Archive pour le Tag 'climat'

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Croissance : le climat des affaires se détériore encore

Croissance : le  climat des affaires se détériore encore

 

 Le climat des affaires s’est dégradé en août en France avec une détérioration dans l’ensemble des secteurs d’activité, selon les données publiées mercredi par l’Insee. L’indicateur de retournement reste quant à lui dans la zone indiquant « une situation défavorable », précise l’institut de conjoncture dans un communiqué. L’indicateur global est ressorti à 91, en baisse de deux points par rapport au chiffre de juillet confirmé à 93. Il se maintient en deçà de sa moyenne de long terme qui se situe à 100. Par secteurs, celui de l’industrie manufacturière recule d’un point à 96, le chiffre de juillet ayant été confirmé à 97 comme en juin. Il est conforme à la moyenne des anticipations des 21 économistes interrogés par Reuters. Celui des services est également en baisse d’un point à 93 et reste en deçà de sa moyenne de longue période. L’indicateur du commerce de détail chute de neuf points à 90. L’indicateur du bâtiment cède un point à 89, après une baisse de deux points le mois précédent.

Les plans climat menacent le pétrole

Les plans climat menacent le pétrole

 

Selon le e rapport de la Carbon Tracker Initiative, si les Etats se mobilisent réellement pour limiter le réchauffement climatique à 2°C comme le recommande le Giec pour limiter les dégâts, cela entraînera une baisse de la demande en énergies fossiles, dont le pétrole. Et fera donc diminuer les prix et les chiffre d’affaires du secteur pétrolier. Ce chiffre de 1.100 milliards correspond à des investissements prévus dans les dix ans à venir et concerne des projets qui ne seront rentables que si le prix du baril de pétrole est vendu plus de 95 dollars le baril. C’est donc un pari. « Parier sur un prix de 95 dollars le baril pour le compte des actionnaires est risqué, dans la mesure où les prix sont déjà descendus deux fois jusqu’à 40 dollars le baril au cours de la dernière décennie » assure James Leaton, le directeur de recherche de Carbon Tracker. « Le rapport Carbon Tracker sera utile aux investisseurs qui veulent savoir si les compagnies pétrolières font un usage prudent des capitaux dans une période de transition vers une avenir plus sobre en carbone », a réagi Anne Stausboll, la directrice générale de Calbers, le plus important fonds de pension public américain. Et peut-être aussi à tous ceux qui plaident pour l’augmentation des investissements pour accélérer la transition énergétique.

Ukraine : climat de révolution et 25 morts

Ukraine : climat de  révolution et 25 morts

 

Le régime corrompu du président Viktor Ianoukovitch est désormais contesté par une violence qui paraît difficile à contenir.  Le ministère de la Santé ukrainien a annoncé que les violences à Kiev avaient fait 25 morts, alors que l’assaut était en cours contre les manifestants dans le centre de Kiev ce mercredi 19 février. Quelques 241 personnes ont été hospitalisées, parmi lesquelles 79 policiers et cinq journalistes, a ajouté le ministère. Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch a menacé mercredi de poursuites les leaders de l’opposition « qui ont franchi les limites » avec les tentatives violentes de « prise de pouvoir ».  »Les leaders de l’opposition ont négligé le principe de la démocratie selon lequel on obtient le pouvoir à l’issue des élections et non dans la rue (…) Ils ont franchi les limites en appelant les gens à prendre des armes », a déclaré le président dans une adresse à la nation.  »C’est une violation criante de la loi et les coupables comparaîtront devant la justice », a-t-il poursuivi. Un journaliste du quotidien ukrainien Vesti a été tué par balles dans la nuit de mardi à mercredi par des inconnus masqués dans le centre de Kiev, à proximité de la place de l’Indépendance secouée par des violences sans précédent, a annoncé son employeur. Viatcheslav Vérémiï venait de quitter son travail en taxi pour rentrer chez lui lorsque des hommes ont lancé des cocktails Molotov vers le véhicule, arrêté à un feu, l’en ont sorti et se sont mis à le battre, a raconté le journal gratuit sur son site internet. Il « a été blessé par balles à la poitrine » et est mort à l’hôpital après plusieurs heures d’opération, a ajouté la publication en russe, réputée proche du pouvoir. Vesti a indiqué que son journaliste avait déjà été blessé fin janvier en marge de heurts entre police et manifestants rue Grouchevski. Il avait alors partiellement perdu la vue.

Climat des affaires : pas d’inversion, comme le chômage

Climat des affaires : pas d’inversion, comme le chômage

 

Pas d’amélioration, ni d’ inversion du climat des affaires, c’est comme pour le chômage ; Il n’y a que Sapin et Ayrault pour voir une amélioration. Pour Sapin, l’inversion du chômage a même déjà eu lieu (grâce sans doute aux 52000 radiations pour motif administratif le mois denier (en hausse de 50%°). Pas étonnant même la servile INSSE ne prévoit pas de reprise, elle « suppose »  seulement une croissance de 0.2% par trimestre en moyenne pour 2014 avec une hausse du chômage à 11%. Le climat général des affaires en France est donc resté stable en novembre, l’amélioration dans les services étant neutralisée par le recul dans le commerce de détail, selon les données publiées lundi par l’Insee. L’indicateur du climat des affaires s’est ainsi maintenu à 95 pour le troisième mois consécutif, et reste sous sa moyenne de longue période, qui s’établit à 100. Celui de la seule industrie manufacturière est resté stable à 98, les 22 économistes interrogés par Reuters attendant en moyenne 97. Dans le même temps, l’indicateur du climat du secteur des services a gagné trois points à 96. Le bâtiment est resté stable à 94 et le commerce de détail a perdu trois points à 95. L’indicateur pour le commerce de gros gagne un point à 98, sa dernière publication remontant à septembre. Toujours selon l’Insee, l’indicateur de retournement de la conjoncture calculé au niveau France reste en zone favorable. L’indicateur général du climat des affaires est inférieur à 100 depuis septembre 2011.

 

Climat des affaires : en hausse…. en Allemagne

Climat des affaires : en hausse…. en Allemagne

L’indice IFO  a progressé à 109,5, en ligne avec le consensus, contre 109,3 en novembre. La bonne tenue de l’indice Ifo est en grande partie liée à un regain de confiance au sein des entreprises manufacturières et de construction, deux secteurs qui ont connu un début d’année difficile, précise l’Ifo. D’autres indicateurs allemands récemment publiés témoignent également d’une embellie : l’indice ZEW du sentiment des investisseurs publié mardi a atteint en décembre son plus haut niveau en sept ans et les premières estimations des enquêtes PMI menées par Markit auprès des directeurs d’achat ont montré que le secteur privé a connu ce mois-ci un huitième mois consécutif de croissance. Klaus Wohlrabe, économiste à l’Ifo, a déclaré à Reuters que l’économie allemande pourrait croître de 0,3% au quatrième trimestre avant une accélération à 0,5% sur les trois premiers mois de l’année prochaine. « L’indice Ifo de décembre est cohérent avec d’autres enquêtes et va dans le sens d’une croissance stable mais non spectaculaire de l’économie allemande », estime pour sa part Jonathan Loynes, économiste chez Capital Economics. Pour cette année, l’institut Ifo table sur une croissance modeste de 0,4% avant une hausse de 1,9% en 2014. « L’économie allemande est bien positionnée mais il faudra attendre 2014 pour avoir une accélération », a confirmé mercredi Klaus Wohlrabe. La composante mesurant les conditions actuelles s’affiche en légère baisse, à 111,6 à après 112,2 en novembre, tandis que celle des attentes est en hausse à 107,4 contre 106,4 (révisé). Les économistes attendaient respectivement 112,5 et 106,5 pour ces deux sous-indices.

Agriculteurs: climat de révolte

 

Agriculteurs: climat de révolte

 

« Ce n’est pas une initiative isolée, beaucoup de régions bougent en ce moment et organisent des rassemblements dans les jours qui viennent » a affirmé M. Beulin (Président de la FNSEA) à l’AFP.  La Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles d’Ile-de-France (FDSEA) et celle des Jeunes agriculteurs (JA) ont appelé leurs adhérents à organiser un « blocus de Paris » jeudi matin pour protester contre un « cumul » de taxes et de réglements.  La semaine dernière, M. Beulin avait indiqué lors d’une conférence de presse qu’il n’appellerait pas à de nouvelles mobilisations dans l’immédiat.  Mais, « la FNSEA est une fédération de fédérations, c’est un réseau qui compte beaucoup d’autonomie et d’indépendance. Ce que nous attendons nous, malgré tout, c’est que ces manifestations se fassent dans les règles et le respect des personnes et du matériel public » insiste le président national.   »Il y aura de la gêne » a-t-il convenu. « Mais pas de casse ni de débordements qui seraient mal compris par nos concitoyens ». « Les contraintes mises bout à bout finissent par faire exploser la colère sur le terrain. Le rôle de la FNSEA est aussi de faire en sorte qu’on puisse entendre ce message de la base et d’obtenir une réponse des pouvoirs publics », juge-t-il.  A ce stade, M. Beulin dit avoir obtenu « deux rendez-vous la semaine prochaine sur l’écotaxe en particulier et la fiscalité en général » avec les ministres de l’Agriculture et des Transports d’une part, et avec le Premier ministre dans le cadre de la remise à plat de la fiscalité d’autre part.   »Mais je vais demander d’aller plus loin » a-t-il affirmé, citant des questions réglementaires.

Tireur fou à Paris : les conséquences d’un climat délétère

 

Tireur fou à Paris : les conséquences d’un climat délétère

 

Rien ne saurait justifier les actes du tireur fou de Paris, ni même d’autres violences aux personnes et aux biens. Force cependant es de constater que le climat en France est particulièrement délétère. D’une certaine manière, la violence appelle la violence ; Or le gouvernement installe ce climat de violence en créant une ambiance de désespérance dans le pays avec la montée du chômage et de la misère. Comme la montré le rapport des préfets au gouvernement, le pays est au bord de la révolte. Il suffirait d’une étincelle pour qu’elle éclate. Une  violence, encore une fois condamnable, mais dont le pouvoir est aussi responsable ; un pouvoir qui étrangle, qui appauvrit et pousse au désespoir quand les salariés perdent leur emploi, quand des propriétaires de maison ne peuvent plus rembourser leurs emprunts , quand commerçants, agriculteurs et petits patrons sont poussé à la faillite les, quand tout simplement il devient impossible de boucler les fin de mois en dépit des sacrifices consentis. Une violence qui s’alimente de l’inacceptable autosatisfaction du gouvernement qui juge avec sa suffisance technocratique que  « la France est sortie de crise, que la croissance repart, que l’inversion du chômage est proche, que le cap est bon !  ». Aveuglement, incompétence, mépris ? Sans doute les trois à la fois. Un  gouvernement incapable de discerner la ralbol général qui crée les conditions de tous les débordements y compris les plus fous, les plus inadmissibles. L’affaire du tireur fou à Paris est sans doute un acte isolé qui relève peut-être de la psychiatrie mais dans un climat aussi délétère le désespoir peut parfois conduire au pire.

Le GIEC alarmiste sur le climat

Le GIEC alarmiste sur le climat

 

Les experts du climat estiment désormais « extrêmement probable » – c’est-à-dire, dans le jargon du GIEC, avec une probabilité supérieure à 95 % – que l’élévation de la température terrestre relevée depuis le milieu du XXe siècle est bel et bien le fait de l’accumulation des gaz à effet de serre d’origine humaine. Cette probabilité était évaluée à 90 % dans le précédent rapport, rendu en 2007. Le réchauffement moyen depuis 1880 est désormais de 0,85 °C et les trois dernières décennies sont « probablement » les plus chaudes depuis au moins mille quatre cents ans.  En fonction des scénarios de développement (du plus sobre au plus émetteur), les modèles climatiques prévoient une élévation de température comprise entre 0,3 °C et 4,8 °C pour la période 2081-2100, par rapport à la période 1986-2005. Seul le scénario le plus sobre – et aussi le plus improbable – a une probabilité supérieure à 50 % d’éviter de dépasser le seuil de 2 °C au dessus des températures pré-industrielles. Seule note d’espoir : les experts ont légèrement élargi la fourchette donnant l’élévation de température en cas de doublement du CO2 : de 2 °C à 4,5 °C en 2007, ils sont passés à 1,5 °C à 4,5 °C. Neiges et glaces de toutes sortes se rétractent rapidement. La banquise arctique estivale a perdu, en surface, entre 9,4 % et 13,6 % depuis 1979. Les experts n’excluent pas qu’elle ait totalement disparu au milieu du siècle, dans le cas du scénario le plus noir. Les glaciers de montagne ont perdu en moyenne environ 275 milliards de tonnes (Gt) de glaces par an entre 1993 et 2009. Relevée au mois de juin, la couverture neigeuse de l’hémisphère nord a perdu en moyenne 11,7 % par décennie entre 1967 et 2012. Les experts estiment « très probable » que la calotte de glace du Groenland ait perdu en moyenne 34 Gt par an entre 1992 et 2001. Ce taux est depuis passé à 215 Gt de perte par an entre 1993 et 2009. L’Antarctique est soumis à une accélération comparable. La perte de glace des deux inlandsis contribue fortement à faire monter les océans. En 2007, le précédent rapport prévoyait une élévation moyenne du niveau de la mer comprise entre 18 cm et 59 cm d’ici à la fin du siècle. Cette estimation avait été critiquée dès sa publication : elle ne tenait pas compte des pertes de glace du Groenland et de l’Antarctique. En intégrant ces deux contributeurs importants, les simulations donnent des chiffres plus conséquents : en fonction des émissions à venir, la mer pourrait être plus haute 26 cm à 82 cm dans la période 2081-2100 qu’entre 1986-2005. Mais dans le scénario le plus noir, les experts donnent comme fourchette haute le chiffre de 98 cm d’élévation moyenne. Avec un rythme de hausse qui pourrait atteindre 0,8 cm à 1,6 cm par an au cours des deux dernières décennies du siècle. Ce rythme est aujourd’hui de 3,2 mm par an. D’autres simulations, dites semi-empiriques, donnent des valeurs beaucoup plus importantes (« jusqu’au double », précise le GIEC dans le Résumé) mais ne font pas consensus dans la communauté scientifique. Entre 1901 et 2010, les océans se sont en moyenne élevés de 19 cm. Cependant, préviennent les experts, cette élévation n’est pas uniforme : certaines régions seront plus rapidement affectées que d’autres. Les experts estiment « très probable » que l’influence humaine a contribué aux changements de fréquence et d’intensité des températures extrême notés depuis le milieu du XXe siècle. « Les vagues de chaleur vont très probablement se produire plus fréquemment et durer plus longtemps, a déclaré le climatologue Thomas Stocker (université de Berne), co-président du groupe de travail du GIEC. Avec le réchauffement, nous nous attendons à voir les régions humides recevoir plus de pluies et les régions les plus sèches à en recevoir moins. »

 

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