 2005 dans les secteurs de la défense nationale, comme l’armement, mais aussi des technologies de l’information ou des jeux d’argent.

Commissariat général à l’investissement : un énarque à la place d’un autre énarque dans un machin qui ne sert à rien

Commissariat  général à l’investissement : un énarque à la place d’un autre énarque dans un machin qui ne sert à rien

 

 

 

Schweitzer (qui qui a enfoncé Renault) remplace Gallois (sympa mais qui n’a pas fait de miracle à la SNCF) à la tête de l’inutile commissariat général à l’investissement. C’est la loi du genre surtout avec Hollande. «  Un industriel remplace un autre industriel », tu parles, des fonctionnaires qui n’ont du leur place dans des entreprisse qu’à leur passage dans les cabinets ministériels. De toute manière ce «  machin à l’investissement », très « Montebougrien » ne sert à rien ; L’investissement sera réellement encouragé que lorsque les charges baisseront, que demande et confiance suivront.   »Le ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique a décidé de proposer la nomination de Louis Schweitzer comme commissaire général à l’investissement », indique le ministère dans un communiqué.  M. Schweitzer, président d’honneur de Renault, qui aura 72 ans en juillet, va ainsi remplacer Louis Gallois, récemment désigné président du conseil de surveillance du constructeur PSA Peugeot Citroën.   »Avec Louis Schweitzer, un grand industriel succède à un autre grand industriel », souligne le communiqué.  Il « mettra une nouvelle fois au service de l’intérêt général, sa connaissance du tissu économique français et des nécessités du redressement durable de la France », poursuit le communiqué.  Le commissaire général à l’investissement est chargé de veiller à la cohérence de la politique d’investissement de l’Etat.  De son côté, en tant que président du conseil de surveillance du constructeur, M. Gallois aura pour tâche de superviser l’arrivée de deux nouveaux actionnaires, l’Etat et le chinois Dongfeng, aux côtés de la famille Peugeot.  Enarque comme Louis Gallois, Louis Schweitzer, patron et haut commis de l’Etat classé à gauche, a été directeur de cabinet de Laurent Fabius, alors ministre délégué chargé du budget en 1981. Il le suivra ensuite au ministère de l’Industrie en 1983, puis à Matignon de 1984 à 1986.  Après l’échec de la gauche lors des élections législatives de 1986, M. Schweitzer a rejoint Renault dont il a été le président-directeur général de 1992 à 2005.  De 2005 à 2010, il a présidé la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité (HALDE).  M. Schweitzer est membre du conseil d’administration de différentes sociétés et préside divers organismes d’intérêt général, dont Initiative France depuis 2011, un réseau associatif de financement des créateurs d’entreprise.  Son prédécesseur Louis Gallois, également considéré comme proche du PS, a passé dix ans à la tête de la SNCF avant de diriger dès 2007 le groupe européen aéronautique EADS (rebaptisé depuis Airbus Group) pour quatre ans.  En juillet 2012, il a reçu du gouvernement Ayrault la mission de faire des propositions pour restaurer la compétitivité des entreprises.  Cinq mois plus tard, le commissaire général à l’investissement présentait un rapport baptisé « Pacte pour la compétitivité de l’industrie française », qui a convaincu le chef de l’Etat de mettre en place une politique favorable à l’investissement et à l’innovation, avec comme mesure phare la création du Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE).

 

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