Archive pour le Tag 'Colonel'

Société-Attentats dans l’Aude : Pour un hommage annuel au héros, le colonel Arnaud Beltrame

Société-Attentats dans l’Aude : Pour un hommage annuel au héros, le colonel Arnaud Beltrame


Ce 24 mars 2018 dans un supermarché de Trèbes un terroriste avait pris en otage la caissière, positionnant le canon de son pistolet sur sa tête et tenant un couteau contre sa poitrine. C’est alors que le gendarme, le colonel Arnaud Beltrame, était entré dans le supermarché et avait « commencé à s’avancer lentement en engageant le dialogue avec le terroriste », raconte Julie. « C’est le terroriste qui a tendu la perche comme une provocation en disant : ‘Bah, prends sa place !’ A partir de là, Arnaud Beltrame a clairement proposé l’échange. Il a commencé à dire : ‘La petite dame, elle n’y est pour rien, laisse-la repartir. Moi, je suis gendarme, je représente l’Etat, prends-moi à sa place’ », poursuit celle qui publie Sa vie pour la mienne (éditions Artège).

Le colonel Beltrame a reçu les honneurs de la nation mais son geste d’un exceptionnel courage mériterait mieux avec un hommage annuel pour rappeler la haute conception qu’avait le colonel des valeurs de la république.

Attentats dans l’Aude : Pour un hommage annuel au héros, le colonel Arnaud Beltrame

Attentats dans l’Aude : Pour un hommage annuel au héros, le colonel Arnaud Beltrame


Ce 24 mars 2018, unterroriste avait pris en otage la caissière, positionnant le canon de son pistolet sur sa tête et tenant un couteau contre sa poitrine. C’est alors que le gendarme, le colonel Arnaud Beltrame, était entré dans le supermarché et avait « commencé à s’avancer lentement en engageant le dialogue avec le terroriste », raconte Julie. « C’est le terroriste qui a tendu la perche comme une provocation en disant : ‘Bah, prends sa place !’ A partir de là, Arnaud Beltrame a clairement proposé l’échange. Il a commencé à dire : ‘La petite dame, elle n’y est pour rien, laisse-la repartir. Moi, je suis gendarme, je représente l’Etat, prends-moi à sa place’ », poursuit celle qui publie Sa vie pour la mienne (éditions Artège).

Le colonel Betrame a reçu les honneurs de la nation mais son geste d’un exceptionnel courage mériterait mieux avec un hommage annuel pour rappeler la haute conception qu’avait le colonel des valeurs de la république.

Mali : le colonel Goïta président autoproclamé de la transition

Mali : le colonel Goïta président autoproclamé de la transition

La cour constitutionnelle à la botte des militaires a adoubée colonel Goïta comme président de la transition  L’arrêt stipule que le vice-président de la transition, le colonel Goïta, «exerce les fonctions, attributs et prérogatives de président de la transition pour conduire le processus de transition à son terme», et qu’il portera «le titre de président de la transition, chef de l’Etat».

 

La Cour constitutionnelle déclare. «En raison de la vacance de la présidence de la transition, il y a lieu de dire que le vice-président de la transition assume les prérogatives, attributs et fonctions de président de la transition, chef de l’Etat», écrit-elle.

Le colonel Goïta, homme fort du Mali a fait arrêter le président en exercice et le premier ministre. Il semble bien que les militaires au Mali soient davantage préoccupés à faire des coups d’Etat qu’à combattre les terroristes laissant à la force barkhane le soin de s’en occuper !

Benalla : une promotion directe de brigadier à lieutenant colonel

Benalla : une promotion  directe de brigadier à lieutenant colonel

Benalla n’est  sans doute pas l’amant de Macron mais c’est certainement son ami, en tout cas son ancien ami. En effet, seul Macon a pu permettre que Benalla ancien brigadier de la réserve opérationnelle deviennent brutalement lieutenants colonel dans la réserve spéciale. L’ancien chargé de mission d’Emmanuel Macron s’est retrouvé nommé en 2017 à cet échelon très prestigieux, souvent octroyé en fin de carrière, alors qu’il n’était qu’un simple brigadier-chef de la réserve opérationnelle de la gendarmerie.

Plusieurs députés de l’opposition ont dénoncé une ascension qu’ils jugent démesurée voire suspecte.  Radié, à sa demande, de la réserve opérationnelle en 2017, Alexandre Benalla a ensuite été intégré à un « vivier peu connu » et « constitué de 74 personnes recrutées pour leurs compétences particulières », précise une note interne de la gendarmerie, dévoilée par Le Parisien. C’est au moment où il intègre cette nouvelle unité qu’il a été nommé lieutenant-colonel, un grade qui « lui a été conféré au titre de son niveau d’expertise », justifie encore le document.

Pas de victoire contre l’Etat islamique sans moyens au sol ( Colonel Goya)

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Il est il est certain que la question des moyens d’intervention au sol constitue un sujet délicat pour l’alliance qui lutte contre l’État islamique mais un sujet qui sera pourtant incontournable dans les jours et les semaines à venir . Si l’on s’en tient à ce qui a été fait au Mali il faudrait sans doute 20 à 40 000 hommes au sol et sans doute  200 avions. Des moyens dont  la France seule ne peut disposer. La France est engagée, avec la coalition, dans les frappes militaires en Syrie mais « il faut bien comprendre qu’on ne peut pas détruire l’Etat islamique sans aller au sol« , souligne Michel Goya, analyste de défense et professeur à Sciences Po.   »Actuellement, nous avons une stratégie d’endiguement qui repose sur des frappes, sur des raids, on élimine, on tue, on fait une grosse pression en attendant  que des éléments plus fondamentaux permettent d’étouffer le problème. Mais si on veut véritablement vaincre l’Etat islamique, il faudra planter les drapeaux sur Rakka et Mossoul« , poursuit-il. Des déclarations d’intentions qui devront être suivies d’actes concrets face à une menace toujours extrêmement forte. Et pour faire face à cette menace, « il y a un volet défensif sur le territoire national, relevant des moyens policiers, des services de renseignement, des moyens judiciaires, … et un volet offensif qui relève des moyens militaires« , explique sur France Info le colonel Michel Goya, analyste de défense et professeur à Sciences Po. La France est engagée, avec la coalition, dans les frappes militaires en Syrie mais « il faut bien comprendre qu’on ne peut pas détruire l’Etat islamique sans aller au sol« , souligne Michel Goya. «  Mais si on veut véritablement vaincre l’Etat islamique, il faudra planter les drapeaux sur Rakka et Mossoul« , poursuit-il.: « Reconquérir aujourd’hui l’espace qui est occupé par l’Etat islamique, représente à peu près 10 à 20 fois ce que nous avons dû faire au Mali, pour simplement conquérir le terrain et ce ne sera qu’une partie du problème« …




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