Archive pour le Tag 'cocaïne'

Amsterdam : et maintenant la libéralisation de la cocaïne !!!

Amsterdam : et maintenant la libéralisation de la cocaïne !!!

 

Après la libéralisation du cannabis,  c’est maintenant au tour de la cocaïne. En tout cas c’est ce que propose la maire d’Amsterdam. À quand aussi la libéralisation de l’héroïne et autres drogues dures. La preuve en tout cas que la tolérance grandissante vis-à-vis de certaines drogues n’est pas de nature à répondre à la problématique tant du point de vue de la santé que de la sécurité.

«On pourrait imaginer que la cocaïne puisse être obtenue auprès de pharmaciens ou via un modèle médical», a donc suggéré Femke Halsema, dans un entretien à l’AFP.

Réguler les drogues dures comme la cocaïne et la MDMA est, pour la maire d’Amsterdam, le seul moyen de combattre le narcotrafic et ses conséquences «désastreuses» sur l’économie et la sécurité de la capitale néerlandaise.

 «On pourrait imaginer que la cocaïne puisse être obtenue auprès de pharmaciens ou via un modèle médical», avance dans un entretien avec l’AFP Femke Halsema.
cettetolérance traduit le laxisme des autorités perdues par rapport à l’ampleur du phénomène. C’est un peu comme si concernant le trafic des armes ont proposait d’en distribuer gratuitement aux utilisateurs potentiels.

Cocaïne: Légalisation de la vente au Canada !

Cocaïne: Légalisation de la vente au Canada !


Certains pays pratiquent la fuite en avant devant l’envahissement des drogues et autres opiacés de toutes sortes. Ainsi au Canada on va commencer à autoriser la vente de cocaïne. Finalement la même mode thérapeutique qu’aux États-Unis. L’entreprise canadienne de biotechnologies Sunshine Earth Labs a annoncé jeudi 2 mars avoir obtenu une licence de la part de l’agence fédérale de santé du Canada pour produire et vendre de la cocaïne.

Ottawa a accordé une dérogation au Code criminel, code pénal canadien, en janvier à la province de Colombie-Britannique (ouest), pour un projet pilote de trois ans. L’objectif: lutter contre la stigmatisation associée à l’usage de stupéfiants qui empêche certains de demander de l’aide. Les militants en faveur de cette mesure demandent également qu’un approvisionnement plus sûr en drogues soit disponible pour les personnes en situation de dépendance. Celles-ci font face à un risque accru d’overdose liée à des drogues achetées illégalement dans la rue. Une sorte de fuite en avant entre diffusion et prévention

Dans un communiqué Sunshine Earth Labs a déclaré avoir reçu la permission de Santé Canada pour «légalement posséder, produire, vendre, et distribuer de la feuille de coca et de la cocaïne», ainsi que de la morphine, de l’ecstasy, et de l’héroïne. Un accord de licence similaire avait été offert en février à une autre entreprise Adastra Labs, qui jusque-là ne fabriquait que des produits liés à des extraits de cannabis. La licence d’Adastra l’autorise également à produire de la psilocybine et de la psilocine, des hallucinogènes plus communément associés à des champignons dont la consommation produit des effets similaires au LSD. «Nous évaluerons comment la commercialisation de cette substance rentre dans notre modèle commercial à Adastra, afin de nous mettre en position de soutenir la demande pour un approvisionnement sûr en cocaïne», avait déclaré son patron Michael Forbes.

La Colombie-Britannique suit l’État américain de l’Oregon (nord-ouest) qui a dépénalisé les drogues dites dures en novembre 2020. La province est l’épicentre d’une crise qui a vu plus de 10.000 personnes mourir d’overdose depuis qu’une urgence de santé publique a été déclarée en 2016 – représentant environ six décès quotidiens, sur une population de quelque cinq millions.

La légalisation du cannabis ensuite celle de la cocaïne, puis de l’héroïne ?

La légalisation du cannabis ensuite celle de la cocaïne, puis de l’héroïne ?

Il est légitime que les autorités s’interrogent sur la de la guerre entre la drogue. Une guerre gagnée pour l’instant par les trafiquants en France un des pays au monde les plus touchés. Désabusés par l’inefficacité des moyens mis en œuvre aujourd’hui certains prônent la légalisation du cannabis.

Une légalisation qui effectivement dans certains pays a conduit à faire diminuer l’usage de cette drogue. Le problème c’est que la France est tellement contaminée et les réseaux tellement importants que risque de se substituer au trafic du cannabis celui de la cocaïne voir de l’héroïne et autres drogues très dures.

Le risque c’est aussi de faire glisser la consommation de cannabis vers la cocaïne voire vers l’héroïne avec l’augmentation de l’offre qui influence les usages.

Dès maintenant se pose donc la question de savoir si le pays serait davantage en capacité de contrôler le trafic de cocaïne puis celui de l’héroïne. Faudra-t-il le moment venu progressivement légaliser  la consommation de ces deux types de drogues ?

Les réponses ne sont pas évidentes surtout en France où l’économie de quartiers sensibles repose essentiellement sur un trafic illicite qui fait vivre de l’ordre de 300 000 personnes. Pour le moins le questionnement est légitime.

Vol de cocaïne à la PJ : un audit pour quoi faire ?

Vol de cocaïne à la PJ : un audit pour quoi faire ?

Cazeneuve, le ministre de l’intérieur annonce un audit de la brigade des stups mais pour quoi faire, Il y en effet une enquête conjointe de la justice et de l’IGPN en cours qui a par ailleurs identifier rapidement l suspect (reste à savoir s’il y a des complicités). Pourquoi faire en plus un audit ; Sinon pour remettre en cause les méthodes des stups ; Il ne faut pas être naïf, su les stups réalisent autant d’arrestations de gros bonnets c’est précisément avec ces méthodes qui impliquent infiltration, indics, rémunération etc. Dun certaine manière Cazeneuve discrédite sa police. Certes l’affaire du détournement de cocaïne este grave, elle ne doit pas dater d’hier mais pour autant ne doit pas porter atteinte à la très grosse majorité de policiers intègres. Ou alors il faut faire intervenir des enfants de chœur qui n’arrêteront que les petits dealers. Pour l haute criminalité, on ne réussit pas les arrestations en soufflant  simplement dans le soufflet de l’agent qui faiat la circulation. Certes On aurait pu comprendre qu’un audit soit décidé mais il ne fallait pas l’annoncer publiquement surtout si les résultats sont rendus publics (ce qui permettra de renseigner utilement les réseaux de dealers).  C’est un peu come si on demander un audit public des méthodes d’espionnage ! Il est sympa Cazeneuve mais comme Hollande peu formaté pour le métier, autant fait pour faire une ministre de l’intérieur que DSK pour faire une archevêque !Après le vol de 52 kg de cocaïne placés sous scellés au siège de la Police judiciaire de Paris, le ministre de l’Intérieur réclame dans le Parisien un « audit rigoureux et approfondi de la brigade des stupéfiants ». Le policier soupçonné du vol est en garde à vue depuis samedi et a été suspendu.  Difficile de ne pas prendre des mesures après la disparition des 52 kg de cocaïne placés sous scellés au 36 Quai des Orfèvres. Dans un entretien au Parisien, Bernard Cazeneuve annonce avoir « demandé à l’IGPN (la police des polices, ndlr) de procéder à un audit rigoureux et approfondi de la brigade des stupéfiants« .  Il s’agit non seulement  de modifier les conditions d’accès aux éléments placés sous scellés, mais aussi de passer au crible « les méthodes, les pratiques professionnelles » des policiers chargés des affaires de drogue. Le brigadier de 34 ans soupçonné d’avoir dérobé la drogue dans la nuit du 24 au 25 juillet est toujours en garde à vue. Depuis son interpellation samedi dernier, il reste muet face aux enquêteurs.

 




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