Archive pour le Tag 'ciblée'

Facebook siphonne les infos pour la pub ciblée

Facebook siphonne les infos pour la pub ciblée

On le savait depuis longtemps, Facebook est un réseau au demeurant assez indigent (sauf exception) qui n’a d’autre but que de faire étalage de données privées de 2 milliards de personnes.  Des données récupérées pour Facebook pour faire de la pub ; le plus souvent pour vendre à prix d’or les fichiers de consommateurs ainsi constitués. Des informations qui valent des dizaines millions pour les annonceurs.  En outre pour la première fois, Facebook a admis jeudi utiliser le numéro de téléphone fourni par ses utilisateurs afin de sécuriser leur compte – et pour lequel ils ne consentent pas à une utilisation publicitaire. Le fleuron de Silicon Valley a ainsi confirmé les résultats d’une étude réalisée par des chercheurs des universités américaines de Northeastern et de Princeton, et révélée par le site spécialisé Guizmodo. Autrement dit : les utilisateurs qui souhaitent avoir un compte plus sécurisé doivent, paradoxalement, consentir à un compromis en matière de confidentialité pour que les annonceurs les identifient plus facilement. En effet, Facebook permet aux utilisateurs qui le souhaitent de fournir un numéro de téléphone. En cas d’activité suspecte repérée, comme un piratage de compte par exemple, le réseau social peut ainsi alerter rapidement l’utilisateur par SMS. Le hic : Facebook n’indique pas explicitement à l’utilisateur que son numéro peut être récupéré par des annonceurs, selon sa politique de gestion des données. Tout cela, à l’insu des intéressés. Il leur est donc impossible de faire supprimer les données personnelles pillées ou d’empêcher les annonceurs de les utiliser. Ce profil, réalisé à partir d’un faisceau d’informations récoltées par des moyens indirects, est surnommé le shadow profile (profil fantôme).

Transition écologique: très ciblée et rapide

Transition écologique: très ciblée  et rapide

Une feuille de route du gouvernement sera décidée en juin elle sera très ciblée et devra agir vite. En fait, il ne faut pas s’attendre à de grands changements par rapport à la loi de transition énergétique déjà votée et qui aura bien du mal à être mis en œuvre. Rappelons que cette loi prévoit de réduire à 50 % la part du nucléaire dans la production d’électricité (aujourd’hui 75 %). Un objectif complètement irréalisable d’autant que rapidement on va décider le grand carénage des plus anciennes centrales pour prolonger leur durée de vie de 20 ans. On va donc centrer le programme du gouvernement essentiellement  sue ce « programme de travail » qui comprendra notamment des engagements sur l’interdiction des nouveaux permis de recherche sur les hydrocarbures, la rénovation énergétique des bâtiments, notamment publics, la révision de la taxe carbone et de la fiscalité du diesel, a précisé l’Élysée. La discussion sur ce programme doit débuter mercredi en Conseil des ministres. Cette table ronde a été organisée après la décision de Donald Trump de retirer les États-Unis de l’Accord de Paris. Seule décision concrète annoncée mardi, la création d’un site internet pour faciliter l’accueil des chercheurs du monde entier, notamment américains, qui voudraient postuler pour venir en France travailler sur des programmes concernant le climat.   La table ronde, présidée par Emmanuel Macron, a réuni mardi une vingtaine de membres d’ONG, entrepreneurs, chercheurs et experts, ainsi que les ministres Nicolas Hulot (Transition écologique), Jean-Yves le Drian (Europe et Affaires étrangères) et Frédérique Vidal (Recherche).         Cette réunion était aussi l’occasion de « réaffirmer une message de solidarité envers les victimes des changements climatiques », a indiqué Nicolas Hulot à l’issue de la réunion. La France va également poursuivre sa « diplomatie climatique », a souligné le ministre. « C’est l’effet inattendu de la décision des Etats-Unis: il y a des coalitions nouvelles en train de se créer entre États, entre États et collectivités, entre États et acteurs économiques, et avec des États américains. C’est cette coalition que nous allons renforcer », a-t-il conclu.

Croissance : le FMI pour une relance keynésienne ciblée

Croissance : le FMI pour une relance keynésienne ciblée

 

 

 

À mesure que les prévisions économiques mondiales sont révisées à la baisse, le FMI ne cesse d’insister sur la nécessité de relance ciblée notamment en direction des infrastructures. Relance qui pourrait trouver un terrain favorable compte tenu notamment  de l’extrême faiblesse des taux mais qui se heurte évidemment au niveau d’endettement dans de nombreux pays. En fait on pourrait bien se satisfaire d’une croissance de 3 % environ en 2016 au lieu des 3,4% pronostiqués encore récemment. Deux facteurs explicatifs à cette de panne de croissance : la faiblesse aussi bien de la consommation que des investissements des entreprises. Du coup progressivement le FMI semble ce convertir au principe de la relance keynésienne mais sans le dire. D’un certain point de vue cet appel à l’utilisation de l’outil budgétaire constitue une nouveauté et contredit sur bien des points l’austérité préconisée notamment en Europe Le comité de pilotage du Fonds monétaire international (FMI) a donc  invité les Etats membres de l’organisation à orienter leurs dépenses vers le soutien à la croissance et appelé le Fonds à envisager de nouveaux prêts à des pays confrontés au ralentissement de la croissance. « Les risques de dégradation des perspectives de l’économie mondiale ont augmenté depuis octobre, ce qui fait entrevoir la possibilité d’un ralentissement plus généralisé et d’un retrait soudain des flux de capitaux », déclaré le Comité monétaire et financier international (CMFI) dans un communiqué publié samedi à l’issue de sa réunion de printemps. Exprimant les mêmes préoccupations que les ministres des Finances et les banquiers centraux du G20 vendredi, les 24 membres du CMFI appellent les Etats à s’ »abstenir de toute forme de protectionnisme et de dévaluation compétitive, et à laisser les taux de change réagir aux variations des paramètres économiques fondamentaux ». « Une politique budgétaire propice à la croissance est nécessaire dans tous les pays », souligne le communiqué, ajoutant que le maintien de politiques monétaires accommodantes reste approprié dans plusieurs économies avancées et que des réformes structurelles doivent accompagner des politiques de soutien à la demande. Le CMFI, présidé par le gouverneur de la banque centrale mexicaine, Agustin Carstens, appelle parallèlement le FMI à réexaminer sa panoplie d’instruments de prêt pour « réfléchir à ce qu’il pourrait faire pour mieux aider les États membres à gérer la volatilité et l’incertitude – notamment au moyen de concours financiers, y compris à titre de précaution ».




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