Archive pour le Tag 'clown'

États-Unis :Le clown Trump vainqueur de la primaire républicaine du New Hampshire

États-Unis :Le clown Trump vainqueur de la primaire républicaine du New Hampshire

 

L’ancien président, arrivé en tête dans l’Iowa la semaine dernière, fait un pas supplémentaire vers l’investiture de son parti pour la présidentielle de novembre.

 

Le clown Trump continue donc sa démarche d’abord vers l’investiture ensuite vers la présidence des États-Unis. Les Américains pourraient bien choisir le président le plus idiot qu’ait connu leur pays, un véritable clown qui déclare pouvoir résoudre tous les problèmes de la terre en 24 heures. Et le pire c’est que cette stratégie de démagogie ridicule marche sur des Américains, en tout cas un grand nombre, et témoigne du recul culturel et politique d’une grande partie de ce pays.
L’ultra-favori de la droite américaine, Donald Trump, a remporté mardi 23 janvier au soir la primaire républicaine du New Hampshire, devant son ancienne ambassadrice à l’Onu Nikki Haley, selon les projections de plusieurs médias. L’ancien président, déjà vainqueur de la première des primaires dans l’Iowa la semaine dernière, fait ainsi un pas supplémentaire vers l’investiture de son parti pour la présidentielle de novembre. «La course est loin d’être terminée», a lancé Nikki Haley en reconnaissant sa défaite. «Une investiture de Trump serait une victoire pour Biden», a-t-elle martelé devant une foule de partisans dans cet État du nord-est des États-Unis.

Olivier Véran : le clown du gouvernement

Olivier Véran : le clown du gouvernement

Il y a souvent dans les gouvernements un gouvernement un personnage assez clownesque; cette fois avec Macron, c’est Olivier Véran qui tient le rôle. Avec un certain culot en plus, il dit tout et n’importe quoi. Évidemment on retiendra surtout sa lamentable gestion du covid quand il contestait l’intérêt du masque. Une attitude criminelle qui a favorisé la montée du nombre d’infectés et de morts. Maintenant le voilà dans le rôle du père fouettard vis-à-vis des syndicats rendus responsables de toutes les catastrophes de la France.

Olivier Véran qui a mangé à peu près à tous les râteliers politiques, le parti socialiste d’abord ensuite le soutien à Sarkozy puis à Macron s’est fait une spécialité du mensonge outrancier. Faut-il rappeler ses déclarations invraisemblables concernant l’inutilité des masques ou encore l’ampleur contestée du Covid alors qu’il était ministre de la santé..

Récemment, il a déclaré que la manifestation du 20 février ne serait pas importante. Elle a dépassé tous les records !Cette fois, il rend responsable les syndicats de tous les péchés de la terre. Il serait même responsable de la catastrophe écologique qui menace le pays. Pourquoi pas aussi de la guerre en Ukraine ou comme l’indique Laurent Berger ( CFDT) de la défaite de la coupe de l’équipe de France en finale coupe du monde.

Ce personnage n’a aucune déontologie, il ne cesse de mentir. Ainsi récemment il a été pris dans les mailles de ses propres mensonges en déclarant qu’il y aurait 1,8 millions de bénéficiaires d’un minimum de retraite de 1200 € par mois. Vérification faite, le ministre du travail a été obligé d’admettre que la mesure ne concernerait que 10 000 à 20 000 bénéficiaires

De toute évidence Olivier Véran n’a pas sa place dans un gouvernement, c’est une sorte de Pinocchio qui s’agite en permanence espérant peut-être un jour devenir premier ministre. Faute de compétences et d’éthique, sa place serait mieux dans un cirque que dans un gouvernement. Notons que la cour de justice de la république dans sa grande bonté l’a exempté de toute responsabilité par rapport aux énormités dont il a été responsable lors de la crise Covid .

Olivier Véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

Olivier véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

Il y a souvent dans les gouvernements un gouvernement assez clownesque, cette fois avec Macron c’est Olivier Véran qui tient le rôle. Avec un certain culot en plus, il dit tout et n’importe quoi. Évidemment on retiendra surtout sa lamentable gestion du covid quand il contestait l’intérêt du masque. Une attitude criminelle qui a favorisé la montée du nombre d’infectés et de mort. Maintenant le voilà dans le rôle du père fouettard vis-à-vis des syndicats rendus responsables de toutes les catastrophes de la France.

Olivier Véran qui a mangé à peu près à tous les râteliers politiques, le parti socialiste d’abord ensuite le soutien à Sarkozy puis à Macron s’est fait une spécialité du mensonge outrancier. Faut-il rappeler ses déclarations invraisemblables concernant l’inutilité des masques ou encore l’ampleur contestée du Covid alors qu’il était ministre de la santé..

Récemment, il a déclaré que la manifestation du 20 février ne serait pas importante. Elle a dépassé tous les records !. Cette fois, il rend responsable les syndicats de tous les péchés de la terre. Il serait même responsable de la catastrophe écologique qui menace le pays. Pourquoi pas aussi de la guerre en Ukraine ou comme l’indique Laurent Berger ( CFDT) de la défaite de la coupe de l’équipe de France en finale coupe du monde.

Ce personnage n’a aucune déontologie, il ne cesse de mentir. Ainsi récemment il a été pris dans les mailles de ses propres mensonges en déclarant qu’il y aurait 1,8 millions de bénéficiaires d’un minimum de retraite de 1200 € par mois. Vérification faite, le ministre du travail a été obligé d’admettre que la mesure ne concernerait que 10 000 à 20 000 bénéficiaires

De toute évidence Olivier Véran n’a pas sa place dans un gouvernement, c’est une sorte de Pinocchio qui s’agite en permanence espérant peut-être un jour devenir premier ministre. Faute de compétences et d’éthique, sa place serait mieux dans un cirque que dans un gouvernement. Notons que la cour de justice de la république dans sa grande bonté l’a exempté de toute responsabilité par rapport aux énormités dont il a été responsable lors de la crise Covid .

États-Unis : prochaine annonce du retour du clown Trump

États-Unis : prochaine annonce du retour du clown Trump

Il faut que la démocratie américaine soit bien malade pour que soit envisagée le retour du clown Trump dont l’incompétence n’a d’égal que sa mauvaise foi et son idiotie.

En effet ce qui caractérise surtout Trump c’est son mépris de la démocratie puisque notamment il a toujours refusé sa défaite face à Biden. Il a apporté une grande contribution pour faire de la démocratie américaine un grand cirque pathétique d’une grande nullité.

Rarement on aura vu un président intellectuellement aussi faible, aussi vulgaire. Ce qui ne l’empêche pas de conserver de nombreux soutiens dans l’opinion qui soutient les républicains.

C’est un peu le même contexte mondial qui favorise la médiocrité, le populisme et la vulgarité dans beaucoup de pays où les électeurs sont un peu perdu face à l’ampleur et la complexité de la crise. Exemple en Russie, en Chine, en Turquie et aux États-Unis bien sûr.

Face à la complexité de la crise qui affecte en particulier les plus défavorisés et les couches moyennes, les électeurs se réfugient dans des discours simplistes et radicaux caractérisés par la haine de l’autre à l’intérieur ou à l’extérieur du pays.

L’ancien président Donald Trump se prépare à annoncer sa candidature pour reconquérir la Maison Blanche d’ici à la fin novembre, selon des sources proches des discussions en cours. Une situation qui le place au centre des attentions alors que les républicains vont tenter de traduire dans les urnes mardi leur actuelle dynamique lors des élections de mi-mandat.

Démission de Boris Johnson: La chute du clown

Démission de Boris Johnson: La chute du clown

 

 

Ce qu’on peut reprocher  à Johnson comme d’ailleurs à de nombreux autres responsables politiques dans le mond,e c’est leur versatilité. Et leur tendance à confondre politique et cirque médiatique. En politique, Boris Johnson a choisi les habits du clown populiste. L’homme est pourtant très lettré mais son rapport à la démocratie est détestable. Faut-il rappeler que Boris Johnson maire de Londres était  pro-européen et qu’il est devenu le champion du brexit  uniquement pour accéder au poste de Premier ministre.

Il a fait de ses frasques dans tous les domaines un argument électoral  qui se retourne aujourd’hui contre lui. Au point qu’on se demande même maintenant si les outrances de  Johnson qui ont beaucoup affecté l’économie britannique ne serait pas susceptible d’engager une réflexion sur la lamentable affaire du brexit.

Le bilan désastreux de la rupture radicale avec l’Union européenne, décidée par référendum en 2016 et mise en œuvre début 2021, commence à apparaître au grand jour, après avoir été noyé dans le décrochage économique dû à la pandémie. À 54%, les Britanniques considèrent que le Brexit «se passe mal», contre 16% à croire encore à ses avantages, selon un sondage YouGov du 28 juin. Que Boris Johnson ait très sérieusement créé il y a peu de temps un ministère des «opportunités du Brexit» semblait d’une ironie mordante.

Désormais écarté de son poste de premier ministre ( il assurera seulement l’intérim) Boris Johnson pourra s’acheter un peigne et se dispenser de se décoiffer avant chaque apparition publique !

 

Valls enfariné : la métaphore du clown blanc

Valls enfariné : la métaphore du clown blanc

 

Valls enfariné par un opposant à l’article 49 -3 de la constitution utilisé notamment dans le cadre de la loi travail, c’est un peu la métaphore du clown blanc. Ce clown blanc représenté par Valls opposé à Auguste incarné par l’amuseur François Hollande. Si François Hollande peut effectivement représenter Auguste avec ses blagues de potache, son amateurisme et ses bévues, Valls porte très bien ce costume de clown blanc. Un clown, pétillant, nerveux mais surtout autoritaire. Le dernier numéro s’est terminé par la victoire du clown blanc quand Valls a pratiquement imposé à François Hollande de renoncer à 2017. Une victoire à la Pyrrhus et un peu clownesque dans la mesure où maintenant Valls a prit la place du mort. Valls qui a subitement proposé la suppression de l’article 49 trois ;  il avait pourtant récemment largement utilisé. »49.3, on n’oublie pas. 49.3, on ne pardonne pas », a crié jeudi l’homme qui l’a aspergé de farine, alors qu’il entrait dans un café. Il a aussitôt été interpellé par les forces de l’ordre.  Manuel Valls a relativisé, non sans ironie, l’incident à la fin d’un discours devant des militants et élus socialistes. Il y a des débats et c’est normal, il faut de l’exigence. Il n’y a que ceux qui ne connaissent pas les campagnes électorales qui sont étonnés par le fait qu’on soit interpellé », a-t-il dit. Interpellé oui mais enfariné !

Royaume-Uni : Boris Johnson, le clown, ministre des affaires étrangères

Royaume-Uni : Boris Johnson, le clown, ministre des affaires étrangères

 

 On peut s’étonner que la très austère et très sérieuse Theresa May ; nouvelle Première ministre,  ait choisi Boris Johnson pour occuper le poste des affaires étrangères. Sans doute s’agit-il pour elle le résultat d’un équilibre au sein du parti conservateur. Certes Boris Johnson ne sera pas chargé de négocier les suites du brexit  puisqu’un ministre a été spécialement désigné pour cette besogne il n’empêche que dans un contexte international particulièrement délicat le profil de Boris Johnson ne paraît pas tout à fait adapté au caractère dangereux de la situation (rapports avec l’union économique évidemment, avec le Moyen-Orient, avec la Russie par exemple). Cette nomination risque d’être accueillie avec perplexité, voire consternation dans les chancelleries européennes. N’a-t-il pas, lors de la campagne référendaire, comparé les buts de l’UE avec les visées d’Adolf Hitler et de Napoléon ? L’homme à la tignasse platine ébouriffée s’est aussi vu taxer de racisme durant la campagne pour avoir suggéré dans un article de presse que le président américain Barack Obama, qu’il avait décrit comme « en partie Kényan », avait un préjugé contre le Royaume-Uni en raison « d’une aversion ancestrale de l’empire britannique ». Mais ses commentaires sur Barack Obama pourraient lui valoir quelques moments de gêne à Washington. D’autant qu’il n’a pas été en reste sur Hillary Clinton qu’il a comparée à « une infirmière sadique dans un asile d’aliénés ». Tout récemment, il a dit avoir peur de se rendre à New York en raison du « risque réel de rencontrer Donald Trump ». Cette accession de l’ancien journaliste à l’un des quatre grands ministères du gouvernement est le dernier coup de théâtre d’une carrière pleine de rebondissements de celui que l’on appelle sans façon « Boris ». Jouant de son style excentrique et de son esprit rapide pour charmer ses interlocuteurs, il a réussi à survivre à des situations délicates, comme quand il a été limogé de l’équipe dirigeante du Parti conservateur quand celui-ci était dans l’opposition pour avoir menti au sujet d’une relation extraconjugale. Ridiculisé pour avoir joué un rôle déterminant dans la sortie du Royaume-Uni de l’UE pour ensuite renoncer à l’énorme tâche de mettre effectivement en oeuvre ce processus, ses perspectives apparaissaient minces. Et sa nomination mercredi a été un coup de théâtre. Dans ses précédentes fonctions de ministre de l’Intérieur, Theresa May avait humilié Boris Johnson en refusant d’autoriser l’utilisation en Angleterre de trois canons à eau d’occasion que le maire de Londres s’était procuré en Allemagne. Dans le discours de lancement de sa propre campagne pour prendre la tête du Parti conservateur et donc devenir Première ministre, Theresa May s’était moquée de lui en comparant sa propre expérience des négociations avec ses homologues européens avec la sienne. « La dernière fois qu’il a fait affaire avec les Allemands, il est revenu avec trois canons à eau presque neufs », a-t-elle dit sous les rires. Le rôle de Boris Johnson dans les négociations sur les modalités du Brexit devrait être limité, Theresa May ayant nommé un « Monsieur Brexit » pour ce faire, en la personne de David Davis. Mais le nouveau ministre des Affaires étrangères aura toutefois à gérer d’autres dossiers tout aussi complexes, notamment ceux des conflits syrien et ukrainien. « A ce moment extrêmement important, il est extraordinaire que la nouvelle Première ministre ait choisi quelqu’un dont la carrière s’est construite en faisant des blagues », a déclaré Tim Farron, chef de file de l’opposition libérale démocrate.Malgré de récents efforts pour donner de lui une image plus sérieuse, Boris Johnson risque très vite de se retrouver confronté à l’effet retour de ses blagues douteuses anciennes et récentes, que ce soit à propos de la Turquie, ou des Etats-Unis.

(Avec Reuters)




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