Archive pour le Tag 'cocaïne'

Drogue : le président colombien pour la légalisation de de la cocaïne !!!

Drogue : le président colombien pour la légalisation de de la cocaïne !!!

Dans la hiérarchie des présidents fous, le président colombien monte d’un cran !Lors d’un Conseil des ministres tenu le mardi 4 février, le président colombien Gustavo Petro a déclaré que «la cocaïne n’est pas plus mauvaise que le whisky». Il a soutenu que cette opinion est étayée par des analyses scientifiques. Selon lui, la cocaïne est illégale «parce qu’elle est produite en Amérique latine, pas parce qu’elle est plus nocive que le whisky».

 

La cocaïne devance le cannabis

La  cocaïne devance le  cannabis 

Mardi 28 janvier, l’Assemblée nationale examinera une proposition de loi visant à « sortir la France du piège du narcotrafic » et une seconde portant sur la création d’un parquet national antistupéfiant. Comment comprendre le développement constant du narcotrafic dans l’Hexagone lors de ces dernières décennies ? Un facteur important réside dans le développement du transport maritime comme le montre l’exemple du port du Havre. Avec deux tonnes de cocaïne interceptées, Le Havre a été le théâtre en décembre dernier d’une saisie d’une ampleur exceptionnelle, portant à 14 tonnes le total des confiscations réalisées dans le port pour l’année 2024. Quelques semaines plus tard, le ministre de l’intérieur en déplacement en Seine-Maritime annonçait un renforcement des mesures de sécurisation du complexe portuaire. Une actualité qui illustre la centralité du fret maritime dans le trafic de la « marchandise mondialisée » qu’est la cocaïne aujourd’hui.Depuis une vingtaine d’années, dans une économie mondiale des drogues illégales en pleine expansion, le trafic transnational de cocaïne occupe une place absolument incontournable. Entre 2014 et 2023, la production en Colombie, source principale de la cocaïne consommée en Europe, a été multipliée par plus de sept pour atteindre, selon l’Organisation des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), près de 2 700 tonnes (t). Les saisies réalisées dans l’Union européenne atteignaient plus de 323 t en 2022, soit six fois plus qu’au début du XXIe siècle. La consommation, elle, est en forte hausse et il est probable que le marché européen face à une demande américaine stagnante, voire en diminution, soit devenu le premier du monde. En France, les prévalences de consommation dans l’année ont été multipliées par neuf depuis 2000. Avec 2,7 % de consommateurs en 2023, dans la population adulte, la France se situe désormais loin devant les États-Unis, et la cocaïne, en valeur, y est probablement le marché le plus important devant celui du cannabis.

 

par 

Chargé d’enseignement au sein du master de criminologie, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) dans The Conversation 

 

Comme le montrent les quantités considérables de cocaïne confisquées dans les grands ports marchands, de Gioia Tauro en Italie au port d’Anvers en Belgique en passant par Rotterdam aux Pays-Bas et Le Havre en France, les porte-conteneurs jouent un rôle central dans cette économie. En France, en 2022, plus de 75 % des saisies intervenaient sur le vecteur maritime. De fait, le crime organisé a su parfaitement insérer ses activités dans les flux du commerce global de marchandises en faisant du conteneur le fer de lance de la conquête de marchés en Europe et en Asie.

Cette « maritimisation du crime » est indissociable de la forte croissance du commerce international dont la part dans le PIB mondial est passée de 25 % à 59 %, entre 1970 et 2023, tandis que, sur la même période, le volume de marchandises transportées à travers le fret maritime passait de 2 605 millions de tonnes à près de 11 000 millions de tonnes. Dans cette évolution, la révolution dans la logistique que constitue le conteneur occupe une place déterminante. Son invention est relativement récente puisque le premier transport de marchandises empruntant ce vecteur remonte à 1957 aux États-Unis.

Le premier porte-conteneurs circule en effet depuis le port de Newark dans le New Jersey vers celui de Miami en Floride. Ce mode de transport présente des avantages évidents à savoir une réduction radicale du coût de transport des marchandises en permettant la concentration de dizaines de milliers de tonnes de biens sur un seul vaisseau. Aujourd’hui, à partir d’un certain volume, importer en France depuis la Chine n’est pas plus onéreux que depuis l’Espagne. Ainsi, les marchandises produites à bas coût en des lieux éloignés géographiquement des pays les plus riches deviennent, par la grâce du conteneur, compétitives sur les marchés éloignés et favorisent les délocalisations.

La distance n’est apparemment plus un problème. En 2022, 21 % des biens importés dans l’Union européenne provenaient de Chine. Pour le capital, l’importation de biens de consommation à bas prix présente également l’avantage de faire pression à la baisse sur le coût de la reproduction de la force de travail contribuant ainsi à la production de survaleur relative. Aux États-Unis, on appelle cela le « paradigme Walmart ». Dès lors, à partir des années 1970, un processus de conteneurisation des grands ports marchands se développe touchant dans un premier temps les pays capitalistes les plus développés avant de se répandre sur toute la planète.

Dans ce contexte, pour le crime organisé, les ports, qui ont toujours été des lieux d’implantation privilégiés, vont devenir plus stratégiques que jamais. Dans les années 1980, le trafic de la cocaïne vers l’Europe, qui restait encore relativement artisanal en matière de logistique (en 1985, une tonne de cocaïne était saisie dans la CEE), va se sophistiquer et profiter du développement de cette modalité de transport. Le conteneur permet en effet d’acheminer des quantités importantes mêlées à d’autres marchandises dans un contexte où les flux sont tellement importants qu’ils deviennent quasiment impossibles à surveiller. On estime aujourd’hui à peu près que sur les 90 millions de conteneurs qui convergent chaque année vers les grands ports européens, 2 % à 10 % seraient effectivement contrôlés.

À l’arrivée dans les espaces portuaires multimodaux, les boîtes en métal sont chargées sur des camions ou déposées dans des trains ou sur des barges qui acheminent la marchandise au plus près des grands marchés de consommation situés dans les métropoles. Cette conteneurisation présente l’intérêt de maintenir la valeur de la cocaïne à un niveau suffisamment bas, qui en la rendant plus accessible permet d’élargir le nombre de consommateurs. Entre 1990 et 2024, en France, le prix moyen en euros constants d’un gramme de cocaïne au détail est passé de 325 à 65 euros.

Le kilogramme de cocaïne à Anvers se négocierait autour de 15 000 euros à 20 000 euros aujourd’hui contre 30 000 euros il y a seulement une dizaine d’années. Toutes ces évolutions ont favorisé l’émergence au sein du crime organisé de véritables experts de la logistique chargés d’identifier les bateaux, de recruter de la main-d’œuvre, et d’une criminalité en col blanc spécialisée dans la création de sociétés-écrans engagées dans l’import-export en lien avec l’Amérique latine.

Pour les pouvoirs publics, dans un tel contexte, la lutte contre le commerce transnational de la cocaïne est extrêmement complexe. La concurrence acharnée que se livrent les grandes plates-formes logistiques pour attirer les flux opère une pression sur le travail des douanes. Ainsi, le délai moyen d’immobilisation des marchandises doit tendre continuellement à la baisse pour jouer sur les coûts.

Entre 2004 et 2021, il aurait diminué de plus de 60 %. En outre, le développement de la sous-traitance en matière de gestion de la main-d’œuvre, le recours à l’intérim, l’externalisation d’une partie de la sécurité facilite la pénétration du crime organisé. Les affaires de corruption dans ces conditions se multiplient. Et puis, il faut s’imaginer ce que représente physiquement un grand port marchand. Un exemple ? Rotterdam, premier port européen et dixième au classement des grands ports mondiaux, avec ses centaines de kilomètres de quais est une ville dans la ville et ses 15 millions de conteneurs débarqués chaque année constitue un défi permanent pour les forces de l’ordre dans un contexte où la course à l’accélération de la vitesse de déplacement des marchandises est plus que jamais de mise.

Dans le terminal de Maasvlakte, la circulation des conteneurs, du débarquement au transbordement, est complètement automatisée : des grues aux drones roulants pilotés depuis leurs écrans par des « cyberdockers » eux-mêmes ciblés par les tentatives de corruption. Les Pays-Bas et la Belgique qui sont, via leurs ports, aujourd’hui, les portes d’entrée principales de la cocaïne en Europe ont, depuis deux ans, décidé de réagir.

Confrontés à la montée du crime organisé et des menaces qu’il fait peser sur la vie démocratique, les pouvoirs publics ont pris des mesures drastiques pour contrer le trafic comme l’augmentation des effectifs des douanes, l’installation de scanners, l’utilisation de drones survolant les docks ou encore l’élévation du taux de contrôle des conteneurs en provenance de destinations jugées sensibles. La chute importante des saisies de cocaïne à Anvers passées de 116 t en 2023 à 40 t en 2024 serait-elle un signe d’une relative désaffection des trafiquants pour le port flamand et la traduction de leur efficacité ? Si c’était le cas, le ministre de l’intérieur aurait raison de s’inquiéter. Le port du Havre, situé non loin des grands marchés de consommation que sont Paris, Bruxelles et Amsterdam, à toutes les qualités pour devenir une option pour les trafiquants. Dès lors, il n’est pas trop tard pour s’inspirer des mesures prises par nos voisins belge et néerlandais.

La cocaïne devance le cannabis

La  cocaïne devance le  cannabis 

Mardi 28 janvier, l’Assemblée nationale examinera une proposition de loi visant à « sortir la France du piège du narcotrafic » et une seconde portant sur la création d’un parquet national antistupéfiant. Comment comprendre le développement constant du narcotrafic dans l’Hexagone lors de ces dernières décennies ? Un facteur important réside dans le développement du transport maritime comme le montre l’exemple du port du Havre. Avec deux tonnes de cocaïne interceptées, Le Havre a été le théâtre en décembre dernier d’une saisie d’une ampleur exceptionnelle, portant à 14 tonnes le total des confiscations réalisées dans le port pour l’année 2024. Quelques semaines plus tard, le ministre de l’intérieur en déplacement en Seine-Maritime annonçait un renforcement des mesures de sécurisation du complexe portuaire. Une actualité qui illustre la centralité du fret maritime dans le trafic de la « marchandise mondialisée » qu’est la cocaïne aujourd’hui.Depuis une vingtaine d’années, dans une économie mondiale des drogues illégales en pleine expansion, le trafic transnational de cocaïne occupe une place absolument incontournable. Entre 2014 et 2023, la production en Colombie, source principale de la cocaïne consommée en Europe, a été multipliée par plus de sept pour atteindre, selon l’Organisation des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), près de 2 700 tonnes (t). Les saisies réalisées dans l’Union européenne atteignaient plus de 323 t en 2022, soit six fois plus qu’au début du XXIe siècle. La consommation, elle, est en forte hausse et il est probable que le marché européen face à une demande américaine stagnante, voire en diminution, soit devenu le premier du monde. En France, les prévalences de consommation dans l’année ont été multipliées par neuf depuis 2000. Avec 2,7 % de consommateurs en 2023, dans la population adulte, la France se situe désormais loin devant les États-Unis, et la cocaïne, en valeur, y est probablement le marché le plus important devant celui du cannabis.

 

par 

Chargé d’enseignement au sein du master de criminologie, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) dans The Conversation 

 

Comme le montrent les quantités considérables de cocaïne confisquées dans les grands ports marchands, de Gioia Tauro en Italie au port d’Anvers en Belgique en passant par Rotterdam aux Pays-Bas et Le Havre en France, les porte-conteneurs jouent un rôle central dans cette économie. En France, en 2022, plus de 75 % des saisies intervenaient sur le vecteur maritime. De fait, le crime organisé a su parfaitement insérer ses activités dans les flux du commerce global de marchandises en faisant du conteneur le fer de lance de la conquête de marchés en Europe et en Asie.

Cette « maritimisation du crime » est indissociable de la forte croissance du commerce international dont la part dans le PIB mondial est passée de 25 % à 59 %, entre 1970 et 2023, tandis que, sur la même période, le volume de marchandises transportées à travers le fret maritime passait de 2 605 millions de tonnes à près de 11 000 millions de tonnes. Dans cette évolution, la révolution dans la logistique que constitue le conteneur occupe une place déterminante. Son invention est relativement récente puisque le premier transport de marchandises empruntant ce vecteur remonte à 1957 aux États-Unis.

Le premier porte-conteneurs circule en effet depuis le port de Newark dans le New Jersey vers celui de Miami en Floride. Ce mode de transport présente des avantages évidents à savoir une réduction radicale du coût de transport des marchandises en permettant la concentration de dizaines de milliers de tonnes de biens sur un seul vaisseau. Aujourd’hui, à partir d’un certain volume, importer en France depuis la Chine n’est pas plus onéreux que depuis l’Espagne. Ainsi, les marchandises produites à bas coût en des lieux éloignés géographiquement des pays les plus riches deviennent, par la grâce du conteneur, compétitives sur les marchés éloignés et favorisent les délocalisations.

La distance n’est apparemment plus un problème. En 2022, 21 % des biens importés dans l’Union européenne provenaient de Chine. Pour le capital, l’importation de biens de consommation à bas prix présente également l’avantage de faire pression à la baisse sur le coût de la reproduction de la force de travail contribuant ainsi à la production de survaleur relative. Aux États-Unis, on appelle cela le « paradigme Walmart ». Dès lors, à partir des années 1970, un processus de conteneurisation des grands ports marchands se développe touchant dans un premier temps les pays capitalistes les plus développés avant de se répandre sur toute la planète.

Dans ce contexte, pour le crime organisé, les ports, qui ont toujours été des lieux d’implantation privilégiés, vont devenir plus stratégiques que jamais. Dans les années 1980, le trafic de la cocaïne vers l’Europe, qui restait encore relativement artisanal en matière de logistique (en 1985, une tonne de cocaïne était saisie dans la CEE), va se sophistiquer et profiter du développement de cette modalité de transport. Le conteneur permet en effet d’acheminer des quantités importantes mêlées à d’autres marchandises dans un contexte où les flux sont tellement importants qu’ils deviennent quasiment impossibles à surveiller. On estime aujourd’hui à peu près que sur les 90 millions de conteneurs qui convergent chaque année vers les grands ports européens, 2 % à 10 % seraient effectivement contrôlés.

À l’arrivée dans les espaces portuaires multimodaux, les boîtes en métal sont chargées sur des camions ou déposées dans des trains ou sur des barges qui acheminent la marchandise au plus près des grands marchés de consommation situés dans les métropoles. Cette conteneurisation présente l’intérêt de maintenir la valeur de la cocaïne à un niveau suffisamment bas, qui en la rendant plus accessible permet d’élargir le nombre de consommateurs. Entre 1990 et 2024, en France, le prix moyen en euros constants d’un gramme de cocaïne au détail est passé de 325 à 65 euros.

Le kilogramme de cocaïne à Anvers se négocierait autour de 15 000 euros à 20 000 euros aujourd’hui contre 30 000 euros il y a seulement une dizaine d’années. Toutes ces évolutions ont favorisé l’émergence au sein du crime organisé de véritables experts de la logistique chargés d’identifier les bateaux, de recruter de la main-d’œuvre, et d’une criminalité en col blanc spécialisée dans la création de sociétés-écrans engagées dans l’import-export en lien avec l’Amérique latine.

Pour les pouvoirs publics, dans un tel contexte, la lutte contre le commerce transnational de la cocaïne est extrêmement complexe. La concurrence acharnée que se livrent les grandes plates-formes logistiques pour attirer les flux opère une pression sur le travail des douanes. Ainsi, le délai moyen d’immobilisation des marchandises doit tendre continuellement à la baisse pour jouer sur les coûts.

Entre 2004 et 2021, il aurait diminué de plus de 60 %. En outre, le développement de la sous-traitance en matière de gestion de la main-d’œuvre, le recours à l’intérim, l’externalisation d’une partie de la sécurité facilite la pénétration du crime organisé. Les affaires de corruption dans ces conditions se multiplient. Et puis, il faut s’imaginer ce que représente physiquement un grand port marchand. Un exemple ? Rotterdam, premier port européen et dixième au classement des grands ports mondiaux, avec ses centaines de kilomètres de quais est une ville dans la ville et ses 15 millions de conteneurs débarqués chaque année constitue un défi permanent pour les forces de l’ordre dans un contexte où la course à l’accélération de la vitesse de déplacement des marchandises est plus que jamais de mise.

Dans le terminal de Maasvlakte, la circulation des conteneurs, du débarquement au transbordement, est complètement automatisée : des grues aux drones roulants pilotés depuis leurs écrans par des « cyberdockers » eux-mêmes ciblés par les tentatives de corruption. Les Pays-Bas et la Belgique qui sont, via leurs ports, aujourd’hui, les portes d’entrée principales de la cocaïne en Europe ont, depuis deux ans, décidé de réagir.

Confrontés à la montée du crime organisé et des menaces qu’il fait peser sur la vie démocratique, les pouvoirs publics ont pris des mesures drastiques pour contrer le trafic comme l’augmentation des effectifs des douanes, l’installation de scanners, l’utilisation de drones survolant les docks ou encore l’élévation du taux de contrôle des conteneurs en provenance de destinations jugées sensibles. La chute importante des saisies de cocaïne à Anvers passées de 116 t en 2023 à 40 t en 2024 serait-elle un signe d’une relative désaffection des trafiquants pour le port flamand et la traduction de leur efficacité ? Si c’était le cas, le ministre de l’intérieur aurait raison de s’inquiéter. Le port du Havre, situé non loin des grands marchés de consommation que sont Paris, Bruxelles et Amsterdam, à toutes les qualités pour devenir une option pour les trafiquants. Dès lors, il n’est pas trop tard pour s’inspirer des mesures prises par nos voisins belge et néerlandais.

Politique-Elon Musk – Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

Politique-Elon Musk - Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

 

Comme si le monde ne connaissait pas suffisamment de problèmes, le milliardaire génial mais fou ne cesse d’intervenir avec des idées les plus farfelues notamment en soutenant des parties d’opposition d’extrême droite. Cette fois il affirme que dans sa vision lointaine quand la planète Mars sera colonisée, on pourra se passer de la démocratie représentative en utilisant la démocratie directe. Exactement ce que préconise et mettent  en œuvre tous les dictateurs au monde.

Compte tenu des positions de plus en plus iconoclastes de Musk- souvent sous cocaïne- , il est vraisemblable qu’il y aura un jour affrontement avec le président américain.

Elon Musk devrait pourtant se montrer prudent car officiellement le mélange politique et business est rarement compatible. Faut-il aussi rappeler que le milliardaire vit largement aux frais des subventions reçues des États-Unis et grâce à la politique protectionniste américaine.

Interrogé sur l’éventuel système de gouvernement, le fondateur de Space X affirme que les humains qui arriveront sur la planète et qui la coloniseront «choisiront eux-mêmes leur mode de fonctionnement politique». Il se permet d’émettre une «recommandation» : « Je préconise la démocratie directe plutôt que la démocratie représentative», a-t-il écrit dans son post.

Pour que des êtres humains posent pied sur la planète, Elon Musk estime le délai à environ quatre ans «pour les vaisseaux avec équipage». Une promesse sans doute faite sous influence de la cocaïne ! En fait 4ans, 40 ans ou plus vraisemblablement jamais !

Amsterdam : et maintenant la libéralisation de la cocaïne !!!

Amsterdam : et maintenant la libéralisation de la cocaïne !!!

 

Après la libéralisation du cannabis,  c’est maintenant au tour de la cocaïne. En tout cas c’est ce que propose la maire d’Amsterdam. À quand aussi la libéralisation de l’héroïne et autres drogues dures. La preuve en tout cas que la tolérance grandissante vis-à-vis de certaines drogues n’est pas de nature à répondre à la problématique tant du point de vue de la santé que de la sécurité.

«On pourrait imaginer que la cocaïne puisse être obtenue auprès de pharmaciens ou via un modèle médical», a donc suggéré Femke Halsema, dans un entretien à l’AFP.

Réguler les drogues dures comme la cocaïne et la MDMA est, pour la maire d’Amsterdam, le seul moyen de combattre le narcotrafic et ses conséquences «désastreuses» sur l’économie et la sécurité de la capitale néerlandaise.

 «On pourrait imaginer que la cocaïne puisse être obtenue auprès de pharmaciens ou via un modèle médical», avance dans un entretien avec l’AFP Femke Halsema.
cettetolérance traduit le laxisme des autorités perdues par rapport à l’ampleur du phénomène. C’est un peu comme si concernant le trafic des armes ont proposait d’en distribuer gratuitement aux utilisateurs potentiels.

Cocaïne: Légalisation de la vente au Canada !

Cocaïne: Légalisation de la vente au Canada !


Certains pays pratiquent la fuite en avant devant l’envahissement des drogues et autres opiacés de toutes sortes. Ainsi au Canada on va commencer à autoriser la vente de cocaïne. Finalement la même mode thérapeutique qu’aux États-Unis. L’entreprise canadienne de biotechnologies Sunshine Earth Labs a annoncé jeudi 2 mars avoir obtenu une licence de la part de l’agence fédérale de santé du Canada pour produire et vendre de la cocaïne.

Ottawa a accordé une dérogation au Code criminel, code pénal canadien, en janvier à la province de Colombie-Britannique (ouest), pour un projet pilote de trois ans. L’objectif: lutter contre la stigmatisation associée à l’usage de stupéfiants qui empêche certains de demander de l’aide. Les militants en faveur de cette mesure demandent également qu’un approvisionnement plus sûr en drogues soit disponible pour les personnes en situation de dépendance. Celles-ci font face à un risque accru d’overdose liée à des drogues achetées illégalement dans la rue. Une sorte de fuite en avant entre diffusion et prévention

Dans un communiqué Sunshine Earth Labs a déclaré avoir reçu la permission de Santé Canada pour «légalement posséder, produire, vendre, et distribuer de la feuille de coca et de la cocaïne», ainsi que de la morphine, de l’ecstasy, et de l’héroïne. Un accord de licence similaire avait été offert en février à une autre entreprise Adastra Labs, qui jusque-là ne fabriquait que des produits liés à des extraits de cannabis. La licence d’Adastra l’autorise également à produire de la psilocybine et de la psilocine, des hallucinogènes plus communément associés à des champignons dont la consommation produit des effets similaires au LSD. «Nous évaluerons comment la commercialisation de cette substance rentre dans notre modèle commercial à Adastra, afin de nous mettre en position de soutenir la demande pour un approvisionnement sûr en cocaïne», avait déclaré son patron Michael Forbes.

La Colombie-Britannique suit l’État américain de l’Oregon (nord-ouest) qui a dépénalisé les drogues dites dures en novembre 2020. La province est l’épicentre d’une crise qui a vu plus de 10.000 personnes mourir d’overdose depuis qu’une urgence de santé publique a été déclarée en 2016 – représentant environ six décès quotidiens, sur une population de quelque cinq millions.

La légalisation du cannabis ensuite celle de la cocaïne, puis de l’héroïne ?

La légalisation du cannabis ensuite celle de la cocaïne, puis de l’héroïne ?

Il est légitime que les autorités s’interrogent sur la de la guerre entre la drogue. Une guerre gagnée pour l’instant par les trafiquants en France un des pays au monde les plus touchés. Désabusés par l’inefficacité des moyens mis en œuvre aujourd’hui certains prônent la légalisation du cannabis.

Une légalisation qui effectivement dans certains pays a conduit à faire diminuer l’usage de cette drogue. Le problème c’est que la France est tellement contaminée et les réseaux tellement importants que risque de se substituer au trafic du cannabis celui de la cocaïne voir de l’héroïne et autres drogues très dures.

Le risque c’est aussi de faire glisser la consommation de cannabis vers la cocaïne voire vers l’héroïne avec l’augmentation de l’offre qui influence les usages.

Dès maintenant se pose donc la question de savoir si le pays serait davantage en capacité de contrôler le trafic de cocaïne puis celui de l’héroïne. Faudra-t-il le moment venu progressivement légaliser  la consommation de ces deux types de drogues ?

Les réponses ne sont pas évidentes surtout en France où l’économie de quartiers sensibles repose essentiellement sur un trafic illicite qui fait vivre de l’ordre de 300 000 personnes. Pour le moins le questionnement est légitime.

Vol de cocaïne à la PJ : un audit pour quoi faire ?

Vol de cocaïne à la PJ : un audit pour quoi faire ?

Cazeneuve, le ministre de l’intérieur annonce un audit de la brigade des stups mais pour quoi faire, Il y en effet une enquête conjointe de la justice et de l’IGPN en cours qui a par ailleurs identifier rapidement l suspect (reste à savoir s’il y a des complicités). Pourquoi faire en plus un audit ; Sinon pour remettre en cause les méthodes des stups ; Il ne faut pas être naïf, su les stups réalisent autant d’arrestations de gros bonnets c’est précisément avec ces méthodes qui impliquent infiltration, indics, rémunération etc. Dun certaine manière Cazeneuve discrédite sa police. Certes l’affaire du détournement de cocaïne este grave, elle ne doit pas dater d’hier mais pour autant ne doit pas porter atteinte à la très grosse majorité de policiers intègres. Ou alors il faut faire intervenir des enfants de chœur qui n’arrêteront que les petits dealers. Pour l haute criminalité, on ne réussit pas les arrestations en soufflant  simplement dans le soufflet de l’agent qui faiat la circulation. Certes On aurait pu comprendre qu’un audit soit décidé mais il ne fallait pas l’annoncer publiquement surtout si les résultats sont rendus publics (ce qui permettra de renseigner utilement les réseaux de dealers).  C’est un peu come si on demander un audit public des méthodes d’espionnage ! Il est sympa Cazeneuve mais comme Hollande peu formaté pour le métier, autant fait pour faire une ministre de l’intérieur que DSK pour faire une archevêque !Après le vol de 52 kg de cocaïne placés sous scellés au siège de la Police judiciaire de Paris, le ministre de l’Intérieur réclame dans le Parisien un « audit rigoureux et approfondi de la brigade des stupéfiants ». Le policier soupçonné du vol est en garde à vue depuis samedi et a été suspendu.  Difficile de ne pas prendre des mesures après la disparition des 52 kg de cocaïne placés sous scellés au 36 Quai des Orfèvres. Dans un entretien au Parisien, Bernard Cazeneuve annonce avoir « demandé à l’IGPN (la police des polices, ndlr) de procéder à un audit rigoureux et approfondi de la brigade des stupéfiants« .  Il s’agit non seulement  de modifier les conditions d’accès aux éléments placés sous scellés, mais aussi de passer au crible « les méthodes, les pratiques professionnelles » des policiers chargés des affaires de drogue. Le brigadier de 34 ans soupçonné d’avoir dérobé la drogue dans la nuit du 24 au 25 juillet est toujours en garde à vue. Depuis son interpellation samedi dernier, il reste muet face aux enquêteurs.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol