Archive pour le Tag 'clivages'

Sciences Po : L’impasse des clivages radicaux

Sciences Po : L’impasse des clivages radicaux

Les slogans simplificateurs, l’occupation des locaux et l’empêchement des activités ne doivent pas remplacer le débat critique et contradictoire, estiment, dans une tribune au « Monde », dix professeurs de Sciences Po, qui dénoncent la volonté de boycott des universités israéliennes.

 

Quelle doit être la mission d’une université dans une démocratie ? Celle d’être un lieu de savoir où sont élaborées de nouvelles idées en réponse à des questions difficiles.

Le spectacle qu’a donné notre école au cours de ces dernières semaines ne correspond pas à l’idée que nous nous faisons de notre métier, ni de notre institution. Elle ne correspond pas non plus à l’idée que nous revendiquons d’une pensée ouverte et pluraliste dans notre république.

La fermeture de la pensée, le radicalisme et les simplifications à outrance ont prospéré depuis plusieurs jours. Nous déplorons nombre de propos tenus qui, au nom de la défense légitime du droit des Palestiniens, appellent à la fermeture du dialogue avec les Israéliens. Cette politique intolérante, dont espèrent tirer profit les politiques qui ont visité nos campus, n’est pas la nôtre. Elle ne peut être celle de l’université dans un moment aussi critique.

Les slogans simplificateurs, l’occupation des locaux et l’empêchement des activités ne doivent pas remplacer le débat critique et contradictoire. Nous avons chacun nos sensibilités et nos affinités, mais ces différences ne doivent pas nous empêcher d’échanger entre nous, ni de parler avec le monde extérieur sans intimidation ou chantage moral.

Nous appelons au retour à une forme de civilité intellectuelle et républicaine qui repose sur le respect de la parole de ceux qui pensent différemment et sur l’acceptation des règles essentielles du pluralisme critique, en vue de créer des ponts au lieu de les détruire.

Il est de notre responsabilité de réfléchir aux mots qui sont galvaudés sans aucune précaution dans les débats, qu’il s’agisse de sionisme, de génocide ou d’antisémitisme. La question se pose aussi de savoir à partir de quand notre propre sensibilité et notre partialité deviennent déraisonnables. Une ligne rouge est franchie quand est proposé un boycott des universités israéliennes. Cette idée, lorsqu’elle ne relève pas d’un sectarisme assumé, traduit une grande ignorance des controverses en Israël et de la réalité politique au Proche-Orient.

Ecologie: dépasser les clivages

Ecologie:  dépasser les clivages

A l’occasion du Salon ChangeNOW, du 25 au 27 mars, 300 acteurs de l’impact et du monde économique appellent à placer l’écologie au coeur des projets d’avenir commun alors que 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024. Réunis à l’initiative de ChangeNOW, plus de 300 acteurs de l’impact et du monde économique, français et internationaux, appellent à dépasser les clivages et à placer l’écologie et les limites planétaires comme des principes fondamentaux sur lesquels la société doit se construire et s’organiser, pour un avenir durable et plus humain.( dans les Echos)

Dans un monde en constante évolution, où les défis se multiplient et se complexifient, l’écologie est souvent perçue comme une contrainte supplémentaire, un luxe moral réservé à certains ou aux temps de prospérité. Pourtant, non seulement cette vision est réductrice, mais elle est aussi dangereuse. Elle oppose artificiellement l’écologie à d’autres domaines tels que l’agriculture, l’industrie ou l’économie. Comme si protéger notre environnement nous obligeait à sacrifier le reste.

Or, l’écologie, du grec « oikos » (maison) et « logos » (science), n’est autre que la science de notre maison commune, ce cadre dans lequel toute vie sur Terre est régie. Elle est intrinsèque à chaque aspect de notre existence : se nourrir, se déplacer, se vêtir, produire, tout est acte écologique, car nous opérons toujours dans les limites de notre monde.

Alors que plus de 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024, il est crucial que les enjeux environnementaux ne soient ni éclipsés ni instrumentalisés. Au lieu d’utiliser l’écologie afin de créer du clivage et des désaccords, il faut prendre conscience qu’elle est le socle commun dont nous dépendons collectivement.

Ignorer les principes écologiques, c’est prendre le risque de devenir « hors-sol », de se déconnecter des réalités physiques qui encadrent notre existence et de creuser la fracture sociale liée aux conséquences du changement climatique. La science nous enseigne que toute action a ses effets. L’écologie applique ce principe au domaine du vivant et de notre interaction avec lui.

Il est ainsi impératif d’adopter les limites planétaires comme guide de notre développement. Non pas comme un frein, mais comme une nécessité pour bâtir un avenir durable et plus juste, ne laissant personne de côté.

C’est dans cet esprit que nous, entrepreneurs, dirigeants, investisseurs, membres d’ONG, activistes, experts, artistes, athlètes et citoyens de tous horizons, nous rassemblerons en nombre à ChangeNOW [auquel s'associe le groupe Les Echos-Le Parisien, NDLR], du 25 au 27 mars, à Paris, autour de solutions concrètes, pour transcender la confrontation stérile entre écologie et progrès et faire preuve d’un engagement commun pour construire un monde durable et plus humain.

Dans un monde qui pousse à nous polariser, à nous diviser, à menacer l’existence même de nos démocraties, deux éléments nous unissent tous : l’écologie et l’humanité. L’écologie, en tant que science de notre maison commune, car elle définit, telle une loi physique, le cadre dans lequel nous vivons. L’humanité, car elle définit, telle une loi morale, ce que nous sommes tous. Il est temps de considérer l’écologie non pas comme une contrainte, mais comme le fondement de notre avenir commun.

Transition écologique : dépasser les clivages

Transition écologique : dépasser les clivages

A l’occasion du Salon ChangeNOW, du 25 au 27 mars, 300 acteurs de l’impact et du monde économique appellent à placer l’écologie au coeur des projets d’avenir commun alors que 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024. Réunis à l’initiative de ChangeNOW, plus de 300 acteurs de l’impact et du monde économique, français et internationaux, appellent à dépasser les clivages et à placer l’écologie et les limites planétaires comme des principes fondamentaux sur lesquels la société doit se construire et s’organiser, pour un avenir durable et plus humain.( dans les Echos)

Dans un monde en constante évolution, où les défis se multiplient et se complexifient, l’écologie est souvent perçue comme une contrainte supplémentaire, un luxe moral réservé à certains ou aux temps de prospérité. Pourtant, non seulement cette vision est réductrice, mais elle est aussi dangereuse. Elle oppose artificiellement l’écologie à d’autres domaines tels que l’agriculture, l’industrie ou l’économie. Comme si protéger notre environnement nous obligeait à sacrifier le reste.

Or, l’écologie, du grec « oikos » (maison) et « logos » (science), n’est autre que la science de notre maison commune, ce cadre dans lequel toute vie sur Terre est régie. Elle est intrinsèque à chaque aspect de notre existence : se nourrir, se déplacer, se vêtir, produire, tout est acte écologique, car nous opérons toujours dans les limites de notre monde.

Alors que plus de 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024, il est crucial que les enjeux environnementaux ne soient ni éclipsés ni instrumentalisés. Au lieu d’utiliser l’écologie afin de créer du clivage et des désaccords, il faut prendre conscience qu’elle est le socle commun dont nous dépendons collectivement.

Ignorer les principes écologiques, c’est prendre le risque de devenir « hors-sol », de se déconnecter des réalités physiques qui encadrent notre existence et de creuser la fracture sociale liée aux conséquences du changement climatique. La science nous enseigne que toute action a ses effets. L’écologie applique ce principe au domaine du vivant et de notre interaction avec lui.

Il est ainsi impératif d’adopter les limites planétaires comme guide de notre développement. Non pas comme un frein, mais comme une nécessité pour bâtir un avenir durable et plus juste, ne laissant personne de côté.

C’est dans cet esprit que nous, entrepreneurs, dirigeants, investisseurs, membres d’ONG, activistes, experts, artistes, athlètes et citoyens de tous horizons, nous rassemblerons en nombre à ChangeNOW [auquel s'associe le groupe Les Echos-Le Parisien, NDLR], du 25 au 27 mars, à Paris, autour de solutions concrètes, pour transcender la confrontation stérile entre écologie et progrès et faire preuve d’un engagement commun pour construire un monde durable et plus humain.

Dans un monde qui pousse à nous polariser, à nous diviser, à menacer l’existence même de nos démocraties, deux éléments nous unissent tous : l’écologie et l’humanité. L’écologie, en tant que science de notre maison commune, car elle définit, telle une loi physique, le cadre dans lequel nous vivons. L’humanité, car elle définit, telle une loi morale, ce que nous sommes tous. Il est temps de considérer l’écologie non pas comme une contrainte, mais comme le fondement de notre avenir commun.

Ecologie : dépasser les clivages

Ecologie : dépasser les clivages

A l’occasion du Salon ChangeNOW, du 25 au 27 mars, 300 acteurs de l’impact et du monde économique appellent à placer l’écologie au coeur des projets d’avenir commun alors que 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024. Réunis à l’initiative de ChangeNOW, plus de 300 acteurs de l’impact et du monde économique, français et internationaux, appellent à dépasser les clivages et à placer l’écologie et les limites planétaires comme des principes fondamentaux sur lesquels la société doit se construire et s’organiser, pour un avenir durable et plus humain.( dans les Echos)

Dans un monde en constante évolution, où les défis se multiplient et se complexifient, l’écologie est souvent perçue comme une contrainte supplémentaire, un luxe moral réservé à certains ou aux temps de prospérité. Pourtant, non seulement cette vision est réductrice, mais elle est aussi dangereuse. Elle oppose artificiellement l’écologie à d’autres domaines tels que l’agriculture, l’industrie ou l’économie. Comme si protéger notre environnement nous obligeait à sacrifier le reste.

Or, l’écologie, du grec « oikos » (maison) et « logos » (science), n’est autre que la science de notre maison commune, ce cadre dans lequel toute vie sur Terre est régie. Elle est intrinsèque à chaque aspect de notre existence : se nourrir, se déplacer, se vêtir, produire, tout est acte écologique, car nous opérons toujours dans les limites de notre monde.

Alors que plus de 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024, il est crucial que les enjeux environnementaux ne soient ni éclipsés ni instrumentalisés. Au lieu d’utiliser l’écologie afin de créer du clivage et des désaccords, il faut prendre conscience qu’elle est le socle commun dont nous dépendons collectivement.

Ignorer les principes écologiques, c’est prendre le risque de devenir « hors-sol », de se déconnecter des réalités physiques qui encadrent notre existence et de creuser la fracture sociale liée aux conséquences du changement climatique. La science nous enseigne que toute action a ses effets. L’écologie applique ce principe au domaine du vivant et de notre interaction avec lui.

Il est ainsi impératif d’adopter les limites planétaires comme guide de notre développement. Non pas comme un frein, mais comme une nécessité pour bâtir un avenir durable et plus juste, ne laissant personne de côté.

C’est dans cet esprit que nous, entrepreneurs, dirigeants, investisseurs, membres d’ONG, activistes, experts, artistes, athlètes et citoyens de tous horizons, nous rassemblerons en nombre à ChangeNOW [auquel s'associe le groupe Les Echos-Le Parisien, NDLR], du 25 au 27 mars, à Paris, autour de solutions concrètes, pour transcender la confrontation stérile entre écologie et progrès et faire preuve d’un engagement commun pour construire un monde durable et plus humain.

Dans un monde qui pousse à nous polariser, à nous diviser, à menacer l’existence même de nos démocraties, deux éléments nous unissent tous : l’écologie et l’humanité. L’écologie, en tant que science de notre maison commune, car elle définit, telle une loi physique, le cadre dans lequel nous vivons. L’humanité, car elle définit, telle une loi morale, ce que nous sommes tous. Il est temps de considérer l’écologie non pas comme une contrainte, mais comme le fondement de notre avenir commun.

France: « effort » post-confinement et retour des vieux clivages: libéraux- marxistes

France: « effort » post-confinement et retour des vieux clivages: libéraux- marxistes

 

La France n’est pas sortie de l’auberge, ni de la crise sanitaire ni de la crise démocratique où la caricature de l’opposition libéral-  marxiste fait office de débat démocratique. Bien entendu, l’après Coronavirus sera surtout marqué non pas tellement par un changement de société mais par une énorme crise du chômage. À moins évidemment d’ores et déjà d’essayer de compenser en partie les dégâts du Coronavirus sur l’économie. Des dégâts qui vont se traduire par une perte d’activité de l’arbre de 15 % sur le PIB annuel et qui vont faire monter le chômage à 20 % au lieu de 8 % fin 2019. Tout cela entraînant un cortège de misère sociale. Fort légitimement, il  sera nécessaire pour limiter ce chômage de rattraper en partie la production perdue.

À gauche évidemment , on n’est toujours sur une philosophie marxiste classique. Pas question d’accepter le moindre effort économique. Le pire c’est que cette rhétorique néandertalienne  est aussi reprise par des représentants de droite du parti républicain comme Xavier Bertrand qui lui a en point de ligne n’ont pas tellement l’avenir du pays mais sa candidature à la présidentielle de 2022.  Du côté des gauchistes classiques il faut entendre le lamentable discours par exemple de la députée de la France insoumise (LFI) Clémentine Autain qui  a mis en garde contre “des vieilles recettes”.

“Sur le plan de la récession économique qui s’annonce je ne vois strictement rien venir, que les vieilles recettes”, a-t-elle dit sur France inter. “On a entendu le ministre Bruno Le Maire nous expliquer qu’il allait falloir relancer la machine avec cet objectif de croissance, travailler plus, mettre en pièces le code du Travail.”“Ce sont ces recettes néolibérales qui nous mettent dans le mur pour affronter aujourd’hui le virus et qui risquent de se démultiplier dans les semaines qui viennent”, a-t-elle ajouté. De son côté, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a fustigé sur franceinfo le “cynisme” du Medef, qu’il a accusé “d’utiliser une crise sanitaire mondiale pour expliquer que ça va être l’occasion de rogner sur les droits des salariés”.

On voit que la culture économique n’a guère progressé à gauche et à l’extrême gauche qui ne se demandent  pas comment sera financée le déficit nécessaire pour aider  les entreprises, les ménages, pour le financement de la crise sanitaire. Mais de ce côté-là,  on estime encore que la dette n’existe pas !

Dépasser les clivages droite-gauche (Edouard Philippe)

Dépasser les clivages droite-gauche (Edouard Philippe)

Le nouveau Premier Ministre  juge « passionnant » de tenter avec Emmanuel Macron le dépassement des clivages politiques traditionnels. « Cela suscite un espoir et un enthousiasme manifeste qui nous obligent », dit-il. « Je dis à tous : n’ayez pas peur. Nous avons l’occasion de dépasser quelque chose qui est bloqué (…) C’était inextricable. Le président a tranché le nœud gordien. » Il regrette que les dirigeants de LR aient choisi, à l’instar de François Baroin et à quelques exceptions près, de s’engager dans une autre voie pour tenter d’imposer en juin une cohabitation à Emmanuel Macron. « Au sein de ce parti, certains souhaitent que le président et le gouvernement réussissent, pour que la France aille mieux dans cinq ans qu’aujourd’hui », dit-il. « D’autres ont choisi une opposition radicale et stérile. C’est leur choix. » « Mon objectif est de donner une majorité au chef de l’Etat. Je ferai donc campagne pour les candidats qui partagent cet objectif », ajoute le Premier ministre. Edouard Philippe annonce par ailleurs qu’il présentera au prochain conseil des ministres une méthode de travail pour le gouvernement, dont les membres devront faire montre d’une « parfaite loyauté » une fois passé le temps de la discussion. Il assume aussi la volonté de verrouiller la communication gouvernementale montrée par Emmanuel Macron et ses ministres. « Il y a une volonté de maîtriser la communication, de ne pas nourrir un bavardage permanent », explique-t-il. « Dans la phase préparatoire d’un projet, personne n’a vocation à exposer sur la place publique des positions qui ne sont pas arbitrées. » Un changement net de politique de communication par rapport aux contradictions des membres du gouvernement de François Hollande.

Primaire gauche: toujours les mêmes clivages

Primaire gauche: toujours les mêmes clivages

Nucléaire, cannabis, réfugiés, Europe, austérité des sujets qui ont divisé les candidats de la primaire de la gauche à peu près en désaccord complet sur ces questions mais plus à l’aise sur l’école et la laïcité. Un débat en tout cas moins ennuyeux que le précédent avec des les échanges plus vifs. Mais un débat qui reste quand même anecdotique tellement les perspectives de victoire pour se qualifier pour les élections présidentielles sont hypothétiques voire nulles. Finalement, les clivages au sein du parti socialiste sont les mêmes depuis une dizaine d’années voir bien davantage. Pour schématiser à outrance, il y a d’un côté les altermondialistes libertaires avec Hamon notamment et de l’autre des sociaux libéraux qui se positionnent en gestionnaire. Bref d’un côté des gauchistes qui n’ont pas tort surtout mais dont les positions paraissent très utopiques et souvent illusoires,  de l’autre un courant qui se positionne comme un parti de gouvernement tenant compte des réalités mais en contradiction avec l’idéologie affichée. Bref un clivage qui finalement a été tranché mais à l’extérieur du parti socialiste d’un côté par Mélenchon à l’extrême gauche, de l’autre par Macron au centre.  Le premier débat avait été assez ennuyeux mais il avait quand même dégagé trois candidats possible pour la victoire : Valls, Montebourg et Benoît à mon point ce second débat a confirmé la domination assez nette de ses leaders par rapport aux autres. Cependant entre rien n’est joué car si une nouvelle fois Montebourg semble avoir la préférence de l’ensemble des téléspectateurs par compte pour les partisans de la gauche il semblerait que Benoît à mon figure en tête. Cependant les écarts sont très faibles surtout si l’on tient compte du billet statistique avec la marge d’erreur possible. L’un des trois déjà cités pourra l’emporter. Reste à savoir si ces les candidats qui sera ensuite le plus en capacité d’une part de rassembler les socialistes d’autre part de rassembler le maximum de sympathisants de gauche. Rien n’est certain dans ce domaine et même à droite on en fait la démonstration. Si Fillon a indiscutablement  remporté la primaire de droite,  par contre, il peine à se montrer rassembleur et les critiques concernant sa radicalité ne manque pas à l’intérieur de son camp aussi bien chez les partisans de Juppé que chez ceux de Sarkozy. Si Benoît Hamon devait l’emporter pour la primaire de la gauche, on pourrait connaître le même phénomène avec des critiques acerbes des représentants des sociaux démocrates et des sociaux libéraux. Avec au bout des incertitudes sérieuses sur les scores finaux des candidats : Fillon pouvant ne pas se qualifier au second tour des présidentielles et Benoist Hamon, lui, pouvant marginaliser complètement le parti socialiste.




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