Archive pour le Tag 'classée !'

Covid: La France classée zone de haute infection

Covid: La France classée zone de haute infection par l’Allemagne

L’Allemagne a connu des pics importants d’infection mais depuis quelques jours la moyenne des nouveaux cas est redescendue à 50 000. La tendance est à la baisse. Le contraire pour la France partie le plus bas mais qui aujourd’hui atteint voire dépasse les 60 000 cas par jour. Sans parler des risques multipliés par cinq ou six avec le potentiel danger du variant omicron.

En raison des risques potentiel de domination rapide du variant omicron en France, l’Allemagne a classé l’Hexagone comme zone de haute infection l’Allemagne a classé vendredi 17 décembre la France et le Danemark comme zones d’infections à «haut risque» et va donc imposer aux voyageurs non vaccinés en provenance de ces pays une période de quarantaine, a annoncé l’Institut de veille sanitaire. À partir de dimanche, cette mesure, qui va s’appliquer également aux voyageurs venant de Norvège, du Liban et d’Andorre, implique que les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas déjà été atteintes du Covid-19 observent une quarantaine avec un test possible au cinquième jour.

L’Allemagne, déjà touchée par un important rebond des contaminations au coronavirus, doit se préparer à une nouvelle «vague massive» liée à la diffusion rapide du variant Omicron, avait auparavant prévenu le ministre de la Santé Karl Lauterbach. Le Danemark a lui annoncé vendredi la fermeture de l’immense partie de sa scène culturelle et une nouvelle restriction de la vie nocturne pour tenter de freiner la flambée record de cas de Covid-19 et du nouveau variant Omicron.

Le Danemark a enregistré vendredi un nouveau record absolu avec plus de 11.000 cas en 24 heures, dont un nouveau sommet de plus de 2500 cas du variant Omicron, selon le gouvernement. En France, le variant Omicron «va se diffuser très rapidement au point de devenir dominant dès le début de l’année 2022», a estimé vendredi le Premier ministre Jean Castex.

 

Pandémie : la France classée rouge par l’Allemagne

Pandémie : la France classée rouge par l’Allemagne

 

 

La France va être cassée rouge par l’Allemagne en raison de la pandémie. De fait,  l’Allemagne en dépit des difficultés a réussi à mieux contrôler la situation puisque le taux d’incidence et légèrement supérieur à 100 quand il est en moyenne près de 250 en France et qu’il atteint même 700 dans les zones les plus touchées. L’Allemagne va donc renforcer ses contrôles à la frontière française en imposant la présentation d’un test Covid négatif. Mais ces dispositions doivent notamment composer avec les travailleurs frontaliers et pourraient faire l’objet d’une relative souplesse.

 

 

Cela implique le renforcement des tests et des contrôles à la frontière. Ainsi, les voyageurs en provenance de France devront impérativement présenter un test négatif de moins de 48 heures et pourront être soumis à une quarantaine de dix jours. Les autorités allemandes renforceront également les contrôles aléatoires. Ces mesures entreront en vigueur à partir de dimanche minuit.

 

Dans ce contexte, le pays cherche à renforcer le contrôle de ses frontières. Les mesures auxquelles va être soumise la France sont déjà appliquées pour les voyageurs en provenance de Pologne, de République Tchèque et de la région du Tyrol en Autriche et ce de manière très stricte. Pour preuve, les frontaliers doivent se faire test

Justice et politique -Comptes de campagne Macron: affaire classée !

Justice et politique -Comptes de campagne Macron: affaire classée !

Après un petit tour devant la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP),  le conseil d’État et le conseil constitutionnel, le dossier de l’affaire du financement de la campagne de Macron est classé . Comme souvent quand un parti est au pouvoir, les hautes  institutions passent l’éponge sur les affaires financières relatives à la campagne. De toute manière, on voit mal comment une juridiction pourrait contester une autre haute institution comme la commission nationale des comptes de campagne. Pourtant , il apparaît évident que cette commission nationale n’a nullement les moyens d’investigation  pour vérifier la sincérité des comptes. A cela s’ ajoute évidemment des considérations sur l’environnement politique. Le parti les républicains contestait  la décision de décembre 2017 de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP qui  avait alors validé les comptes de campagne macronistes. Or, six mois après cette décision, plusieurs médias avaient révélé qu’Emmanuel Macron et son équipe auraient, en 2017, bénéficié de certains avantages importants, sous forme de rabais notamment, lors de la campagne présidentielle. Avantages qui auraient pu être assimilés à des dons déguisés. . Mercredi soir, suivant une décision similaire rendue par le Conseil constitutionnel, le Conseil d’Etat a ainsi refusé d’accéder à la requête LR, selon une information des Échos. Cela faisait plus d’un an que le parti politique tentait, devant la justice, de faire invalider les comptes de campagne du candidat Macron.

Une affaire du même type avait déjà été placé tribunal de Lyon. A l’époque maire de Lyon et président de la métropole, Gérard Collomb, figurait parmi les pionniers de l’aventure macroniste. Plus de 800 invités, dont des élus, des cadres d’administration, et des décideurs économiques, étaient conviés, pour un coût de 3 180,14 euros, une somme réglée par la métropole. L’article 52-8 du code électoral interdit à toute personne morale, « à l’exception des partis ou groupements politiques », de « participer au financement de la campagne électorale d’un candidat ».

Un autre affaire risque aussi de finir dans les sables : celle des vrais donateurs de la campagne de Macron. L e candidat Macron  candidat a levé 15 994 076 euros entre la création d’En Marche en mars 2016 et décembre 2017 (certains ont encore donné après la campagne). Jamais un candidat n’avait rassemblé autant d’argent auprès des particuliers en partant de rien. Cette somme a été réunie grâce à environ 99 361 dons, ce qui semble accréditer l’histoire racontée par les responsables d’En Marche pendant la campagne, à savoir celle d’une mobilisation populaire autour du candidat.

Le  candidat n’aurait jamais pu financer sa campagne sans une infime fraction de donateurs fortunés. 48 % de ces 16 millions d’euros, ont été récoltés grâce à « seulement » 1 212 dons de 4 500 euros et plus. Ces gros chèques ont été d’autant plus essentiels qu’ils ont longtemps représenté l’essentiel des ressources dont disposait le candidat. En fait, ce sont surtout 800 gros donateurs de Paris qui ont financé la campagne de Macron. Et encore une fois, la commission nationale des comptes n’est pas outillée pour certifier de manière indiscutable les comptes des campagnes, d’ailleurs elle se fie aux informations données par les candidats et les organisations.

 

Comptes de campagne Macron: affaire classée !

Comptes de campagne Macron: affaire classée !

Après un petit tour devant la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP),  le conseil d’État et le conseil constitutionnel, le dossier de l’affaire du financement de la campagne de Macron est classé . Comme souvent quand un parti est au pouvoir, les hautes  institutions passent l’éponge sur les affaires financières relatives à la campagne. De toute manière, on voit mal comment une juridiction pourrait contester une autre haute institution comme la commission nationale des comptes de campagne. Pourtant , il apparaît évident que cette commission nationale n’a nullement les moyens d’investigation  pour vérifier la sincérité des comptes. A cela s’ ajoute évidemment des considérations sur l’environnement politique. Le parti les républicains contestait  la décision de décembre 2017 de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP qui  avait alors validé les comptes de campagne macronistes. Or, six mois après cette décision, plusieurs médias avaient révélé qu’Emmanuel Macron et son équipe auraient, en 2017, bénéficié de certains avantages importants, sous forme de rabais notamment, lors de la campagne présidentielle. Avantages qui auraient pu être assimilés à des dons déguisés. . Mercredi soir, suivant une décision similaire rendue par le Conseil constitutionnel, le Conseil d’Etat a ainsi refusé d’accéder à la requête LR, selon une information des Échos. Cela faisait plus d’un an que le parti politique tentait, devant la justice, de faire invalider les comptes de campagne du candidat Macron.

Une affaire du même type avait déjà été placé tribunal de Lyon. A l’époque maire de Lyon et président de la métropole, Gérard Collomb, figurait parmi les pionniers de l’aventure macroniste. Plus de 800 invités, dont des élus, des cadres d’administration, et des décideurs économiques, étaient conviés, pour un coût de 3 180,14 euros, une somme réglée par la métropole. L’article 52-8 du code électoral interdit à toute personne morale, « à l’exception des partis ou groupements politiques », de « participer au financement de la campagne électorale d’un candidat ».

Un autre affaire risque aussi de finir dans les sables : celle des vrais donateurs de la campagne de Macron. L e candidat Macron  candidat a levé 15 994 076 euros entre la création d’En Marche en mars 2016 et décembre 2017 (certains ont encore donné après la campagne). Jamais un candidat n’avait rassemblé autant d’argent auprès des particuliers en partant de rien. Cette somme a été réunie grâce à environ 99 361 dons, ce qui semble accréditer l’histoire racontée par les responsables d’En Marche pendant la campagne, à savoir celle d’une mobilisation populaire autour du candidat.

Le  candidat n’aurait jamais pu financer sa campagne sans une infime fraction de donateurs fortunés. 48 % de ces 16 millions d’euros, ont été récoltés grâce à « seulement » 1 212 dons de 4 500 euros et plus. Ces gros chèques ont été d’autant plus essentiels qu’ils ont longtemps représenté l’essentiel des ressources dont disposait le candidat. En fait, ce sont surtout 800 gros donateurs de Paris qui ont financé la campagne de Macron. Et encore une fois, la commission nationale des comptes n’est pas outillée pour certifier de manière indiscutable les comptes des campagnes, d’ailleurs elle se fie aux informations données par les candidats et les organisations.

 

Financement de la campagne de Macron: enquête classée, circulez , il n’y a rien à voir !

Financement de la campagne de Macron: enquête classée, circulez , il n’y a rien à voir !

 

 

 

On sait que la justice nationale est loin d’être exemplaire notamment concernant  toutes les affaires politico-financières dont certaines durent des années voir des dizaines d’années. On attend même souvent le décès des impliqués pour fermer le dossier ! Il y a plusieurs enquête concernant Macron, celle concernant les conditions générales de financement de sa campagne électorale mais qui semble s’enliser dans les sables judiciaires. À l’inverse on a réactivé les dossiers pour utilisation frauduleuse d’assistants parlementaires pour le MoDem ( du coup Bayrou se fait très discret!)).

Sont aussi visés le Front National et la France soumise. Il ne s’agit nullement d’un enrichissement personnel mais d’assistants auxquels on reproche de ne pas s’être consacrés  totalement aux tâches européennes comme si on pouvait distinguer dans le travail des collaborateurs de députés ce qui relève de la politique locale, de la politique nationale et de la politique européenne.

Bref, une sorte de procès en sorcellerie quand il y a matière à dénoncer et à juger de vraies affaires de détournement de fonds. Le parquet de Lyon a décidé de classer sans suite une affaire locale l’enquête ouverte sur le financement de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron à Lyon, a-t-on appris lundi de source proche du dossier.

Cette enquête faisait suite à une plainte déposée le 15 juin 2018 pour “détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, délits électoraux, recel et blanchiment” par un conseiller municipal d’opposition, Stéphane Guilland, élu Les Républicains (LR).

“Aucun détournement de fonds publics n’a été caractérisé”, a considéré le parquet de Lyon.

Dans sa plainte, Stéphane Guilland dénonçait la mise à disposition d’un certain nombre de moyens humains, matériels et financiers de la mairie de Lyon, mais également de la Métropole de Lyon, au profit d’Emmanuel Macron, dont Gérard Collomb soutenait activement la candidature.

Pollution Rouen, affaire classée ! (Le préfet)

Pollution Rouen, affaire classée ! (Le préfet)

 

 

Pour le préfet de Seine-Maritime l’affaire est pratiquement considérée comme classée. Il a en effet décrété que la qualité de l’air à Rouen était “normale” et “habituelle” trois jours après le violent incendie de l’usine Lubrizol. Cela alors que les enquêtes concernant les conséquences sanitaires et écologiques ont à peine commencé. Cette prise de position est assez conforme à la philosophie préfectorale en général qui tente d’étouffer toutes les affaires pour protéger  le gouvernement. Le même préfet avait même dès le départ complètement sous-estimé l’importance de la pollution. Maintenant il referme le dossier. Certes il reconnaît une certaine pollution mais la qualifie d’habituelle. Évidemment, il n’en sait strictement rien car il faudra des semaines et des mois pour évaluer scientifiquement les conséquences sanitaires et écologiques. Contrairement à ce qu’affirme le préfet, on ne sait pas grand-chose. En effet une odeur incommodante persiste et des suies noires se sont déposées un peu partout, y compris sur les cultures, parfois en petites galettes, telles des galettes de goudron. L’origine de l’incendie n’est toujours pas déterminée.

Les analyses effectuées pour détecter dans l’air d’éventuelles concentrations d’oxyde d’azote et de soufre, de monoxyde de carbone et d’hydrogène sulfuré notamment, sont “encourageantes”, – expression pour le moins approximative–a déclaré samedi après-midi le préfet, Pierre-André Durand, lors d’un point de presse.“Nous sommes à un état habituel de la qualité de l’air à Rouen”, a-t-il indiqué. La situation est “normale” à l’exception du site Seveso, proche de la Seine, où “une présence de benzène” a été détectée.

Pourtant vendredi, la ministre de la Santé Agnès Buzyn avait été moins optimiste et avait estimé que Rouen était “clairement polluée”. S’agissant de la “pluie noire” observée par les habitants après l’incendie, “il n’y a pas de situation alarmante, hormis dans certains cas des présences de plomb” dont l’existence est peut-être ancienne, a déclaré le préfet (pourquoi pas aussi à l’époque des gaulois NDLR).

Le préfet forcément expert en toxicologie et en environnement  a invité à “distinguer la toxicité de la gêne” causée par une odeur “anxiogène”. Des riverains font état d’irritations oculaires ou respiratoires et ont opté pour beaucoup pour le port d’un masque.  “tout est donc normal ou presse puisqu’un gel des productions et des récoltes” a été décidé. Le lait collecté depuis le 26 septembre dans les zones à risque, les œufs et le miel sont consignés “jusqu’à obtention de garanties. Notons qu’à aucun moment les pouvoirs publics n’évoquent les incidents déjà relevés dans cet usine y compris en matière de nuages de pollution.

Selon les pompiers. « Lubrizol est le plus important accident industriel en France depuis AZF (à Toulouse en 2001, ndlr). La gestion du drame que vit notre métropole de Rouen est scandaleuse et humiliante », a twitté David Cormand, secrétaire national d’EELV. Annie Thébaud Mony, directrice de recherche honoraire à l’Inserm, craint, elle, la toxicité à long terme du panache de fumée qui a mesuré jusqu’à 22 km de long. « L’inquiétude est absolument légitime. Ce nuage qui est passé au dessus de Rouen est chargé en poussière hautement toxique au minimum cancérogène », a déclaré cette scientifique spécialisée dans les cancers professionnels.

Le classement universités de Shanghai : la France toujours mal classée

 Le classement universités de Shanghai : la France toujours mal classée

 

Ce classement, distingue depuis 2003 les 500 meilleurs établissements d’enseignement supérieur du monde. Pour cette édition 2019, elle publie le classement de 1 000 universités. Le top 10 est identique à l’an dernier, avec 8 universités américaines et 2 britanniques occupant le haut du classement.

Harvard est en tête pour la dix-septième année consécutive, devançant sa compatriote Stanford. L’université britannique Cambridge conserve la troisième place du podium. On trouve ensuite les américaines MIT (4e), Berkeley (5e) et Princeton (6e).

 

Comme en 2018, seules quatre universités non américaines atteignent le top 20 : les britanniques Cambridge, Oxford (7e place) et University College de Londres (15e, + 2 places), tandis que l’Institut fédéral de technologie de Zurich pointe à la 19e place (inchangé).

Le classement de Shanghai prend en compte six critères, dont le nombre de Nobel et médailles Fields parmi les étudiants diplômés et professeurs, le nombre de chercheurs les plus cités dans leur discipline, ou encore le nombre de publications dans les revues Science et Nature. Si le cabinet présente ce classement comme « le plus fiable », ces critères sont dénoncés par de nombreux responsables européens comme un biais dommageable pour leurs établissements.

 

Alain Sarfati, président de l’université Paris-Sud, qui se distingue comme la première université française du classement 2019 de Shanghai explique son classement sur France info

 

Est-ce un motif de fierté d’être la première université française de ce classement ? Qu’est-ce que ça vous apporte d’être bien classé ?

Alain Sarfati : C’est un sentiment de fierté bien sûr. Mais il faut prendre tout ça avec beaucoup de recul. Les classements se basent sur un certain nombre de critères qui sont plus ou moins pertinents. Le classement de Shanghai s’appuie sur des données qui sont relativement objectives. Il est plutôt pertinent sur le domaine de la recherche. Il n’a pas vocation à juger la qualité d’une université sur l’ensemble de ses missions, mais sur l’avancée des connaissances, qui est quand même un des points les plus importants pour les universités.

Il y aura des choses à redire, mais en tout cas il y a une certaine pertinence et une cohérence dans ce classement d’une année sur l’autre. Ça nous apporte une visibilité. Qu’on soit d’accord avec les critères ou pas, c’est un classement qui est vu et ausculté par beaucoup de monde.

Lorsqu’il s’agit de choisir une université, les étudiants regardent-ils ce genre de classement ?

Les étudiants internationaux, oui très certainement. Pour les Français, je pense que ça commence à se faire, parce que c’est la force des médias de communiquer sur tel ou tel type de données. En l’occurrence le classement de Shanghai est un classement qui est vu. Je pense que pour les étudiants internationaux et en premier lieu les Chinois, être dans une université bien classée, ça ouvre des portes, ne serait-ce qu’en termes de bourses.

Faut-il se battre pour grimper dans ce classement ? Ou est-ce que la domination anglo-saxonne est inéluctable ?

Je crois qu’il est important de ne pas faire des classements un outil pour notre stratégie. La stratégie de l’université doit se baser sur des éléments au-delà du classement, parce qu’un classement se base sur un certain nombre de critères, et ce ne sont pas forcément les bons. Il faut avoir du recul.

Maintenant il faut regarder ça de façon attentive, ne pas se pénaliser, et il faut que la France apparaisse dans les radars internationaux. Mais si un classement a une trop grande visibilité et qu’il est très clairement basé sur des critères qui ne sont pas les bons, il faudra se battre pour faire évoluer les choses.

Paris-Sud fait partie du regroupement d’établissements d’enseignement supérieur Paris-Saclay. Ces rapprochements sont-ils de nature à favoriser votre poids à l’international ?

Très clairement. Ce regroupement à Saclay n’est pas fait uniquement pour ça, comme parfois je l’entends. Il y a beaucoup d’autres objectifs qui sont bien plus importants. Mais effectivement la transformation de Paris-Sud en Paris-Saclay doit avoir comme conséquence de grimper dans différents classements, et en particulier dans le classement de Shanghai.

 

 

 

Les 10 meilleures universités du monde (en 2019) :

Rang Etablissement
1 Université d’Harvard
2 Université de Stanford
3 Université de Cambridge
4 Massachusetts Institute of Technology
5 Berkeley
6 Université de Princeton
7 Oxford
8 Université Columbia
9 California Institute of Technology
10 Université de Chicago

Le top 10 n’a pas évolué entre 2018 et 2019.

Les universités françaises dans le Top 200 (en 2019) :

Rang Etablissement
37 Université Paris-Sud (Paris 11)
44 Université Sorbonne Université
79 Ecole Normale Supérieure (Paris)
101-150 Aix-Marseille Université
101-150 Université de Grenoble-Alpes
101-150 Université de Strasbourg
101-150 Université Paris Diderot (Paris 7)
151-200 Université de Montpellier
151-200 Université Paris Descartes (Paris 5)

Les universités françaises dans le Top 200 (en 2018) :

Rang Etablissement
36 Université Sorbonne Université
42 Université Paris-Sud (Paris 11)
64 Ecole Normale Supérieure (Paris)
101-150 Aix-Marseille Université
101-150 Université de Strasbourg
101-150 Université Paris Diderot (Paris 7)
151-200 Université Joseph Fourier (Grenoble 1)
151-200 Université Paris Descartes (Paris 5)

Les universités en tête du classement mondial les années précédentes :

Année Etablissement le mieux classé
2018 Université d’Harvard
2017 Université d’Harvard
2016 Université d’Harvard
2015 Université d’Harvard
2014 Université d’Harvard
2013 Université d’Harvard
2012 Université d’Harvard
2011 Université d’Harvard
2010 Université d’Harvard

 

Universités -Classement de Shanghai : la France toujours mal classée

Classement de Shanghai : la France toujours mal classée

 

Ce classement, distingue depuis 2003 les 500 meilleurs établissements d’enseignement supérieur du monde. Pour cette édition 2019, elle publie le classement de 1 000 universités. Le top 10 est identique à l’an dernier, avec 8 universités américaines et 2 britanniques occupant le haut du classement.

Harvard est en tête pour la dix-septième année consécutive, devançant sa compatriote Stanford. L’université britannique Cambridge conserve la troisième place du podium. On trouve ensuite les américaines MIT (4e), Berkeley (5e) et Princeton (6e).

 

Comme en 2018, seules quatre universités non américaines atteignent le top 20 : les britanniques Cambridge, Oxford (7e place) et University College de Londres (15e, + 2 places), tandis que l’Institut fédéral de technologie de Zurich pointe à la 19e place (inchangé).

Le classement de Shanghai prend en compte six critères, dont le nombre de Nobel et médailles Fields parmi les étudiants diplômés et professeurs, le nombre de chercheurs les plus cités dans leur discipline, ou encore le nombre de publications dans les revues Science et Nature. Si le cabinet présente ce classement comme « le plus fiable », ces critères sont dénoncés par de nombreux responsables européens comme un biais dommageable pour leurs établissements.

 

Alain Sarfati, président de l’université Paris-Sud, qui se distingue comme la première université française du classement 2019 de Shanghai explique son classement sur France info

 

Est-ce un motif de fierté d’être la première université française de ce classement ? Qu’est-ce que ça vous apporte d’être bien classé ?

Alain Sarfati : C’est un sentiment de fierté bien sûr. Mais il faut prendre tout ça avec beaucoup de recul. Les classements se basent sur un certain nombre de critères qui sont plus ou moins pertinents. Le classement de Shanghai s’appuie sur des données qui sont relativement objectives. Il est plutôt pertinent sur le domaine de la recherche. Il n’a pas vocation à juger la qualité d’une université sur l’ensemble de ses missions, mais sur l’avancée des connaissances, qui est quand même un des points les plus importants pour les universités.

Il y aura des choses à redire, mais en tout cas il y a une certaine pertinence et une cohérence dans ce classement d’une année sur l’autre. Ça nous apporte une visibilité. Qu’on soit d’accord avec les critères ou pas, c’est un classement qui est vu et ausculté par beaucoup de monde.

Lorsqu’il s’agit de choisir une université, les étudiants regardent-ils ce genre de classement ?

Les étudiants internationaux, oui très certainement. Pour les Français, je pense que ça commence à se faire, parce que c’est la force des médias de communiquer sur tel ou tel type de données. En l’occurrence le classement de Shanghai est un classement qui est vu. Je pense que pour les étudiants internationaux et en premier lieu les Chinois, être dans une université bien classée, ça ouvre des portes, ne serait-ce qu’en termes de bourses.

Faut-il se battre pour grimper dans ce classement ? Ou est-ce que la domination anglo-saxonne est inéluctable ?

Je crois qu’il est important de ne pas faire des classements un outil pour notre stratégie. La stratégie de l’université doit se baser sur des éléments au-delà du classement, parce qu’un classement se base sur un certain nombre de critères, et ce ne sont pas forcément les bons. Il faut avoir du recul.

Maintenant il faut regarder ça de façon attentive, ne pas se pénaliser, et il faut que la France apparaisse dans les radars internationaux. Mais si un classement a une trop grande visibilité et qu’il est très clairement basé sur des critères qui ne sont pas les bons, il faudra se battre pour faire évoluer les choses.

Paris-Sud fait partie du regroupement d’établissements d’enseignement supérieur Paris-Saclay. Ces rapprochements sont-ils de nature à favoriser votre poids à l’international ?

Très clairement. Ce regroupement à Saclay n’est pas fait uniquement pour ça, comme parfois je l’entends. Il y a beaucoup d’autres objectifs qui sont bien plus importants. Mais effectivement la transformation de Paris-Sud en Paris-Saclay doit avoir comme conséquence de grimper dans différents classements, et en particulier dans le classement de Shanghai.

 

La France, Macron   et l’Afrique : la grande hypocrisie

 

 Macron a rendu hommage aux héros africains de 1944 en Provence. C’était évidemment nécessaire mais bien insuffisant voir même assez hypocrite. On le sait, les Africains et les indigènes en général ont payé un lourd tribut aux guerres de 39 45 et surtout de 14-18. . Pire, la plupart de ceux qui ont été incorporés dans la Grande guerre de 14 18 l’ont été de force malheureusement ces soldats n’ont pas ensuite été récompensés puisqu’ils ont même été privés de leurs droits en matière de primes et de pension. La France a d’ailleurs été condamnée par les instances juridiques internationales pour cette discrimination. Ce n’est qu’à partir de 2007 que la situation a été régularisée. Autant dire que la plupart des Africains bénéficiaires était déjà morts.  La seconde critique qu’on peut adresser à la France, c’est qu’elle s’est montrée bien incapable de contribuer au développement de l’Afrique en installant une situation de post colonisation avec la France Afrique en soutenant le plus souvent des chefs d’État corrompus et en favorisant seulement les investissements de multinationales françaises. Par contre,  les politiques de développement bureaucratique ont rarement atteint le terrain. Souvent les fonds se sont perdus dans les sables des grandes superstructures de coopération et dans les poches des dirigeants africains sans parler des retours financiers pour assurer les campagnes électorales des présidents français. Bref,  la politique française a été tellement inefficace que la place a été prise en Afrique par d’autres pays notamment par la Chine qui de façon encore plus scandaleuse que la France pille  les ressources du continent. Certes les Africains eux-mêmes ont leur responsabilité dans le sous-développement du fait de l’instabilité politique, parfois des conflits aussi malheureusement de la concussion érigée en pratique générale. Pourtant la France avec notamment le soutien de l’Europe aurait pu décider depuis longtemps un véritable plan Marshall pour développer l’Afrique en même temps pour éviter la contamination par le radicalisme islamique et pour réguler l’immigration.  Une nouvelle fois s’est contenté de mots vis-à-vis des africains “Nous n’oublierons jamais rien ni personne”, a-t-il dit en lançant un plaidoyer pour la cohabitation entre les Français et ceux sans lesquels la France n’aurait pas retrouvé sa place dans le monde après l’épisode de la collaboration avec les nazis.

 

 

 

Les 10 meilleures universités du monde (en 2019) :

Rang Etablissement
1 Université d’Harvard
2 Université de Stanford
3 Université de Cambridge
4 Massachusetts Institute of Technology
5 Berkeley
6 Université de Princeton
7 Oxford
8 Université Columbia
9 California Institute of Technology
10 Université de Chicago

Le top 10 n’a pas évolué entre 2018 et 2019.

Les universités françaises dans le Top 200 (en 2019) :

Rang Etablissement
37 Université Paris-Sud (Paris 11)
44 Université Sorbonne Université
79 Ecole Normale Supérieure (Paris)
101-150 Aix-Marseille Université
101-150 Université de Grenoble-Alpes
101-150 Université de Strasbourg
101-150 Université Paris Diderot (Paris 7)
151-200 Université de Montpellier
151-200 Université Paris Descartes (Paris 5)

Les universités françaises dans le Top 200 (en 2018) :

Rang Etablissement
36 Université Sorbonne Université
42 Université Paris-Sud (Paris 11)
64 Ecole Normale Supérieure (Paris)
101-150 Aix-Marseille Université
101-150 Université de Strasbourg
101-150 Université Paris Diderot (Paris 7)
151-200 Université Joseph Fourier (Grenoble 1)
151-200 Université Paris Descartes (Paris 5)

Les universités en tête du classement mondial les années précédentes :

Année Etablissement le mieux classé
2018 Université d’Harvard
2017 Université d’Harvard
2016 Université d’Harvard
2015 Université d’Harvard
2014 Université d’Harvard
2013 Université d’Harvard
2012 Université d’Harvard
2011 Université d’Harvard
2010 Université d’Harvard

 

Classement de Shanghai : la France toujours mal classée

Classement de Shanghai : la France toujours mal classée

Alain Sarfati, président de l’université Paris-Sud, qui se distingue comme la première université française du classement 2019 de Shanghai explique son classement sur France info

 

Est-ce un motif de fierté d’être la première université française de ce classement ? Qu’est-ce que ça vous apporte d’être bien classé ?

Alain Sarfati : C’est un sentiment de fierté bien sûr. Mais il faut prendre tout ça avec beaucoup de recul. Les classements se basent sur un certain nombre de critères qui sont plus ou moins pertinents. Le classement de Shanghai s’appuie sur des données qui sont relativement objectives. Il est plutôt pertinent sur le domaine de la recherche. Il n’a pas vocation à juger la qualité d’une université sur l’ensemble de ses missions, mais sur l’avancée des connaissances, qui est quand même un des points les plus importants pour les universités.

Il y aura des choses à redire, mais en tout cas il y a une certaine pertinence et une cohérence dans ce classement d’une année sur l’autre. Ça nous apporte une visibilité. Qu’on soit d’accord avec les critères ou pas, c’est un classement qui est vu et ausculté par beaucoup de monde.

Lorsqu’il s’agit de choisir une université, les étudiants regardent-ils ce genre de classement ?

Les étudiants internationaux, oui très certainement. Pour les Français, je pense que ça commence à se faire, parce que c’est la force des médias de communiquer sur tel ou tel type de données. En l’occurrence le classement de Shanghai est un classement qui est vu. Je pense que pour les étudiants internationaux et en premier lieu les Chinois, être dans une université bien classée, ça ouvre des portes, ne serait-ce qu’en termes de bourses.

Faut-il se battre pour grimper dans ce classement ? Ou est-ce que la domination anglo-saxonne est inéluctable ?

Je crois qu’il est important de ne pas faire des classements un outil pour notre stratégie. La stratégie de l’université doit se baser sur des éléments au-delà du classement, parce qu’un classement se base sur un certain nombre de critères, et ce ne sont pas forcément les bons. Il faut avoir du recul.

Maintenant il faut regarder ça de façon attentive, ne pas se pénaliser, et il faut que la France apparaisse dans les radars internationaux. Mais si un classement a une trop grande visibilité et qu’il est très clairement basé sur des critères qui ne sont pas les bons, il faudra se battre pour faire évoluer les choses.

Paris-Sud fait partie du regroupement d’établissements d’enseignement supérieur Paris-Saclay. Ces rapprochements sont-ils de nature à favoriser votre poids à l’international ?

Très clairement. Ce regroupement à Saclay n’est pas fait uniquement pour ça, comme parfois je l’entends. Il y a beaucoup d’autres objectifs qui sont bien plus importants. Mais effectivement la transformation de Paris-Sud en Paris-Saclay doit avoir comme conséquence de grimper dans différents classements, et en particulier dans le classement de Shanghai.

Pouvoir d’achat: la France mal classée en Europe

Pouvoir d’achat: la France mal classée en Europe

 

 

D’après une étude de l’institut allemand d’études de marché Gfk en  2016, le revenu disponible des ménages en Europe (après paiement des impôts et charges sociales) atteint la somme globale de 9.180 milliards d’euros, soit un pouvoir d’achat de 13.672 euros par habitant en Europe. Précisons que GfK étudie l’ensemble des pays du continent et pas seulement ceux qui font partie de l’Union européenne. Il inclut ainsi l’Islande, la Norvège et même la Biélorussie, l’Ukraine et la Turquie. Sur cette base, GfK a établi un top 10 dominé par… le Liechtenstein, avec 63.000 euros de pouvoir d’achat par habitant! Ce qui est pour le moins discutable, puisque le pouvoir d’achat des résidents de l’autre richissime principauté d’Europe -Monaco- n’a, lui, pas été évalué dans cette étude. En deuxième position, s’impose la Suisse, où les habitants disposent de 42.300 euros par an  Derrière le Liechtenstein et la Suisse, figure le plus riche des états membres de l’Union européenne: le Luxembourg. Ses habitants jouissent d’un pouvoir d’achat de 30.248 euros, devançant ainsi les Norvégiens (27.839 euros) et les Islandais (24.272 euros). L’Allemagne (21.879 euros) et la Grande-Bretagne (21.141 euros) viennent clore le top 10 dont la liste complète figure à la fin de cet article. La France, elle, doit se contenter du 12e rang avec un pouvoir d’achat de 19.254 euros par habitant. Mais, cela dit, elle gagne une place par rapport au classement établi par Gfk l’an passé. Elle devance ainsi clairement l’Italie (16e avec 16.709 euros), l’Espagne (17e avec 13.840 euros) mais aussi les Pays-Bas (15e avec 17.901 euros).

(La tribune)

E-mails -Clinton : affaire classée !!! (FBI))

E-mails -Clinton : affaire classée !!! (FBI))

-

Curieux ce nouveau revirement du FBI à propos des e-mails supposés défense pour lesquels Hillary Clinton aurait utilisé sa messagerie personnelle. Dans un premier temps,  le FBI qui en juillet avait classé l’affaire. À la surprise générale il y a quelques jours il avait ressorti le dossier,  il décide maintenant aussi brutalement de le refermer. Sur le fond il est évidemment difficile de se prononcer puisque il n’est pas possible d’accéder aux informations de cette affaire. Sans doute influencé par le camp républicain le patron du FBI s’est un peu discrédité dans une opération à caractère électoral évident. Cela émet en témoigne un peu plus du caractère délétère de cette campagne où les attaques personnelles prennent largement le pas sur les enjeux stratégiques. Jusqu’au bout, le feuilleton des e-mails d’Hillary Clinton continue donc de rythmer la campagne. Le FBI maintient sa recommandation de ne pas poursuivre la candidate démocrate à la Maison Blanche dans cette affaire, annonce un élu du Congrès, dimanche 6 novembre. A deux jours de l’élection présidentielle, l’agence fait cette annonce après avoir examiné un lot de nouveaux courriels ayant transité par sa collaboratrice Huma Abedin. « Durant cette procédure, nous avons passé en revue toutes les communications envoyée par ou à Hillary Clinton quand elle était secrétaire d’Etat, écrit James Comey, le patron du FBI, dans une lettre adressée à des élus du Congrès. Sur la base de cette enquête, nous n’avons pas changé nos [précédentes] conclusions. » En juillet, l’agence avait déjà préconisé de ne pas poursuivre Hillary Clinton, une recommandation alors suivie par le ministère de la Justice américain. Dans ce dossier, il est reproché à la démocrate d’avoir utilisé une adresse e-mail personnelle pour ses activités professionnelles, lors de son passage au secrétariat d’Etat, entre 2009 et 2013. Le patron du FBI avait provoqué une onde de choc il y a dix jours en relançant de facto cette affaire. Un geste vertement critiqué par les démocrates, applaudi par Donald Trump et qui coûté cher à Hillary Clinton dans les sondages. « Nous sommes heureux que cette question soit résolue », a réagi sa directrice de la communication, Jennifer Palmieri. Sans surprise, son rival républicain, Donald Trump a dénoncé cet énième rebondissement, jugeant Hillary Clinton « protégée » par « un système corrompu ».

Tarifs autoroutes : affaire classée !!

Tarifs autoroutes : affaire classée !!

 

Encore un dossier qui finit en eu de boudin. On devait revoir les conventions pour les concessions autoroute, Ségolène avait même proposé des autoroutes gratuites le dimanche ( ?), d’autres encore avançaient la renationalisation. La rentabilité était apparue exorbitante, les tarifs beaucoup trop élevés . Finalement , il y aura quand même bien des augmentations de péages ( contre des travaux), pas de mise en cause des conditions de concession, encore moins de nationalisation. Refusant de cautionner une « parodie de consultation », l’ancien rapporteur PS de la mission d’information sur les autoroutes a claqué la porte du groupe de travail sur les tarifs des autoroutes, à la veille de la remise de ses conclusions à Manuel Valls. »Le groupe de travail a (…) servi au mieux de parodie de consultation, au pire de moyen d’instrumentaliser les parlementaires », affirme dans un communiqué Jean-Paul Chanteguet, qui avait préconisé fin 2014 dans son rapport une résiliation des concessions liant l’Etat et les sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA). Dans un autre rapport publié en septembre, l’Autorité de la concurrence avait mis en avant la « rentabilité exceptionnelle » des SCA depuis leur privatisation en 2006, de l’ordre de 20% ou plus, sur fond de péages augmentant plus vite que l’inflation. Mais les concessionnaires contestent ce calcul, jugeant que leur rentabilité doit se calculer sur l’ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d’années, et correspond à celle généralement observée dans le secteur des travaux publics. Le rapport de l’Autorité de la concurrence a provoqué un affrontement entre les SCA et le gouvernement, ce dernier ayant décidé de geler l’augmentation de 0,57% des péages prévue au 1er février. S’estimant victimes d’un « excès de pouvoir », les sociétés ont contre-attaqué en lançant un recours devant le Conseil d’Etat. Mais, regrette M. Chanteguet, « après un mois de travail », « le gouvernement (…) est pressé de conclure, sans se donner le temps nécessaire et sans recourir à de véritables expertises indépendantes de l’influence des SCA ». « Je refuse d’avaliser plus avant cette mise en scène et mets un terme à ma participation à ce groupe de travail, dont les travaux, consciencieusement organisés et orientés, ont eu pour objectif de montrer, que de rente il n’y avait pas et que l’idée de la résiliation était irréaliste, pour ne pas dire irresponsable », regrette encore le député, également président de la commission du Développement durable de l’Assemblée nationale.

Jérôme Kerviel en prison, affaire Société Générale classée !

Jérôme Kerviel en prison, affaire Société gGnérale classée !

 

Pas le bol pour kerviel il a toute l’oligarchie administrative, juridique et politique contre lui. C’est un escroc a dit notamment Sapin qui comme l’ oligarchie ne souhaite pour rouvrir le dossier Société générale afin de ne pas mettre en cause ses petits copains de l’ENA (ou de polytechnique) ; kerviel est la victime idéale, le profil type du »pauvre type » auquel on va faire porter le chapeau de toutes les dérives bancaires ; certes il est aussi responsable, mais le principal coupable c’est la spéculation effrénée des banques qui a abouti au krach financier. Kerviel n’a pas le bol, il n’appartient à aucune confrérie, aucune mafia, aucun parti. Il faut donc vite mettre en prison celui qui serait de faire émerger le procès des excès de la financiarisation de l’économie et les erreurs de gestion des patrons de banques. Avec l’accord de l’oligarchie politique, économie, juridique et même médiatique. Après deux jours de suspense, l’ex-trader de la Société générale est finalement rentré en France pour se rendre à la police. Il devrait être incarcéré pour purger sa peine de trois ans de prison. En deux jours, Jérôme Kerviel aura bien entretenu le suspense. Dimanche soir avant minuit – soit juste avant la limite fixée par la justice française – il a finalement franchi la distance qui sépare l’Italie de la France, avant d’être discrètement et rapidement interpellé par deux policiers en civil. Il s’est engouffré dans un véhicule qui l’a probablement emmené vers le commissariat de Menton. « Je suis libre car la liberté, c’est dans la tête », a-t-il déclaré peu de temps avant cette interpellation, annonçant que sa marche se poursuivrait sans lui, par l’intermédiaire de son compagnon de marche le Père Patrice Gourrier. Ce dernier était très ému au moment de l’arrestation de l’ex-trader. Avec la désormais célèbre veste rouge sur le dos, il a annoncé la tenue d’un sit-in devant le commissariat de Menton.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol