Archive pour le Tag 'cirque ?'

Mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale !

Mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale !

Sur le fond comme sur la forme, l’Assemblée nationale ne cesse de se discréditer auprès de l’opinion. En cause sur la forme: une absence totale de retenue et même de tenue. Sur le fond ,un véritable cirque ou foire à l’impôt qui traduit d’une part une incompétence économique mais aussi une responsabilité et une démagogie lamentable.

Finalement le gouvernement n’est soutenu par personne et les députés, par ailleurs le plus souvent absents ( exemple François Hollande qui n’a voté qu’une fois quand d’autres ont voté une centaine de fois) s’en donnent à cœur joie pour mettre le bordel avec des amendements contradictoires, fantaisistes et contre-productifs tant sur le plan économique que social.

Les députés voudraient casser la croissance qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ainsi en créant des charges fiscales supplémentaires d’un montant de l’ordre de 40 milliards, ils sont à peu près assuré de tuer la croissance en 2025. Ce qui mécaniquement va générer une augmentation des dépenses sociales, des déficits et une réduction des ressources fiscales.

Bref le contraire de l’objectif recherché. Il serait temps de mettre fin à ce cirque qui nous discrédite aussi au plan international et qui se traduira inévitablement par une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation dont  la facture sera payée par les ménages. La plupart de ses 577 députés ne servent à rien, beaucoup ne sont là que pour servir le chaos avec l’espoir fou d’une révolution. Des révolutionnaires de papier, payés par le contribuables,  qui en fait se nourrissent de la politique et n’entretiennent avec l’intérêt général que des relations très anecdotiques quand ils ne soutiennent pas des régimes comme celui de Poutine , du Hamas ou encore du Hezbollah. Ne parlons pas du honteux soutien des « écolos » et des » insoumis » au député drogué.

Il est urgent de mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale

Il est urgent de mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale

Sur le fond comme sur la forme, l’Assemblée nationale ne cesse de se discréditer auprès de l’opinion. En cause sur la forme: une absence totale de retenue et même de tenue. Sur le fond ,un véritable cirque ou foire à l’impôt qui traduit d’une part une incompétence économique mais aussi une responsabilité et une démagogie lamentable.

Finalement le gouvernement n’est soutenu par personne et les députés, par ailleurs le plus souvent absents ( exemple François Hollande qui n’a voté qu’une fois quand d’autres ont voté une centaine de fois) s’en donnent à cœur joie pour mettre le bordel avec des amendements contradictoires, fantaisistes et contre-productifs tant sur le plan économique que social.

Les députés voudraient casser la croissance qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ainsi en créant des charges fiscales supplémentaires d’un montant de l’ordre de 40 milliards, ils sont à peu près assuré de tuer la croissance en 2025. Ce qui mécaniquement va générer une augmentation des dépenses sociales, des déficits et une réduction des ressources fiscales.

Bref le contraire de l’objectif recherché. Il serait temps de mettre fin à ce cirque qui nous discrédite aussi au plan international et qui se traduira inévitablement par une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation dont  la facture sera payée par les ménages. La plupart de ses 577 députés ne servent à rien, beaucoup ne sont là que pour servir le chaos avec l’espoir fou d’une révolution. Des révolutionnaires de papier, payés par le contribuables,  qui en faie se nourrissent de la politique et n’entretiennent avec l’intérêt général que des relations très anecdotiques quand ils ne soutiennent pas des régimes comme celui de Poutine , du Hamas ou encore du Hezbollah. Ne parlons pas du honteux soutien des « écolos » et des » insoumis » au député drogué.

Attal: « Le salon de l’agriculture n’est pas un cirque » : une critique pour Bardella …. et Macron

Attal: « Le salon de l’agriculture n’est pas un cirque » : une critique pour Bardella …. et Macron

Le premier ministre critique la politisation du salon de l’agriculture mais sans doute tout autant sans doute  l’intervention de bardella  mais aussi celle de Macron qui a largement participé au « bordel » ( mot même de Macron).

Le premier ministre peut effectivement commencer à être agacé surtout par la posture omnipotente et permanente de Macron sur tous les sujets alors que lui-même a déjà engagé un processus de concertation et que soudain macron sort de son chapeau des solutions miracles très contestables.

Le Salon de l’Agriculture « n’est ni un cirque médiatique, ni un cirque politique, ni un cirque militant », a déclaré, ce dimanche 25 février, Gabriel Attal lors d’une réception au Salon, après l’ouverture chaotique par Emmanuel Macron samedi et la visite dimanche du leader du RN Jordan Bardella.

« Je veux aussi rappeler que ce salon appartient avant tout aux agriculteurs et aux Français », a déclaré le Premier ministre.

« Je rappelle que le Salon de l’agriculture doit être, cette année encore, la fête nationale et le succès populaire qu’il est depuis 60 ans pour les Français », a déclaré le Premier ministre lors d’une courte allocution.

L’exécutif est soucieux d’occuper le terrain après les images inédites d’une ouverture très perturbée du salon, sur fond d’une crise des agriculteurs qui perdure depuis plus d’un mois: affrontements entre force de l’ordre et agriculteurs opposés à la venue du chef de l’État, débat improvisé et tendu d’Emmanuel Macron avec quelques agriculteurs, présence policière considérable.

Le tout alors que Jordan Bardella a arpenté les allées dans une ambiance normale, contrastant avec les images de la veille. Mais « les Français ne sont dupes de rien. Ni de l’instrumentalisation, ni du mensonge, ni de la poudre aux yeux », a rétorqué dimanche soir Gabriel Attal.  »Notre ennemi, ce n’est pas l’étranger, c’est la loi du marché débridée », a déclaré le Premier ministre.

« Vous qui êtes des professionnels de l’agriculture, vous savez mieux que personne que cette exception agricole ne doit être en aucun cas une fermeture », a-t-il ajouté.

La veille, Emmanuel Macron avait été accueilli par des huées et des heurts, mais avait pu finalement passer près de 13 heures dans le Salon à déambuler et échanger, au prix d’une importante présence sécuritaire.

Cirque juridique: DUPOND-MORETTI devant la cour de justice de la république

Cirque juridique: DUPOND-MORETTI devant la cour de justice de la république

Les règlements de compte entre certains membres de la justice et le ministre continuent avec la décision récente de renvoyer Éric Dupont Moretti devant la cour de justice de la république. Faut-il rappeler que cette cour de justice constitue une institution un peu particulière pour juger des délits des ministres et qu’elle est composée d’une majorité de politiques. Dans cette affaire tout le monde ce ridiculise : les magistrats, le ministre est au-delà de la justice tout entière

Pour preuve d’ailleurs la CJR n’a jamais prononcé de peine très grave. Un seul exemple lorsque Christine Lagarde est comparue pour l’affaire Tapie lui, on a jugé que l’octroi illégal de 400 millions à Tapie valait seulement un rappel à l’ordre de l’ancienne ministre des finances.

Il en sera de même évidemment avec le ministre de la justice d’autant qu’il s’agit d’une affaire complexe de règlements de comptes de procédures judiciaires. De quoi déconsidérer globalement encore un peu plus la justice.

Le futur procès du garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti pour prise illégale d’intérêts devant la Cour de justice de la République (CJR) est une situation « inédite » qui le « décrédibilise » et qui « par ricochet, affaiblit l’institution judiciaire toute entière », ont estimé vendredi les deux principaux syndicats de magistrats.

Eric Dupond-Moretti est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler des comptes avec des magistrats auxquels il s’était opposé dans sa première vie d’avocat.

Cirque juridico politique DUPOND-MORETTI devant la cour de justice de la république

Cirque juridico politique DUPOND-MORETTI devant la cour de justice de la république

Les règlements de compte entre certains membres de la justice et le ministre continuent avec la décision récente de renvoyer Éric Dupont Moretti devant la cour de justice de la république. Faut-il rappeler que cette cour de justice constitue une institution un peu particulière pour juger des délits des ministres et qu’elle est composée d’une majorité de politiques. Dans cette affaire tout le monde ce ridiculise : les magistrats, le ministre est au-delà de la justice tout entière

Pour preuve d’ailleurs la CJR n’a jamais prononcé de peine très grave. Un seul exemple lorsque Christine Lagarde est comparue pour l’affaire Tapie lui, on a jugé que l’octroi illégal de 400 millions à Tapie valait seulement un rappel à l’ordre de l’ancienne ministre des finances.

Il en sera de même évidemment avec le ministre de la justice d’autant qu’il s’agit d’une affaire complexe de règlements de comptes de procédures judiciaires. De quoi déconsidérer globalement encore un peu plus la justice.

Le futur procès du garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti pour prise illégale d’intérêts devant la Cour de justice de la République (CJR) est une situation « inédite » qui le « décrédibilise » et qui « par ricochet, affaiblit l’institution judiciaire toute entière », ont estimé vendredi les deux principaux syndicats de magistrats.

Eric Dupond-Moretti est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler des comptes avec des magistrats auxquels il s’était opposé dans sa première vie d’avocat.

Cirque au Parlement : une assemblée de crétins

Cirque au Parlement : une assemblée de crétins ?

C’est en tout cas ce que pense Jean-François Kahn qui s’est exprimé sur LCI dimanche soir. Le journaliste visait surtout les députés de la majorité et les insoumis. En cause sans doute le faiteque pour nombre d’entre eux, leur place n’est pas au Parlement. Certes,ils ont été élus mais une chèvre l’aurait été à leur place. Côté majorité, beaucoup se comportent comme des courtisans méprisants et hargneux d’une sorte de monarchie à pine républicaine et de l’autre beaucoup trop se comportent comme de mauvais syndicalistes en hurlant et en chahutant de manière pitoyable.

Beaucoup ignorent le contenu précis de la réforme témoin les approximations dans les débats tant à l’Assemblée nationale que sur les plateaux télé. Du coup on se réfugie derrière des slogans usés et simplificateurs.

Il y a au-delà de ces comportements indignes une vraie question de représentativité au Parlement. En effet les couches moyennes ne sont pratiquement pas représentées quant aux couches défavorisées elles sont à peu près absentes.

Du coup, on assiste à des postures qui singent de manière grotesque les Français côté insoumis ou qui défendent sans pudeur les grands intérêts financiers côté majorité. Du côté de Macron, Véran le bavard essayant par exemple de justifier les profits exorbitants de Total et la faiblesse de la fiscalité en France pour cette entreprise qui d’ailleurs n’a pas payé d’impôts pendant des années et en paye peu grâce à l’optimisation fiscale) ;

Chez les députés de Renaissance, on essaye d’imiter Macron en proclamant que le pays va s’écouler sans adoption de la réforme en cours de la retraite. Ces derniers ont certainement oublié que Macron avait déclaré en 2017 que jamais il ne toucherait à l’âge. Il est vrai qu’à l’époque il proposait une véritable réforme juste et efficace à laquelle il a renoncé pour le mauvais motif du Covid. Et on voit maintenant les intéressés pousser l’émergence de la retraite par capitalisation dans l’intérêt évidemment des grands assureurs et des banques; en « oubliant » évidemment que les plus défavorisés ne pourront jamais ce constituer une retraite par capitalisation.

Et Véran, le bavard qui essaye de justifier les profits exorbitants de Total et la faiblesse de la fiscalité en France pour cette entreprise( qui d’ailleurs n’a pas payé d’impôts pendant des années et en paye peu grâce à l’optimisation fiscale)

Chez les Insoumis, on joue à la bataille grotesque des cours de maternelle.

Dans les deux camps, le réveil risque d’être douloureux lors des prochaines échéances électorales.

Politique: A nouveau le cirque du grand débat de Macron

Politique: A nouveau le cirque du grand débat de Macron 

 

Macron promet de recommencer son grand cirque du grand débat, opération davantage médiatique que démocratique et de toute façon dont il n’est nullement tenu compte. Notons d’ailleurs qu’il n’a même pas été fait de compte-rendus détaillés des discussions. Bref  Macron veut recommencer son numéro, sorte de one-man-show devant un public bienveillant, complaisant pour ne pas dire complice.

Emmanuel Macron a assuré, samedi 12 mars, qu’il mènerait, en cas de réélection« un nouveau grand débat permanent » avec les Français autour de plusieurs chantiers.  »Je veux que notre projet puisse reposer sur une méthode associant davantage nos compatriotes, dans la durée, y compris le lendemain de l’élection, en leur donnant une place comme véritables acteurs », a plaidé le candidat-président dans une vidéo d’une vingtaine de minutes, qui doit être diffusée dans plusieurs meetings régionaux.

Durant le quinquennat qui s’achève,  »nous avons mis en œuvre des réformes parfois à la cavalcade, à la hussarde », a estimé Emmanuel Macron.  »Et nos compatriotes, même quand ils croyaient, voulaient en être aussi les acteurs, voulaient porter ces réformes. » Evoquant de  »grands chantiers sur l’école, la santé, la réforme institutionnelle », il a promis de  »mener un nouveau grand débat permanent pour agir », s’il est réélu le 24 avril !!!

Cannabis au volant : Darmanin fait du cirque !

Cannabis au volant : Darmanin fait du cirque 

 

 

Le chef du département de psychiatrie-addictologie à l’hôpital université Paul Brousse Amine Benyamina estime que le ministre de l’intérieur fait du cirque à propos du cannabis au volant.( Interview France Info, extrait)

Pensez-vous que les dépistages annoncés par le ministre de l’Intérieur vont permettre de réduire la mortalité sur les routes ?

Il est très difficile de contrôler ce que consomment les personnes qui prennent le volant, en dehors des stupéfiants qui sont interdits, il y a le contrôle des médicaments, de l’alcool… C’est une bonne idée pour limiter les morts sur la route, simplement il faut revenir un peu sur les statistiques. Ce qui tue le plus actuellement, ce ne sont pas les stupéfiants. Le cannabis tue 120 personnes, l’alcool 42 000 et le tabac 75 000. J’aurais aimé lire, dans l’interview qu’a faite notre ministre de l’Intérieur, sa stratégie de lutte contre la consommation d’alcool au volant. On voit bien le séquençage du ministre de l’Intérieur sur la question des drogues. Il dit qu’il s’attaque au fléau de la drogue, c’est tant mieux, mais j’ai quand même le sentiment qu’on est encore sur une manière de stigmatiser les drogués plus que la drogue, puisque la lutte contre la drogue en vérité, c’est une politique qui est basée sur trois éléments essentiels : la prévention, le soin et l’ordre. Il a en charge l’ordre en tant que ministre de l’Intérieur, mais quid de la prévention et du soin ? Quid des drogues dont on sait maintenant qu’elles sont pourvoyeuses de mort ? La première qui tue sur la route en France, c’est l’alcool.

Diriez-vous que vous êtes donc dubitatif face à ces annonces ?

Je ne suis pas dubitatif, je suis pragmatique. Je vois comment le ministre de l’Intérieur est en train de traiter la question de la drogue. Je ne veux pas lui faire de procès d’intention, ce sont toujours de bonnes nouvelles quand on s’attaque à un fléau qui tue les jeunes et les moins jeunes. En revanche, je m’étonne qu’il n’y ait pas de volet de réduction des risques liés à l’alcool, qui très clairement montrerait son intérêt à la fois en France dans d’autres situations et partout dans le monde. On a souvent le sentiment qu’il y a une opposition entre une politique de santé pragmatique et une politique d’affichage des muscles de l’Intérieur. On en a besoin, mais très clairement c’est une politique de l’affichage. On voit bien que c’est une séquence de communication avec une interview ce matin dans Le Figaro et un déplacement à Cavaillon. Quid de la politique de soins ? On l’attend. On a toujours l’impression que le ministre de l’Intérieur s’affiche pour montrer les chiffres. Je vous rappelle simplement qu’il y a quelques années on a quand même émis un rapport extrêmement sérieux et on s’est rendu compte que, concernant les accidents liés au cannabis, il y avait plus de fantasmes que de réalité sur le terrain. Le cannabis a un impact, mais bien moins important que celui de l’alcool et on a confondu les deux quand, dans le cocktail alcool-cannabis, on a mis en avant le cannabis.

Gérald Darmanin oublie-t-il de lutter contre les risques liés à l’alcool ?

Je pense qu’il n’oublie pas, c’est une volonté de sa part de mettre en avant la problématique de la drogue et dire qu’il est là pour lutter contre ça. Je le comprends. Il est dans son rôle. En revanche, la racine même de la lutte contre le cannabis et les drogues n’est pas que dans la répression, elle est dans la prévention, dans la promotion des structures comme les salles de consommation à moindre risque, c’est dans le vrai débat sur la modification de la loi concernant le cannabis pour couper les problématiques à la base. C’est très clairement de son ressort et des possibilités de sa compétence, et on a le sentiment qu’il n’y a rien. Contre l’alcool, on le sait, il y a une vraie frilosité avec ce gouvernement, on verra bien ce que ça va donner dans les mois à venir.

Les Etats-Unis confirment leurs oppositions à la Chine mais sans le cirque médiatique de Trump

Les Etats-Unis confirment leurs oppositions à la Chine mais sans le cirque médiatique de Trump

 

 

 

Fondamentalement rien ne va sans doute changer quant au rapport politique et économique entre la Chine et les États-Unis. La forme cependant sera nettement plus policée et du côté des États-Unis on va éviter la provocation. Pour preuve,  cette réunion entre la Chine et les États-Unis qui a permis de faire l’état des divergences entre les deux puissances ;  un constat lucide mais débarrassé des provocations inutiles de Trump. « Nous nous attendions à avoir des discussions directes et difficiles sur un large éventail de questions, et c’est exactement ce que nous avons eu », a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de la Maison blanche, Jake Sullivan, aux journalistes quelques instants après que la délégation chinoise a quitté la salle de réunion de l’hôtel.

Les membres de la délégation chinoise ont quitté l’hôtel sans s’adresser aux journalistes, mais le plus haut diplomate chinois, Yang Jiechi, a déclaré plus tard aux médias d’État chinois que les discussions avaient été constructives et bénéfiques, « mais que, bien sûr, des différences subsistaient. »

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken, qui se tenait aux côtés de Jake Sullivan, a déclaré qu’il n’était pas surpris que les États-Unis aient reçu une « réponse défensive » de la Chine après avoir fait part de leurs préoccupations concernant les violations des droits de l’homme commises par la Chine au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong, ainsi que les cyberattaques et les pressions exercées sur Taïwan.

Mais Antony Blinken a déclaré que les deux parties avaient également des intérêts communs sur l’Iran, la Corée du Nord, l’Afghanistan et le changement climatique, et que les États-Unis avaient accompli au cours des réunions ce qu’ils étaient venus faire.

« En ce qui concerne l’économie, le commerce et la technologie, nous avons dit à nos homologues chinois que nous examinons ces questions en étroite consultation avec le Congrès, nos alliés et nos partenaires, et que nous irons de l’avant d’une manière qui protège et fait progresser les intérêts de nos travailleurs et de nos entreprises », a déclaré Antony Blinken.

Le conseiller d’État chinois Wang Yi, qui a pris part aux réunions, a été cité par la chaîne de télévision chinoise CGTN comme ayant déclaré que la souveraineté de la Chine était une question de principe et qu’il ne fallait pas sous-estimer la détermination de Pékin à la défendre.

Après les remarques préliminaires d’Antony Blinken sur le défi que représente la Chine pour l’ordre international fondé sur des règles, Yang Jiechi s’est emporté dans un discours critiquant la démocratie, la politique étrangère et la politique commerciale des États-Unis.

BHL fait encore son cirque en Libye

BHL fait encore son cirque en Libye

 

BHL qui a largement contribué par son exhibitionnisme médiatique a entraîné la France dans la catastrophe libyenne réitère.IL  a voulu retourner comme en 2011 en Libye pour dit-il rééquilibrer les positions de la France. trop favorable aux forces d’Haftar, l’ami des Emirats, de l’Egypte, de la Russie . En fait un voyage en forme de fiasco puisque l’intéressé a été obligé de repartir rapidement rejeté d’ailleurs par les deux camps qui s’opposent en Libye.

 

Dommage car comme à son habitude BHL avait pris  le soin d’être accompagné d’une cohorte de journalistes et de caméramans. Ce qui est lui a permis de publier un grand reportage dans le dernier numéro de Paris Match ainsi qu’un article dans le Wall Street Journal, retraçant ses récentes mésaventures.

 

BHL davantage homme d’affaires que philosophe ( une fortune de quelque 150 millions grâce à ces différentes sociétés ), plus activiste des médias que militant humaniste s’est encore planté. Cette fois c’est moins grave que lorsque la France a contribué à déstabiliser complètement le pays pour éliminer

l’exécrable colonel Kadhafi mais qui avait l’avantage de tenir le pays aujourd’hui engagé dans la division et la guerre sans fin.  Un voyage inutile, ridicule, une nouvelle forme d’exhibitionnisme de la part de ce philosophe aux conceptions un peu trop simplistes et binaires du fait notamment qu’il consacre l’essentiel de son temps au business et aux représentations médiatiques.

Chloroquine: Olivier Véran fait son cirque politique

Chloroquine: Olivier Véran fait son cirque politique

 

Il n’est pas anormal que le ministre de la santé saisisse le Haut conseil de la santé publique après l’étude révélée par la revue the Lancet à propos notamment chloroquine. Par contre le délai de 48 heures qu’il impose pour fixer des règles éventuellement dérogatoires parait de nature surtout politique.

Ce genre d’expertise ne s’effectue pas en quelques heures. Il s’agit en quelque sorte d’une mise en demeure qui ressemble fort à celles qui ont été faites à l’autre comité des scientifiques auquel on a demandé de se prononcer sur l’opportunité d’élection municipale. Pour parler clair, Olivier Ferrand, fin politique tire le parapluie pour le cas où ?

De toute façon l’étude en cause parue dans la revue citée est insuffisante pour ce prononcer définitivement sur l’intérêt ou non de la chloroquine. “J’ai saisi le HCSP pour qu’il l’analyse et me propose sous 48 heures une révision des règles dérogatoires de prescription”, a dit le ministre dans un tweet. La prescription peut effectivement être modifiée mais cela ne prouve rien quant à l’efficience au contraire le danger du traitement. Une étude beaucoup plus large est beaucoup plus complète est d’ailleurs en cours pour son évaluation. N’oublions pas non plus que derrière la question des traitements est engagée une lutte économique sans merci entre les industries pharmaceutiques pour imposer à la fois leur traitement et le moment venu leur vaccin. La guerre est donc scientifique entre les institutions qui défendent leur boutique, les industries pharmaceutiques leur profit et les politiques qui cherchent à tirer profit des controverses scientifiques

Coronavirus: contrôle de température, du cirque pour pas grand-chose

Coronavirus: contrôle de température, du cirque pour pas grand-chose

 

Certaines grandes entreprises par exemple en France mais ailleurs aussi effectuent  un contrôle général de température pour les clients, les salariés voire le public général. Une opération qui est surtout médiatique et qui n’a qu’un sens très limité du fait  que la température n’augmente en général que plusieurs jours après la contamination. En outre évidemment ce contrôle de température est complètement inutile sur la masse des sujets qui sont, eux, asymptomatiques .

 

Pour ce concerne le transport , le vrai problème est celui de la gestion de la distanciation , une question complexe et pratiquement impossible à gérer. Sans parler de l’incompatibilité entre la rentabilité du transport et des règles théoriques à respecter. Du coup,  pour nombre de modes le gouvernement- qui gère toujours de manière étatique la question sanitaire- a décidé de réduire le volume de services ( train, avion, bus, car). Cela risque de concentrer encore davantage la demande sur l’offre et de contredire un peu plus les règles relatives aux mesures barrière.

Procès Mélenchon : du cirque médiatique

Procès  Mélenchon : du cirque médiatique

 

 

 

Le procès Mélenchon relève le procès Mélenchon relève du cirque médiatique voire du grand guignol. Une opération largement soutenue par l’intéressé lui-même mais aussi par les pouvoirs publics (via le parquet). On ne peut parler en effet parler de rébellion dont est accusé Mélenchon. Certes la réaction de Mélenchon a été verbalement violente mais n’a jamais constitué une voie de fait. En outre,  la perquisition n’a pas respecté les règles, on ne pouvait notamment empêcher Mélenchon d’assister à l’opération. Cette affaire relève du théâtre politique mais la pièce est sans intérêt et les acteurs particulièrement mauvais quand ils sur jouent  des postures tragiques qui relèvent en fait de la comédie. La  faute en revient  tout autant à Mélenchon qu’à l’avocat Dupont Moretti qui défendait les gens intérêt des pouvoirs publics.  Le duel que se livrent l’avocat Dupont Moretti et Mélenchon relèvent davantage du théâtre que de la justice.  C’est même une spécialité des intéressés que de surjouer leur rôle. Mais la prestation sonne assez faux. On peut évidemment discuter de l’accusation de rébellion concernant Mélenchon mais ce dernier  en rajoute en  permanence des couches pour finalement se faire un peu plus détesté par l’opinion publique. Même chose côté Dupont  Moretti qui théâtralise en permanence ses déclarations tant pendant les procès que devant les médias. Il fallait l’entendre quand il considérait que Balkany était une victime expiatoire. Évidemment, il n’y croyait pas une seconde sans doute et cela ce ressentait dans l’excès de ses propos. Mélenchon procède aussi ainsi. Récemment interviewé sur BFM il n’a cessé de mêler les propos politiques, les déclarations grandiloquentes, les coups  d’œil appuyés et l’humour douteux pour  obtenir la complicité des journalistes. Les deux personnages ne se rendent sûrement pas compte à quel point l’outrance qui les caractérise discrédite en même temps la pertinence de propos juste qu’ils peuvent parfois  tenir. Les deux ne sont pas sans qualités, bien au contraire, mais leur duel relève de la comédie ordinaire comme la plupart de leurs autres déclarations. Le cocktail politique, justice et théâtre aboutit à un breuvage imbuvable. La peine proposée de 3 mois de prison avec sursis parait particulièrement démesurée. Compte tenu des faits, la sanction aurait dû être symbolique mais l’enflure du parquet tout autant que celle de Dupont Moretti et de Mélenchon ont fait monter en mayonnaise de la tragi-comédie médiatique.

Emplois fictifs d‘ assistants parlementaires européens : du cirque aussi

Emplois fictifs d ‘ assistants parlementaires européens : du cirque aussi

  •  

En plus des irrégularités qui auraient été constatées dans la campagne résidentielle de Mélenchon, les insoumis sont aussi soupçonnés pour des emplois fictifs d’assistants parlementaires européens. Il ne s’agirait pas vraiment d’emplois fictifs mais de supposés détournements d’objets de ces assistants. En clair on reproche aux insoumis comme à d’autres d’utiliser des assistants parlementaires européens au service de leur parti. La réalité évidemment ce qu’il est bien difficile de savoir quand ces  assistants traitent de questions européennes ou de questions françaises tellement les problématiques désormais liées. En outre,  leur localisation n’a pas plus d’importance que celle des députés européens eux-mêmes ;  la plupart n’habitent pas près du Parlement européen. Qui ne les empêche pas assumer leurs responsabilités. Tout cela relève aussi du cirque juridico politique. D’autres partis sont également mis en cause pour les mêmes raisons à savoir le Rassemblement national, le MoDem, le parti socialiste en plus des insoumis. Avec le même raisonnement on pourrait accuser la plupart des députés français d’emplois fictifs pour les assistants de l’assemblée ou du Sénat sous le prétexte qu’ils ne résident  pas à Paris mais en province. Première observation, le fait de résider à Paris ne prouve en rien que l’assistant parlementaire ne travaille pas sur des questions locales concernant la circonscription de l’élu. Inversement rien ne prouve qu’un assistant résidant en province ne prépare pas les dossiers du Parlement. Dernière observation,  l’extrême difficulté d’identifier ce qui relève du travail au service d’un parti politique et ce qui relève du travail parlementaire.

 

Mélenchon-France insoumise : du cirque politico juridique

 Mélenchon-France insoumise : du cirque politico juridique

 Mélenchon  est souvent excessif, provocateur, agaçant même mais il a raison sur l’affaire du financement de sa campagne électorale. En effet,  le parti de Mélenchon est celui qui a dépensé le moins et de loin pour la dernière échéance présidentielle de 2017. On vient maintenant lui chercher des poux dans la tête pour des surfacturations d’un montant par exemple de 400 € pour une mise en ligne d’un discours sur Internet. Tout cela relève du  cirque politico juridique dans la mesure où tous les partis pourraient être enquêtés pour les mêmes irrégularités. Ce qui est reproché à Jean-Luc Mélenchon pourrait l’être à tous les autres candidats ou presque. Comme les frais de campagne sont remboursés, il y a deux tentations permanentes d’une part ne pas dépasser le seuil autorisé pour les dépenses en minimisant certaines et au contraire gonfler le coût de certaines prestations pour en obtenir le remboursement. En fait, la différence entre les chiffres fournis officiellement par les candidats et les dépenses réelles peut-être considérables. Le problème est récurrent car la commission nationale des comptes de campagne et des financements publics ne dispose pas des moyens d’investigation pour vérifier la véracité des comptes fournis par les candidats. Cette commission ne peut fonder son avis que sur les documents transmis par les 10 candidats ; on se souvient par exemple que Macron avait bénéficié de ristournes tout à fait exceptionnelles sur la fourniture de prestations de campagne notamment de location de locaux. Mais des remarques du même type concernent aussi bien cette campagne de 2017 que les campagnes antérieures. Les critiques viennent même de l’intérieur de la commission chargée de vérifier les comptes. L’ancien rapporteur pour la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) était en charge du suivi du candidat de la France insoumise. Le haut-fonctionnaire regrette que la commission n’ait pas tenu compte de ses remarques dès le mois de novembre 2017. Jean-Guy de Chalvron s’interroge: « Pourquoi n’a-t-elle pas relevé les anomalies que j’ai moi-même relevé? On n’en serait pas là… ».  Le problème pour cette commission c’est que s’attaquer à la véracité des comptes de campagne d’un candidat c’est prendre le risque d’attaquer à peu près les autres comptes et d’aller au-devant de difficultés politiques

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol